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    [#CONSOLAB] [INDUSTRIE] | L’#industrie #mondiale des #cosmétiques doit faire face au #défi du #numérique, mais le contexte est #porteur | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE XERFI | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2kBwhOD

    L’#industrie #mondiale des #cosmétiques doit faire face au #défi du #numérique, mais le contexte est #porteur

    Selon la récente étude publiée par Xerfi Global, l’industrie mondiale des parfums et cosmétiques a connu une solide croissance au cours des dernières années. Son chiffre d’affaires a ainsi progressé de 4% par an en moyenne entre 2013 et 2017, dépassant les 300 milliards d’euros.

    La vigueur de ce secteur se voit également dans les bénéfices réalisés, la plupart des leaders ayant enregistré des taux de marge à deux chiffres sur la période 2013-2017.

    Pour la société d’études de marchés et d’analyses économiques, plusieurs facteurs ont permis aux entreprises de traverser la période d’après-crise assez sereinement. Nombre d’entre eux resteront d’ailleurs des moteurs de croissance dans les années à venir.

    Économies émergentes

    Le dynamisme des économies émergentes arrive en tête des explications. En effet, la simple taille de leurs populations conjuguée à la hausse des revenus font que ces marchés restent très lucratifs, malgré le ralentissement actuel.

    Deuxième moteur de croissance, « l’effet rouge à lèvres » dont bénéficie le segment des parfums et cosmétiques. Cela signifie qu’en période de crise, les consommateurs s’accordent encore quelques dépenses en produits de beauté en faisant des économies sur d’autres postes, protégeant partiellement le marché des fluctuations conjoncturelles. Par ailleurs, la demande est sans cesse stimulée par l’innovation ce qui permet de renouveler l’offre.

    Les segments de niche, comme les cosmétiques pour hommes, les cosmétiques naturelles ou encore les « cosméceutiques », bénéficient pour leur part d’un véritable engouement. « Et ils continueront d’afficher une croissance forte à l’avenir, » affirme Xerfi.

    Dans de nombreux pays, les populations vieillissantes et dotées d’un pouvoir d’achat élevé dopent également les ventes de soins anti-âge.

    Le défi du numérique

    Enfin, la numérisation de l’économie a ouvert de nouvelles opportunités en matière de marketing et de canaux de distribution. Le numérique joue en effet un rôle de plus en plus important dans le secteur. C’est même particulièrement vrai au niveau du marketing et de l’image de marque, deux leviers qui ont d’ailleurs toujours été stratégiques pour cette industrie.

    « Les groupes de parfums et cosmétiques s’écartent ainsi progressivement des grandes campagnes médiatiques traditionnelles et se tournent davantage vers une communication multicanale plus ciblée, plus variée et plus dynamique. Une telle approche est généralement bidirectionnelle, impliquant une interaction directe ou indirecte avec les consommateurs afin de renforcer les relations clients mais aussi de collecter des données de consommateurs en vue d’améliorer la segmentation comportementale et définir des campagnes promotionnelles plus personnalisées. Néanmoins, le numérique, via les réseaux sociaux, pose des défis majeurs à cette industrie. Les clients deviennent en effet mieux renseignés et plus exigeants. Autrement dit, l’opinion des consommateurs influence de plus en plus les processus de décision d’achat… », explique Xerfi.

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    [#CONSOLAB] [NUMERIQUE] | #Cosmétiques et #aliments #naturels et #bio entrent dans l’#ère du #numérique |@PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2mQw8rf

    #Cosmétiques et #aliments #naturels et #bio entrent dans l’#ère du #numérique

    Alors que la distribution évolue vers des systèmes de vente en ligne et de livraison à domicile, le marché des produits biologiques et durables entre dans une nouvelle phase de croissance, selon Ecovia Intelligence (ex Organic Monitor).

