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2018

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Sephora, #Rimmel, #L’Oréal… le #top #10 des #marques #beauté les plus #actives sur #YouTube en #2018 | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2HzjOrY

    #Sephora, #Rimmel, #L’Oréal… le #top #10 des #marques #beauté les plus #actives sur #YouTube en #2018

    L’agence TubeReach réalise chaque trimestre un baromètre de vitalité afin de mesurer le dynamisme des marques sur YouTube. En ce début 2018, c’est Sephora qui domine le classement.

    A l’heure où la vidéo et notamment sur YouTube est devenue incontournable dans la stratégie de communication des marques, l’agence de conseil TubeReach réalise un « baromètre de vitalité » qui analyse et évalue le dynamisme de 500 chaînes YouTube françaises de grandes marques. L’agence attribue à chacune un indice de vitalité calculé sur 100. Il est déterminé à partir de critères dynamiques et organiques d’engagement et indépendants des budgets médias investis à des fins publicitaires. Sans surprise, au premier trimestre 2018, Sephora domine le classement, tous secteurs confondus. L’enseigne et le secteur de la beauté au global ont toujours un temps d’avance dans le domaine. D’ailleurs, TubeReach constate que 4 marques de beauté sont présentes dans le top 10 des marques tous secteurs confondus.

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    Si l’on se concentre sur le top 10 des marques beauté, Sephora obtient donc la très bonne note de 76/100 « grâce à une programmation lisible et de qualité avec un mix pertinent de tout l’éventail des formats YouTube pour une marque : tutos, unboxing, nouveautés, collaborations, témoignages … », explique TubeReach. Ce trimestre, l’enseigne est suivie de Rimmel (Coty) avec un score de 53/100 et de Guerlain (47/100). A noter, la présence de trois marques de L’Oréal dans ce classement : L’Oréal Paris, Maybelline New-York et Garnier.

     

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | Quels sont les #investissements #prioritaires pour #2018 ? | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2pOjxq6

    Quels sont les #investissements #prioritaires pour #2018 ?

    En 2018, les e-commerçants tricolores vont en priorité investir dans les domaines de l’informatique (71 %), de l’expérience utilisateur (62 %) ainsi que du marketing et de la publicité (55 %), selon une enquête de la fédération de la vente en ligne (Fevad) et LSA dévoilée à l’occasion du salon E-commerce One-to-One, qui se tenait à Monaco du 20 au 22 mars derniers.

    Là où les plus gros acteurs se concentreront d’abord, à 79 %, sur les investissements en informatique, l’étude montre que les "petits" e-commerçants vont eux à 75 % accroître leurs investissements marketing et publicitaires. Sur l’ensemble du panel, ces investissements en marketing et publicité viseront en premier lieu le référencement naturel, le brand content et le référencement payant. Les investissements en publicité offline vont cependant reculer pour 22 % des acteurs.

    Sans surprise, la livraison demeure l’un des principaux centres d’attention, avec 70 % des e-commerçants proposant déjà des offres de livraison gratuite et 20 % y travaillant. « La livraison gratuite s’impose comme un levier de performance quasi incontournable pour les e-commerçants, relève la Fevad. Parallèlement, les e-commerçants continuent de développer des offres d’abonnement annuel permettant la livraison illimitée. Autre nouveauté à signaler, la montée en puissance de l’e-réservation chez les sites d’enseignes physiques (réservation de produits sur Internet en vue d'un retrait et d'un paiement en magasin) ».

    Les cybermarchands tricolores sont désormais 62 % à vendre à l’international, la Belgique, l’Espagne et l’Allemagne étant leurs premières destinations. Les difficultés logistiques, juridiques et fiscales restent les trois principaux freins, selon les professionnels. Chez ceux vendant hors de l’Hexagone, 84 % des sites ont vu leur chiffre d’affaires international augmenter l’an passé et 86 % tablent sur de nouvelles hausses dans les deux ans, indique l’étude.

    En termes d’innovation, 57 % des dirigeants consultés envisagent de se tourner dans un avenir proche vers les nouvelles solutions de paiement ou encore vers les chatbots (48 %). Assistants vocaux et retours en boîtes aux lettres font également l’objet de développements (30 %). Au final, 58 % des sociétés ont l’intention de recruter cette année, contre 48 % un an plus tôt.

    « Ils sont plus de 9 sur 10 à se déclarer confiants pour l’avenir de leur entreprise, pointe la Fevad. Cette vision positive se traduit par des prévisions de croissance de la performance financière pour la majorité des acteurs (63 %) quelle que soit leur taille. Déjà deux entreprises sur trois déclarent être rentables aujourd’hui et près de 80 % de celles qui sont déficitaires anticipent une amélioration de leur performance financière cette année. De plus, 83 % des e-marchands sont confiants dans la croissance de leur chiffre d’affaires en 2018. Une confiance partagée par l’ensemble des répondants ».

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #​E-commerce : l’enrichissement du #catalogue en tête des #priorités pour #2018 | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2Fj55Ru

    #​E-commerce : l’enrichissement du #catalogue en tête des #priorités pour #2018

    Pour l’année en cours, quatre e-commerçants sur cinq font du renforcement de leur offre une priorité, contre 45 % évoquant leur développement à l’international, et 41 % souhaitant développer une stratégie de marque. C’est le constat de l’étude KPMG menée pour Oxatis et la Fevad (la fédération du e-commerce), qui entend dresser le portrait des e-commerçants de France.

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    Il en ressort que seuls 19 % des acteurs tricolores présents sur la Toile font de la création d’un nouveau site une priorité, contre 14 % souhaitant développer un point de vente physique.

    En termes d’objectifs sur le plan du marketing digital, les 2 100 portails interrogés sont 81 % à souhaiter optimiser leur référencement, et 74 % à vouloir développer leur bases clients. Sont également évoqués des actions marketing efficaces (68 %), des améliorations en matière de design (65 %) et le suivi statistique (60 %).

    L’étude éclaire également sur les motivations poussant les commerçants à se créer un site de vente. Les raisons premières sont la volonté d’augmenter sa visibilité (67 %) et d’étendre sa zone de chalandise (65 %). Non loin derrière arrivent l’ambition de renforcer le chiffre d’affaires (57 %), la possibilité de vendre en permanence (54 %), le développement de canaux supplémentaires (54 %) et la fidélisation de la clientèle (49 %).

    Mais le développement d’une activité en ligne n’est pas sans causer plusieurs préoccupations. Le manque de temps serait la principale d'entre elles (pour 39 % des sites interrogés), devant le coût que nécessite l’e-commerce (36 %) et le délai nécessaire pour dégager de la rentabilité (35 %). Suivent l’inquiétude générée par la concurrence accrue sur le web (32 %), le manque de compétences des équipes (31 %) et la concurrence faite à son propre réseau de distribution (19 %).

    E-commerce, catalogue, priorités, 2018

    La fidélisation n’est pas oubliée dans cette enquête, dont il ressort que 57 % des marchands génèrent au moins 10 % de leur chiffre d’affaires via des clients ayant déjà achetés sur leurs pages. Une fidélisation qui, pour les vendeurs, est principalement entretenue par des frais de port offerts (25 %), des newsletters (24 %) et un service de livraisons de qualité (15 %).

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    [#CONSOLAB] [MAGASIN] | #2018 : le #retour en force du #magasin |@ECOMMERCEMAG.FR

    DE SOPHIE LUBET | ECOMMERCEMAG.FR | http://bit.ly/2Ct8SGo

    #2018 : le #retour en force du #magasin

    Face au raz-de-marée du on line, le traditionnel brick & mortar est-il voué à disparaître ? Quelles adaptations pourraient lui permettre de réenchanter l'expérience en magasin et répondre aux nouvelles attentes des consommateurs ?

    Avec la digitalisation et la multiplication des devices dans la société, les consommateurs souhaitent une expérience client fluide et rapide. Les e-commerçants et applications l'ont bien compris et proposent des services ultra-performants : livraison en 1h pour Amazon avec Prime Now ou avec Carrefour pour les Parisiens, possibilité de se faire livrer "n'importe quoi n'importe où" en un claquement de doigts... Les services administratifs eux-mêmes se digitalisent puisqu'il est possible depuis le 6 novembre de commander son permis et sa carte grise en ligne pour les recevoir directement dans sa boîte aux lettres. Il serait donc aujourd'hui facile d'organiser ses achats sans sortir de chez soi.

