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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | #Walmart renforce sa présence sur le #marché #chinois en partenariat avec #JD.com | @LUSINEDIGITALE

    DE FLORIANE LECLERC | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2vt34eH

    #Walmart renforce sa présence sur le #marché #chinois en partenariat avec #JD.com

    Le géant du retail Walmart s'associe à l'e-commerçant chinois JD.com pour co-investir 500 millions de dollars dans le service d'épicerie et de livraison en ligne dada-JD Daojia.

    Cela fait déjà quelques années que Walmart manoeuvre pour s'imposer sur le marché chinois. La pointure américaine du retail, qui s’était déjà rapprochée deux ans plus tôt de l’entreprise de e-commerce chinoise JD.com, renforce aujourd’hui sa stratégie en investissant dans Dada-JD Daojia, une épicerie en ligne assurant également des services de livraison. D'après Techcrunch, la start-up chinoise a annoncé jeudi 8 août avoir reçu 500 millions de dollars d’investissement de Walmart et de JD.com, à qui la société appartient déjà en partie.

    En effet, Dada-JD Daojia est issue d’une fusion entre JD Daojia, une plateforme de JD.com pour faire ses courses en ligne auprès de supermarchés, et Dada, une plateforme de livraison reposant sur un vaste réseau de coursiers indépendants. Le service de livraison en une heure de JD Daojia brasse chaque mois 20 millions de consommateurs par mois, tandis que Dada comptabilise 10 millions de livraisons journalières dans plus de 400 grandes villes du pays, selon CNBC.

    Une stratégie de codéveloppement

    Présent dans 200 boutiques implantées dans une trentaine de villes chinoises, Walmart faisait déjà partie du réseau de Dada-JD Daojia, mais cet investissement permet au géant du retail de devenir partie prenante de ce business. L'un des objectifs de l'Américain est d’améliorer sa stratégie omnicanal et l'expérience "online-to-offline" qu'il propose à ses clients.

    Ce nouvel investissement poursuit une stratégie entamée deux ans plus tôt. En 2016 le géant du retail, comprenant qu"il aurait du mal à faire face aux deux poids lourds du e-commerce chinois, JD.com et Alibaba - qui pesaient alors près de 80% des ventes en ligne -, avait préféré céder sa propre plateforme de e-commerce, Yihaodian, à JD.com, se contentant d'y être hébergé, expliquait Techcrunch dans un article publié en juin 2016. Il annonçait aussi prendre 5% au capital de JD.com, puis 10% le mois suivant, dans le cadre d'un partenariat stratégique avec le e-commerçant chinois. De quoi revenir sur le marché, mais avec, cette fois, JD à ses côtés.

    Le marché chinois du retail est en pleine ébullition depuis que les géants du commerce électronique y multiplient les partenariats avec les commerçants désireux de développer des offres omnicanal. Starbucks s’est ainsi attaché les services d’Alibaba pour accélérer la digitalisation de ses services en Chine. Les clients de l’enseigne américaine de café peuvent désormais commander leur boisson en ligne sur la plateforme Ele.me d’Alibaba avant d’être livrés par un coursier à vélo.

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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | Le #marché #européen des #cosmétiques a #progressé de 1,3% en 2017 | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2MQr8yl

    Le #marché #européen des #cosmétiques a #progressé de 1,3% en 2017

    À l’occasion de sa conférence annuelle, qui s’est tenue à Bruxelles les 13 et 14 juin 2018, Cosmetics Europe a dévoilé ses dernières statistiques du marché des cosmétiques et des soins personnels. En 2017, le marché européen a progressé de 1,3% par rapport à 2016 pour atteindre 77,6 milliards d’euros.
    En 2017, le marché européen des cosmétiques représentait 77,6 milliards d’euros, faisant de l’Europe le plus grand marché mondial.

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    Selon Cosmetics Europe, la chaîne de valeur de l’industrie des cosmétiques contribue à plus de 2 millions d’emplois en Europe.

    Malgré le retour à une croissance plus dynamique, le marché européen reste impacté par la faible performance de certains marchés clés, notamment : le Royaume-Uni (-6,8%), les Pays-Bas (-1,9%) et la France (-0,5%).

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    En ce qui concerne les produits, toutes les catégories sont en hausse par rapport à 2016, à l’exception des parfums (-0,4%) et du maquillage (-0,1%).

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    Les soins pour la peau et les produits de toilette restent les principales catégories en Europe, suivies par les produits capillaires et les parfums.

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    Dans ce contexte de croissance modérée, le commerce international reste un moteur essentiel pour l’industrie européenne. Plus de 20,2 milliards d’euros de produits cosmétiques ont été exportés par les pays européens en 2017 (contre 18,2 milliards en 2016). Le total des importations n’atteint que 5,935 millions d’euros, principalement en provenance des États-Unis, de Chine et du Japon (contre 5,633 millions d’euros en 2016). Plus que jamais, l’exportation apparaît comme le véritable moteur de l’industrie européenne des cosmétiques.

