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    [#CONSOLAB] [#DISTRIBUTION] Carrefour rejoint la blockchain Food Trust d'IBM via @us

    Après Walmart, Nestlé et Unilever, c’est au tour de Carrefour de rejoindre la blockchain alimentaire IBM Food Trust. Lancée il y a dix-huit mois, la plate-forme fédère des industriels, des distributeurs, des fournisseurs et des producteurs et assure une meilleure traçabilité des aliments commercialisés en accompagnant toutes les étapes de la transformation. [#PromiseConsulting]

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | "...le #drugstore parisien", l'#enseigne de #Casino et L'#Oréal | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2tuBEDo

    "...le #drugstore parisien", l'#enseigne de #Casino et L'#Oréal 

    Casino et L'Oréal se sont associés pour créer une enseigne de drugstores. Comme annoncé par LSA, deux magasins sont inaugurés ce vendredi 22 juin 2018.

    ...le drugstore parisien, tel est finalement le nom de l'enseigne de drugstores créée par le groupe Casino en partenariat avec L'Oréal. « Les trois petits points sont importants », nous explique la communication de l’enseigne. En effet, il ne faudrait pas confondre la nouvelle enseigne avec Le Drugstore de Publicis. Comme annoncé par LSA mardi dernier, deux boutiques …le drugstore parisien ouvrent ce vendredi 22 juin 2018 à Paris: l'une au 66 rue de la Chaussée d’Antin près des Galeries Lafayette et l'autre au 122 rue du bac à côté du Bon Marché.« Ce partenariat montre s’il en était besoin que les grandes entreprises savent aussi se rencontrer, inventer et créer des lieux uniques et inédits, alliés du style de vie des nouveaux urbains », déclare Jean-Charles Naouri, président du groupe Casino dans un communiqué de presse.

    Le concept fait évidemment la part belle à la beauté puisque c’est un drugstore. Côté offre, outre évidemment bien sûr les marques de L’Oréal,  le groupe Casino est allé piocher dans les pépites dénichées par Monoprix ces dernières années : les capillaires Ogx, le maquillage The Balm, les soins pour hommes Big Moustache…  et même les sextoys Smile makers ! Les cosmétiques naturels et bios sont aussi bien représentés car c'est une demande forte des consommateurs franciliens. A côté des cosmétiques, les boutiques proposent aussi quelques références de snacking, comme peuvent le faire les drugstores anglo-saxons ou allemands.

    Les deux magasins ont aussi mis en place des concepts et des services qui cartonnent dans les parfumeries comme le bar à masques, le maquillage flash ou des soins. Plus original, les boutiques proposent des "kits de survie" avec t-shirt, culotte ou boxer ainsi qu’un relais pressing. Le concept entend ainsi répondre aux besoins quotidiens des urbains.Pour certains produits, la livraison en 1 heure sera proposée via l'application Glovo. « Depuis plusieurs années, nous travaillons à faire évoluer le commerce de proximité vers davantage d’affinité avec nos clients, où qu’ils se trouvent. Dans les métropoles, nous sommes particulièrement attentifs aux nouveaux usages de l’espace et du temps, qui  transforment  profondément  les  comportements.  Travailler,  se cultiver, s’amuser... se mêlent, pour dessiner un nouveau style de vie. Dans ce contexte, les urbains ont besoin de produits et de services adaptés qui facilitent leur quotidien. Le "...drugstore parisien"  a  été intégralement pensé dans cet objectif. C’est un lieu décomplexé et unique qui revendique la place de la joie, du plaisir et du bien-être dans la vie agitée de la capitale », conclut Jean-Pierre Mochet, directeur des formats de proximité du groupe Casino.

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    [#CONSOLAB] [ENSEIGNE] | #Leclerc va #lancer sa #propre #enseigne #bio | @LINEAIRES

    DE B. MERLAUD | LINEAIRES | http://bit.ly/2BcxS3s

    #Leclerc va #lancer sa #propre #enseigne #bio

    Leclerc prépare une grosse offensive sur le bio en 2018. Des adhérents piaffaient pour ouvrir des concepts spécialisés sous une enseigne à part, ils auront bientôt satisfaction. Les hypers, eux, vont accueillir des univers bio mieux travaillés et plus spectaculaires. Une info Linéaires.

    En novembre, le mouvement d'indépendants a constitué son "GT bio GSA-GSS" (pour grandes surfaces alimentaires et spécialisées). Il a dans la foulée déposé la marque "Le Village Bio". Les industriels sont démarchés (avec plus ou moins de succès) pour remplir les magasins avec des marques présentes habituellement dans les réseaux bio spécialisés. Car l'idée est bien de venir sur les plates-bandes de Biocoop et consorts, ces enseignes qui ont su développer un marché qui échappait jusqu'à présent aux distributeurs conventionnels.

    L'ambition : rien de moins qu'un parc de 200 magasins, sur des surfaces comprises entre 400 et 800 mètres carrés.

