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    [#PromiseConsulting] [#Consolab] Hydrogène naturel : Aliou Diallo, pionnier d’une nouvelle industrie énergétique

    Via Newsdeconso, 16 septembre 2019

    Depuis le début des années 2000, l’homme d’affaires malien Aliou Diallo s’est lancé dans un projet ambitieux et écologique : produire de l’électricité verte à partir de l’hydrogène naturel. Son entreprise Petroma Inc s’attèle à cette tâche dans le village de Bourakébougou, à soixante kilomètres de Bamako, la capitale du Mali.

    Aliou Diallo est considéré au Mali comme l’homme de tous les miracles. Sa société Petroma Inc, via la filiale Hydroma-SA, transforme l’hydrogène naturel en électricité verte depuis huit ans dans la région de Bourakébougou. Le milliardaire malien devient ainsi le pionnier de l’exploitation de l’hydrogène naturel au Mali.

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    #innovation #consommation #energie #pionnier #business #entrepreneur #industrie 

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    [#CONSOLAB] [BUSINESS] | #WhatsApp va lancer sa solution #business à destination des #entreprises | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2MbYnfG

    #WhatsApp va lancer sa solution #business à destination des #entreprises

    Facebook, dont la croissance ralentit, va tenter de gagner de l'argent avec sa messagerie WhatsApp en faisant payer certaines entreprises voulant dialoguer avec leurs clients, ont annoncé les deux entités mercredi.destination des #entreprises

    Après de premiers tests annoncés l'an dernier, WhatsApp lance désormais officiellement sa solution « business », qui va permettre aux entreprises d'envoyer des messages à des clients qui les ont déjà contactées via WhatsApp, explique Facebook, donnant comme exemples le suivi d'une livraison, des rappels de rendez-vous ou des billets d'avion.

    Sur son blog dédié au « business », Facebook précise que les messages ne devront pas être promotionnels, qu'ils seront cryptés comme tous les messages WhatsApp et que l'on pourra à tout moment bloquer l'entreprise pour ne plus recevoir de messages.

    L'entreprise pourra répondre gratuitement aux requêtes de ses clients sous 24 heures. Passé ce délai, les messages lui seront facturés, précise Facebook, qui indique avoir testé cette solution avec plus de 90 grandes entreprises comme Singapore Airlines ou Uber.

    Il était déjà possible de dialoguer avec des entreprises mais de façon assez rudimentaire, selon WhatsApp, qui veut donc rationaliser les échanges et en tirer des recettes.

    Facebook tire la quasi-totalité de ses revenus de la publicité, mais manque désormais de place pour insérer davantage de publicité sur sa plateforme, d'où sa volonté de chercher de nouveaux débouchés, notamment sur ses services de messagerie Messenger ou WhatsApp.

    Le premier réseau social du monde avait racheté WhatsApp, qui revendique aujourd'hui 1,5 milliard d'utilisateurs, début 2014 pour environ 20 milliards de dollars.

    Les deux cofondateurs de WhatsApp, Jan Koum et Brian Acton, avaient quitté Facebook en mai 2018 et en 2017 respectivement, sur fond, selon la presse américaine, de désaccords avec les dirigeants de Facebook concernant la confidentialité des données ou la monétisation de la messagerie.

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    [#CONSOLAB] [BUSINESS] | #WhatsApp va lancer sa solution #business à destination des #entreprises | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2MbYnfG

    #WhatsApp va lancer sa solution #business à destination des #entreprises

    Facebook, dont la croissance ralentit, va tenter de gagner de l'argent avec sa messagerie WhatsApp en faisant payer certaines entreprises voulant dialoguer avec leurs clients, ont annoncé les deux entités mercredi.destination des #entreprises

    Après de premiers tests annoncés l'an dernier, WhatsApp lance désormais officiellement sa solution « business », qui va permettre aux entreprises d'envoyer des messages à des clients qui les ont déjà contactées via WhatsApp, explique Facebook, donnant comme exemples le suivi d'une livraison, des rappels de rendez-vous ou des billets d'avion.

