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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Près d’un #Français sur 3 achète de l’#hygiène-#beauté sur #internet | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2F2csrH

    Près d’un #Français sur 3 achète de l’#hygiène-#beauté sur #internet

    Les études de Kantar Worldpanel montrent que l’e-commerce est un circuit à fort potentiel pour l’hygiène-beauté.

    A l’occasion de son Consumer Day, Kantar Worldpanel a souligné le fort potentiel que représente l’e-commerce pour l’hygiène-beauté. Le secteur représente 17,5% des dépenses PGC-FLS en e-commerce contre 9% sur l’ensemble des circuits. « Près d’un Français sur 3 achète de l’hygiène-beauté sur internet. C’est autant d’acheteurs qu’en enseignes à dominance marques propres (EDMP) »,  explique Anaïs Dupuy, experte beauté chez Kantar Worldpanel. Les dépenses ont augmenté de 10,9% ces derniers mois. 

    Chez Amazon, toujours selon Kantar Worlpanel, l’hygiène-beauté représente 56% des achats PGC-FLS. Du côté de la grande distribution alimentaire, selon Iri, le drive est le circuit où les ventes ont le plus progressé en 2017 : +7,1% sur l’année. Et ce, avec un assortiment limité… Il serait donc intéressant que marques et enseignes investissent ce circuit.

     

    RETROUVER NOTRE COMMUNIQUE DE PRESSE SUR LES PRODUITS DE BEAUTÉS: la nécessité d’une expérience physique condamne-t-elle l’e-commerce ?

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    [#CONSOLAB] [DIGITALISATION] | #Zara et #H&M, #concurrencés par #Internet, organisent leur #défense | @FASHIONNETWORK

    DE EMMANUELLE MICHEL | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2pnn13l

    #Zara et #H&M, #concurrencés par #Internet, organisent leur #défense

    Madrid, mars 2018 (AFP) - Investissements logistiques, nouvelles technologies... Face à la féroce concurrence d'Internet, notamment d'Amazon, les géants de la mode bon marché Zara et H&M mettent les bouchées doubles en essayant de faire de leurs magasins physiques des atouts pour leurs ventes en ligne.

    Séparés par de fines cloisons, quinze plateaux photos dédiés uniquement à la mise à jour du site internet s'alignent dans un recoin de l'immense siège de Zara, près de La Corogne dans le nord-ouest de l'Espagne. Sous le crépitement incessant des flashes, des mannequins - le casting change chaque semaine- enchaînent les poses, pour obtenir sept photos montrant chaque vêtement sous tous les angles. Au total, 1 500 photos sont mises en ligne deux fois par semaine, pour coller au rythme de renouvellement des modèles en magasins.

    "Les ventes en ligne sont en train de devenir un élément qui contribue de manière significative à la croissance de l'entreprise », assurait mercredi Pablo Isla, PDG du groupe Inditex, propriétaire de Zara. En 2017, ce segment a représenté 10 % des ventes, un chiffre dévoilé après des années de grande discrétion sur un virage pris avec un peu de retard, en 2010.

    Acquérir « plus de visibilité online » est le principal défi du groupe s'il veut rester « compétitif à long terme », estime Sergio Avila Luengo, analyste chez IG Markets. Selon lui, Inditex a eu plus de mal à écouter ses stocks en 2017 en raison de la concurrence des ventes textiles d'Amazon.

    En Suède chez H&M, on reconnaît que la chute des profits en 2017 est due en grande partie à la concurrence d'internet. Le marché de l'habillement subit « une grande transformation (...) qui représente un défi pour tout le monde », a expliqué le PDG Karl-Johan Persson mi-février. « Les grandes plateformes en ligne comme Amazon et Alibaba nuisent à notre industrie » et les nombreux petits sites spécialisés « sont réellement une force qui doit être prise en compte », selon lui.

