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    [#CONSOLAB] [PUBLICITE] | [Le chiffre du jour] #1,6 milliard d’euros, les #investissements #publicitaires bruts de la #distribution #alimentaire | @LSA

    DE JEROME PARIGI | LSA | http://bit.ly/2LL0V7q

    [Le chiffre du jour] #1,6 milliard d’euros, les #investissements #publicitaires bruts de la #distribution #alimentaire

    Selon les données de Kantar Media, les coûts bruts (hors négociation) des investissements publicitaires de la distribution dépassent 1,6 milliard d’euros sur un an à mi-mai 2018, avec Lidl comme premier annonceur.

    Chaque année la distribution alimentaire et non alimentaire se dispute, avec l’automobile, la place de premier annonceur publicitaire en France. Un débat arbitré par Kantar Media qui évalue périodiquement les coûts bruts (hors négos) des campagnes engagées par les marques. Sur la dernière période disponible arrêtée au 13 mai, le panéliste chiffre à 1,643 milliard d’euros (-0,4%), les investissements des enseignes alimentaires sur un an. Même avec des taux de négociations estimés entre 40 et 45% vus les volumes d’achats d’espace en jeu, ça fait quand même une enveloppe annuelle dédiée aux médias comprise entre 850 millions et 1 milliard d’euros.

    Côté enseignes, Lidl qui a très lourdement investi en TV ces dernières années a pris la tête des principaux annonceurs du secteur mais a stabilisé ses budgets. Leclerc aussi est plutôt stable alors qu’Intermarché en pleine phase de conquête enregistre la plus forte croissance (+19% à 305 M€) des grands annonceurs du secteur derrière Auchan (+78% à 85 M€). A noter quand même l’importance des radios et de la presse, deux médias clés pour leurs campagnes locales, dans le mix publicitaire des retailers.

    investissements, publicitaires, distribution, alimentaire

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | Quels sont les #investissements #prioritaires pour #2018 ? | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2pOjxq6

    Quels sont les #investissements #prioritaires pour #2018 ?

    En 2018, les e-commerçants tricolores vont en priorité investir dans les domaines de l’informatique (71 %), de l’expérience utilisateur (62 %) ainsi que du marketing et de la publicité (55 %), selon une enquête de la fédération de la vente en ligne (Fevad) et LSA dévoilée à l’occasion du salon E-commerce One-to-One, qui se tenait à Monaco du 20 au 22 mars derniers.

    Là où les plus gros acteurs se concentreront d’abord, à 79 %, sur les investissements en informatique, l’étude montre que les "petits" e-commerçants vont eux à 75 % accroître leurs investissements marketing et publicitaires. Sur l’ensemble du panel, ces investissements en marketing et publicité viseront en premier lieu le référencement naturel, le brand content et le référencement payant. Les investissements en publicité offline vont cependant reculer pour 22 % des acteurs.

    Sans surprise, la livraison demeure l’un des principaux centres d’attention, avec 70 % des e-commerçants proposant déjà des offres de livraison gratuite et 20 % y travaillant. « La livraison gratuite s’impose comme un levier de performance quasi incontournable pour les e-commerçants, relève la Fevad. Parallèlement, les e-commerçants continuent de développer des offres d’abonnement annuel permettant la livraison illimitée. Autre nouveauté à signaler, la montée en puissance de l’e-réservation chez les sites d’enseignes physiques (réservation de produits sur Internet en vue d'un retrait et d'un paiement en magasin) ».

    Les cybermarchands tricolores sont désormais 62 % à vendre à l’international, la Belgique, l’Espagne et l’Allemagne étant leurs premières destinations. Les difficultés logistiques, juridiques et fiscales restent les trois principaux freins, selon les professionnels. Chez ceux vendant hors de l’Hexagone, 84 % des sites ont vu leur chiffre d’affaires international augmenter l’an passé et 86 % tablent sur de nouvelles hausses dans les deux ans, indique l’étude.

    En termes d’innovation, 57 % des dirigeants consultés envisagent de se tourner dans un avenir proche vers les nouvelles solutions de paiement ou encore vers les chatbots (48 %). Assistants vocaux et retours en boîtes aux lettres font également l’objet de développements (30 %). Au final, 58 % des sociétés ont l’intention de recruter cette année, contre 48 % un an plus tôt.

    « Ils sont plus de 9 sur 10 à se déclarer confiants pour l’avenir de leur entreprise, pointe la Fevad. Cette vision positive se traduit par des prévisions de croissance de la performance financière pour la majorité des acteurs (63 %) quelle que soit leur taille. Déjà deux entreprises sur trois déclarent être rentables aujourd’hui et près de 80 % de celles qui sont déficitaires anticipent une amélioration de leur performance financière cette année. De plus, 83 % des e-marchands sont confiants dans la croissance de leur chiffre d’affaires en 2018. Une confiance partagée par l’ensemble des répondants ».