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    [#CONSOLAB] [MAGASIN] | #Nike mixe #physique et #digital dans son #nouveau #concept de #magasin | @FASHIONNETWORK

    DE CASSIDY MANTOR | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2upGwuR

    #Nike mixe #physique et #digital dans son #nouveau #concept de #magasin

    Nike vient d’ouvrir sa nouvelle boutique Nike by Melrose, un espace de 420 m2 au cœur de West Los Angeles. Cette première surface autour du concept omnicanal Nike Live associe expérience de vente physique et numérique.

    Des collections d’articles féminins et masculins seront disponibles à la vente dans cette boutique qui recevra des nouveautés toutes les deux semaines, une première pour Nike. Des collections exclusives et des sélections de saison seront aussi présentées.

    « Les boutiques Nike Live sont conçues spécialement pour être des points de service pour les membres NikePlus locaux », a révélé la présidente de NikeDirect, Heidi O’Neill, dans un communiqué.

    « Cette boutique est la toute première destination Nike Live, mais nous allons aussi y tester des services qui pourront ensuite être déclinés à d’autres boutiques Nike, associant le digital avec un environnement physique unique pour imaginer le futur du retail selon Nike », a-t-elle ajouté.

    Le concept Nike Live associe les données fournies par les applications numériques comme NikePlus, Snkrs, Nike Training Club (NTC) et Nike Run Club (NRC), avec certaines fonctionnalités du site de Nike pour offrir une expérience client plus personnalisée en boutique.

    L’espace sera aussi doté d’un Sneaker Bar où les clients peuvent consulter un conseiller, essayer immédiatement les articles qui les intéressent et profiter d’une expérience d’achat de chaussures ultra-rapide.

    Une « Unlock Box » sera aussi mise à disposition des membres NikePlus, à consulter toutes les deux semaines pour découvrir de nouveaux articles. Ces adhérents premium peuvent aussi chatter par texto avec les équipes en boutique et bénéficier d’un service rapide d’achats et de retours.

    En parallèle du lancement de ce nouveau concept de retail, Nike a créé une nouvelle application, Nike App at Retail, qui permet aux clients de réserver et de conserver des articles dans des casiers en boutique. Les clients peuvent aussi utiliser l’application pour scanner des codes-barres afin de consulter des informations à propos des produits, pour savoir par exemple s’ils sont disponibles en ligne ou dans une autre boutique.

    Côté service client, Nike Live offre un service d’ajustement de soutien-gorge et de retouches pour les pantalons et les leggings. Comme dans les autres boutiques de vente directe Nike, les clients peuvent utiliser un tapis de course en boutique pour essayer les chaussures.

    Le concept store Nike by Melrose a déjà ouvert et est situé au 8552 Melrose Avenue à Los Angeles, en Californie.

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    [#CONSOLAB] [CONCEPT] | #Maison de la #Presse inaugure un #nouveau #concept dans #Paris | @LSA

    DE MAGALI PICARD | LSA | 

    #Maison de la #Presse inaugure un #nouveau #concept dans #Paris

    Au cœur du nouveau quartier Batignolles-Clichy, le groupe NAP ouvre ce 20 juin une Maison de la Presse nouvelle génération. Six univers y sont représentés. Le concept sera décliné dans 25 autres magasins avant la fin de l'année.

    C'est bien connu : il devient difficile aujourd'hui de trouver un magasin de journaux ou une papeterie dans son quartier. Jugez plutôt : entre 2015 et 2017, 1650 points de vente de presse ont fermé. Avec 1470 Maisons de la Presse et Mag Presse à lui seul, le groupe NAP est donc plutôt bien placé pour renouveler ce genre de commerce. C'est ce qu'il vient de faire en ouvrant une succursale, la deuxième, tout près du parc Martin Luther King et du nouveau Tribunal de grande instance de Paris, dans le 17ème arrondissement de la capitale. Là, entre les immeubles flambant neufs qui sortent tout juste de terre et le bâtiment de Renzo Piano, la Maison de la presse étrenne une nouvelle configuration.

    Magasin de proximité

    Dès la vitrine, la nouvelle identité saute aux yeux. Nouveau logo, plafond noir, éclairage directionnel, sol imitation bois, meubles noirs et bois avec des niches soulignées de jaune pour attirer l'oeil sur des titres ou des livres en particulier, tout change. "Nous nous sommes servis du magasin de Lyon, également exploité en succursale, pour tester toutes ces nouvelles idées de présentation", explique Nicolas Vuittenez, responsable des enseignes et du concept. Si la presse (1800 titres aujourd'hui, 2500 demain) prédomine -elle représente la moitié du chiffre d'affaires avec les livres-, l'offre a ceci de particulier qu'elle est large : livres pour enfants, jouets (notamment avec des Playmobil et des Lego), cadeaux (bougies, goodies...), papeterie et même une gondole consacrée à la téléphonie (surtout des accessoires et un smartphone Wiko). "Nous nous sommes demandés comment relancer les Maisons de la presse dans un nouveau modèle économique avec une vision plus élargie, explique Arnaud Ayrolles, pdg de NAP. Le tout étant d'arriver à un tronc commun d'offre, identifiable pour le consommateur". Et pour les adhérents, ceux-ci restant à convaincre pour adopter le nouveau concept.