    Cela fait déjà un certain temps que l'idée a germé parmi les adhérents Leclerc. Quelques-uns, d'ailleurs, n'ont pas attendu la centrale pour prendre des initiatives. En septembre 2015, le Leclerc de Chambly (60), pionnier dans le mouvement, a ouvert un magasin "Le Temps du Bio" à l'autre bout de son parking, sur 300 mètres carrés.

    En juin 2016, l'adhérent de Nice Saint-Isidore (06) a inauguré un original "E.Leclerc Bio et Italien". Un vrai hyper de 3800 mètres carrés, étrangement partagé entre deux vocations qui n'ont guère en commun que le pouvoir d'achat de leurs consommateurs.

    Leclerc-Bio-Italien-2.jpg

    Depuis l'automne 2017, le tempo s'accélère. En septembre, c'est le Leclerc de Nancy Saint-Georges (54) qui ouvre dans sa galerie un magasin "Ma Boutique Bio". En octobre, un point de vente "La Bio Culture" de 300 mètres carrés fait son apparition à proximité du Leclerc d'Hauconcourt (57).

    En décembre, le Leclerc de Saint-Paul-lès-Romans (26) ouvre à son tour, dans sa galerie, une petite surface baptisée... "Le Village Bio". Pas encore un concept validé par le GT bio, mais l'agencement est bien léché quand même (Linéaires l'a visité).

    A Romilly (10), l'adhérent local porte un projet sur une cellule de 400 mètres carrés. Le 17 janvier, également, un petit magasin bio de 450 mètres carrés ouvrira ses portes en solo à Fontaine-lès-Dijon (21). Accolé cette fois à un Picard sur un axe passant, à 3 kilomètres du Leclerc de Dijon.

    Leclerc n'est pas le seul distributeur à s'intéresser au business des enseignes bio spécialisées. Les Mousquetaires viennent d'annoncer une prise de participation minoritaire au capital des Comptoirs de la bio. Cette association avec l'un des premiers réseaux spécialistes du bio en France, lui-même groupement d'indépendants, va permettre aux adhérents Intermarché d'ouvrir des petits supermarchés bio.

    Casino, de son côté, ouvre à tour de bras des magasins Naturalia (151 points de vente à fin septembre, soit un parc multiplié par trois depuis 2011). Auchan, qui vient d'inaugurer son premier magasin Auchan Bio, n'est pas prêt à renoncer à Cœur de Nature, un concept bio spécialisé qu'il avait testé avant de mettre en œuvre sa stratégie de convergence d'enseigne (deux magasins en exploitation). Et Carrefour, de même, envisage d'ouvrir des points de vente Greenweez, du nom du site spécialisé qu'il a racheté, en complément de son réseau Carrefour Bio.

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    Brick-and-mortar stores try to lure shoppers with service | @adetem #distribution

    DAILY HERALD | 12/04/2016

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    [LIRE SUR LE MÊME SUJET - LE MARKETING DE LA GRENOUILLE]

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    ALEXANDRIA, Va. -- Outside a Best Buy store in suburban Washington, a throng of shoppers lined up early to pounce on the annual parade of Thanksgiving "doorbuster" deals that have come to mark the start of the holiday shopping season.

    But this year, the once-chaotic ritual had layers of efficiency: Shoppers got color-coded tickets guaranteeing they would receive the laptop or 4K television they came for. The entryway doors were opened just partway so customers had to enter single file instead of in a stampede.

    It was all aimed at making a harried experience go more smoothly. And between now and Christmas, some of the biggest names in retail are taking their own new steps to ease the hassles of shopping in an actual store.

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    #Grandedistribution : les nouvelles #technologies à la rescousse du personnel | @adetem

    CHRONIQUE DE CYRIL DUFRESNE | ASC0M FRANCE |JOURNAL DU NET - 05/12/2016

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    [lire sur le même thème - Marketing de la Grenouille]

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    La révolution numérique s’impose partout dans nos sociétés et touche tous les secteurs d’activité. La grande distribution et la vente au détail sont exposées quotidiennement à un certain nombre de risques en matière de sécurité.

    Outre la menace d’une catastrophe comme un incendie, la grande distribution et la vente au détail sont confrontés aux accidents de personnes et parfois même à la violence. Le personnel des magasins, conscient de ces dangers, se sent aujourd’hui mal à l'aise. Pour faire face à ces problématiques, les responsables de centres commerciaux adoptent de plus en plus les nouvelles technologies. Ces dispositifs de communication mobiles sur site proposent des solutions de sécurité fiables, adaptées aux magasins, et apportent une réponse concrète aux inquiétudes de leurs employés.

    Une force mobile et connectée pour améliorer la sécurité et l’efficacité du personnel

    « Avec plus de 500 000 collaborateurs, la grande distribution est l’un des plus importants employeurs de France. Ce secteur se caractérise par un nombre élevé d’accidents du travail liés notamment aux manutentions, chutes, glissades de plain-pied et autres coupures avec les outils à main. »

    Nombreux sont les dispositifs de communication interne, mais combien sont réellement capables de centraliser l’ensemble des flux critiques et d’apporter une véritable intelligence en fournissant la bonne information, à la bonne personne et surtout au bon moment. 