    Aux Etats-Unis, Amazon était en 2016 le premier vendeur en ligne de vêtements, et il détient même 11 % du marché total de l'habillement (19 % prévus en 2020), selon des données compilées par Bloomberg. En Europe, le chausseur allemand online Zalando a vu ses ventes bondir de 25 % entre 2012 et 2015 et le site de mode britannique Asos de 34 %, selon la Fondation E-commerce.

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    Défi logistique

    Pour faire face, H&M a dédié 45 % de ses investissements à internet en 2017, soit près de 600 millions d'euros, prévoyant un nouveau studio photo et des applications personnalisées pour ses clients. Inditex investit aussi, sans dévoiler de montant.

    Les deux groupes étendent progressivement la possibilité d'être livré le lendemain, voire le jour même après une commande online, puis de récupérer ou retourner facilement en magasin les vêtements. Ces services, cruciaux pour les clients, représentent un vrai défi logistique, face au rouleau-compresseur Amazon, à la « structure logistique bien plus grande, déjà adaptée à tous les types de produits », rappelle Sergio Avila Luengo. Dans sa contre-attaque, Inditex a ouvert dans le monde 19 entrepôts uniquement dédiés à internet, gérés comme des magasins à part entière. H&M lui emboîtera bientôt le pas.

    L'Espagnol comme le Suédois s'appuient aussi sur leurs milliers de boutiques y compris pour livrer les clients. Lorsque des ventes en ligne sont lancées sur un nouveau marché, « nous atteignons très vite la profitabilité (...) grâce à notre réseau de magasins qui fait de nous une marque célèbre et appréciée », a assuré à des investisseurs le directeur financier d'H&M Jirky Tervonen.

    Inditex a lourdement investi dans la rénovation de ses boutiques, supprimant les plus petites au profit d'immenses magasins « étendard » dans les centres-villes. Les deux groupes mettent en place des systèmes pour éviter de rater des ventes en magasin, lorsqu'une taille n'est pas disponible par exemple, en indiquant au client que le produit est immédiatement disponible en ligne.

    « La stratégie est de jouer l'omnicanalité, pour que les clients passent d'un mode de consommation à un autre. Les distributeurs qui développent à la fois leurs boutiques et les ventes en ligne sont assez performants », assure Gildas Minvielle, directeur de l'observatoire économique de l'Institut français de la mode.

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    [#CONSOLAB] [INTERNET] | #Oui.sncf, une nouvelle #vitrine #internet pour la #SNCF | @LESECHOS

    DE LIONEL STEINMANN | LES ECHOS | http://bit.ly/2AGZ7X7

    #Oui.sncf, une nouvelle #vitrine #internet pour la #SNCF

    Adieu voyages-sncf.com, et bienvenue à oui.sncf. Comme elle l'avait annoncée il y a plusieurs mois, la compagnie publique a rebaptisé dans la nuit de mardi à mercredi son site de vente en ligne, leader du e-tourisme avec 14 millions de visiteurs uniques chaque mois.

    Le nouveau nom, moins compliqué que le précédent, devrait être rapidement être mémorisé par le public. Il vient couronner la déclinaison de la syllabe « Oui » dans les offres de mobilité du groupe, après Ouigo et inOui (dans l'univers TGV), Ouibus (pour les cars) ou Ouicar (location de voitures entre particuliers). Et doit également faciliter les développements à l'étranger, où la SNCF rêve de dupliquer le succès rencontré dans l'Hexagone.

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    Mais la bascule va bien au-delà d'un simple changement d'appellation, assure l'entreprise publique, avec d'ores et déjà plusieurs nouveaux services qui doivent aider les voyageurs à trouver leur bonheur dans une offre à la fois foisonnante (pas moins de 33 millions de trajets sont possibles), et de plus en plus segmentée.

    Les clients peuvent donc dès ce mercredi créer une « alerte petits prix » en indiquant « quelle destination les intéresse, quel jour et à quel prix », annonce la SNCF. Dès que le tarif demandé sera disponible, le client sera alerté et n'aura plus qu'à cliquer pour réserver.