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    [#CONSOLAB] [VENTE] | Le #marché de la #vente à #domicile a de #beaux #jours devant lui | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | FASHION NETWORK 

    Le #marché de la #vente à #domicile a de #beaux #jours devant lui 

    Véhiculant parfois une image désuète, à l’heure du shopping en ligne, la vente à domicile reste plébiscitée par les Français et de nouveaux acteurs s’engouffrent dans ce secteur. Selon une étude publiée par Xerfi, ce marché a connu une hausse de 4 % de son activité en 2017, pour s’établir à environ 4,4 milliards d’euros de chiffre d’affaires. En 2016, la progression était de 7,6 % (4,28 milliards d’euros).

    L’institut prédit que la tendance va perdurer puisqu’une hausse de 5 % par an d’ici 2020 est anticipée. Selon lui, ce sont véritablement l’expérience d’achat personnalisée et la proximité qui sont plébiscitées par les clients. Parmi les secteurs, l’équipement du foyer (38 % du marché environ) et l’alimentaire (10 %) resteront les plus dynamiques, tandis que « l’activité des spécialistes de l’hygiène-beauté et des vêtements et accessoires se redressera, grâce notamment aux efforts des opérateurs pour diversifier leur offre et la faire monter en gamme ».

    Dans le secteur de la mode - qui représente 11 % de parts de marché des entreprises de vente à domicile, soit environ 470 millions d’euros -, des marques comme Captain Tortue, Charlott’ Stella & Dot tirent leur épingle du jeu depuis plusieurs années. Et même les enseignes s’y mettent, puisque la chaîne du groupe Beaumanoir Scottage a débuté en début d’année l’organisation de réunions de vente chez les particuliers. Tout comme le groupe belge de lingerie Van de Velde, qui initie quant à lui ce principe en Allemagne.

    Au rayon beauté, le groupe français Rocher (Yves Rocher, Petit Bateau…) a stratégiquement acquis en début d’année la marque de cosmétiques naturels Arbonne, une entreprise américaine qui génère 470 millions d’euros de vente uniquement grâce à la vente en réunion. Panasonic teste aussi depuis 2017 la vente de produits d’électro-beauté à domicile, tandis qu’Amway a lancé une gamme de rasage et de soins du corps pour homme afin d’étendre sa clientèle, historiquement féminine pour un grand nombre d’acteurs de la vente à domicile. Séduire la cible masculine et les jeunes s’impose comme un des leviers identifiés pour développer ce canal commercial.

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    [#CONSOLAB] [BEAUTE] | #Moyen-#Orient : L’#essor des #marques #locales transforme le #marché de la #beauté | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE SOPHIE NORMAND | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2HGfhF6

    #Moyen-#Orient : L’#essor des #marques #locales transforme le #marché de la #beauté

    Dans un contexte économique difficile, le marché de la beauté dans les pays du Golfe connaît une véritable transformation. Longtemps dominantes les marques internationales sont aujourd’hui challengés par des acteurs locaux et des marques émergentes s’adressant à une nouvelle génération très connectée de consommateurs. Ces évolutions sont au cœur du 6e Livre Blanc que le Groupe Chalhoub présentait la semaine dernière à Paris.

    La fin d’un cycle

    L’industrie de la beauté au Moyen-Orient est en proie à de profondes mutations : la fin d’un cycle de domination par les marques internationales, concurrencées par l’émergence d’acteurs indépendants. Recentrées sur les valeurs traditionnelles et culturelles, ces dernières s’adaptent à de nouveaux consommateurs : une jeunesse ultra-connectée et exigeante. Un public en quête d’une offre personnalisée, ciblée et sophistiquée. Très présente sur les réseaux sociaux d’où émergent de véritables experts, cette jeunesse est à l’écoute des beautystas, qui bénéficient d’un fort poids médiatique, à l’image de la blogueuse Huda Katan, à la tête aujourd’hui de la marque make-up Huda Beauty. Or, cette nouvelle donne favorise le succès des acteurs indépendants locaux, très présents sur le digital, (plateformes e-commerce, réseaux sociaux), à même de satisfaire cette promesse qui conjugue tradition, innovation et personnalisation. 

    « Le numérique et le commerce électronique ont profondément perturbé l’univers de la beau té dans le CCG. [..] Les nouveaux acteurs de la beauté locale captent l’essence des besoins des clients du Golfe et défient les entreprises traditionnelles. En secouant l’industrie, la forçant à penser différemment et à être plus centrée sur le consommateur, ils ont un impact majeur et très positif. Le Groupe Chalhoub s’ouvre à ces indépendants de la beauté dont la région a besoin et les accueille. Nous sommes fiers d’avoir contribué à leur expansion internationale et de les voir connaître un grand succès », explique Anthony Chalhoub, co-PDG du Groupe Chalhoub.