    Aujourd’hui, les solutions applicatives métier répondent parfaitement à ces problématiques et s’intègrent facilement à l’environnement multi-technologique de la grande distribution disposant d’une technologie WIFI. Les dispositifs de téléphonie mobile sur site, d’assistance aux travailleurs isolés et les remontées d’alarmes peuvent être couplés pour renforcer l’efficacité organisationnelle et la sécurité des employés.

    Le personnel des magasins peut désormais être équipé d’émetteurs d’alarme discrets, grâce auxquels ils ont la possibilité de lancer un appel à l’aide. Une caissière ou un employé de sécurité en charge des rondes dans les entrepôts peuvent par exemple avertir en cas de problèmes, d’agressions ou d’intrusions. L’équipe en charge de la sécurité reçoit l’alarme sous la forme d’un message texte décrivant évènement et sa localisation.

    La fonctionnalité Push-to-Talk et conférence, permet à tous les membres d’intervention d’être connectés automatiquement en mode audio et de suivre ainsi l’évolution d’une situation difficile de manière efficace.

    Ces solutions applicatives, qui peuvent être implémentées avec celles utilisées par les services de sécurité, sont d’ailleurs un excellent complément à la vidéo surveillance, déjà largement développée dans les centres commerciaux.

    Le challenge de l’organisation : un avantage compétitif pour une expérience client améliorée

    Il est désormais possible de concentrer l’essentiel des processus de communication internes et d’intégrer de nombreuses applications métier en un seul outil DECT simple à utiliser, ce qui donne accès à beaucoup plus de verticalité et de réactivité.  Les applications métiers, lecteurs de codes-barres dédiés aux inventaires, système de remontée des alarmes techniques (incendie, électricité, panne de réfrigérateurs) et dispositifs DATI sont ainsi mutualisés sur les mêmes infrastructures et gérés via des plateformes logicielles flexibles et modulables qui enregistrent et communiquent avec précision les incidents. Elles permettent de mettre en œuvre une action adaptée en envoyant les flux de communication et d’alarmes vers la personne en capacité de la traiter au plus vite. Malgré l’importante mobilité du personnel évoluant dans ce secteur, aucune perte de données ou de remontée d’alarme ne sera possible.  

    Par ailleurs, le développement des nouvelles technologies dans le secteur de la grande distribution permet également d’améliorer l’expérience client et notamment de réduire le temps d’attente de ces derniers. Les vendeurs équipés d’outils de communication interne s’échangent désormais facilement les informations sur un produit ou sa disponibilité en stock. C’est un véritable gain de temps et d’organisation qui permet d’une part d’éviter aux employés de parcourir de très grandes distances entre les réserves et les rayons, et d’autres part de fortement réduire l’attente des clients en répondant au plus vite à leurs questions.

    Autre avantage, ces systèmes interopérables peuvent être installés simultanément sur plusieurs sites d’une même enseigne, ce qui procure une vue d’ensemble à 360 degrés de tous les flux de communication, magasins par magasins. 

    Cette évolution technologique profite autant aux employés qu’au management. En effet, outre les gains de sécurité et d’organisation, elle permet une concentration de l’essentiel en un seul outil, une mutualisation des infrastructures et une réelle réduction des coûts.

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    Walmart abaisse ses prévisions sur la période 2016-2017 [#distribution #alimentaire #Walmart]

    Dans un contexte de reprise même prudente de la croissance des achats des ménages américains, le géant américain de l'alimentaire ne semble pas profiter de l'embellie. Plusieurs facteurs l'expliquent qui confirment que le concept de supermarchés alimentaires séduit de moins en moins, outre-Atlantique également.

    AFP, le 18/02/2016 à 14h37 cité par LA CROIX

    L'enseigne WalMart a abaissé ses prévisions 2016/17 jeudi, invoquant des effets de change défavorables et de lourdes charges de restructuration liées à une revalorisation des salaires de ses employés américains et des fermetures de magasins.

    Les ventes devraient stagner au cours de l'exercice ayant débuté en février, contre une croissance de 3 à 4% prévue précédemment, indique le numéro un mondial de la distribution. Le bénéfice par action ajusté, référence en Amérique du nord, devrait, lui, être compris entre 4,0 et 4,30 dollars, contre 4,17 dollars attendus en moyenne par les marchés.

    "Les fluctuations des taux de change de devises (...) devraient impacter négativement les ventes d'environ 12 milliards de dollars au cours de l'exercice fiscal 2017", explique le géant américain.

    A ceci s'ajoutent des charges liées à la fermeture de 269 supermarchés qui perdent de l'argent dans le monde dont 154 aux Etats-Unis et 60 au Brésil.

    Le groupe, qui gère 11.600 magasins dans le monde dont 4.600 sur le sol américain, a notamment renoncé à l'expérimentation Walmart Express en place depuis 2011 et destinée à une clientèle pressée, désireuse de ne pas passer beaucoup de temps dans les rayons.

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    Retrouvez plus d'info dans l'ouvrage le #marketingdelagrenouille aux éditions #kawa :