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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] #Zara dévoile son #expérience #shopping #omnicanale la plus poussée | @FASHIONNETWORK

    DE ANAIS LEREVEREND | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2IC9Va5

    #Zara dévoile son #expérience #shopping #omnicanale la plus poussée

    Après plusieurs mois de rénovation, la boutique Zara du centre commercial Westfield Stratford à Londres rouvre ses portes avec un nouveau concept mêlant e-commerce et expérience shopping via une série d'innovations. Pour la première fois, un véritable espace est dédié à la gestion et au retrait des commandes, le jour même ou le lendemain si l'ordre est passé après 14h, dans un souci d'efficacité et de recherche d'une expérience client « sans couture ».

    C'est ce jeudi 17 mai que la réouverture de la boutique Zara Stratford de 4 500 mètres carrés a eu lieu. L'enseigne de prêt-à-porter a décidé de transformer l'expérience shopping du public en inaugurant donc, aux côtés des espaces dédiés aux collections femme, homme et enfant, un service entièrement dédié à l'achat et à la collecte de commandes passées en ligne. Un concept qui pourrait être progressivement élargi aux autres points de vente de la marque.

    Ainsi, les clients ayant choisi le retrait dans ce magasin peuvent se présenter le jour-même ou le lendemain matin dans la section dédiée. Là, en scannant un QR code ou renseignant un code PIN, ils activent un bras robotisé qui leur délivrera leur colis en quelques secondes seulement. L'espace peut gérer simultanément jusqu'à 2 400 commandes.

    Pour les clients en quête d'une expérience de shopping physique, plus longue que quelques secondes, le magasin propose également des innovations telles que des miroirs interactifs, équipés d'une technologie RFID qui reconnaît le vêtement essayé et suggère un look complet, mais aussi un nouveau système de paiement. Le groupe Inditex a fixé cette problématique au coeur du projet, pour proposer plus de souplesse et de choix aux consommateurs. Ceux-ci peuvent ainsi payer leurs commandes auprès des caisses classiques, des caisses automatisées, mais aussi grâce à leur mobile via l'application InWallet développée par le groupe espagnol. Ils peuvent notamment le faire directement auprès du personnel de la boutique équipé d'iPad dans ce but.

    Depuis la fermeture pour travaux en janvier, Zara avait profité de l'occasion pour tester un premier format de pop-up store totalement dédié au retrait et retour des commandes en ligne, comme un avant-goût du concept finalement dévoilé ce 17 mai.

    Côté innovations, le géant espagnol pousse en cette année 2018, après avoir dévoilé il y a quelques semaines une première expérience de réalité augmentée dans 120 de ses flagships internationaux.

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    [#CONSOLAB] [DIGITALISATION] | #Zara et #H&M, #concurrencés par #Internet, organisent leur #défense | @FASHIONNETWORK

    DE EMMANUELLE MICHEL | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2pnn13l

    #Zara et #H&M, #concurrencés par #Internet, organisent leur #défense

    Madrid, mars 2018 (AFP) - Investissements logistiques, nouvelles technologies... Face à la féroce concurrence d'Internet, notamment d'Amazon, les géants de la mode bon marché Zara et H&M mettent les bouchées doubles en essayant de faire de leurs magasins physiques des atouts pour leurs ventes en ligne.

    Séparés par de fines cloisons, quinze plateaux photos dédiés uniquement à la mise à jour du site internet s'alignent dans un recoin de l'immense siège de Zara, près de La Corogne dans le nord-ouest de l'Espagne. Sous le crépitement incessant des flashes, des mannequins - le casting change chaque semaine- enchaînent les poses, pour obtenir sept photos montrant chaque vêtement sous tous les angles. Au total, 1 500 photos sont mises en ligne deux fois par semaine, pour coller au rythme de renouvellement des modèles en magasins.

    "Les ventes en ligne sont en train de devenir un élément qui contribue de manière significative à la croissance de l'entreprise », assurait mercredi Pablo Isla, PDG du groupe Inditex, propriétaire de Zara. En 2017, ce segment a représenté 10 % des ventes, un chiffre dévoilé après des années de grande discrétion sur un virage pris avec un peu de retard, en 2010.

    Acquérir « plus de visibilité online » est le principal défi du groupe s'il veut rester « compétitif à long terme », estime Sergio Avila Luengo, analyste chez IG Markets. Selon lui, Inditex a eu plus de mal à écouter ses stocks en 2017 en raison de la concurrence des ventes textiles d'Amazon.

    En Suède chez H&M, on reconnaît que la chute des profits en 2017 est due en grande partie à la concurrence d'internet. Le marché de l'habillement subit « une grande transformation (...) qui représente un défi pour tout le monde », a expliqué le PDG Karl-Johan Persson mi-février. « Les grandes plateformes en ligne comme Amazon et Alibaba nuisent à notre industrie » et les nombreux petits sites spécialisés « sont réellement une force qui doit être prise en compte », selon lui.

    Aux Etats-Unis, Amazon était en 2016 le premier vendeur en ligne de vêtements, et il détient même 11 % du marché total de l'habillement (19 % prévus en 2020), selon des données compilées par Bloomberg. En Europe, le chausseur allemand online Zalando a vu ses ventes bondir de 25 % entre 2012 et 2015 et le site de mode britannique Asos de 34 %, selon la Fondation E-commerce.

    Zara, H&M, concurrencés, Internet, défense

    Défi logistique

    Pour faire face, H&M a dédié 45 % de ses investissements à internet en 2017, soit près de 600 millions d'euros, prévoyant un nouveau studio photo et des applications personnalisées pour ses clients. Inditex investit aussi, sans dévoiler de montant.

    Les deux groupes étendent progressivement la possibilité d'être livré le lendemain, voire le jour même après une commande online, puis de récupérer ou retourner facilement en magasin les vêtements. Ces services, cruciaux pour les clients, représentent un vrai défi logistique, face au rouleau-compresseur Amazon, à la « structure logistique bien plus grande, déjà adaptée à tous les types de produits », rappelle Sergio Avila Luengo. Dans sa contre-attaque, Inditex a ouvert dans le monde 19 entrepôts uniquement dédiés à internet, gérés comme des magasins à part entière. H&M lui emboîtera bientôt le pas.

    L'Espagnol comme le Suédois s'appuient aussi sur leurs milliers de boutiques y compris pour livrer les clients. Lorsque des ventes en ligne sont lancées sur un nouveau marché, « nous atteignons très vite la profitabilité (...) grâce à notre réseau de magasins qui fait de nous une marque célèbre et appréciée », a assuré à des investisseurs le directeur financier d'H&M Jirky Tervonen.

    Inditex a lourdement investi dans la rénovation de ses boutiques, supprimant les plus petites au profit d'immenses magasins « étendard » dans les centres-villes. Les deux groupes mettent en place des systèmes pour éviter de rater des ventes en magasin, lorsqu'une taille n'est pas disponible par exemple, en indiquant au client que le produit est immédiatement disponible en ligne.

    « La stratégie est de jouer l'omnicanalité, pour que les clients passent d'un mode de consommation à un autre. Les distributeurs qui développent à la fois leurs boutiques et les ventes en ligne sont assez performants », assure Gildas Minvielle, directeur de l'observatoire économique de l'Institut français de la mode.

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    [#CONSOLAB] [POPUP] | #Zara teste un #pop-up uniquement dédié aux #commandes en #ligne | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2nnvXUK

    #Zara teste un #pop-up uniquement dédié aux #commandes en #ligne

    Profitant de l'occasion de la fermeture d’un magasin avant une extension et une rénovation d’ampleur, Inditex s’offre un laboratoire grandeur nature à Londres : le groupe espagnol ouvre les portes le 26 janvier d’un espace temporaire consacré à la réception d’achats en ligne, mais aussi à la prise de commande. Une première pour le géant de la distribution.

