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Les deux visages de la France selon #Nestlé : interview de Richard Girardot, patron France [@nestle @adetem]

LES ECHOS.FR - le 16/06 - Marie José Cougard

Si le pays représente son troisième marché, le patron de la filiale française de Nestlé déplore les relations difficiles avec les distributeurs.

Avec 23 usines, la France est le troisième marché du groupe Nestlé. Elle reste un lieu de prédilection pour lancer les nouveaux produits, mais le groupe y a réduit sa présence industrielle. Richard Girardot, le patron de la filiale, explique pourquoi.

Quel est le poids de Nestlé en France ?
Hors Davigel, que nous avons cédé en octobre, c'est 4,4 milliards d'euros et 4 % de l'activité alimentaire de la grande distribution, devant Danone et Unilever. Mais la filiale française est toujours en croissance et profitable.

Quelle place la France a-t-elle dans la stratégie de Nestlé ?
La France a une place historique dans le groupe. C'est le premier pays où Henri Nestlé a développé des activités lorsqu'il est sorti des frontières suisses, il y a cent quarante-huit ans. C'est un marché très complexe, mais on ne peut pas rêver mieux pour lancer de nouveaux produits et tester des tendances. C'est le pays où on peut oser des choses.

Le groupe s'est pourtant désengagé d'activités comme les plats préparés surgelés. Il n'a plus que 23 usines, contre 30 en 2013...
Il est devenu difficile de convaincre les actionnaires d'investir dans de nouvelles lignes de production en France. On a ouvert 9 usines en Europe en quinze ans... Zéro en France !

[LIRE L'ARTICLE EN ENTIER]

 

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