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    [LSA] [E-COMMERCE] | L’#e-#commerce porté par la #hausse de la #fréquence d’#achats en #ligne | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2BZIt6u

    L’#e-#commerce porté par la #hausse de la #fréquence d’#achats en #ligne

    Facteur clé du dynamisme du secteur, la croissance de la fréquence d’achats lui a permis de rebondir depuis trois ans après le ralentissement enregistré en 2014.

    En France, l’e-commerce pèse désormais 9% du commerce de détail. Les dépenses en ligne ont atteint 81,7 milliards d’euros en 2017, soit 14,3% de plus qu’en 2016, selon la Fédération de l’e-commerce et de la vente à distance (Fevad). Le panier moyen des achats en ligne a beau décliner depuis 2011 pour se rapprocher de celui de la distribution physique (50 €), de nombreux facteurs se conjuguent pour compenser ce phénomène: la hausse du nombre de sites marchands actifs et de celui de cyberacheteurs, mais surtout de la fréquence d’achats en ligne. L’an dernier, les e-acheteurs ont en moyenne effectué 33 commandes, au lieu de 28 en 2016. Or cette fréquence augmente fortement depuis trois ans, puisque cette croissance de 19% était déjà de 21% en 2016 et de 19% en 2015. Selon une enquête CSA/ Fevad, 65% des cyberacheteurs ont commandé en ligne au moins une fois par mois l’an dernier, soit 7 points de plus qu’en 2016 et 34 points de plus qu’en 2013. «En dix ans, les dépenses en ligne moyennes d’un cyberacheteur sont passées de 763 € à 2184 € par an», commente Marc Lolivier, délégué général de la Fevad.

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    Pourquoi la fréquence d’achats augmente-t-elle autant ? Du fait de l’offre toujours plus large et de l’expérience en ligne toujours plus aboutie, qui ancrent ces habitudes de consommation. Mais aussi en raison de la montée en puissance du mobile comme des services de livraisons illimitées sur abonnement, qui multiplient les occasions d’acheter en ligne. 34% des e-acheteurs déclarent ainsi avoir souscrit à un tel abonnement (à 25% celui d’Amazon, à 9% celui de Cdiscount, à 7% celui de la Fnac...). Enfin, le développement de l’omnicanal et du phygital augmente mécaniquement le nombre des transactions électroniques comptabilisées par les enseignes. La croissance du secteur avait ralenti en 2014, tombant à 11%. Il n’est plus question aujourd’hui d’une arrivée à maturité qui entamerait son dynamisme. En 2018, la Fevad prévoit qu’il pèsera 93,2 milliards d’euros. La barre des 100 milliards devrait être allégrement franchie en 2019.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Achats en #ligne : #51% des #Français #influencés par les #avis | @FASHIONNETWORK

    DE RELAXNEWS | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2Eb1ns0

    #Achats en #ligne : #51% des #Français #influencés par les #avis

    Quelque 51% des Français seraient sensibles aux avis en ligne pour acheter un produit ou un service sur Internet malgré des doutes sur la véracité des commentaires (86%), d'après un baromètre PagesJaunes réalisé avec OpinionWay sur les avis en ligne.

    Les 18-24 ans (68%) seraient les plus concernés, selon le baromètre qui a sondé 2 003 Français sur leurs usages et attentes des avis en ligne. 77% des Français consultent les avis tant pour choisir un produit qu'un professionnel ou un commerce (plombiers, restaurants, garagistes...), selon l'étude.

    Les avis les plus consultés concernent le choix d'un bon restaurant (64%), suivis des commentaires sur les activités touristiques ou loisirs (60%), les commerces non alimentaires (34%), les artisans du BTP (27%) et enfin les professionnels de santé (27%).

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    Pour mieux choisir un professionnel, les Français souhaiteraient davantage d'avis sur les artisans dépannage/installateurs (46%), les artisans du BTP (45%) et les médecins ou paramédicaux (42%). Pour 86% des interrogés, il est cependant difficile de distinguer les vrais des faux avis.

    Selon l'étude, 60% des Français déposent des critiques sur Internet : lorsqu'ils ont été satisfaits de l'expérience, 20% des Français déclarent poster un avis favorable contre 12% qui partagent leur mécontentement. 68% déclarent faire cette démarche dans un état d'esprit contributif qu'ils soient satisfaits ou non.

    Enfin, pour 67% des Français, les avis en ligne jouent un rôle prépondérant dans la réputation d'une marque ou d'une entreprise tandis que deux tiers des entreprises sondées avouent ne pas savoir ce qui se dit sur elles sur Internet. L'enquête PagesJaunes a été réalisée du 19 juin au 21 juillet 2017 par OpinionWay auprès d'un échantillon de 2 003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, ainsi qu'un échantillon de 1 003 TPE-PME représentatives des entreprises de moins de 250 salariés, exceptés les entreprises du secteur Industrie.

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    [#CONSOLAB] [ACHATS] | Plus de #60% des #Français #achètent en #ligne | @ECOMMERCEMAG.FR

    DE CLEMENT FAGES | ECOMMERCE MAG.FR |http://bit.ly/2EuRfrG

    Plus de #60% des #Français #achètent en #ligne

    Un peu plus de six internautes sur dix achètent en ligne d'après We Are Social et Hootsuite, qui publient leur rapport digital annuel sur les tendances du digital, du social media et du e-commerce où l'on apprend aussi que deux millions de Français se sont mis aux réseaux sociaux l'an passé.

    Le nombre d'internautes dans le monde a augmenté de 7% en 2017 et dépasse les 4 milliards, dont 79% utilisent les réseaux sociaux. L'an passé, un million d'utilisateurs a fait ses premiers pas sur les réseaux sociaux chaque jour, soit une hausse globale de 13%. Compte tenu du nombre d'internautes, 2018 sera l'année où l'humanité franchira, en nombre d'heures cumulées, la barre du milliard d'années passées en ligne, dont 365 millions sur les réseaux sociaux.

    Ces chiffres sont issus du Rapport Digital Annuel 2018, publié par la plateforme de gestion des réseaux sociaux Hootsuite et l'agence social media We Are Social, qui se penche notamment sur les pratiques spécifiques aux internautes français. Ces derniers passent en moyenne chaque jour plus d'une heure sur les réseaux sociaux, et presque six sur dix s'y connectent chaque mois, soit une hausse de 2 millions de nouveaux utilisateurs en 2017.

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    La question du e-commerce est abordée: en 2017, 1,8 milliard de personnes ont acheté un bien sur Internet, soit une hausse de 8% par rapport à 2016. 1500 milliards de dollars ont ainsi été dépensés sur ce canal pour l'achat de biens, soit 16% de plus qu'en 2016, et ce montant s'élèverait à 2000 milliards si on y ajoute les dépenses immatérielles (contenus et applications, voyages, etc.). En France, 61% des internautes ont acheté un produit ou un service en ligne, principalement dans les catégories mode et beauté (12 milliards d'euros, +12%), voyages (8,15 milliards d'euros, +8%) et loisirs (7,43 milliards d'euros, +10%).

    L'étude se penche également sur la progression des différents réseaux sociaux, à commencer par Facebook et ses 2,17 milliards d'utilisateurs (+15% en 2017), suivi par ses applications de messagerie Messenger et WhatsApp, qui connaissent toutes les deux une croissance de 30% l'an passé. On en apprend également un peu plus sur les taux d'engagements des posts publiés par les Français sur le principal réseau mondial: de 4,95% d'engagement moyen, on passe à 8,29% pour les posts comportant une vidéo, 6,76% pour ceux avec une photo et 6,37% pour ceux qui comprennent un lien.

     

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    [#CONSOLAB] [LANCEMENT] | Le #groupe #H&M #lance sa #plateforme #discount #Afound en #ligne et en #boutique | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2rWr4Yb

    Le #groupe #H&M #lance sa #plateforme #discount #Afound en #ligne et en #boutique

    Le groupe H&M investit le digital pour contrer son ralentissement sur le plan du retail. Il a officialisé le 31 janvier le lancement d’une marketplace multimarque nommée Afound, dédiée à une offre d’habillement homme et femme et de produits lifestyle. En service dès 2018, le site aura pour spécificité de proposer des rabais allant jusqu’à -70 %.

    Uniquement disponible en Suède pour ses débuts, le site est d’ores et déjà en ligne, mais n’est pas encore achalandé. Il est simplement proposé aux visiteurs de s’enregistrer pour bénéficier d’un accès en avant-première. Cet outlet, qui offrira, selon le groupe, des « deals fantastiques », accueillera ses différentes marques (H&M, Cos, Monki…), mais aussi toute une série de labels internationaux. L’offre se répartira sur des segments de prix variés et inclura des séries limitées de produits créés spécialement par les marques pour le site. Une soixantaine de griffes auraient déjà signé avec le groupe, selon le média suédois Breakit.

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    Afound n’est pas seulement un portail Web. Son lancement s’accompagnera de l’ouverture d’une première boutique physique à Stockholm, sur l’artère Drottninggatan. « Afound se soucie à la fois de la valeur des produits et de l’assortiment. En présentant au client des labels de qualité et le sentiment que vous faites vraiment une bonne affaire, Afound offrira une nouvelle forme d’expérience off-price (prix barrés, ndlr) », expose Fredrik Svartling, le directeur général de la plateforme, qui a occupé le poste de directeur des ventes H&M aux Etats-Unis entre 2006 et 2015.

    La société scandinave ne dévoile pas encore ses ambitions en matière de développement, mais il s’agit à coup sûr d’un projet qui pourra être dupliqué à l’international, à la fois en ligne et physiquement. Afound s’inscrit pleinement dans sa stratégie (essentielle) de transformation pour tenter de s’adapter aux nouvelles manières de consommer la mode, vers un modèle incluant davantage le digital. Sur l’année 2017, le distributeur suédois a généré des ventes en hausse de 4 %, mais a vu son bénéfice net reculer de 13 %.

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    [#CONSOLAB] [POPUP] | #Zara teste un #pop-up uniquement dédié aux #commandes en #ligne | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2nnvXUK

    #Zara teste un #pop-up uniquement dédié aux #commandes en #ligne

    Profitant de l'occasion de la fermeture d’un magasin avant une extension et une rénovation d’ampleur, Inditex s’offre un laboratoire grandeur nature à Londres : le groupe espagnol ouvre les portes le 26 janvier d’un espace temporaire consacré à la réception d’achats en ligne, mais aussi à la prise de commande. Une première pour le géant de la distribution.

    Au sein du centre commercial Westfield Stratford, ce pop-up de 200 mètres carrés présente une offre restreinte des collections féminine et masculine de la chaîne. Les visiteurs pourront commander sur place ces modèles ou d’autres articles à sélectionner sur tablette. La réception des commandes s’effectuera le jour même (si transaction validée avant 14h) ou le lendemain. Le paiement mobile sera de mise, puisque les conseillers de vente seront équipés de terminaux fonctionnant via Bluetooth.

    D’autres services digitaux y seront testés, à l’instar d’écrans d’informations intégrés à des miroirs et disposant d’un système de recommandation produit. Concrètement, un client scanne l’étiquette RFID du vêtement qui l’intéresse et l’interface lui propose et affiche différents articles afin de coordonner un look complet ou des accessoires.

    Ce pop-up store annonce en fait le nouveau concept retail mondial de Zara, qui sera ensuite installé à cette adresse en mai prochain. Un magasin qui doublera de taille pour atteindre 4 500 mètres carrés. Il s’agira d’un « nouveau format radical, plaçant la technologie au centre, pensé pour transformer l’expérience shopping des clients », expose le groupe. Celui-ci abritera quatre espaces : soit trois univers dédiés à la mode femme, homme et enfant, mais surtout un lieu de retrait et de passage de commande, comme expérimenté en pop-up.

    La réception des commandes Web sera totalement automatisée : un robot assure la liaison entre un petit entrepôt en boutique pouvant gérer 2 400 colis et une sorte de boîte aux lettres à travers laquelle le client, après avoir renseigné son QR code ou son code PIN, récupère aussitôt sa commande. Des caisses en libre-service, proposant un paiement via smartphone, seront également installées, en complément des caisses classiques.

    Pour Pablo Isla, PDG d’Inditex, ces deux projets marquent « une étape importante dans notre stratégie d’intégration de nos magasins dans le monde online, définissant aujourd’hui notre identité en tant qu’entreprise ». Le format londonien sera donc dupliqué par la suite sur les différents marchés où l'enseigne est présente. Le géant espagnol a enregistré, sur les neuf premiers mois de son exercice 2017, des ventes en hausse de 10 %, à 17,96 milliards d'euros, assorties d’un bénéfice net en progression de 6 %.