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    [#PromiseConsulting] [#Consolab] Qui est Zooplus, 9ème plus gros e-marchand de France ?

    Via LSA | JEAN-NOËL CAUSSIL | ENTREPRISES, DISTRIBUTEURS , ANIMALERIE, PETFOOD

    PUBLIÉ LE 13/09/2019

    Amazon s’arroge plus d’un achat en ligne sur cinq en France, révélait hier LSA. Mais, dans le top 10 que nous avons publié, un nom étonnait : au neuvième rang se trouve Zooplus, une enseigne spécialisée dans l’animalerie en ligne. On vous explique pourquoi cette surprise n’en est pas une.

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    #achats #application #amazon #new #innovation #animaux #food #best #france #pets #zooplus @zooplus

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    [#CONSOLAB] [COMMERCE VOCAL] | #Assistants #vocaux : seuls 2% des utilisateurs d'#Amazon #Alexa font des #achats avec | @LUSINEDIGITALE

    DE FLORIANE LECLERC | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2vLFGs9

    #Assistants #vocaux : seuls 2% des utilisateurs d'#Amazon #Alexa font des #achats avec

    Bien qu’Amazon ait vendu près de 50 millions d’appareils compatibles avec son assistant vocal Alexa, seuls 2% de ses usagers s'en servirait pour effectuer des achats. Des éléments qui relativisent les prévisions optimistes concernant la croissance du commerce vocal.

    Avec un marché estimé à 40 milliards de dollars d’ici 2022 selon une étude du cabinet OC&C Strategy Consultants, les assistants vocaux apparaissent comme un outil incontournable de notre futur proche. Ils sont, entre autres, souvent présentés comme pouvant révolutionner notre façon d’acheter. Monoprix, Sephora, Carrefour et bien sûr Amazon testent par exemple des applications vocales de commande et de paiement destinées à faciliter l’acte d’achat. Mais les consommateurs sont-ils vraiment séduits par cet usage ? Pas d'après le média d'investigation The Information.

    Seuls 2% des utilisateurs achètent via Alexa

    Dans un article publié le 6 août, le média révèle qu'Amazon a vendu près de 50 millions d'appareils compatibles avec Alexa (son assistant vocal), mais que seuls 2% des utilisateurs l'ont utilisé pour acheter quelque chose en 2018. Pis, parmi les personnes ayant acheté quelque chose via Alexa, près de 90% n'auraient pas réessayé. Maigre consolation, environ 20% des clients auraient utilisé Alexa pour suivre l'expédition d'une commande déjà effectuée par un autre biais ou pour se renseigner sur les promotions du moment. Ces informations proviennent de deux personnes ayant eu accès aux études internes d’Amazon sur le sujet.

    Les assistants vocaux, tout sauf un canal d'achat ?

    Plutôt qu’un canal d’achat, les assistants vocaux s'apparenteraient donc plus à un nouvel outil marketing. Mais ce sont leurs usages autres que l'e-commerce qui semblent surtout être prisés des utilisateurs, d'après The Information. Une étude du site Voicebot.ai sur les requêtes les plus couramment adressées aux assistants vocaux en 2018 souligne que les usagers les utilisent, certes, pour s’informer sur les horaires et jours d’ouverture des magasins ou pour se renseigner sur un produit, mais qu’ils privilégiaient les questions concernant la musique, la recherche d'information ou encore les tutoriels. Nombre d’assistants vocaux, via notamment les enceintes connectées, servent également de hub domotique pour contrôler sa smart home sans avoir à lever le petit doigt.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #Amazon #Business : les #achats #professionnels partout en #Europe | @LSA

    DE LSA |

    #Amazon #Business : les #achats #professionnels partout en #Europe

    Amazon étend son service dédié aux achats professionnels à l’Italie et l’Espagne, deux nouveaux pays sur lesquels les entreprises vont pouvoir capitaliser pour optimiser leurs dépenses mais également leurs ventes. Explications…