    Sur son blog dédié au « business », Facebook précise que les messages ne devront pas être promotionnels, qu'ils seront cryptés comme tous les messages WhatsApp et que l'on pourra à tout moment bloquer l'entreprise pour ne plus recevoir de messages.

    L'entreprise pourra répondre gratuitement aux requêtes de ses clients sous 24 heures. Passé ce délai, les messages lui seront facturés, précise Facebook, qui indique avoir testé cette solution avec plus de 90 grandes entreprises comme Singapore Airlines ou Uber.

    Il était déjà possible de dialoguer avec des entreprises mais de façon assez rudimentaire, selon WhatsApp, qui veut donc rationaliser les échanges et en tirer des recettes.

    Facebook tire la quasi-totalité de ses revenus de la publicité, mais manque désormais de place pour insérer davantage de publicité sur sa plateforme, d'où sa volonté de chercher de nouveaux débouchés, notamment sur ses services de messagerie Messenger ou WhatsApp.

    Le premier réseau social du monde avait racheté WhatsApp, qui revendique aujourd'hui 1,5 milliard d'utilisateurs, début 2014 pour environ 20 milliards de dollars.

    Les deux cofondateurs de WhatsApp, Jan Koum et Brian Acton, avaient quitté Facebook en mai 2018 et en 2017 respectivement, sur fond, selon la presse américaine, de désaccords avec les dirigeants de Facebook concernant la confidentialité des données ou la monétisation de la messagerie.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #Amazon #Business : les #achats #professionnels partout en #Europe | @LSA

    DE LSA |

    #Amazon #Business : les #achats #professionnels partout en #Europe

    Amazon étend son service dédié aux achats professionnels à l’Italie et l’Espagne, deux nouveaux pays sur lesquels les entreprises vont pouvoir capitaliser pour optimiser leurs dépenses mais également leurs ventes. Explications…

    Amazon

    Business se déploie progressivement à travers le monde. Après les États-Unis, l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Inde, le Japon et depuis février dernier la France, c’est au tour de l’Italie et de l’Espagne de proposer ce service destiné aux achats professionnels. Calqué sur le modèle qui a fait le succès du site grand public, il propose une interface similaire avec la possibilité d’effectuer des recherches par produit, de comparer les offres ou encore de visualiser les commentaires d’autres acheteurs. Mais Amazon Business embarque aussi des fonctionnalités spécialement pensées pour les besoins des entreprises, telles que le paiement à 30 jours, la création des comptes multi-utilisateurs  avec la possibilité de créer des flux de validation, l’affichage des prix hors TVA pour les produits éligibles, l’accès à un système de reporting pour un meilleur suivi des dépenses ou encore l’ajout de numéros de bons de commande ou toute autre information facilitant la réconciliation comptable. Plus récemment, Amazon a aussi concrétisé une promesse faite lors du lancement, à savoir des prix exclusifs pour les entreprises et des remises sur les achats en volume. Responsable du support IT en charge des achats pour son service chez Webedia, Christophe Cuvinot se réjouit de ces évolutions : « Nous nous fournissons sur Amazon depuis cinq ans environ pour de l’équipement IT, du mobilier mais aussi des choses plus anecdotiques comme du vernis à ongles que nous utilisons parfois pour marquer nos écrans. Avec Amazon Business, je peux déléguer les achats tout en conservant le contrôle. Parallèlement, le rapprochement comptable est devenu beaucoup plus facile. Nous gagnons tous un temps précieux ». Spécialisé dans les médias en ligne, Webedia est une entreprise qui bouge vite avec des besoins qui peuvent changer du jour au lendemain. « Pour bénéficier de prix avantageux, il faut souvent acheter en volume ce qui nous oblige à immobiliser du budget alors que nous pouvons en avoir besoin pour des dépenses imprévues urgentes. De plus, nous n’avons pas la place pour stocker. Avec Amazon Business, cette problématique disparait parce que les prix sont compétitifs même quand on achète à l’unité et que la logistique est d’une efficacité telle qu’on n’a jamais peur d’être en rupture de stock », souligne Christophe Cuvinot. Et d’ajouter « Il arrive même que les prix sur Amazon soient plus intéressants que ceux négociés via des contrats-cadres traditionnels et, quand ce n’est pas le cas, la différence est tellement minime que la logistique d’Amazon fait toute la différence ».

