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    [#CONSOLAB] [BIO] | L’#Oréal crée une #marque de #cosmétiques #bio | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2tbHOc6

    L’#Oréal crée une #marque de #cosmétiques #bio

    L’Oréal a créé une marque de cosmétiques labellisée bio baptisée La Provençale bio. Elle sera lancée en septembre 2018 en grandes et moyennes surfaces. En avant-première, LSA vous fait découvrir cette nouvelle marque.

    Comme Céline Brucker, directrice générale de L’Oréal France Grand Public, nous l'avait annoncé fin 2017, le leader de la beauté revient en force sur le bio en grande distribution en 2018. Après avoir étoffé l’offre déodorant et douche certifiée Cosmebio d’Ushuaïa, la division Grand Public crée carrément une marque : La Provençale bio. Le nom et le logo, en photo ci-dessus, ont été déposés à l’Inpi le mois dernier.

    Sourcing en Provence

    Comme son nom l’indique, il s’agit de cosmétiques certifiés bio dont les ingrédients principaux ont été sourcés en Provence comme de l'huile d'olive. Les produits sont fabriqués en France. Côté offre, La Provençale va proposer des produits d’hygiène (savons, déodorants…) et surtout des soins du visage. Les grands groupes avaient essayé en 2008-2009 d’implanter du bio en grandes et moyennes surfaces (GMS) mais sans réel succès car les formules n’étaient pas au niveau de la cosmétique conventionnelle, en termes d’efficacité et de sensorialité. Depuis, la R&D a fortement progressé et est capable de proposer du bio pouvant rivaliser avec le conventionnel. D'ailleurs, les consommateurs l'ont bien compris et l'hygiène-beauté bio affiche des croissances à deux chiffres alors que le conventionnel recule. Il n'est donc pas étonnant de voir les grands groupes réinvestir ce marché cette année à l'instar d'Henkel qui vient de lancer un deuxième dentifrice ainsi qu'un bain de bouche (une première pour la GMS) certifiés Cosmebio sous sa marque d'hygiène buccodentaire Vademecum. L'Oréal est le premier des grands groupes à réattaquer les soins du visage avec La Provençale.

     
    Une marque complémentaire

    On peut s'étonner de voir L'Oréal ajouter une autre marque à son portefeuille déjà bien fourni. Mais ce choix est cohérent avec les attentes des consommateurs qui sont de plus en plus méfiants face aux grandes marques des PGC. Au vu du logo déposé à l'Inpi, La Provençale joue sur l'authenticité. La Provence parle aux consommateurs, les ingrédients comme l'olive les rassurent. Et puis, c'est connu: les Français sont friands d'innovations et curieux d'essayer de nouvelles marques. Ensuite, les autres marques de soins du visage de L'Oréal Grand Public ont choisi des stratégies différentes du bio: Garnier est axé sur le naturel et Mixa joue la carte "dermocosmétique" avec des gammes inspirées de ce que l'on trouve en pharmacie. La Provençale bio vient donc compléter mais pas cannibaliser les autres marques du groupe. Selon L'Oréal, les produits arriveront dans les rayons en septembre 2018. Gageons que la force de frappe du groupe permettra de mettre fortement en avant cette nouvelle marque. Et l'hygiène-beauté bio devrait continuer à avoir une croissance à deux chiffres en GMS au second semestre.

     

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    [#CONSOLAB] [COMMERCE] | Le #commerce #équitable s'affiche de plus en plus souvent #bio | @LESECHOS

    DE LES ECHOS | http://bit.ly/2FJnn9R

    Le #commerce #équitable s'affiche de plus en plus souvent #bio

    Les ventes de produits issus du commerce équitable ont progressé de 10 % en 2017 en France. Et près de huit produits sur 10 étaient aussi labellisés bio. Le commerce équitable a assurément le vent en poupe. En 2017, selon le syndicat professionnel Commerce Equitable France, il a dépassé pour la première fois 1 milliard d'euros de ventes. Une envolée de près de 10 % sur un an.

