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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Kiabi teste le "#click & #change", un service #connecté en #cabine | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2vu1JUW

     #Kiabi teste le "#click & #change", un service #connecté en #cabine

    L’enseigne nordiste, qui s’est fixé l’objectif ambitieux d’inaugurer 50 nouveaux magasins en France dans les 3 ans, affine dans son magasin pilote de Bègles une nouvelle solution baptisée « click & change », dans le but de fluidifier le parcours d’achat. En clair, la cabine est équipée d’un écran grâce auquel le client peut demander une autre taille ou un autre coloris si l’article essayé ne lui convient pas. A ce moment, un vendeur équipé d’une tablette est averti, et va chercher le produit pour lui apporter en cabine.

    « Ce service, imaginé par l’équipe du magasin dans le cadre du challenge Innovation Play et encadré par le Digital Network Kiabi, a pour vocation d’éliminer un moment irritant du parcours client : celui du produit qui ne convient pas et qu’il faut aller changer dans le magasin », précise la marque dans un communiqué. C’est aussi une façon de réduire le temps passé par les clients dans l’espace essayage.

    Kiabi, qui a généré 1,9 milliard d’euros de ventes en 2017 (+4,6 %), ne précise pas s’il déploiera le « click & change » à plus grande échelle. Il n’est pas le premier à s’y frotter, citons par exemple Zara, Ralph Lauren et plus récemment Etam. Depuis décembre 2017, ce type de solution est ainsi testé par l’enseigne de lingerie dans son flagship expérimental des Champs Elysées. Les vendeurs y sont là aussi équipés d’un terminal connecté leur permettant d’accéder aux demandes des clients, et peuvent surtout ensuite procéder à un encaissement mobile, pour éviter le passage en caisse. L’attente pour le paiement étant un autre obstacle de taille en boutique.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Le #vendeur #connecté, #arme ultime d'un #commerce #omnicanal ? | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2usMMC4

    Le #vendeur #connecté, #arme ultime d'un #commerce #omnicanal ?

    Développement d'offres omnicanales, importance croissante de l’expérience de marque, consommateurs de plus en plus informés sur les produits… La dernière décennie a fait trembler sur ses bases le métier de vendeur, non sans le ramener au passage à des pratiques commerçantes qui ont été parfois délaissées. Marques et enseignes doivent désormais séduire une nouvelle génération de vendeurs bien décidée à ne pas postuler dans n’importe quel commerce.

    Un constat lié aux aspirations de la génération des millennials, qui est sensiblement le même dressé par l'industrie textile et qu’a progressivement fait à son tour Nicolas Coze, manager de la division Mode & Luxe de l’agence Lynks Partner. « Les candidats deviennent de plus en plus sélectifs, au point que, désormais, si vous ne précisez pas le nom de l’entreprise, personne ne prendra la peine de se déplacer en entretien, explique le responsable. La pénurie de postulants s’accentue donc sur certains profils, notamment concernant les vendeurs sinophones. Beaucoup de candidats ne sont pas intéressés par des marques et enseignes moins connues. Notre rôle d’agence est passé de celui d’acheteur à vendeur d’une certaine manière. Nous devons rendre le poste séduisant, car ils veulent des entreprises correspondant à leurs valeurs ».

    A l’occasion d’une campagne visant à sensibiliser les 15-25 ans aux différents métiers du secteur de la mode, dont ceux opérant en magasins, l’Alliance du commerce s’est penchée sur la perception des métiers de la vente par cette génération. Il en ressort que le domaine est jugé attractif, mais les métiers en boutiques n’arrivent qu’en quatrième position des métiers cités (38 % des répondants intéressés par le domaine), derrière les emplois liés aux fonctions support, au siège ou au digital. La conséquence d’une vision "alimentaire" du métier de vendeur tel que pensé par les grandes enseignes internationales dont ces jeunes sont eux-mêmes clients ?

    Pour Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du commerce, la réponse est non : « Ce ne sont pas ce que les chiffres montrent, explique le responsable. Le commerce est effectivement un métier de jeunes, avec une moyenne d’âge d’environ 34 ans, mais avec 61 % des équipes qui ont moins de 35 ans, et une personne sur quatre qui a moins de 26 ans. Donc c’est vraiment un métier dynamique. Mais pour autant, on voit que ces gens restent puisque l’ancienneté moyenne est supérieure à sept ans. Ce qui, avec la moyenne d’âge, montre que les jeunes s’installent dans ce métier, contrairement à l’image que l’on peut avoir de l’extérieur ».