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    Stratégies omnicanales

    Pour s’adapter à ce nouveau paysage, le Groupe Chalhoub préconise plusieurs stratégies. Élaborer des produits personnalisés, développer les stratégies digitales, renouveler le lien authentique avec cette nouvelle génération à travers une expérience shopping unique, étoffer l’offre en ligne. Mais aussi soutenir ces nouveaux acteurs locaux essentiellement présents sur la toile en leur offrant de la visibilité en boutique.

    Une évolution essentielle lorsqu’on sait que le marché de la beauté dans les pays du Golfe a chuté de 5%, avec un total de ventes à 1,9 milliards de dollars en 2016 contre 1,8 milliards l’an dernier. Dans un contexte macro-économique difficile, les groupes internationaux ont réduit leurs budgets marketing. Les marques institutionnelles peinent à s’adapter, favorisant ainsi le succès des petits créateurs locaux qui embrassent pleinement les besoins d’une nouvelle génération en quête d’une offre plus proche du client, via le digital et les réseaux sociaux.

    Le Groupe Chalhoub cherche ainsi à renouveler l’expérience shopping avec de nouveaux concepts retail et des marques propres. Un parti-pris d’autant plus pertinent dans ces pays du Golfe où les rituels beauté rythment chaque instant de vie, à l’image du parfum mais aussi du make-up. Dans un contexte où les femmes se voilent, il est notamment indispensable de concevoir une vaste gamme de produits pour les yeux (fards, khôls, mascaras, faux-cils, crayons, gel, poudres pour sourcils…). Entre tradition et modernité, les marques locales valorisent les rituels ancestraux (parfums construits autour de l’oud et de l’encens, khôl pour les yeux) pour les adapter aux besoins actuels d’une jeunesse moderne et connectée.

    « Les consommateurs du CCG ont évolué. Ils sont maintenant assertifs, curieux, déterminés, et surtout influencés par leur cercle d’amis sur les réseaux sociaux. En termes de beauté, ils se concentrent sur le maquillage et recherchent de l’originalité, du fun et de la couleur. [...] Un nombre croissant d’entrepreneurs locaux se lancent dans des initiatives pertinentes pour leur propre communauté. Ils changent la scène de la beauté du Golfe et créent un nouveau mouvement dynamique. Ils défient les acteurs institutionnels et les obligent à repenser leur stratégie », ajoute Patrick Chalhoub, co-PDG du groupe Chalhoub.

    Dans une région où les rituels maquillages et olfactifs sont intimement liés depuis toujours à la culture des femmes, le Groupe Chalhoub soutient de nombreuses marques cosmétiques « de niche » pour mieux cerner, renouveler et accueillir la beauté d’aujourd’hui.

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    [#CONSOLAB] [BEAUTE] | « Le #e-commerce #crossborder est très #adapté au #marché #chinois de la #beauté », Joël Palix, Feelunique | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE MARIE-HELENE CORBIN | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2uHCctp

     « Le #e-commerce #crossborder est très #adapté au #marché #chinois de la #beauté », Joël Palix, Feelunique 

    « Le marché chinois de la beauté est le plus ouvert au monde », a affirmé Joël Palix, PDG de la plate-forme de e-commerce Feelunique lors de China Connect, le rendez-vous des spécialistes du marketing digital en Chine qui s’est tenu en mars à Paris. Citant le cabinet d’étude L2, il a souligné que parmi les dix marques de beauté les plus performantes en ligne en Chine, quatre sont françaises (Avène, Dior, Lancôme, L’Oréal Paris), deux américaines (Estée Lauder, Maybelline), deux coréennes (Innisfree, LANEIGE), une japonaise (SK-II), et seulement une chinoise (CHANDO).

    « Feelunique réalise plus de 100 millions de livres sterling de chiffre d’affaires principalement en ligne en proposant à 550 marques de cosmétiques de distribuer du jour au lendemain leurs produits dans le monde entier », explique le PDG. Fonctionnant sur la base d’un modèle e-commerce crossborder, la plate-forme anglaise fondée en 2004 n’est en Chine que depuis octobre 2015. Elle s’est alors rapprochée de la société Azoya, basée à Shenzhen, qui a mis au point la version chinoise du site internet Feelunique et gère localement le merchandising, le marketing ainsi que le customer service. « Nous distribuons pour le moment 350 marques et 20 % de nos ventes globales sont réalisées en Chine », indique Joël Palix. 

