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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Instagram, #Facebook, #Snapchat... L'#e-commerce s'intalle (aussi) sur les #réseaux #sociaux | @LUSINEDIGITALE

    DE VICTOIRE SAUGNAC | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2KkSYVC

    #Instagram, #Facebook, #Snapchat... L'#e-commerce s'intalle (aussi) sur les #réseaux #sociaux

    Depuis plusieurs mois, Facebook, Snapchat et Instagram multiplient les annonces en matière de publicité et d’achat en ligne pour attirer les marques. Quelles sont les dernières nouveautés, et qu’en pensent les consommateurs ?

    La tendance au shopping en ligne se développe, et les réseaux sociaux l'ont bien compris. Snapchat a passé un partenariat avec Seat Geek pour que les utilisateurs puissent acheter des tickets de concerts depuis l’application, Instagram a ouvert ses “shopping tags” aux stories, et Facebook met désormais l’accent sur la satisfaction après-vente de ses clients. Comment et pourquoi surfent-ils sur cette vague du e-commerce ?

    POUR BOOSTER LES VENTES, LES RÉSEAUX SOCIAUX REPENSENT LA PUBLICITÉ, ET ÇA PLAÎT

    Snapchat passe à un niveau supérieur de la publicité. Objectif : inciter à l'achat grâce à de véritables expériences. Après avoir introduit les publicités de produits, dont certaines sont obligatoires depuis mai 2018 pour ceux qui suivent les Snapchat Shows, le réseau a ouvert aux marques l'utilisation de ses filtres en réalité augmentée - les "lenses". Ces derniers permettent aux utilisateurs d'essayer le produit de manière virtuelle, pour se projeter et acheter plus directement. Les commerçants payent en échange une commission à Snapchat, selon le même modèle que la création de geofilters. Et nouveau : depuis avril 2018, la fonctionnalité "Shoppable" est disponible sur ces lenses. Un petit logo "Shop Now", au-dessus du filtre sponsorisé, permet à l'utilisateur de se rendre directement sur le site de la marque.

    Les consommateurs achètent volontiers dans l’instantanéité: et ça, les publicitaires de Facebook l’ont aussi bien compris, puisque les décomptes sur les promotions sont de plus en plus courants, les “plus que 4 minutes et 59 secondes pour bénéficier de -70% sur ce produit” à l’heure où la réduction est également affichée sur le site semblent convaincantes. Facebook continue donc avec les publicités à la fois sur les fils d’actualité et sur son application Messenger, en fonction des sites consultés par l’adresse IP associée au compte.

    SHOPPING TAGS, BILLETS ÉLECTRONIQUES...: TOUT DANS LES VIDÉOS

    Instagram comme Snapchat misent aussi sur l' intégration des boutons d'achat dans de courtes vidéos, pour encore plus de visibilité commerciale sur leurs réseaux. Instagram, qui proposait déjà de cliquer sur un petit sac de shopping pour connaître le prix d’un produit et être redirigé sur le site des e-vendeurs, intègre ainsi début juin 2018 ses shopping tags aux courtes vidéos éphémères des marques. Les followers d’une marque n’ont même plus à parcourir leur fil d’actualité pour shopper, les offres arrivent en haut de leur écran.

    Du côté de Snapchat, la dernière innovation de juin 2018, c’est le partenariat avec Seatgeek, l'un des plus gros vendeurs de billets électroniques en ligne. L’achat de tickets de matchs ou de concerts directement dans les vidéos éphémères des équipes sportives ou des artistes musicaux, disponibles depuis la fin de l'année 2016, prend  ainsi un nouveau tournant. Une vraie opportunité pour ceux-ci de se faire connaître du grand public, et de vendre leurs événements facilement.


    QU’EN PENSENT LES UTILISATEURS ?

    Pour Snapchat, le e-shopping est une nouvelle manière de développer son modèle économique. Pour les marques, c'est un réel gain en visibilité. Et pour les utilisateurs, un accès plus facile aux produits qu'ils suivent. D’après Martin Mangez, Creative Strategy Lead chez Snapchat France interrogé par le petitweb, le filtre de Kenzo a par exemple eu pour effet un brandlift de 18%, et aurait augmenté l’intention d’achat de 50%. Bien que les inscrits soient à l’origine sur le réseau pour partager des photos avec leur entourage, il est manifeste que l’évolution de la plateforme a du succès.