    Amazon

    Business se déploie progressivement à travers le monde. Après les États-Unis, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Inde, le Japon et depuis février dernier la France, c’est au tour de l’Italie et de l’Espagne de proposer ce service destiné aux achats professionnels. Calqué sur le modèle qui a fait le succès du site grand public, il propose une interface similaire avec la possibilité d’effectuer des recherches par produit, de comparer les offres ou encore de visualiser les commentaires d’autres acheteurs. Mais Amazon Business embarque aussi des fonctionnalités spécialement pensées pour les besoins des entreprises, telles que le paiement à 30 jours, la création des comptes multi-utilisateurs  avec la possibilité de créer des flux de validation, l’affichage des prix hors TVA pour les produits éligibles, l’accès à un système de reporting pour un meilleur suivi des dépenses ou encore l’ajout de numéros de bons de commande ou toute autre information facilitant la réconciliation comptable. Plus récemment, Amazon a aussi concrétisé une promesse faite lors du lancement, à savoir des prix exclusifs pour les entreprises et des remises sur les achats en volume. Responsable du support IT en charge des achats pour son service chez Webedia, Christophe Cuvinot se réjouit de ces évolutions : « Nous nous fournissons sur Amazon depuis cinq ans environ pour de l’équipement IT, du mobilier mais aussi des choses plus anecdotiques comme du vernis à ongles que nous utilisons parfois pour marquer nos écrans. Avec Amazon Business, je peux déléguer les achats tout en conservant le contrôle. Parallèlement, le rapprochement comptable est devenu beaucoup plus facile. Nous gagnons tous un temps précieux ». Spécialisé dans les médias en ligne, Webedia est une entreprise qui bouge vite avec des besoins qui peuvent changer du jour au lendemain. « Pour bénéficier de prix avantageux, il faut souvent acheter en volume ce qui nous oblige à immobiliser du budget alors que nous pouvons en avoir besoin pour des dépenses imprévues urgentes. De plus, nous n’avons pas la place pour stocker. Avec Amazon Business, cette problématique disparait parce que les prix sont compétitifs même quand on achète à l’unité et que la logistique est d’une efficacité telle qu’on n’a jamais peur d’être en rupture de stock », souligne Christophe Cuvinot. Et d’ajouter « Il arrive même que les prix sur Amazon soient plus intéressants que ceux négociés via des contrats-cadres traditionnels et, quand ce n’est pas le cas, la différence est tellement minime que la logistique d’Amazon fait toute la différence ».

    Ouvert à toutes les entreprises quelle que soit leur taille, Amazon Business est un service gratuit qui propose plus de 250 millions de produits, allant des composants informatiques aux fournitures de bureau en passant par des équipements spécialisés pour certains secteurs d’activité, tels que l’automobile, les écoles, les laboratoires, les restaurants ou les usines. Cinq mois après son lancement en France, il compte déjà de nombreux clients tels que Ralph Mansour, CEO et cofondateur de Le Closet, start-up française qui révolutionne la consommation de la mode : « Amazon Business a transformé de façon radicale nos achats professionnels. Grâce à l’automatisation des processus, nous gagnons un temps considérable ». Miles Wang, directeur des systèmes d’information et Product Management Officer chez Flornoy et Associés Gestion a également basculé il y a environ un mois ses achats du site grand public vers le service pour entreprises. « Depuis que nous utilisons Amazon Business, la tâche mensuelle de réconciliation entre les transactions de paiement et les pièces comptables a pu être simplifiée au point de faire économiser plusieurs heures de travail à mon équipe chaque mois », précise-t-il. CPO de Chateauform City et College, groupe spécialisé dans les séminaires résidentiels, Benjamin Abittan se réjouit pour sa part de la couverture de deux nouveaux pays : « Avec l’ouverture du service en Espagne et en Italie, nous allons renforcer l’optimisation de nos dépenses en permettant à nos entités partout en Europe de bénéficier d’une logistique locale et d’effectuer les commandes dans leur propre langue ».