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    Suspicion sur les plates-formes locales

    Selon lui, cette réussite vient du fait que les Chinois achètent beaucoup sur Internet (le marché de la beauté en Chine représente 12% des ventes globales mais 30% des ventes en ligne à l’échelle mondiale) et sont super informés. « Les consommateurs chinois passent des heures à essayer d’obtenir des informations sur des marques qui ne sont pas disponibles en Chine, sur des plates-formes spécifiquement créées à cet effet telles que Xiaohongshu (Little Red Book). C’est là où le modèle crossborder devient si pertinent.  »

    Le e-commerce local n’est qu’une partie du marché, « car les Chinois ne font pas confiance aux plates-formes locales qui peuvent vendre des contrefaçons potentiellement dangereuses quand il s’agit de cosmétiques, et préfèrent se tourner vers les sites occidentaux », assure Joël Palix. Ces derniers proposent également des produits moins chers car moins taxés, un avantage auquel sont sensibles les acheteurs chinois.

    Éviter les tests sur les animaux

    Pour les marques étrangères, le modèle crossborder est un moyen d’accéder plus rapidement au marché chinois, « qui sinon requiert 6 à 18 mois dans le cas d’un enregistrement local  », prévient Joël Palix. « De plus, les produits doivent alors être approuvés par les autorités chinoises qui imposent les tests sur les animaux, ce que beaucoup de marques considèrent contraire à leur éthique. » Le crossborder, parfaitement légal en Chine, permet donc de passer outre certaines contraintes pesantes et de tester le marché en limitant les frais.

    Mais le succès n’est pas assuré pour autant, la clé étant pour les marques d’attirer l’attention et de créer une communauté, que ce soit en ligne ou dans la vie réelle. « Les consommateurs chinois veulent aujourd’hui davantage qu’un produit, ils souhaitent une interaction avec la marque, une sensation d’appartenance à une communauté, un style de vie spécifique, » rappelle Joël Palix. « L’important est moins la plate-forme que vous utilisez que la qualité de votre contenu et la façon dont vous vous adaptez au calendrier chinois, comment vous entrez en relation avec les consommateurs, même en dehors de Chine, par le biais de KOLs (Key Opinion Leaders), ou de la diaspora chinoise de l’étranger qui peut passer le mot à sa famille et ses amis en Chine. »

    Paysage mouvant

    WeChat reste à l’heure actuelle la plate-forme incontournable si l’on veut toucher une audience chinoise. « C’est aujourd’hui notre principal moteur. Il est essentiel de développer une stratégie propre à WeChat avec un contenu exclusivement chinois », insiste Joël Palix qui précise que Feelunique n’est pas présent sur les plates-formes majeures Tmall et JD.com. « Ce qui a provoqué beaucoup de scepticisme lors de notre lancement en Chine. »

    « Nous nous ouvrons toutefois à d’autres plates-formes, telles que Xiaohongshu (Little Red Book), et nous sommes constamment sur nos gardes pour être sûrs que notre modèle est le bon dans cet environnement chinois en constante évolution. » Selon Joël Palix, Feelunique a gagné en efficacité dans son fonctionnement global depuis son entrée en Chine, car « le pays ouvre la voie en termes de vente de beauté en ligne. »

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    [#CONSOLAB] [COSMETIQUES] | #Nocibé se lance sur le #marché des #cosmétiques #naturels | @FASHIONNETWORK

    DE SARAH AHSSEN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2q0BD8w

    #Nocibé se lance sur le #marché des #cosmétiques #naturels

    Nocibé poursuit le développement de son offre propre en lançant Naturals, sa première gamme de soins composée à 90 % et plus d’ingrédients naturels. Disponible dans les magasins de l’enseigne de parfumerie sélective à compter du mois d’avril, cette ligne de plus de 30 références conçues autour de cinq actifs naturels - la rose, l’argile, l’eau de coco, le moringa et l’extrait d’amande - se décline notamment en huile de douche (12,95 euros), gelée exfoliante, mousse de rasage, huile démaquillante ou encore sérum booster d’éclat (19,95 euros).

    Positionnée sur le segment dynamique de la cosmétique naturelle, cette nouvelle gamme vise à élargir la clientèle de l’enseigne française en séduisant des consommateurs de plus en plus sensibles à la composition des produits. Naturals by Nocibé renforce également l’offre propre de Nocibé, une offre que la filiale du groupe allemand Douglas développe depuis 2012 et qui compte aujourd’hui près de 1 400 références : du maquillage aux soins du visage et du corps en passant par les produits pour le bain et la douche.

    Il y a quatre ans, Nocibé a même lancé un concept de magasin dédié à son offre propre, avec en complément divers services proposés (pose de vernis, maquillage des yeux). Baptisé Les Bellista by Nocibé, ce concept ne compte cependant aujourd’hui que deux unités.

    Nocibé, qui a récemment inauguré un flagship parisien dans le quartier de L’Opéra, dispose de plus de 600 points de vente, essentiellement implantés en régions (succursales et franchisés). L’enseigne réalise aujourd’hui près d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires.