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    [#PromiseConsulting] [#Consolab] Walmart’s First Healthcare Services "Super Center" Opens

    September 13, 2019, by Bruce Japsen in Forbes.com

    Walmart Health's first "supercenter for basic healthcare services" opened Sept. 13, 2019, in Dallas, Georgia. The Walmart Health center puts key services under one roof including primary care, dental, optometry, counseling, labs, X-ray, hearing and WALMART HEALTH

    Walmart is opening its first 10,000 square-foot “Walmart Health” center that features an array of primary medical services, dental care, and behavioral health services as part of a new model expected to eventually be replicated in other markets.

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    #walmart #health #innovation #shopping #consumer #massconsumer #new 

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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | #Walmart renforce sa présence sur le #marché #chinois en partenariat avec #JD.com | @LUSINEDIGITALE

    DE FLORIANE LECLERC | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2vt34eH

    #Walmart renforce sa présence sur le #marché #chinois en partenariat avec #JD.com

    Le géant du retail Walmart s'associe à l'e-commerçant chinois JD.com pour co-investir 500 millions de dollars dans le service d'épicerie et de livraison en ligne dada-JD Daojia.

    Cela fait déjà quelques années que Walmart manoeuvre pour s'imposer sur le marché chinois. La pointure américaine du retail, qui s’était déjà rapprochée deux ans plus tôt de l’entreprise de e-commerce chinoise JD.com, renforce aujourd’hui sa stratégie en investissant dans Dada-JD Daojia, une épicerie en ligne assurant également des services de livraison. D'après Techcrunch, la start-up chinoise a annoncé jeudi 8 août avoir reçu 500 millions de dollars d’investissement de Walmart et de JD.com, à qui la société appartient déjà en partie.

    En effet, Dada-JD Daojia est issue d’une fusion entre JD Daojia, une plateforme de JD.com pour faire ses courses en ligne auprès de supermarchés, et Dada, une plateforme de livraison reposant sur un vaste réseau de coursiers indépendants. Le service de livraison en une heure de JD Daojia brasse chaque mois 20 millions de consommateurs par mois, tandis que Dada comptabilise 10 millions de livraisons journalières dans plus de 400 grandes villes du pays, selon CNBC.

    Une stratégie de codéveloppement

    Présent dans 200 boutiques implantées dans une trentaine de villes chinoises, Walmart faisait déjà partie du réseau de Dada-JD Daojia, mais cet investissement permet au géant du retail de devenir partie prenante de ce business. L'un des objectifs de l'Américain est d’améliorer sa stratégie omnicanal et l'expérience "online-to-offline" qu'il propose à ses clients.

    Ce nouvel investissement poursuit une stratégie entamée deux ans plus tôt. En 2016 le géant du retail, comprenant qu"il aurait du mal à faire face aux deux poids lourds du e-commerce chinois, JD.com et Alibaba - qui pesaient alors près de 80% des ventes en ligne -, avait préféré céder sa propre plateforme de e-commerce, Yihaodian, à JD.com, se contentant d'y être hébergé, expliquait Techcrunch dans un article publié en juin 2016. Il annonçait aussi prendre 5% au capital de JD.com, puis 10% le mois suivant, dans le cadre d'un partenariat stratégique avec le e-commerçant chinois. De quoi revenir sur le marché, mais avec, cette fois, JD à ses côtés.

    Le marché chinois du retail est en pleine ébullition depuis que les géants du commerce électronique y multiplient les partenariats avec les commerçants désireux de développer des offres omnicanal. Starbucks s’est ainsi attaché les services d’Alibaba pour accélérer la digitalisation de ses services en Chine. Les clients de l’enseigne américaine de café peuvent désormais commander leur boisson en ligne sur la plateforme Ele.me d’Alibaba avant d’être livrés par un coursier à vélo.

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    [#CONSOLAB] [SERVICE] | #Walmart tente de #concurrencer #Amazon #Prime avec un #service de #commande par #SMS | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | 

    #Walmart tente de #concurrencer #Amazon #Prime avec un #service de #commande par #SMS 

    Aux Etats-Unis, Walmart Inc lance un service de livraison le jour même qui permet aux clients de commander par SMS. Une nouvelle étape dans sa stratégie de développement du e-commerce pour concurrencer son rival Amazon.

    Appelé Jetblack, ce service permet aux clients de commander des articles sur Walmart.com mais aussi sur les sites des concurrents. Il fait partie de l’incubateur de start-ups interne de Walmart, Store No. 8. Jetblack est déjà disponible dans certaines zones de New York et devrait être étendu au reste des États-Unis petit à petit.

    « Nous essayons d’imaginer des technologies révolutionnaires qui changent la façon d’acheter », résume Jenny Fleiss, co-fondatrice et présidente-directrice de Jetblack. Elle est aussi co-fondatrice du site de location d’articles de mode Rent The Runway. Selon Jenny Fleiss, le retail du futur sera grandement conditionné par sa capacité à proposer une expérience de shopping personnalisée à travers le SMS et le chat en ligne.