    Néanmoins, la décennie en cours n’a pas été sans conséquence sur l’image du vendeur, selon Eric Pestel de la l'agence Lookadok. Ce dernier, qui a conçu la formation "Top Vendeur" mise en place en début d’année par l’Alliance du commerce, voit dans ce virage l’annonce d’un retour aux sources : « Autour des années 2010, le retail s’est développé autour de la standardisation, explique-t-il en pointant du doigt une ‘course à la performance’. Dans un contexte hyper-standardisé, l’humain n’apparaît plus comme nécessaire. Or, c’est bien un retour à l’humain qu’imposent les nouvelles attentes des consommateurs. Ce qui s’oppose à un turnover rapide des équipes, qui n’apportera pas une relation stable et bénéfique dans le temps. »

    La fin du client mieux "informé" que le vendeur ?

    Ce que confirme Nicolas Coze de Lynks Partner, qui souligne que les marques sont de plus en plus disposées à passer l’éponge sur le manque d’expérience ou de formation des candidats, du moment qu'ils témoignent d’un savoir-être, d’une capacité à se faire ambassadeur de la marque et à fidéliser la clientèle par des échanges adaptés. « Vendre ne suffit plus à l’ère du marketing sensoriel et de l’omnicanal », résume le recruteur pour qui le manque de connaissances techniques liées aux nouvelles technologies n'est pas un frein à l'embauche.

    Il faut dire que le vendeur se voit désormais armé d’un arsenal d’innovations. Les magasins se sont massivement et rapidement garnis d’écrans, de miroirs connectés, voire d’accessoires en réalité augmenté, tandis que se profilent progressivement les contours d’un magasin sans caisse, éliminant pour un client plus que jamais impatient l'angoisse de la file d’attente. Mais cela reste au final l’une des premières innovations arrivées en boutique, la tablette, qui pourrait avant faire toute la différence, notamment grâce aux simplifications incessantes apportées aux logiciels associés.

    « Face au turnover que connaît un magasin, s’il faut trois jours pour maîtriser l’équipement de vente, c’est mauvais », explique Nathalie Echinard, directrice retail de la société Cegid qui équipe un millier d’enseignes, soit quelque 30 000 magasins dans 75 pays. « Un gros accent est mis sur la simplification des systèmes. Avec l’e-réservation, les magasins sont devenus de mini-centres logistiques, il faut donc éviter les ratés. Et aussi personnaliser les interfaces car, le client voyant désormais ce qui s’affiche, il faut que cela corresponde à l’image de marque. »

    Pour Nathalie Echinard comme pour Eric Pestel, la capacité à connaître les précédents achats et les pièces consultées par un client est sans doute le nouveau pivot du métier. Une étape faisant se rencontrer la connaissance approfondie permise par le online et les compétences relationnelles d’un commerçant physique. « Le vendeur agit comme un community manager, relève Eric Pestel. Contrairement à ce que l'on peut entendre ici et là, le client n’est pas mieux informé que le vendeur sur tout, et c’est à ce dernier d’emmener son client vers ce à quoi il n’aurait pas pensé ».

    De nombreux défis restent néanmoins à relever avant de trouver l’équilibre dans ces nouvelles relations entre vendeurs et clients. Une récente étude montre que si 57 % de ces derniers sont d’accord pour qu’on leur fasse des offres personnalisées, seuls 9 % sont favorables à ce qu’un vendeur dispose de leur profil détaillé et 57 % se méfient de l’encaissement mobile via smartphone ou tablette. En revanche, une autre enquête réalisée pour les fêtes de fin d'année en 2017 montre que 36 % des clients se disent sensibles à l’amabilité et à la disponibilité du vendeur (36 %) et à un accueil chaleureux (33 %), tandis que 73 % des interrogés indiquent leur intention de demander conseils et informations aux équipes de vente. De fait, le terme de conseiller de vente retrouve donc, avec l'entrée des nouvelles technologies en boutiques, son sens premier.

     

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    [#CONSOLAB] [CONNECTE] | La #Grande #Épicerie #connecte ses #équipements | @LSA

    DE CLOTILDE CHENEVOY | LSA | http://bit.ly/2DjNhAw

    La #Grande #Épicerie #connecte ses #équipements

    Avec l’ouverture d’un second magasin parisien, La Grande Épicerie s’est dotée de nouveaux matériels connectés afin d’améliorer la gestion opérationnelle de ses deux points de vente.

