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    [#CONSOLAB] [NUMERIQUE] | #E.Leclerc renforce son #offre de #musique #numérique avec #Qobuz | @LSA

    DE FRANCOIS LECOCQ | LSA | http://bit.ly/2DSd8Ai

    #E.Leclerc renforce son #offre de #musique #numérique avec #Qobuz

    Le distributeur a signé un partenariat avec la société spécialisée dans le streaming musical, afin de proposer aux détenteurs de la carte de fidélité E.Leclerc des offres spéciales autour de son offre de musique numérique.

    L'enseigne E.Leclerc fait un pas en avant dans le renforcement de son offre de musique numérique. Le distributeur vient en effet de signer un partenariat avec Qobuz, spécialiste du streaming musical dont la particularité est de proposer une qualité sonore de haute résolution (Hi-Res 24-bits). E.Leclerc voit en ce partenariat l’occasion de renforcer son offre numérique, tandis que l’enseigne revendique en effet réaliser plus de 20% des ventes de disques physiques en France.

    E.Leclerc, offre, musique, numérique, Qobuz

    Dans les faits, le partenariat avec le distributeur permettra aux détenteurs de la carte de fidélité E.Leclerc de disposer d’offres spéciales pour écouter de la musique en streaming à partir de 0,99 euros pour 2 mois, et pourront par ailleurs bénéficier de réductions de 10% en permanence sur les titres téléchargés, pour l’ensemble du catalogue musical de Qobuz, soit environ 40 millions de titres. Ces offres sont disponibles à la fois dans les 662 points de vente E.Leclerc ainsi que sur le site Internet de l’espace Culturel du distributeur.

    Pour Qobuz, c’est le deuxième partenariat d’ampleur signé en quelques mois puisque le service annonçait au mois de juillet dernier une collaboration du même type avec l’enseigne Cultura portant sur les 74 magasins de l’enseigne. Devenu un mode de consommation de la musique à part entière, le marché du streaming musical se partage entre quelques grands acteurs tels que Spotify, le Français Deezer, mais aussi Apple Music, Google Play Music et dans une moindre Tidal et Qobuz.

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    [#CONSOLAB] [CONCEPT] | #E.Leclerc crée un #concept #store de #produits #locaux | @LSA

    DE JULIE DELVALEE | LSA | http://bit.ly/2jgsJAi

    #E.Leclerc crée un #concept #store de #produits #locaux

    L’adhérent Patrice Boutet a imaginé un magasin spécial, en dehors de son hypermarché d'Angoulême (16), pour valoriser les produits locaux dans un écrin premium. Un magasin regardé de près par d'autres adhérents de l'enseigne comme par Michel-Edouard Leclerc, qui inaugure ce soir ce point de vente atypique.

    Aucune MDD Leclerc, pas de mention de l’enseigne dans le point de vente… Pourtant, le magasin appartient bien à 100 % à Patrice Boutet, adhérent E.Leclerc à Angoulême (16). En début d’année, ce responsable s’aperçoit qu’une cellule de sa galerie marchande est vide. Qu’à cela ne tienne, en plus de rénover du sol au plafond son hypermarché, il décide de créer un magasin entièrement dédié aux produits locaux. Pour la réalisation, il contacte un partenaire privilégié des Alliances locales : Damien Kuhn, directeur de l'agence Producteurs locaux. Avec Inedit Architecture, ils créent en l’espace de trois mois un concept store très premium, baptisé « Saveurs de nos terroirs ».

    E.LECLERC, concept store, produits locaux

    Ce magasin, ouvert cet été au public, propose près de 400 références fournies par une cinquantaine de cultivateurs locaux. Le branding sur le lieu de vente valorise d'ailleurs les alliances locales-Leclerc un peu partout dans le magasin. Le centre de la surface de vente est occupée par six tables disposant des fruits et légumes de saison. Une boucherie traditionnelle joue à la fois sur des codes très premium et moderne. Une large place est également faite aux vins et à la catégorie de la crèmerie, le tout dans une coque très sobre.

    Si le magasin est déjà accessible au public, il reçoit ce soir d’autres adhérents plus qu’intéressés par ce concept, à l’heure où l’argument du local pèse lourd dans les décisions d'achats des consommateurs. Michel-Edouard Leclerc vient d’ailleurs en personne inaugurer ce "concept-store" scruté de près (photo i-dessous), qui pourrait rapidement faire des petits dans d’autres galeries marchandes E.Leclerc.

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    [CONSO LAB] [DIGITAL] | Le #robot #Heasy débarque chez #E.Leclerc | @LSA

    FROM CLOTIDE CHENEVOY | LSA | http://bit.ly/2hhQCqb

    Le #robot #Heasy débarque chez #E.Leclerc

    A l’occasion du LSA Retail Tech Forum, Maud Funaro, directrice stratégie, digital et innovation d’E.Leclerc a annoncé que l’enseigne allait tester le robot de la jeune pousse lyonnaise Hease Robotics. Robot à voir en live prochainement sur Paris Retail Week.

    « À l’automne, nous allons tester le robot Heasy, une première en France » a annoncé Maud Funaro, directrice stratégie, digital et innovation d’E.Leclerc à l'occasion du premier forum LSA Retail Tech, qui s'est tenu le 12 septembre dernier. Plus précisément, ce sont les magasins de Saint-Aunès, près de Montpellier, et de Barjouville, près de Chartes qui recevront cette borne d’accueil mobile, haute de 1,55 mètre et dotée d’une tablette de 18 pouces.

    Robot, Heasy, E.Leclerc

    L’inventeur Hease Robotics a présenté pour la première fois son robot à l’occasion du CES de Las Vegas en janvier dernier et fait donc son arrivée sur le marché sur le dernier trimestre 2017. « Le robot a été conçu en 100 jours, explique Max Vallet, co-fondateur de la start-up avec Jade Le Maitre. Il s’agit d’une borne d’informations mobiles, qui communique avec le client via un grand écran de 18 pouces. »

    Le produit est totalement différent de Pepper, un autre robot qui intéresse aussi le retail. En effet, ce dernier a une forme humanoïde et communique avec la voix. Pour Heasy, pas de voix, tout passe par la tablette pour gagner en rapidité dans les échanges. Et il a vocation à se déplacer. Il dispose de caméras qui lui permettent d’analyser l’environnement et d’éviter les obstacles pour se mouvoir. Il fonctionne d’ailleurs en mode d’auto-apprentissage. Par ailleurs, les images lui servent aussi à savoir s’arrêter pour échanger avec les clients sans gêner le passage.

    Dernier point de comparaison entre les deux robots, Pepper coûte 20 000 euros à l’unité, quand Hease Robotics mise sur une location mensuelle de 1 000 euros. « D’ici la fin de l’année nous allons installer une dizaine de robots dans le retail, l’évènementiel, les banques etc, précise Max Vallet. Et après cette phase de test pour expérimenter l’objet, nous misons sur une industrialisation et une mise à disposition en mai 2018. » Pour les curieux, le robot sera présenté sur le Salon Paris retail Week qui se tient à Paris Porte de Versailles du 19 au 21 septemebre, sur le stand IER.