    Le géant de la distribution américain injecte des milliards de dollars dans le développement de son activité de e-commerce et a récemment annoncé des partenariats avec des sociétés de logistiques pour livrer les produits commandés en ligne. Deux de ces partenariats, que Walmart avait conclu avec les services de VTC Uber et Lyft, se sont cependant terminés, soulignait Reuters le mois dernier.

    Jetblack, disponible via un abonnement mensuel de 50 dollars (43 euros environ), proposera la livraison le jour même et le jour suivant sans frais supplémentaires. Le défi de ce service consiste à réussir à concurrencer les autres services d’abonnement comme Amazon Prime et Prime Now, déjà bien installés et populaires auprès des citadins.

    Jenny Fleiss rapporte que les clients qui ont pris part au test pilote achètent en général une dizaine d’articles par semaine avec Jetblack. Le service se différencie en proposant des produits du quotidien via Walmart et Jet.com, tout en permettant aux clients de commander des articles de concurrents comme le géant de la cosmétique Sephora ou certaines marques locales.

    Jetblack enverra aussi une notification par SMS aux acheteurs s’ils sont sur le point de tomber en panne d’un produit qu’ils ont déjà commandé. Le service utilise une intelligence artificielle pour proposer des sélections de produits, révèle Jenny Fleiss.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #Amazon fait une #offre sur le #leader #indien #Flipkart, aussi convoité par #Walmart | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2rfJLm6

    #Amazon fait une #offre sur le #leader #indien #Flipkart, aussi convoité par #Walmart

    Une bataille sans merci est engagée entre les deux groupes américains, qui souhaitent devenir actionnaires majoritaires de l'e-commerçant afin de se positionner sur le marché indien de la vente en ligne, qui pèsera 28 milliards de dollars en 2020. 

    Amazon aurait déposé le 1er mai une offre formelle de rachat de 60% des parts de l'e-commerçant indien Flipkart, convoité depuis 2016 par son rival numéro un, Walmart, rapporte la chaîne de télévision indienne CNBC-TV18 qui cite des sources anonymes.

    Cette offre est loin d'être une surprise. Amazon avait indiqué en juin 2016 qu'il prévoyait d'investir 5 milliards de dollars en Inde dans les prochaines années. Devenir actionnaire majoritaire de Flipkart lui permettrait d'éviter que l'e-marchand indien ne signe avec Walmart et ne bénéficie de son expertise dans la logistique pour gagner des points dans le pays, au dépend d'Amazon. Le groupe de Jeff Bezos aurait intégré à son offre une clause de non-concurrence entre Amazon et Flipkart, selon CNBC-TV18. Elle inclut également une indemnité de rupture de contrat de 2 milliards de dollars, que Flipkart devra payer s'il décide finalement de se vendre à une autre entreprise comme…. Walmart.

    Alibaba en embuscade

    Mais rien ne dit pour l'instant que Flipkart signera avec Amazon. Le groupe est engagé depuis deux ans dans des négociations avec Walmart, aujourd'hui très avancées. L'américain propose de racheter plus de 80% de l'e-marchand. Il aurait, selon la chaîne de télévision, l'accord des fondateurs de Flipkart et de plusieurs investisseurs (l'entreprise en compte 145 au total).

    Flipkart, qui empocherait 40% des revenus de l'e-commerce en Inde selon Forester, est une prise de choix pour les deux entreprises qui essayent de poser un pied sur le marché indien de la vente en ligne, qui pèsera 28 milliards de dollars en 2020, selon des estimations du cabinet Kotak Institutional Equities. L'entreprise était valorisée plus de 11 milliards de dollars lors de sa dernière levée de fonds d'1,4 milliard de dollars, bouclée en 2017. Mais celui qui emportera le morceau ne sera pas au bout de ses peines. Il devra faire face sur place à la concurrence du chinois Alibaba, qui a investi 200 millions de dollars pour prendre 36% des parts de Paytm E-Commerce, le principal concurrent de Flipkart dans le pays. 

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    [#CONSOLAB] [ACHAT] | #Walmart accélère dans la #VR en s'offrant la #start-up #Spatialand | @USINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2EMyrqn

    #Walmart accélère dans la #VR en s'offrant la #start-up #Spatialand

    Walmart acquiert la start-up Spatialand, qui a développé des outils logiciels permettant de transformer des contenus existants en contenus immersifs. Grâce à ce savoir-faire, le géant de la distribution souhaite imaginer de nouvelles expériences d'achat en magasin et à domicile.

    Walmart, le géant américain de la grande distribution, vient de faire l'acquisition de la start-up Spatialand spécialisée dans la création de contenus en réalité virtuelle pour un montant non dévoilé. Créée par Kim Cooper (une spécialiste du story telling et de la VR), la jeune pousse compte une dizaine de collaborateurs. Elle a notamment développé des outils logiciels qui permettent de transformer des contenus déjà existants en expériences en réalité virtuelle.