    Chez Facebook, une nouvelle préoccupation émerge également : la satisfaction après-vente. Le réseau social propose depuis début juin 2018 à ses utilisateurs ayant réalisé un achat après avoir consulté une publicité de noter leur expérience commerciale. Si un nombre significatif d’avis négatifs ressort sur une marque en particulier, les publicités pourront être retirées. Facebook montre ainsi comment faire de ses utilisateurs des alliés pour mieux cibler ses partenariats, tout en garantissant la satisfaction de ses utilisateurs.

     

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    [#CONSOLAB] [INTERNET] | La recette de #Lidl pour être plus #performant sur #Facebook | @ECOMMERCEMAG

    DE FLORIANE SALGUES | ECOMEMRCEMAG | http://bit.ly/2BH22Qe

    La recette de #Lidl pour être plus #performant sur #Facebook

    Lidl France a dépassé, fin janvier, la barre des 2 millions de fans sur le média social Facebook. Un record pour un distributeur alimentaire.

    Lidl a atteint, fin janvier 2018, le cap des 2 millions de fans sur sa page Facebook (2,05 millions au 19 février). Un record dans le secteur. L'enseigne se démarque ainsi - et de loin - des géants de la distribution alimentaire : Carrefour (1,1 million de fans), Monoprix (1,05 million de fans), Intermarché (739 000 fans), Auchan (687 000), E.Leclerc (557 000 fans) ou, encore, Géant Casino (196 000 fans). Mais, quelle est donc la bonne recette de Lidl, actif depuis mars 2012 sur Facebook ?

    Premier ingrédient : la régularité des partages sur la page Facebook France, à savoir, au minimum, un post par jour. Mais, aussi, la réactivité aux messages postés par les abonnés, grâce à l'internalisation du community management au sein du groupe Lidl. "Nous sommes en contact direct avec les services achat, qualité et client et pouvons donc répondre très rapidement aux messages des clients sur la disponibilité d'un produit ou sa qualité, explique Isabelle Schmidt, responsable communication et social media de Lidl France. Il faut savoir que Facebook est, pour Lidl, un important canal de relation client, avec un grand flux de messages positifs comme négatifs, tandis que le fil Twitter est davantage ancré dans le corporate et l'actualité de Lidl."

    Lidl, performant, Facebook

    La marque mise, aussi, sur des formats qui ont fait leur preuve : "Les jeux-concours représentent pour Lidl un véritable média pour recruter de nouveaux fans et animer une communauté très engagée", poursuit Isabelle Schmidt, qui manage deux community managers pour gérer l'ensemble des médias sociaux du groupe (Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat). Le levier "jeu-concours" a d'ailleurs été choisi par l'enseigne pour remercier ses 2 millions d'abonnés et leur permettre de gagner, par tirage au sort (22 janvier - 4 février 2018), 3 minutes chrono de courses gratuites en magasin.

    La professionnelle parie également, pour suivre les temps forts de l'enseigne, sur la vidéo (tutoriels de recettes ou coulisses des lancements de produits, par exemple). L'idée : jouer la carte de la proximité avec ses clients.

    Le management social media de Lidl est intégré à la direction communication du groupe, qui comprend les relations presse, la communication interne, le sponsoring et la publicité. "Cette organisation nous donne les moyens de communiquer en cross-canal.... et donc de manière plus efficace", précise la responsable communication et social media. Pour preuve, la stratégie de la marque sur les autres médias sociaux, notamment Instagram, performe : sur ce-dernier, Lidl comptait, en janvier 2018, 82,6 K abonnés ; 90 000 le 5 février et 93,4 K au 19 février. Une forte croissance due à une stratégie de post différenciée par rapport à Facebook. "Nous avons choisi d'aller sur Instagram en 2015, avec des posts sur le "food", témoigne Isabelle Schmidt. Mais, nous nous sommes rapidement rendu compte que la beauté est le secteur préféré de nos abonnés. Nous avons donc changé de cap pour valoriser davantage les produits de soin Cien."

     

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    [#CONSOLAB] [VENTE] | #Facebook teste l’intégration de #Messenger aux portails de #vente | @FASHION NETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2AGQQAd

    #Facebook teste l’intégration de #Messenger aux portails de #vente

    Si la révolution du social commerce n’a pas eu lieu, les réseaux se sont avérés être de précieux outils de génération de trafic et d’engagement pour les commerces. C’est donc logiquement que Facebook propose actuellement aux e-commerçants de tester un plugin Messenger permettant d’engager la conversation avec les clients.

