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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #French #Days : un premier #bilan très #satisfaisant | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | 

    #French #Days : un premier #bilan très #satisfaisant

    Rakuten France, Showroomprivé et BeautéPrivée prévoient de renouveler cette opération de promotions en ligne made in France en 2019.

    Les French Days sont une réussite pour Rakuten France (Priceminister), Showroomprivé et BeautéPrivée, qui prévoient de renouveler en 2019 cette opération de promotions en ligne qui s'est déroulée du 27 avril au 1er mai et ressemble comme deux gouttes d'eau au Black Friday du mois de novembre.

    Le premier jour, Rakuten France a vu son chiffre d'affaires croître de 45% en moyenne par rapport à une journée normale. "Ce sont de très bons chiffres pour une première" précise à LSA une porte-parole de l'entreprise. Sur toute la durée de l'opération, Showroomprivé et BeautéPrivée ont respectivement vu leur chiffre d'affaires décoller de 42 et 75% comparé à la même période en 2017. La part du mobile oscille entre 63% et 67% du chiffre d’affaires global réalisé par Showroomprivé.

    Le nombre de visites était respectivement en hausse de 12 et 9% pour BeautéPrivée et Showroomprivé (qui a enregistré 9,5 millions de visites au total) sur toute la durée de l'opération par rapport à la même période en 2017. Sur le site de Rakuten France, il était en hausse de 35% le 27 avril (pic de l'audience, entre 7 et 10 heures en particulier) comparé à un jour lambda. Le 27 avril, BeautéPrivée enregistre une hausse de l'audience de 50% et Showroomprivé de 27%.

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    Best sellers

    iPhone X, GoPro6, robot aspirateur Xiaomi, jeu vidéo Tekken 7 pour la PS4 : les produits électroniques grand public font partie des meilleures ventes de Rakuten France pour ces premiers French Days, avec certains articles estivaux, comme les Polo Lacoste manches courtes et les salons de jardin. Les articles qui se sont le mieux vendus sur la plateforme de Showroomprivé appartiennent à la catégorie du prêt-à-porter, avec en tête les top et les t-shirts ainsi que les chaussures de sport.

    Le succès des French Days est palpable sur les réseaux sociaux. Brandwatch, société de monitoring de ces nouveaux canaux de communication, a scruté le net à la recherche du hashatg #FrenchDays pendant les cinq jours durant lesquels s'est déroulée l'opération. L'entreprise a comptabilisé plus de 238 000 mentions générées par 16 000 auteurs uniques, comme le montre l'image ci-dessous, tirée de l'étude.

    71% des internautes qui ont échangé sur les réseaux sociaux autour des French Days sont des hommes et 29% des femmes. Ils sont intéressés en particulier par les jeux, le sport, la musique et la technologie, comme le montre le graphique ci-dessous.

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    [#CONSOLAB] [BREXIT] | #Brexit : la #French #tech #londonienne adopte le "#wait and #see" | @LUSINEDIGITALE

    DE STEPHANIE SALTI | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2GqVM2q

    #Brexit : la #French #tech #londonienne adopte le "#wait and #see"

    French Tech London vient de publier un nouveau sondage sur l’attitude des entrepreneurs face au Brexit. Si l'inquiétude baisse, les start-up françaises candidates au départ du Royaume Uni privilégient la France comme destination de choix .

    "Keep cool and carry on". Cela pourrait être la devise des entrepreneurs de la Tech française basés à Londres. A tout juste un an de la sortie officielle du Royaume-Uni de l’UE, French Tech London, qui rassemble les acteurs de la French tech (investisseurs, entrepreneurs, associations etc..) dans la capitale britannique, vient de publier un nouveau sondage sur l’attitude des entrepreneurs face au Brexit. Le premier avait été réalisé en janvier 2017, deux mois avant le déclenchement de l’Article 50.


    LES START-UP FRANÇAISES MOINS INQUIÈTES FACE AU BREXIT

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    De toute évidence, les niveaux de stress de la communauté technologique française à Londres ont considérablement baissé en une année : alors que 78 % confiaient leur inquiétude face aux conséquences du Brexit au début 2017, ils ne sont plus aujourd’hui que 54 % dans ce cas. Pour 60 % des répondants, le principal sujet d’inquiétude concerne la liberté de circulation tandis que 55 % évoquent les relations commerciales : "L’impact sur la vie quotidienne est restée faible jusqu’à présent, commente Albin Serviant, président de French Tech London. Par ailleurs, l’accord entre l’Union européenne et le Royaume-Uni sur le principe d’une période de transition de mars 2019 à fin 2020 permet au secteur de temporiser. On s’habitue peu à peu à cette ambiance".

    Pas question pour autant de rester les bras croisés : un tiers des 150 répondants au sondage ont pris des dispositions face au Brexit, soit 10 points de plus que l’an passé. Sans surprise, ce sont les personnes âgées de plus de 55 ans qui se sont montrées les plus prudentes, alors que les 18-25 ans ne se sont pas mobilisés : "Pour cette catégorie, la sensibilité au risque Brexit est bien moindre que pour les plus âgés, poursuit le président de French Tech London. Bien souvent, ce sont des professionnels qui n’ont pas d’enfants, pas plus que de biens immobiliers." Parmi les dispositions prises, 14% ont mentionné la possibilité de quitter Londres tandis que 6 % souhaitent déposer un dossier en vue de l’obtention d’un permis de résidence. Enfin, 5% désirent créer une structure juridique en Europe.
     

    LA FRANCE, UNE DESTINATION DE PRÉDILECTION, MAIS...

    Les candidats au départ confirment le choix de la France comme destination de prédilection : ils seraient 55 % à opter pour ce pays, loin devant les Etats-Unis (25 %), l’Allemagne (17 %) et l’Espagne (14%) : "L’effet Macron et les réformes menées au pas de charge créent un environnement propice dans l’Hexagone";explique Albin Serviant. A l’inverse, l’appétit pour l’Espagne s’est écroulé d’une année sur l’autre, conséquence des événements en Catalogne". Londres est pourtant loin d’être délaissée : "On continue à voir des personnes arriver à Londres, poursuit le président de French Tech London. L’écosystème londonien reste très dynamique avec des levées de fonds importantes. Par ailleurs,  quand il s’agit de se confronter à un univers international, Londres est toujours considéré comme un véritable eldorado et une porte d’entre vers d’autres marchés comme l’Asie ou les Etats-Unis."