    Les deux entreprises avaient déjà travaillé ensemble durant l'été 2017. Spatialand fait en effet partie de l'incubateur maison de Walmart baptisé Store No.8. La jeune pousse avait alors développé un projet pilote permettant aux utilisateurs de tester virtuellement des tentes comme s'ils étaient dans un vrai camping afin de juger si leurs tailles correspondaient à leurs attentes. Une expérience que propose d'ores et déjà Décathlon.

    Walmart, VR, start-up, Spatialand

    DE NOUVELLES EXPÉRIENCES D'ACHAT EN MAGASIN... ET À DOMICILE

    Le site américain Recode qui rapporte l'information ne précise pas la nature des projets sur lesquels Spatialand planchera. Ces derniers ne seront révélés que dans 12 à 18 mois, a indiqué Katie Finnegan, responsable de l'incubateur. On sait en revanche que la mission de Store No.8 est d'avancer sur des technologies qui ne seront déployées massivement auprès du grand public que d'ici cinq à dix ans. Le savoir-faire de Spatialand pourrait donc permettre à Walmart de créer de nouvelles expériences d'achat en magasin, mais aussi à domicile.

    Ce n'est pas la première fois que Walmart s'intéresse à la réalité virtuelle. Le numéro 1 de la grande distribution s'était déjà rapproché de la start-up STRIVR Labs pour un tout autre usage : mettre au point un dispositif de formation en réalité virtuelle en complément de son programme traditionnel. Un projet pilote a débuté en janvier 2017 dans une trentaine de centres de formation du distributeur, avec un déploiement prévu dans les 200 Walmart Academy. 150 000 employés devraient passer par ce programme chaque année.

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Walmart et #Rakuten s'associent dans une #grande #bataille contre #Amazon | @LESECHOS

    DE YANN ROUSSEAU | LES ECHOS | http://bit.ly/2FrYD6v

    #Walmart et #Rakuten s'associent dans une #grande #bataille contre #Amazon

    Le géant américain de la distribution et le leader de l'e-commerce au Japon viennent de dévoiler une grande alliance stratégique.

    Malmenés sur leurs marchés respectifs par Amazon, Walmart, le géant américain de la distribution, et Rakuten, le pionnier nippon de l'e-commerce, viennent d'annoncer qu'ils allaient s'associer aux Etats-Unis et au Japon afin d'offrir de nouveaux services en ligne à leurs clients de plus en plus tentés par l'offre globale de leur grand concurrent. Dans un communiqué diffusé ce vendredi matin à Tokyo, les deux sociétés ont annoncé le lancement d'une « nouvelle alliance stratégique » qui va notamment déboucher, au second semestre de 2018, sur la création d'une coentreprise mêlant les capacités complémentaires des deux partenaires.

    Au Japon, cette association va permettre à Rakuten de proposer directement à ses clients une plus large offre de produits alimentaires distribués jusqu'à présent par la chaîne nippone de supermarchés Seiyu GK, contrôlée depuis la fin des années 2000 par l'américain Walmart. Ensemble, les deux partenaires opéreront un nouveau service de ventes en ligne baptisé « Rakuten Seiyu Netsuper » qui sera intégré à l'actuel écosystème Rakuten déployé dans l'Archipel.

    Les achats effectués sur cette plateforme seront notamment intégrés au système de points de fidélité qui s'est imposé au Japon comme l'un des atouts de Rakuten. Les livraisons d'achats pourront être effectuées depuis les magasins Seiyu répartis dans le pays ou depuis un centre logistique dédié que les deux entreprises se proposent d'ouvrir ensemble.

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    Aux Etats-Unis, Walmart va, lui, proposer un nouveau service de vente de livres numériques en s'appuyant sur la société Kobo, basée au Canada mais contrôlée par Rakuten. S'attaquant ainsi au coeur d'activité historique d'Amazon, le distributeur américain va commencer à proposer, plus tard dans l'année sur son site walmart.com, le très large catalogue de livres numériques et audio proposés par Kobo. Il mettra aussi en vente les liseuses conçues par la société pour concurrencer les Kindle d'Amazon, ainsi que des cartes d'achat de livre digitales dans ses 4.000 magasins.

    Ce nouvel accord conforte la stratégie de Walmart, qui a renoncé à développer seul son écosystème digital et préfère désormais multiplier les acquisitions ou les partenariats avec des spécialistes du secteur pour doper son offre en ligne. Il compte ainsi sur l'expertise de Rakuten dans l'expérience client, l'utilisation des Big Data et l'intelligence artificielle pour résister aux assauts d'Amazon. « Nous cherchons constamment de nouveaux moyens de simplifier le quotidien de nos clients en leur offrant une expérience parfaite dans nos magasins et aussi en ligne », a commenté, dans un communiqué, Doug McMillon, le PDG de Walmart.

    Voyant ses parts de marché se faire grignoter par Amazon, Hiroshi Mikitani, le patron de Rakuten, espère, lui, progresser rapidement sur le segment des ventes en ligne d'alimentaire, qui n'ont pas encore vraiment séduit la clientèle japonaise et où son concurrent américain reste peu présent.