    Selon la société d’études de marché, l’achat par Amazon de Whole Foods Market marque le début de la nouvelle ère. « Les aliments durables et les cosmétiques naturels ont été initialement lancés dans les détaillants de produits naturels et de santé, puis au cours des deux dernières décennies leur distribution s’est étendue à la grande distribution. La prochaine vague de croissance devrait provenir des applications mobiles liées aux services de livraison », constate Ecovia Intelligence.

    Avec l’utilisation omniprésente des appareils mobiles et l’influence grandissante de la génération Y, la prochaine phase de croissance pour les produits durables sera probablement la vente en ligne. Selon Ecovia, une grande part de demande de produits biologiques et durables provient des Millennials. Ils sont les acheteurs d’aliments biologiques dont la part croit le plus rapidement aux États-Unis, générant plus de la moitié des ventes. Ce sont aussi des consommateurs numériques qui achètent 40% de leurs produits d’épicerie en ligne. Par ailleurs, 58% des membres de la génération Y déclarent faire leurs achats dans un magasin par intérêt pour leurs marques propres.

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    Reste à savoir comment les marques vont se positionner sur ce marché numérique ? Whole Foods Market semble déjà prendre ses distances avec les petits producteurs, car il se concentre sur ses marques propres et les articles à fort volume. Le futur sera peut-être numérique, mais sera-t-il durable pour les petits producteurs ?

    Mais si Amazon profite de ces tendances en Amérique du Nord, Ecovia Intelligence estime que la firme aura plus de mal à se développer de la même manière en Europe. Les marchés de l’alimentation biologique et de la cosmétique naturelle sont très fragmentés en Europe, et les distributeurs détiennent les marques les plus performantes. Whole Foods Market compte seulement sept magasins au Royaume-Uni. Alors qu’il y a plus de 20 chaînes de magasins d’alimentation biologique en Europe, aucune n’a de présence régionale. Amazon devrait acquérir et intégrer plusieurs chaînes de distribution pour avoir un impact significatif sur le vieux continent.

    Ces questions seront discutées lors des prochaines éditions des sommets sur les aliments durables et les cosmétiques durables organisés par Ecovia Intelligence.

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    [#CONSOLAB] [NUMERIQUE] | #E.Leclerc renforce son #offre de #musique #numérique avec #Qobuz | @LSA

    DE FRANCOIS LECOCQ | LSA | http://bit.ly/2DSd8Ai

    #E.Leclerc renforce son #offre de #musique #numérique avec #Qobuz

    Le distributeur a signé un partenariat avec la société spécialisée dans le streaming musical, afin de proposer aux détenteurs de la carte de fidélité E.Leclerc des offres spéciales autour de son offre de musique numérique.

    L'enseigne E.Leclerc fait un pas en avant dans le renforcement de son offre de musique numérique. Le distributeur vient en effet de signer un partenariat avec Qobuz, spécialiste du streaming musical dont la particularité est de proposer une qualité sonore de haute résolution (Hi-Res 24-bits). E.Leclerc voit en ce partenariat l’occasion de renforcer son offre numérique, tandis que l’enseigne revendique en effet réaliser plus de 20% des ventes de disques physiques en France.

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    Dans les faits, le partenariat avec le distributeur permettra aux détenteurs de la carte de fidélité E.Leclerc de disposer d’offres spéciales pour écouter de la musique en streaming à partir de 0,99 euros pour 2 mois, et pourront par ailleurs bénéficier de réductions de 10% en permanence sur les titres téléchargés, pour l’ensemble du catalogue musical de Qobuz, soit environ 40 millions de titres. Ces offres sont disponibles à la fois dans les 662 points de vente E.Leclerc ainsi que sur le site Internet de l’espace Culturel du distributeur.

    Pour Qobuz, c’est le deuxième partenariat d’ampleur signé en quelques mois puisque le service annonçait au mois de juillet dernier une collaboration du même type avec l’enseigne Cultura portant sur les 74 magasins de l’enseigne. Devenu un mode de consommation de la musique à part entière, le marché du streaming musical se partage entre quelques grands acteurs tels que Spotify, le Français Deezer, mais aussi Apple Music, Google Play Music et dans une moindre Tidal et Qobuz.