    L'engouement des consommateurs pour le commerce équitable se double aussi d'un appétit croissant pour le bio. Commerce Equitable France note ainsi une convergence de plus en plus marquée des pratiques de rémunération équitable et de l'agriculture biologique : l'an passé, 81 % des produits arboraient la double étiquette, contre 74 % en 2016. « Dans les cahiers des charges des labels, il y a des incitations économiques au passage en bio pour les producteurs  », explique Julie Stoll, déléguée générale de Commerce Equitable France. Qui plus est, souligne-t-elle, « les prix minimums garantis sont plus importants en bio ».

    Des consommateurs plus exigeants

    Les consommateurs jouent aussi leur rôle d'aiguillon pour les entreprises de commerce équitable. « Quand des produits ont la double labellisation, leur taux de croissance est en général plus important », constate-t-elle encore. « Les consommateurs sont de plus en plus exigeants sur une demande de responsabilité sociétale. Ils ne veulent pas choisir entre bon pour la planète et bon pour les producteurs. »

    Pour autant, si les progrès sont sensibles, le commerce équitable est encore balbutiant en France. Il n'émerge vraiment que depuis la loi sur l'économie sociale et solidaire, dite Hamon, de juillet 2014.

    Moins de 50 % des produits français à la fois équitables et bio

    Et contrairement à l'international, les labels sont encore rares. Il s'agit plutôt d'entreprises ayant mis en place des chartes internes et des mécanismes de contrôles.

    « Je pense que des labels vont émerger pour garantir de manière plus classique le commerce équitable, c'est juste une démarche plus récente sur les filières françaises », assure Julie Stoll qui estime que cela « fait partie des besoins de maturation du secteur ».

    De fait, moins de la moitié des produits équitables d'origine française affichent à l'heure actuelle également l'étiquette bio. Mais, depuis quelque temps, le commerce équitable semble tiré par l'engouement des Français pour le « Made in France » .

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    [#CONSOLAB] [BIO] | #Textile #enfant : #Timberland développe ses gammes dans le #bio | @LSA

    DE VERONIQUE YVERNAULT | LSA | http://bit.ly/2HtfwzB

    #Textile #enfant : #Timberland développe ses gammes dans le #bio

    La nouvelle ligne "écolo" de Timberland pour les 0-16 ans arrive sur le site et dans les boutiques de Kids Around. La griffe, exploitée par le groupe Children Worldwide Fashion (CWF) y élargit son offre de tee-shirts bio et éthiques, qui représentent désormais 80% de sa gamme.

    Un printemps-été écolo chez Timberland ! La célèbre marque, exploitée en mode enfantine par le groupe Children Worldwide Fashion (CWF) lance une nouvelle ligne "écolo" dédiée aux enfants de 0 à 16 ans. Parmi la série de looks proposés, l'accent a été mis sur le bio, qui concerne désormais 80% de sa gamme de tee-shirts enfants.

    Bio et bon pour l'environnement

    En effet, les T-shirts proposés sont fabriqués à partir de coton 100% biologique, sans engrais, ni pesticide, ni OGM. Même les encres ont été étudiées sous l'angle écolo : les imprimés sont ainsi réalisés à partir d'encres non polluantes. "La ligne de tee-shirt Timberland illustre l’engagement de Timberland pour la préservation de l’environnement, éveillant ainsi la conscience écologique des enfants et des parents", commente-t-on chez CWF, qui commercialise cette gamme dès ce mois de février sur le site marchand de son enseigne Kids Around, ainsi que dans ses boutiques. 

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    [#CONSOLAB] [ENSEIGNE] | #Leclerc va #lancer sa #propre #enseigne #bio | @LINEAIRES

    DE B. MERLAUD | LINEAIRES | http://bit.ly/2BcxS3s

    #Leclerc va #lancer sa #propre #enseigne #bio

    Leclerc prépare une grosse offensive sur le bio en 2018. Des adhérents piaffaient pour ouvrir des concepts spécialisés sous une enseigne à part, ils auront bientôt satisfaction. Les hypers, eux, vont accueillir des univers bio mieux travaillés et plus spectaculaires. Une info Linéaires.