    « L’arrivée du service sur amazon.it et amazon.es va profiter à toutes les entreprises françaises qui souhaitent optimiser leurs achats en se fournissant partout en Europe », confirme Amélie Veron, responsable Amazon Business en France. « Parallèlement, avec ces deux nouveaux pays, Amazon multiplie les opportunités pour les vendeurs français, grands comptes, PME ou TPE, d’étendre leur zone de chalandise aux entreprises européennes ». En effet le service est aussi ouvert aux vendeurs tiers, soit à toutes les entreprises françaises qui veulent profiter du savoir-faire d’Amazon pour non seulement étendre leurs ventes aux achats professionnels mais également à l’international.

     

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    [LSA] [E-COMMERCE] | L’#e-#commerce porté par la #hausse de la #fréquence d’#achats en #ligne | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2BZIt6u

    L’#e-#commerce porté par la #hausse de la #fréquence d’#achats en #ligne

    Facteur clé du dynamisme du secteur, la croissance de la fréquence d’achats lui a permis de rebondir depuis trois ans après le ralentissement enregistré en 2014.

    En France, l’e-commerce pèse désormais 9% du commerce de détail. Les dépenses en ligne ont atteint 81,7 milliards d’euros en 2017, soit 14,3% de plus qu’en 2016, selon la Fédération de l’e-commerce et de la vente à distance (Fevad). Le panier moyen des achats en ligne a beau décliner depuis 2011 pour se rapprocher de celui de la distribution physique (50 €), de nombreux facteurs se conjuguent pour compenser ce phénomène: la hausse du nombre de sites marchands actifs et de celui de cyberacheteurs, mais surtout de la fréquence d’achats en ligne. L’an dernier, les e-acheteurs ont en moyenne effectué 33 commandes, au lieu de 28 en 2016. Or cette fréquence augmente fortement depuis trois ans, puisque cette croissance de 19% était déjà de 21% en 2016 et de 19% en 2015. Selon une enquête CSA/ Fevad, 65% des cyberacheteurs ont commandé en ligne au moins une fois par mois l’an dernier, soit 7 points de plus qu’en 2016 et 34 points de plus qu’en 2013. «En dix ans, les dépenses en ligne moyennes d’un cyberacheteur sont passées de 763 € à 2184 € par an», commente Marc Lolivier, délégué général de la Fevad.

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    Pourquoi la fréquence d’achats augmente-t-elle autant ? Du fait de l’offre toujours plus large et de l’expérience en ligne toujours plus aboutie, qui ancrent ces habitudes de consommation. Mais aussi en raison de la montée en puissance du mobile comme des services de livraisons illimitées sur abonnement, qui multiplient les occasions d’acheter en ligne. 34% des e-acheteurs déclarent ainsi avoir souscrit à un tel abonnement (à 25% celui d’Amazon, à 9% celui de Cdiscount, à 7% celui de la Fnac...). Enfin, le développement de l’omnicanal et du phygital augmente mécaniquement le nombre des transactions électroniques comptabilisées par les enseignes. La croissance du secteur avait ralenti en 2014, tombant à 11%. Il n’est plus question aujourd’hui d’une arrivée à maturité qui entamerait son dynamisme. En 2018, la Fevad prévoit qu’il pèsera 93,2 milliards d’euros. La barre des 100 milliards devrait être allégrement franchie en 2019.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Achats en #ligne : #51% des #Français #influencés par les #avis | @FASHIONNETWORK

    DE RELAXNEWS | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2Eb1ns0

    #Achats en #ligne : #51% des #Français #influencés par les #avis

    Quelque 51% des Français seraient sensibles aux avis en ligne pour acheter un produit ou un service sur Internet malgré des doutes sur la véracité des commentaires (86%), d'après un baromètre PagesJaunes réalisé avec OpinionWay sur les avis en ligne.