    Le portail corporate du réseau social propose aux professionnels de s’inscrire à un accès anticipé du dispositif, qui se traduit sur les sites de vente par l’apparition d’une fenêtre de discussion semblable à celle présente sur la version web de Facebook. Le tout en utilisant la session Facebook déjà active sur ce même terminal. L’outil réclame au préalable l’autorisation de l’utilisateur, ce dernier pouvant ensuite retrouver la conversation en dehors du site marchand, sur sa page ou sur son application Facebook.

    Le déploiement s’est fait de manière discrète : le portail américain dédié au fitness Bodeaz figure parmi les premiers portails à s’essayer au procédé via Facebook, dans un domaine de l'engagement client sur lequel de nombreuses start-up se sont de longue date positionnées.

    « L'utilisation de Messenger a augmenté dans certains cas la satisfaction vis-à-vis du service client de 80% », a déclaré le responsable de Messenger, David Marcus, le 9 novembre à l’occasion d’une conférence donnée à Station F, le campus de start-up parisien lancé par Xavier Niel. Une prise de parole au cours de laquelle le dirigeant a confirmé qu’il s’agit du principal ajout de la prochaine version de la messagerie. « Il est également possible désormais d'opérer des paiements mobiles directement via Messenger », a-t-il par ailleurs indiqué.

    Facebook, Messenger, portails de vente

    En septembre dernier, Facebook indiquait que son outil de messagerie est désormais utilisé par 1,3 milliard d’internautes à travers le globe. Alors qu’il aurait pour sa part dépassé les deux milliards d’utilisateurs actifs dans le monde au mois de juin dernier, le groupe Facebook a généré en 2016 un chiffre d’affaires de 27,67 milliards de dollars, pour des bénéfices s’élevant à 10,2 milliards.

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    [CONSO LAB] [DIGITAL] | #Facebook et #Amazon se lancent dans le #prospectus augmenté | @LSA

    FROM JULIE DELVALEE | LSA | http://bit.ly/2wYtRkW

    #Facebook et #Amazon se lancent dans le #prospectus augmenté

    Facebook vient de lancer un « lifestyle templates » sorte de catalogue en ligne. Amazon, de son côté, propose depuis cet été à ses abonnés Amazon Prime un réseau social sur lequel les internautes se mettent en scène avec des produits achetés sur le site. A chaque fois, l'achat est facilité en partant du visuel. Le début d’une nouvelle ère pour le prospectus ? 

    Quand le digital copie et adapte les bonnes recettes marketing des magasins physiques. Deux mastodontes des GAFA se lancent dans l’aventure du prospectus digital, chacun à leur façon. Dernier en date, Facebook a annoncé cette semaine dans la presse américaine l’arrivée d’un nouvel outil à la disposition de ses millions de membres, baptisé « Lifestyle templates »(Traduire : des modèles de style de vie). Le format s’inspire très largement de l'apparence d'un catalogue papier, relate Business Insider. Avec un avantage supplémentaire non négligeable : les internautes clients peuvent acheter directement à partir de ce prospectus en cliquant sur l’objet convoité. "Il y a des éléments que nous apportons à l'expérience qui est vraiment spécifique au mobile et à Facebook", rapporte Graham Mudd, directeur du marketing de monétisation chez Facebook, à Business Insider.

    Si cet outil a été très remarqué, le site de Zuckerberg n’est pourtant pas le premier à adapter le catalogue au numérique. Cet été, Amazon a lancé Amazon Spark, sorte d’Instagram où les membres d’Amazon Prime peuvent se prendre en photo avec des produits achetés sur le site. Les autres abonnés peuvent liker, commenter le produit et même cliquer dessus…. Pour se rendre sur la fiche produit. Une nouvelle façon de susciter l’achat en ligne, en partant là aussi d'un visuel mis en scène.

    Amazon, Facebook, prospectus

    En France, Bonial s’essaie déjà sur ce créneau. La filiale du groupe Axel Springer, leader en France, propose des prospectus digitaux et poussent les promotions les plus pertinentes selon les habitudes d’achat de ses abonnés. Dans une étude récemment menée pour mesurer la performance de son service, Bonial a assuré que les grandes surfaces alimentaires bénéficient de + 60 % de trafic supplémentaire grâce aux lecteurs de catalogues digitaux ; le discount alimentaire recueille quant à lui un passage en magasins supérieur de 53 %. Mais pourquoi copier le modèle du prospectus ?

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