    En novembre, le mouvement d'indépendants a constitué son "GT bio GSA-GSS" (pour grandes surfaces alimentaires et spécialisées). Il a dans la foulée déposé la marque "Le Village Bio". Les industriels sont démarchés (avec plus ou moins de succès) pour remplir les magasins avec des marques présentes habituellement dans les réseaux bio spécialisés. Car l'idée est bien de venir sur les plates-bandes de Biocoop et consorts, ces enseignes qui ont su développer un marché qui échappait jusqu'à présent aux distributeurs conventionnels.

    L'ambition : rien de moins qu'un parc de 200 magasins, sur des surfaces comprises entre 400 et 800 mètres carrés.

    Cela fait déjà un certain temps que l'idée a germé parmi les adhérents Leclerc. Quelques-uns, d'ailleurs, n'ont pas attendu la centrale pour prendre des initiatives. En septembre 2015, le Leclerc de Chambly (60), pionnier dans le mouvement, a ouvert un magasin "Le Temps du Bio" à l'autre bout de son parking, sur 300 mètres carrés.

    En juin 2016, l'adhérent de Nice Saint-Isidore (06) a inauguré un original "E.Leclerc Bio et Italien". Un vrai hyper de 3800 mètres carrés, étrangement partagé entre deux vocations qui n'ont guère en commun que le pouvoir d'achat de leurs consommateurs.

    Leclerc-Bio-Italien-2.jpg

    Depuis l'automne 2017, le tempo s'accélère. En septembre, c'est le Leclerc de Nancy Saint-Georges (54) qui ouvre dans sa galerie un magasin "Ma Boutique Bio". En octobre, un point de vente "La Bio Culture" de 300 mètres carrés fait son apparition à proximité du Leclerc d'Hauconcourt (57).

    En décembre, le Leclerc de Saint-Paul-lès-Romans (26) ouvre à son tour, dans sa galerie, une petite surface baptisée... "Le Village Bio". Pas encore un concept validé par le GT bio, mais l'agencement est bien léché quand même (Linéaires l'a visité).

    A Romilly (10), l'adhérent local porte un projet sur une cellule de 400 mètres carrés. Le 17 janvier, également, un petit magasin bio de 450 mètres carrés ouvrira ses portes en solo à Fontaine-lès-Dijon (21). Accolé cette fois à un Picard sur un axe passant, à 3 kilomètres du Leclerc de Dijon.

    Leclerc n'est pas le seul distributeur à s'intéresser au business des enseignes bio spécialisées. Les Mousquetaires viennent d'annoncer une prise de participation minoritaire au capital des Comptoirs de la bio. Cette association avec l'un des premiers réseaux spécialistes du bio en France, lui-même groupement d'indépendants, va permettre aux adhérents Intermarché d'ouvrir des petits supermarchés bio.

    Casino, de son côté, ouvre à tour de bras des magasins Naturalia (151 points de vente à fin septembre, soit un parc multiplié par trois depuis 2011). Auchan, qui vient d'inaugurer son premier magasin Auchan Bio, n'est pas prêt à renoncer à Cœur de Nature, un concept bio spécialisé qu'il avait testé avant de mettre en œuvre sa stratégie de convergence d'enseigne (deux magasins en exploitation). Et Carrefour, de même, envisage d'ouvrir des points de vente Greenweez, du nom du site spécialisé qu'il a racheté, en complément de son réseau Carrefour Bio.

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    [#CONSOLAB] [NUMERIQUE] | #Cosmétiques et #aliments #naturels et #bio entrent dans l’#ère du #numérique |@PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2mQw8rf

    #Cosmétiques et #aliments #naturels et #bio entrent dans l’#ère du #numérique

    Alors que la distribution évolue vers des systèmes de vente en ligne et de livraison à domicile, le marché des produits biologiques et durables entre dans une nouvelle phase de croissance, selon Ecovia Intelligence (ex Organic Monitor).

    Selon la société d’études de marché, l’achat par Amazon de Whole Foods Market marque le début de la nouvelle ère. « Les aliments durables et les cosmétiques naturels ont été initialement lancés dans les détaillants de produits naturels et de santé, puis au cours des deux dernières décennies leur distribution s’est étendue à la grande distribution. La prochaine vague de croissance devrait provenir des applications mobiles liées aux services de livraison », constate Ecovia Intelligence.