    Les 18-24 ans (68%) seraient les plus concernés, selon le baromètre qui a sondé 2 003 Français sur leurs usages et attentes des avis en ligne. 77% des Français consultent les avis tant pour choisir un produit qu'un professionnel ou un commerce (plombiers, restaurants, garagistes...), selon l'étude.

    Les avis les plus consultés concernent le choix d'un bon restaurant (64%), suivis des commentaires sur les activités touristiques ou loisirs (60%), les commerces non alimentaires (34%), les artisans du BTP (27%) et enfin les professionnels de santé (27%).

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    Pour mieux choisir un professionnel, les Français souhaiteraient davantage d'avis sur les artisans dépannage/installateurs (46%), les artisans du BTP (45%) et les médecins ou paramédicaux (42%). Pour 86% des interrogés, il est cependant difficile de distinguer les vrais des faux avis.

    Selon l'étude, 60% des Français déposent des critiques sur Internet : lorsqu'ils ont été satisfaits de l'expérience, 20% des Français déclarent poster un avis favorable contre 12% qui partagent leur mécontentement. 68% déclarent faire cette démarche dans un état d'esprit contributif qu'ils soient satisfaits ou non.

    Enfin, pour 67% des Français, les avis en ligne jouent un rôle prépondérant dans la réputation d'une marque ou d'une entreprise tandis que deux tiers des entreprises sondées avouent ne pas savoir ce qui se dit sur elles sur Internet. L'enquête PagesJaunes a été réalisée du 19 juin au 21 juillet 2017 par OpinionWay auprès d'un échantillon de 2 003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, ainsi qu'un échantillon de 1 003 TPE-PME représentatives des entreprises de moins de 250 salariés, exceptés les entreprises du secteur Industrie.

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    [#CONSOLAB] [ALLIANCE] | #Fnac Darty et #Carrefour s’#allient pour #négocier leurs #achats d'#électroménager et d'#électronique |@20MINUTES

    DE 20 MINUTES | http://bit.ly/2zR8oIN

    #Fnac Darty et #Carrefour s’#allient pour #négocier leurs #achats d'#électroménager et d'#électronique

    Alliance, synergies, franchises… Au lendemain de la présentation de son plan stratégique aux analystes et investisseurs, le groupe Fnac Darty, né du rachat à l'été 2016 de la Darty par la Fnac, continue de dévoiler ses ambitions;

    Après avoir annoncé lundi l’ouverture de 200 magasins Fnac Darty en franchise dans les prochaines années, le groupe a indiqué ce mardi avoir signé une alliance avec Carrefour pour négocier ensemble leurs achats de produits électroménagers et électroniques grand public en France. Les alliances entre concurrents dans le domaine des achats se sont multipliées ces dernières années provoquant parfois l’inquiétude des partenaires sociaux et des fournisseurs.

    Cet accord, qui doit encore être soumis à l’information préalable de l’Autorité de la concurrence, faisait l’objet de rumeurs d’autant que l’actuel patron de Carrefour, Alexandre Bompard n'est autre que l'ancien PDG de Fnac Darty. 

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    Dans son plan stratégique dévoilé lundi, Fnac Darty confirme un objectif de 130 millions d’euros d’économie au titre des synergies d’ici à fin 2018. Le groupe vise aussi une forte croissance de son réseau de magasins avec l’ouverture de 200 magasins en franchise soit sous l’enseigne Fnac soit sous l’enseigne Darty, soit les deux, afin de conquérir de « nouveaux territoires », a expliqué Enrique Martinez, directeur général du groupe depuis juillet, lors d’une conférence téléphonique. Ces ouvertures se feront en France et à l’international.

    Il est également prévu des espaces Fnac Darty dans les supermarchés et les galeries commerciales et des espaces dédiés « Darty Cuisine ». Le groupe aux deux enseignes veut développer une gamme de services dits « premium » pour ses clients, mais aussi développer la meilleure complémentarité possible entre l’offre et les services, tant en magasins qu’en ligne.