     
    Des services, toujours des services

    Ces derniers découlent de partenariats noués avec Free et avec DHL Express. Le premier permet d'acheter des cartes Sim sur une borne ; le deuxième d'envoyer des colis. Cette Maison de la presse version 2018 sera dupliquée dans 25 à 35 magasins d'ici à la fin de l'année. "Nous espérons arriver à un rythme annuel de 130 à 150 magasins rénovés par an", souligne Arnaud Ayrolles. D'ici là, un site web digne de ce nom sera mis en place, pour prendre le relais sur les services.

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    [#RFM N°262] [EDITORIAL] | « La clarification du #concept d’#identité #digitale : vers un construit en quatre #dimensions » |@R. SOHIER & J. BREE

    Le troisième article de la RFM n°262, qui paraîtra fin octobre, est écrit par Romain Sohier et Joël Brée sur :

    LA CLARIFICATION DU CONCEPT IDENTITÉ DIGITALE : VERS UN CONSTRUIT EN QUATRE DIMENSIONS

    Le concept d’identité n’est pas nouveau en soi. Ainsi que le rappellent les auteurs, il est même central dans l’explication du comportement des consommateurs. La digitalisation des comportements d’achat a toutefois ajouté une complexité forte au concept d’identité, amenant aujourd’hui les chercheurs à parler d’identité digitale. Les auteurs se proposent d’en définir les dimensions, dans une première phase exploratoire et qualitative.

    Classiquement l’identité de l’individu est définie selon deux dimensions, sociale et personnelle, empruntées à la psychologie cognitive. Dans l’environnement numérique, les auteurs établissent le constat que les définitions données du concept d’identité numérique ont surtout été marquées par leur caractère contingent (plus proches de la description d’un état que d’une identité). Ils s’interrogent donc dès lors sur l’existence même d’une identité numérique. C’est pourquoi, ils souscrivent à la nécessité de poursuivre leur recherche en mobilisant une diversité d’environnement numérique (réseaux sociaux, jeux vidéo et blogs). Affirmer son identité numérique consiste pour l’individu, dans un environnement numérique défini (mais généralisable), à rechercher un équilibre constant entre les dimensions personnelles et sociales de l’identité en gérant finement les conflits identitaires et les interactions sociales. Il s’agit au fond pour l’individu d’obtenir une représentation de soi idéale (en conflit parfois avec son soi réel), en s’appuyant sur les spécificités des environnements numériques (dont la permanence et le traçage des informations partagées).

    Quatre motivations sont présentes dans les environnements étudiés (blogs, réseaux sociaux, jeux) : le besoin fonctionnel, expérientiel, social ou ludique. Au final, les environnements numériques favorisent le lien entre réalité et virtualité, l’expression de l’identité de soi, la communication de soi multiples et enfin l’établissement de relations sociales virtuelle, autant d’opportunités pour se construire une identité numérique. Pour explorer les dimensions de l’identité numérique, les auteurs recourent à des entretiens semi-directifs et des focus groupes auprès de jeunes adolescents (période critique de la construction identitaire) et des entretiens semi-directifs auprès d’un public plus adulte. Au final, les comparaisons des résultats entre les deux classes d’âge révèlent des similarités fortes avec des nuances de degré ou d’intensité sur les quatre dimensions relevées de l’identité digitale : expression de soi (« ce que je dis »), réputation virtuelle (« ce que je partage »), socialité virtuelle (« qui je connais »), soi digital démultiplié (« ce qui me représente »).

    En conclusion, les auteurs insistent sur le fait que l’identité digitale, si elle reprend quelques-unes des caractéristiques de l’identité réelle, se caractérisent par des opportunités nouvelles : une socialité différente fondée sur la rapidité et l’anonymat ; une nouvelle façon de se percevoir (réincarnation en avatars) et un nouveau moyen de s’épanouir dans des environnements virtuels et sans contraintes. Cette première recherche permet d’enrichir non seulement notre compréhension des dimensions de l’identité digitale – et donc de la façon de l’exacerber dans les stratégies digitales mises en œuvre par les marques – mais également de mieux comprendre les motivations propres aux Internautes dans l’exercice des activités virtuelles multiples auxquelles ils se prêtent.

    Cet article vous intéresse ? Il paraîtra intégralement dans la Revue Française du Marketing n°262 qui sortira en février.

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