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grande distribution

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    [#CONSOLAB] [BIO] | #Bio : la #grande #distribution s’#adapte et elle y #gagne | @LEMONDE

    DE NICOLAS LEGENDRE | LE MONDE | http://lemde.fr/2zwwU69

    #Bio : la #grande #distribution s’#adapte et elle y #gagne

    C’était le 20 juin 2017, à Roncq (Nord), à l’occasion des cinquante ans du premier hypermarché Auchan de France. A la tribune, Gérard Mulliez, fondateur du groupe, patriarche d’une des plus riches familles de l’Hexagone, évoquait la « démarche militante » de ses enseignes en faveur « du bon, mais aussi du sain et du local ». Il y a quelques années encore, une telle rhétorique semblait réservée aux activistes du bien-manger et aux pionniers du commerce de produits biologiques. Elle est désormais déclinée à l’envi par Gérard Mulliez comme par la plupart de ses homologues de la grande distribution.

    Les Système U, Carrefour, E. Leclerc et autres Mousquetaires ont tous entrepris de transformer en profondeur leur offre alimentaire. Une question de survie – de leur propre aveu – pour des poids lourds en perte de vitesse. Le chiffre d’affaires des hypermarchés, toutes enseignes confondues, stagne depuis plusieurs années. Le modèle historique (grands parkings, vastes hangars, prix cassés) s’essouffle.

    Les mastodontes du commerce en ligne grignotent constamment des parts de marché. « La grande distribution est attaquée de toutes parts, affirme Serge Michels, président de l’agence Protéines, spécialisée dans le conseil à destination des acteurs de la distribution. Ses responsables savent que la bataille des appareils photo et des ordinateurs est perdue, donc ils se recentrent sur la grande consommation, notamment l’alimentaire. »

    Mais là aussi, la concurrence s’aiguise. La croissance spectaculaire de réseaux comme Biocoop, dont le chiffre d’affaires a bondi de 25 % en 2016, en témoigne. Par ailleurs, groupements de producteurs et autres plates-formes de vente en direct, s’ils demeurent des offres « de niche », constituent autant d’alternatives au traditionnel pèlerinage entre les longs rayons. « On change d’époque, affirme Thierry Desouches, porte-parole de Système U.

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    [CONSO LAB][DISTRIBUTION] | La #grande #distribution a tiré la consommation de produits #bio | @Challenges

    FROM CHALLENGES | http://bit.ly/2feltqN

    La #grande #distribution a tiré la consommation de produits #bio

    La consommation de produits bio en France a progressé de 14% au premier semestre 2017, une croissance tirée pour la première fois par la grande distribution, selon les données publiées vendredi 15 septembre par l'Agence Bio.

    Au premier semestre, les Français ont consommé pour 500 millions d'euros de plus qu'au cours des six premiers mois de 2016, essentiellement dans les rayons fruits et légumes (+20%) et épicerie (+20%) ainsi que les boissons non alcoolisées (+30%), a précisé l'Agence Bio. Cette agence pour le développement et la promotion de l'agriculture biologique structure depuis 2001 tous les acteurs de la filière, de la fourche à la fourchette en passant par les acteurs institutionnels.

    Grande distribution, bio

    Sur l'ensemble de l'année 2016, le marché total des produits bio en France s'était élevé à plus de 7 milliards d'euros, restauration hors domicile comprise. "Depuis deux ans, la croissance était tirée par les magasins spécialisés, et la répartition a changé cette année car c'est la grande distribution qui a le plus tiré la consommation" a indiqué Florent Guhl, directeur de l'Agence lors d'une conférence de presse.

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    [CONSO LAB] [GD] | La grande distribution, plus grande cave à #vin de #France | @L'express

    FROM PHILIPPE BIDALON | L'EXPRESS | http://bit.ly/2y1Rw1H

    La grande distribution, plus grande cave à #vin de #France

    L'édition 2017 de la foire aux vins confirme la montée en gamme des enseignes de la grande distribution.

    Avec septembre vient le temps des vendanges -déjà bien engagées cette année- et celui des foires aux vins. Le rendez-vous d'automne de la grande distribution avec les amateurs de la dive bouteille est devenu incontournable. Un enjeu commercial important pour les enseignes, qui ont réalisé en 2016 quelque 480 millions d'euros de chiffre d'affaires durant l'événement, soit 10% (en moyenne) de leurs ventes annuelles de vin.

    Que de chemin parcouru depuis leur invention, en 1973, dans deux magasins Leclerc de Bretagne: pour la première fois, des vins de qualité s'installent sur les linéaires où ne trônaient jusque-là que des litrons étoilés. Seuls deux négociants bordelais, à l'époque, acceptent de participer à l'opération. Ces pionniers furent rejoints, au fil des éditions suivantes, par nombre de leurs collègues de la place, attirés par l'incroyable succès de la manifestation, dont s'emparent rapidement les autres enseignes. Un partenariat qui ne s'est jamais démenti, faisant des crus de Bordeaux les inamovibles stars des foires.