    Début novembre 2017, La Grande Épicerie prenait ses nouveaux quartiers à Paris, rue de Passy, dans le 16e arrondissement. Cette boutique est la jumelle du magasin historique, rue de Sèvres (7e arr.). Elle reprend sur 2 800 m² et quatre niveaux les mêmes recettes que le magasin Rive gauche, à savoir présentation et offre premium de 30 000 références. En revanche, le groupe Le Bon Marché a profité de cette ouverture pour réviser sa copie côté équipements. « Nous voulions du matériel de dernière génération, car il s’agit d’un magasin vitrine », détaille Alain de Puybaudet, directeur des systèmes d’information (DSI) du groupe.

    L’enseigne a ainsi adopté les étiquettes électroniques communicantes de SES-Imagotag pour l’affichage des prix au rayon épicerie, les balances connectées Bizerba pour les rayons traiteur ou les étiquettes plastifiées imprimées recto verso indiquant les prix et les allergènes dans les rayons traditionnels. Moins visible mais important dans l’aspect premium, La Grande Épicerie a signé avec l’entreprise Esii pour mettre en place une solution de gestion digitale de la file d’attente et limiter, ou mieux gérer, l’attente en caisse. Avec Aruba, elle a aussi installé du wi-fi, accessible au personnel et aux clients.

    Grande épicerie, connecte, équipements

    Au-delà de coller à l’image haut de gamme du concept, tous ces équipements ont également été choisis, selon le DSI, pour « simplifier la gestion opérationnelle du magasin. Tous ces changements s’inscrivent dans un projet plus global de rénovation du back-office, de construction d’un ERP alimentaire. L’objectif consiste à éliminer la dette informatique pour migrer vers des systèmes plus agiles. Nous avons commencé en 2016 les premiers changements, et les opérations se termineront sur le premier trimestre 2018. »

    Par exemple, pour les balances connectées de Bizerba, le choix s’est fait sur le service et le support apportés par le fabricant, car « c’est dans des situations pénibles que l’on juge la qualité des réponses », pointe le dirigeant. Par ailleurs, le spécialiste du pesage a fourni un logiciel pour collecter les données des balances pour les deux magasins, intégrant donc une connexion multimarques vu que la boutique Rive gauche est équipée de produits concurrents. « Les distributeurs souhaitent de plus en plus centraliser la donnée, note Émilie Cochet, directrice du développement retail chez Bizerba. Ils peuvent comparer les performances entre les points de vente et se concentrer sur la relation client. » Idem pour les étiquettes : même si SES-Imagotag équipe les deux boutiques, les produits sont différents. Mais le pilotage se fait depuis une seule et même interface.

    « L’enjeu d’intégration des équipements dans notre système est clé, conclut Alain de Puybaudet. Cela nous permet davantage de fluidité dans la remontée des informations et, surtout, de le faire en temps réel. » Une réactivité qui s’impose comme un standard. 

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    [#CONSOLAB] [FLAGSHIP] | #Etam et #Undiz dévoilent un #flagship #connecté sur les #Champs-Elysées | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2kYJL7M

    #Etam et #Undiz dévoilent un #flagship #connecté sur les #Champs-Elysées

    Pour la première fois, les deux enseignes du groupe Etam font boutique commune sur l’artère la plus réputée de la capitale. Le magasin de 500 mètres carrés, inauguré le 16 décembre dernier, présente deux visages – l’esprit frenchy et sexy d’Etam, et l’ADN cool et street d’Undiz -, reliés par plusieurs dispositifs connectés et ingénieux.

    Au 118 de l’avenue des Champs-Elysées, une large façade vitrée dotée d’une arche lumineuse accueille le visiteur. Etam déploie ensuite son offre sur 350 mètres carrés, mise en valeur par une série de mannequins et de nombreux visuels épinglés au mur, à la manière d’un affichage sauvage géant.

    Etam, Undiz, flagship, connecté, Champs-Elysées

    Les 150 mètres carrés consacrés à Undiz abritent le concept novateur de la marque jeune, l'« Undiz Machine » : le client choisit son produit sur une borne connectée et le réceptionne quelques instants plus tard après que celui-ci a voyagé dans une capsule du stock à la boutique, en passant par des tubes traversant l’espace de vente. Un mur social, constitué d’écrans, permet aussi à Undiz de mettre en valeur ses fans en magasin.

    Pour relier les deux griffes, une verrière centrale endosse le rôle d’espace événementiel, commune à Etam et Undiz et entièrement modulable. Un planisphère indique également leur présence dans le monde, soit 1 400 magasins dans 50 pays pour Etam et 203 boutiques réparties dans 17 pays pour Undiz.

    En cabine, des tablettes permettent à la cliente de commander une autre taille ou produit et de se le faire apporter par un vendeur. Chacun d’entre eux étant équipé d’un terminal connecté, permettant d’accéder aux demandes des clients et surtout de procéder à un encaissement mobile, épargnant donc le passage en caisse.