    Face à ce raz-de-marée du on line, le traditionnel brick & mortar est-il voué à disparaître ? Quelles adaptations pourraient lui permettre de réenchanter l'expérience en magasin et répondre aux nouvelles attentes des consommateurs ?

    Le magasin : être plus qu'une adresse IP

    En 2015, la France comptait 340 000 points de vente qui réalisaient 1.1 million d'euros de chiffre d'affaires selon l'Insee. Le magasin bénéficie d'un atout majeur que le on line ne peut pas concurrencer : le sensoriel. Les consommateurs apprécient de pouvoir voir, toucher, tester, sentir un produit, cela participe de l'expérience d'achat et ne peut être remplacé par de la data !

    Si aujourd'hui, la réalité augmentée ou la réalité virtuelle permettent de visualiser un produit "en situation", pour certains types d'achats comme les ensembles (cuisine, salon, chambre), les Français préfèrent encore visualiser concrètement ces produits en magasin pour pouvoir mieux se projeter.

    Le sensoriel, cette qualité intrinsèque du magasin, s'inscrit parfaitement dans une tendance plus globale de la société : le retour à l'essentiel. L'humain ne se cache plus derrière le client, il n'est pas qu'une adresse IP, il veut vivre une expérience d'achat utile, qui prenne en compte ses besoins (grâce à la data) et qui lui offre une réelle valeur ajoutée, du service notamment.

    En se digitalisant, les magasins réhumanisent l'achat : le CRM permet de personnaliser les offres, les vendeurs équipés de tablettes accompagnent le client, le click & collect réconcilie le on et off line, bref, les magasins ont tout à y gagner.

    Le magasin : créer son propre univers

    Preuve de ce retour en grâce du magasin physique : 57% des Français et 70% des 18-24 ans souhaitent que les pure players comme Amazon (qui a racheté les supermarchés Whole Foods), VentePrivée ou AMPM La Redoute (la branche déco de la marque) ouvrent des magasins physiques. L'objectif ? Créer du lien et surtout, créer un univers propre avec une identité de marque forte. Ces caractéristiques visuelles, sonores et/ou expérientielles sont l'ADN d'une enseigne et la raison pour laquelle un consommateur s'attache à elle. Certaines poussent même cette démarche à l'inverse : c'est le cas récemment de Chanel qui a refusé d'ouvrir un site de vente en ligne pour ne pas détériorer son image de marque.

    Le développement des pop-up stores illustre cette tendance à revenir au brick & mortar. Gibli par exemple qui en a récemment ouvert un pour quelques semaines à Paris : événement rare, les fans ont pu à cette occasion se plonger dans l'univers de Miyazaki et découvrir des produits dérivés inédits. Nature & Découvertes l'a bien compris également et renforce encore son image " healthy " - bien-être en proposant un espace scénographié dédié à la dégustation de thé. Autre exemple, Birchbox qui a procédé par étapes : le pure player a commencé avec une boutique éphémère en 2014, en avril 2017 le magasin Birchbox a ouvert ses portes rue Montmartre et ne désemplit pas depuis.

    2018, retour, magasin

    Le magasin revendique son propre univers avec la création d'animations communautaires, comme l'illustre les magasins Lululemon qui organisent des cours de yoga pour séduire les sportifs amateurs.

    Les communautés se retrouvent par ailleurs volontiers dans ces univers à l'identité très forte : en témoigne le succès du forum d'entraide entre bricoleurs passionnés créé par Leroy Merlin !