    Autre nouveauté, l'intégration d'un « robot conversationnel » sur la page d'accueil du site permettra de réaliser une recherche en « langage naturel ». C'est-à-dire, plutôt que de remplir les cases habituelles, d'écrire : « Je veux partir à Nantes après-demain dans l'après-midi », et de se voir proposer les trains disponibles.

    Par ailleurs, oui.sncf propose un service client désormais disponible 24H/24 et 7 jours sur 7, y compris par téléphone. Une première dans le e-tourisme français, assure l'entreprise publique, qui promet de nombreuses autres innovations d'ici 2020.

    Le site représente déjà 50 % des ventes de billets grande vitesse , et sa part de marché continue d'enfler. L'entreprise va utiliser ce levier pour poursuivre l'essor des e-billets, qui sont par définition nominatifs, et donc ne peuvent par ensuite être revendus entre particuliers. Rachel Picard, la patronne de l'activité TGV, espère dans ce registre faire totalement disparaître d'ici deux ans les billets cartonnés au format IATA même si les e-billets pourront être imprimés sur d'autres supports).

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    [CONSO LAB] [DISTRIBUTION] | #Lidl France monte en gamme avec le #voyage sur #Internet | @Challenges

    FROM CHALLENGES | http://bit.ly/2wrrovf

    #Lidl France monte en gamme avec le #voyage sur #Internet

    Après la collection de mode, une activité de voyages sur Internet. Lidl France poursuit sa stratégie de montée en gamme.

    Le distributeur Lidl France étend ses activités au secteur du tourisme, en lançant une plateforme de réservation de voyages sur internet, avec l'intention de devenir "très vite" rentable dans ce domaine. Cinq ans après sa sortie du hard-discount, la filiale française du géant allemand de la distribution voulait "ajouter une nouvelle corde à son arc", illustrant sa volonté de "monter en gamme et de devenir un supermarché comme un autre", a expliqué Michel Biero, l'un des dirigeants du groupe en France lors d'une conférence de presse mardi soir. Une annonce qui intervient alors que Lidl lance par ailleurs une collection de mode, mise en vente à partir du 18 septembre.

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    Lidl n'est en effet pas le premier distributeur français à vendre des voyages: Carrefour, Auchan et Leclerc disposent également d'une activité de vente de séjours et circuits touristiques depuis plusieurs années. Casino et Cora ont en revanche fini par abandonner ce secteur, faute d'avoir pu en dégager une rentabilité suffisante.

    Sans dévoiler ses objectifs chiffrés, M. Biero "espère que cette activité devienne rentable très vite". Pour cela, Lidl France compte notamment s'appuyer sur l'expertise de sa maison-mère, qui gère déjà "avec succès" des activités voyages dans plusieurs autres pays d'Europe (Allemagne, Autriche, Suisse, Italie, Pays-Bas...) depuis une dizaine d'années.

    L'offre Lidl France portera sur des séjours en France et à l'étranger, des circuits, des croisières, ou encore des offres de thalassothérapie ou sur les parcs d'attraction. Une centaine de destinations seront proposées en partenariat avec des tour-opérateurs connus (MSC pour les croisières, Top of Travel pour les séjours...).

    Notre objectif n'est "pas forcément de casser les prix, mais de "proposer des offres au meilleur rapport qualité/prix et au plus proche des attentes du marché français", a expliqué le dirigeant français. La spécificité résidera en revanche dans la mise en place d'offres éphémères "défiant toute concurrence" chaque semaine, à l'image d'un site de ventes-privées ou de ce que Lidl a déjà instauré sur certains produits non-alimentaires. Ces offres seront proposées à des prix de 30% à 50% inférieurs aux tarifs habituels.

    Autre différence par rapport aux autres distributeurs: l'activité voyages de Lidl France sera "100% digitale", pour répondre aux nouvelles habitudes de consommation, qui voient la réservation de séjours en ligne prendre une importance croissante. A l'exception de la boutique prestige sur les Foires aux vins, "il s'agit de nos premiers véritables pas sur le e-commerce" en France, a tenu à souligner M. Biero.