    Des ambassadeurs prestigieux, du moins jusqu'à ces dernières années, au cours desquelles s'est opéré un vrai tournant. Augmentations vertigineuses des prix, bordeaux bashing inconvenant, besoin d'ailleurs ont détourné l'amateur. La grande distribution s'est adaptée, a repensé son modèle. Si les vins de Bordeaux demeurent très présents, notamment chez Leclerc, Intermarché et Auchan, ils doivent désormais composer avec d'autres cuvées représentatives de la richesse des terroirs de l'Hexagone.

    Vin, France, grande distribution

    Toutes les régions de production figurent sur les catalogues de la plus grande cave de France. Reste à diversifier les approvisionnements, singulariser les sélections, surprendre pour attirer le chaland. D'où une véritable chasse aux vignerons indépendants, pas toujours désireux de voir leurs étiquettes noyées dans une offre pléthorique (un millier de références chez Carrefour, Casino et Intermarché, par exemple).  


    Pour rassurer producteurs -et consommateurs-, rien de mieux que de s'attacher les services d'une personnalité incontestable du monde du vin. Andreas Larsson, meilleur sommelier du monde 2007, collabore depuis 2013 avec E.Leclerc. L'année où Paolo Basso, entré au service des hypermarchés Carrefour en 2016, a décroché le mythique trophée. Chez Leader Price et Aldi, ce sont deux meilleurs sommeliers de France qui officient: Dominique Laporte et Gaëtan Bouvier, respectivement millésime 2004 et 2016. Et Carrefour Market a demandé à Béatrice Da Ros, directrice de l'Union des oenologues de France, d'être son ambassadrice. 

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    #Amazon Go: un point de vente connecté sans caisse et sans file d'attente | @adetem #distribution

    SIECLE DIGITAL | VALENTIN BLANCHOT | 05/12/2016

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    Amazon vient de dévoiler un concept de point de vente en rupture totale avec la conception de ceux que l’on connait pour la grande distribution alimentaire : Amazon Go.

    Derrière le Go, l’idée c’est « just grab and go! » Vous rentrez, prenez les produits qui vous intéressent et repartez. Il n’y a pas de caisses, tout se passe avec votre smartphone. Le comble de la technologie derrière Amazon Go, c’est qu’elle s’attaque à un secteur des plus rigides à l’intégration d’innovations : la grande distribution alimentaire. Si on a pu dire qu’Uber avait uberisé les taxis en créant ainsi une expression qui fera trembler bien des entreprises par la suite, on peut aujourd’hui remplacer uberisation pour amazonation pour la distribution alimentaire.

    Amazon avait déjà commencé à travailler un passage au points de vente physiques avec une librairie. À présent, Amazon Go vient compléter ces initiatives. C’est une nouvelle génération de magasin où les caisses n’existent plus. Il n’y a pas non plus besoin de scanner un produit. Le géant du ecommerce a équipé son magasin de capteurs, caméras, et intelligences artificielles pour détecter lorsqu’un produit est pris d’un rayon ou reposé. Ainsi il pourra remplir votre panier virtuel et lorsque vous quitterez le magasin facturer votre compte Amazon.

    La conception et l’assortiment d’Amazon Go sont entièrement dévoués à l’optimisation du temps passé dans le point de vente. Il y aura des produits prêt à manger (sandwichs, boissons, snacks), mais aussi des produits courants comme du lait, du chocolat, ou du fromage. Mieux encore, des Amazon Meal Kits seront proposés. Ils contiennent tous les ingrédients nécessaires pour cuisiner un repas pour deux en 30 minutes.

    Aucune information n’a été donnée sur la date précise d’ouverture du point de vente, à part un ‘début 2017′. Néanmoins, on sait qu’il fera un peu moins de 170 mètres carrés et est basé à Seattle.

    La raison d’être d’une telle innovation ? Le géant nous livRe sa réponse dans la page présentant sa technologie. « Il y a quatre ans nous nous sommes demandés : et si nous pouvions créer une expérience shopping sans files ni caisses ? Pourrions-nous repousser les limites de la vision par ordinateur et du machine learning pour créer un magasin où les clients pourraient simplement prendre ce qui les intéressent et ensuite partir ? Notre réponse à ces question c’est Amazon Go.