    Un magasin qui se réinvente pour satisfaire sa clientèle

    Plus qu'un lieu d'achat, le magasin devient un lieu de vie et d'expérience. Cette revendication est forte chez les 18-24 ans : 60% d'entre eux ont envie de magasins où ils peuvent faire autre chose qu'acheter. Nike l'a bien compris et propose des terrains de sport dans ses magasins, Samsung conçoit ses magasins comme des lieux d'expériences à l'image des parcs d'attraction. Les centres commerciaux se sont aussi emparés du phénomène et proposent par exemple des espaces lounge pour se relaxer, des espaces de jeux pour les enfants ou encore des solutions pour recharger les devices... Finalement on fait du shopping comme chez soi !

    Autre point d'amélioration des magasins sur lequel le digital offre de nombreuses solutions, la réduction des points de frictions. En effet, une mauvaise expérience en boutique peut être fatale pour une marque. Une des priorités : l'attente en caisse, qui décourage nombre de consommateurs. Pour y remédier, Monoprix teste actuellement le Monop Easy, Amazon et Alibaba le magasin sans caisses, et les paiements mobiles se multiplient. L'objectif : permettre au consommateur de payer ses achats en un minimum de temps.

    Les nouvelles technologies offrent par ailleurs aux enseignes la possibilité d'aller plus loin dans les services : commander des articles indisponibles ou en rupture de stocks chez Célio, assistant virtuel pour choisir ses vêtements en fonction de ses goûts chez Uniqlo... Autant de services qui scellent l'union du magasin et du digital !

    2018, retour, magasin

    Le magasin est toujours bien vivant et sa disparition, souvent annoncée, n'est pas d'actualité. L'enjeu n'est plus de savoir comment faire cohabiter le on et off line mais comment les faire fusionner, c'est la condition sine qua non pour passer d'un acte d'achat simple à une expérience qui s'inscrit avec fluidité dans la vie quotidienne des consommateurs

     

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    [#CONSOLAB] [TENDANCES] | Ces #tendances #beauté vont-elles #dominer l’année #2018 ? | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2CHXb2L

    Ces #tendances #beauté vont-elles #dominer l’année #2018 ?

    Si l’on en croit les beautystas de Pinterest, l’année 2018 devrait être placée sous le signe du derma rolling, des coiffures à effet humide, des fonds de teints diversifiés et des cils ultra longs. Le réseau social a partagé ses prévisions beauté pour l’année 2018 en suivant l’activité de ses 48 millions d’utilisateurs friands de beauté, et elles réservent quelques surprises.

    Soins de la peau

    Des dermarollers devraient avec la cote dans les douze prochains mois. Malgré les controverses autour de ce soin du visage qui roule et pique avec ses petites aiguilles, le terme ‘derma roller’ a enregistré une progression de 345% sur Pinterest cette année. Les rollers en jade, en quartz, et même les rollers glacés, devraient gagner en popularité.

    Autre soin de la peau en progression, les huiles, les termes ‘cleansing oil’ (huile purifiante ou nettoyante) gagnent 555% au cours des 12 derniers mois.

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    Maquillage

    En ce qui concerne le maquillage, il semblerait que les cils auront la cote, alors que les dessins graphiques pour les ongles resteront bien d’actualité, surtout les dessins géométriques. Dans la lignée des tendances vues sur les podiums des collections printemps/été 2018, le maquillage flashy devrait être de mise, avec une progression de 63% pour les recherches de ‘bright eyeshadow’ (fard à paupières vif).

    Autre grande tendance, celle des fonds de teint adaptés à toutes les carnations avec de nombreuses nouvelles couleurs. L’expression ‘complexion matching’ (teint coordonné) enregistre une progression de 378% cette année.

    Cheveux

    Les amatrices de beauté les plus à la page arboreront leurs coiffures tirées vers l’arrière grâce à grand renfort de gel ou afficheront des boucles, à en croire l’augmentation des recherches de ces termes de 166%. Les coiffures gominées ou effet mouillé ont eu les faveurs des défilés en 2017, mais reste à voir si ce concept se retrouvera dans les coiffures quotidiennes des fashionistas l’année prochaine. Côté coiffures, même si cette année a été marquée par le carré court, du moins du côté des célébrités, il semblerait que cette tendance n’ait pas vraiment d’avenir sur Pinterest, termes ‘long hair’ (cheveux longs) et ‘pixie’ (coupe garçonne) ont gagné 130%... donc adieu le carré court.