    Avec l’utilisation omniprésente des appareils mobiles et l’influence grandissante de la génération Y, la prochaine phase de croissance pour les produits durables sera probablement la vente en ligne. Selon Ecovia, une grande part de demande de produits biologiques et durables provient des Millennials. Ils sont les acheteurs d’aliments biologiques dont la part croit le plus rapidement aux États-Unis, générant plus de la moitié des ventes. Ce sont aussi des consommateurs numériques qui achètent 40% de leurs produits d’épicerie en ligne. Par ailleurs, 58% des membres de la génération Y déclarent faire leurs achats dans un magasin par intérêt pour leurs marques propres.

    Cosmétiques, aliments, naturels, bio, ère, numérique

    Reste à savoir comment les marques vont se positionner sur ce marché numérique ? Whole Foods Market semble déjà prendre ses distances avec les petits producteurs, car il se concentre sur ses marques propres et les articles à fort volume. Le futur sera peut-être numérique, mais sera-t-il durable pour les petits producteurs ?

    Mais si Amazon profite de ces tendances en Amérique du Nord, Ecovia Intelligence estime que la firme aura plus de mal à se développer de la même manière en Europe. Les marchés de l’alimentation biologique et de la cosmétique naturelle sont très fragmentés en Europe, et les distributeurs détiennent les marques les plus performantes. Whole Foods Market compte seulement sept magasins au Royaume-Uni. Alors qu’il y a plus de 20 chaînes de magasins d’alimentation biologique en Europe, aucune n’a de présence régionale. Amazon devrait acquérir et intégrer plusieurs chaînes de distribution pour avoir un impact significatif sur le vieux continent.

    Ces questions seront discutées lors des prochaines éditions des sommets sur les aliments durables et les cosmétiques durables organisés par Ecovia Intelligence.

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    [#CONSOLAB] [BIO] | #Bio : la #grande #distribution s’#adapte et elle y #gagne | @LEMONDE

    DE NICOLAS LEGENDRE | LE MONDE | http://lemde.fr/2zwwU69

    #Bio : la #grande #distribution s’#adapte et elle y #gagne

    C’était le 20 juin 2017, à Roncq (Nord), à l’occasion des cinquante ans du premier hypermarché Auchan de France. A la tribune, Gérard Mulliez, fondateur du groupe, patriarche d’une des plus riches familles de l’Hexagone, évoquait la « démarche militante » de ses enseignes en faveur « du bon, mais aussi du sain et du local ». Il y a quelques années encore, une telle rhétorique semblait réservée aux activistes du bien-manger et aux pionniers du commerce de produits biologiques. Elle est désormais déclinée à l’envi par Gérard Mulliez comme par la plupart de ses homologues de la grande distribution.

    Les Système U, Carrefour, E. Leclerc et autres Mousquetaires ont tous entrepris de transformer en profondeur leur offre alimentaire. Une question de survie – de leur propre aveu – pour des poids lourds en perte de vitesse. Le chiffre d’affaires des hypermarchés, toutes enseignes confondues, stagne depuis plusieurs années. Le modèle historique (grands parkings, vastes hangars, prix cassés) s’essouffle.

    Les mastodontes du commerce en ligne grignotent constamment des parts de marché. « La grande distribution est attaquée de toutes parts, affirme Serge Michels, président de l’agence Protéines, spécialisée dans le conseil à destination des acteurs de la distribution. Ses responsables savent que la bataille des appareils photo et des ordinateurs est perdue, donc ils se recentrent sur la grande consommation, notamment l’alimentaire. »

    Mais là aussi, la concurrence s’aiguise. La croissance spectaculaire de réseaux comme Biocoop, dont le chiffre d’affaires a bondi de 25 % en 2016, en témoigne. Par ailleurs, groupements de producteurs et autres plates-formes de vente en direct, s’ils demeurent des offres « de niche », constituent autant d’alternatives au traditionnel pèlerinage entre les longs rayons. « On change d’époque, affirme Thierry Desouches, porte-parole de Système U.

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