    Au sein du centre commercial Westfield Stratford, ce pop-up de 200 mètres carrés présente une offre restreinte des collections féminine et masculine de la chaîne. Les visiteurs pourront commander sur place ces modèles ou d’autres articles à sélectionner sur tablette. La réception des commandes s’effectuera le jour même (si transaction validée avant 14h) ou le lendemain. Le paiement mobile sera de mise, puisque les conseillers de vente seront équipés de terminaux fonctionnant via Bluetooth.

    D’autres services digitaux y seront testés, à l’instar d’écrans d’informations intégrés à des miroirs et disposant d’un système de recommandation produit. Concrètement, un client scanne l’étiquette RFID du vêtement qui l’intéresse et l’interface lui propose et affiche différents articles afin de coordonner un look complet ou des accessoires.

    Ce pop-up store annonce en fait le nouveau concept retail mondial de Zara, qui sera ensuite installé à cette adresse en mai prochain. Un magasin qui doublera de taille pour atteindre 4 500 mètres carrés. Il s’agira d’un « nouveau format radical, plaçant la technologie au centre, pensé pour transformer l’expérience shopping des clients », expose le groupe. Celui-ci abritera quatre espaces : soit trois univers dédiés à la mode femme, homme et enfant, mais surtout un lieu de retrait et de passage de commande, comme expérimenté en pop-up.

    La réception des commandes Web sera totalement automatisée : un robot assure la liaison entre un petit entrepôt en boutique pouvant gérer 2 400 colis et une sorte de boîte aux lettres à travers laquelle le client, après avoir renseigné son QR code ou son code PIN, récupère aussitôt sa commande. Des caisses en libre-service, proposant un paiement via smartphone, seront également installées, en complément des caisses classiques.

    Pour Pablo Isla, PDG d’Inditex, ces deux projets marquent « une étape importante dans notre stratégie d’intégration de nos magasins dans le monde online, définissant aujourd’hui notre identité en tant qu’entreprise ». Le format londonien sera donc dupliqué par la suite sur les différents marchés où l'enseigne est présente. Le géant espagnol a enregistré, sur les neuf premiers mois de son exercice 2017, des ventes en hausse de 10 %, à 17,96 milliards d'euros, assorties d’un bénéfice net en progression de 6 %. 

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    Chez #Zara, des #etiquettes malines pour mieux gérer les #stocks [#RFID]

    Le groupe de prêt-à-porter Zara commence à déployer à grande échelle un système d’étiquetage par radio fréquence. Un pas de plus dans le processus de « fast fashion ».

    Le groupe de prêt-à-porter Zara commence à déployer à grande échelle un système d’étiquetage par radio fréquence. Un pas de plus dans le processus de « fast fashion ».

    Inditex continue d’affiner l’efficacité de son modèle logistique. La mise en place d’étiquettes intelligentes, équipées d’un système de radio fréquences RFID (Radio-Frequency Identification), devrait ainsi lui offrir une meilleure évaluation de ses stocks. Un atout qui facilitera le réassortiment des rayons. Testé depuis 2013, le système fonctionne déjà dans plus de 1.500 magasins Zara dans le monde. Le géant de la mode à petits prix, célèbre pour sa capacité à dessiner, fabriquer et mettre en vente ses modèles dans un délai de quinze jours dans toutes ses boutiques du globe, accélère ainsi encore un peu plus le processus de « fast fashion ».

    Le nouveau système offre la possibilité d’un suivi de chaque pièce depuis sa livraison par le fabricant. Ainsi, toutes les palettes de marchandises qui transitent par les plateformes logistiques du groupe sont d’abord passées sous des arcs de lecture qui permettent, sans ouvrir les caisses, de compter les pièces. Ce procédé permet ensuite de « charger » chaque étiquette d’informations sur le modèle, la taille et la couleur, et au fur et à mesure du circuit, au sein du centre logistique, d’y ajouter des données sur son magasin de destination, avant sa sortie en camion vers son lieu de livraison.

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