     

     

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    #Grandedistribution : les nouvelles #technologies à la rescousse du personnel | @adetem

    CHRONIQUE DE CYRIL DUFRESNE | ASC0M FRANCE |JOURNAL DU NET - 05/12/2016

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    [lire sur le même thème - Marketing de la Grenouille]

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    La révolution numérique s’impose partout dans nos sociétés et touche tous les secteurs d’activité. La grande distribution et la vente au détail sont exposées quotidiennement à un certain nombre de risques en matière de sécurité.

    Outre la menace d’une catastrophe comme un incendie, la grande distribution et la vente au détail sont confrontés aux accidents de personnes et parfois même à la violence. Le personnel des magasins, conscient de ces dangers, se sent aujourd’hui mal à l'aise. Pour faire face à ces problématiques, les responsables de centres commerciaux adoptent de plus en plus les nouvelles technologies. Ces dispositifs de communication mobiles sur site proposent des solutions de sécurité fiables, adaptées aux magasins, et apportent une réponse concrète aux inquiétudes de leurs employés.

    Une force mobile et connectée pour améliorer la sécurité et l’efficacité du personnel

    « Avec plus de 500 000 collaborateurs, la grande distribution est l’un des plus importants employeurs de France. Ce secteur se caractérise par un nombre élevé d’accidents du travail liés notamment aux manutentions, chutes, glissades de plain-pied et autres coupures avec les outils à main. »

    Nombreux sont les dispositifs de communication interne, mais combien sont réellement capables de centraliser l’ensemble des flux critiques et d’apporter une véritable intelligence en fournissant la bonne information, à la bonne personne et surtout au bon moment. 

    Aujourd’hui, les solutions applicatives métier répondent parfaitement à ces problématiques et s’intègrent facilement à l’environnement multi-technologique de la grande distribution disposant d’une technologie WIFI. Les dispositifs de téléphonie mobile sur site, d’assistance aux travailleurs isolés et les remontées d’alarmes peuvent être couplés pour renforcer l’efficacité organisationnelle et la sécurité des employés.

    Le personnel des magasins peut désormais être équipé d’émetteurs d’alarme discrets, grâce auxquels ils ont la possibilité de lancer un appel à l’aide. Une caissière ou un employé de sécurité en charge des rondes dans les entrepôts peuvent par exemple avertir en cas de problèmes, d’agressions ou d’intrusions. L’équipe en charge de la sécurité reçoit l’alarme sous la forme d’un message texte décrivant évènement et sa localisation.

    La fonctionnalité Push-to-Talk et conférence, permet à tous les membres d’intervention d’être connectés automatiquement en mode audio et de suivre ainsi l’évolution d’une situation difficile de manière efficace.

    Ces solutions applicatives, qui peuvent être implémentées avec celles utilisées par les services de sécurité, sont d’ailleurs un excellent complément à la vidéo surveillance, déjà largement développée dans les centres commerciaux.

    Le challenge de l’organisation : un avantage compétitif pour une expérience client améliorée

    Il est désormais possible de concentrer l’essentiel des processus de communication internes et d’intégrer de nombreuses applications métier en un seul outil DECT simple à utiliser, ce qui donne accès à beaucoup plus de verticalité et de réactivité.  Les applications métiers, lecteurs de codes-barres dédiés aux inventaires, système de remontée des alarmes techniques (incendie, électricité, panne de réfrigérateurs) et dispositifs DATI sont ainsi mutualisés sur les mêmes infrastructures et gérés via des plateformes logicielles flexibles et modulables qui enregistrent et communiquent avec précision les incidents. Elles permettent de mettre en œuvre une action adaptée en envoyant les flux de communication et d’alarmes vers la personne en capacité de la traiter au plus vite. Malgré l’importante mobilité du personnel évoluant dans ce secteur, aucune perte de données ou de remontée d’alarme ne sera possible.  

    Par ailleurs, le développement des nouvelles technologies dans le secteur de la grande distribution permet également d’améliorer l’expérience client et notamment de réduire le temps d’attente de ces derniers. Les vendeurs équipés d’outils de communication interne s’échangent désormais facilement les informations sur un produit ou sa disponibilité en stock. C’est un véritable gain de temps et d’organisation qui permet d’une part d’éviter aux employés de parcourir de très grandes distances entre les réserves et les rayons, et d’autres part de fortement réduire l’attente des clients en répondant au plus vite à leurs questions.

    Autre avantage, ces systèmes interopérables peuvent être installés simultanément sur plusieurs sites d’une même enseigne, ce qui procure une vue d’ensemble à 360 degrés de tous les flux de communication, magasins par magasins. 

    Cette évolution technologique profite autant aux employés qu’au management. En effet, outre les gains de sécurité et d’organisation, elle permet une concentration de l’essentiel en un seul outil, une mutualisation des infrastructures et une réelle réduction des coûts.