    Ouvert à toutes les entreprises quelle que soit leur taille, Amazon Business est un service gratuit qui propose plus de 250 millions de produits, allant des composants informatiques aux fournitures de bureau en passant par des équipements spécialisés pour certains secteurs d’activité, tels que l’automobile, les écoles, les laboratoires, les restaurants ou les usines. Cinq mois après son lancement en France, il compte déjà de nombreux clients tels que Ralph Mansour, CEO et cofondateur de Le Closet, start-up française qui révolutionne la consommation de la mode : « Amazon Business a transformé de façon radicale nos achats professionnels. Grâce à l’automatisation des processus, nous gagnons un temps considérable ». Miles Wang, directeur des systèmes d’information et Product Management Officer chez Flornoy et Associés Gestion a également basculé il y a environ un mois ses achats du site grand public vers le service pour entreprises. « Depuis que nous utilisons Amazon Business, la tâche mensuelle de réconciliation entre les transactions de paiement et les pièces comptables a pu être simplifiée au point de faire économiser plusieurs heures de travail à mon équipe chaque mois », précise-t-il. CPO de Chateauform City et College, groupe spécialisé dans les séminaires résidentiels, Benjamin Abittan se réjouit pour sa part de la couverture de deux nouveaux pays : « Avec l’ouverture du service en Espagne et en Italie, nous allons renforcer l’optimisation de nos dépenses en permettant à nos entités partout en Europe de bénéficier d’une logistique locale et d’effectuer les commandes dans leur propre langue ».

    « L’arrivée du service sur amazon.it et amazon.es va profiter à toutes les entreprises françaises qui souhaitent optimiser leurs achats en se fournissant partout en Europe », confirme Amélie Veron, responsable Amazon Business en France. « Parallèlement, avec ces deux nouveaux pays, Amazon multiplie les opportunités pour les vendeurs français, grands comptes, PME ou TPE, d’étendre leur zone de chalandise aux entreprises européennes ». En effet le service est aussi ouvert aux vendeurs tiers, soit à toutes les entreprises françaises qui veulent profiter du savoir-faire d’Amazon pour non seulement étendre leurs ventes aux achats professionnels mais également à l’international.

     

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    [#CONSOLAB] [DATA] | Avec #relevanC, Casino frappe fort dans le #business de la #data | @JDN

    DE NICOLAS JAIMES | JND | http://bit.ly/2g7nnGh

    Avec #relevanC, Casino frappe fort dans le #business de la #data

    Le géant de la distribution va permettre aux annonceurs de piocher dans ses 50 millions de profils cross-devices pour optimiser leurs campagnes pubs online et mesurer leurs impacts sur les ventes.

    Plutôt discret jusque-là dans la bataille qui oppose les géants du retail français aux Gafa, le groupe Casino passe à l'offensive. Le groupe de distribution français vient d'annoncer le lancement d'une plateforme data baptisée relevanC dans laquelle les annonceurs pourront consulter "la base de données la plus massive, complète et qualitative sur les consommations des Français, leurs intentions et comportements d'achat". La plateforme proposera à terme près de 50 millions de profils et 1 100 segments d'audience.

    Ce projet piloté avec société Redpill a une ambition affichée : "contrer le quasi-monopole des GAFA et notamment Google et Facebook". Un discours qui est depuis quelques mois sur toutes les lèvres qu'il s'agisse de groupes médias, d'opérateurs télécom ou d'e-commerçants. C'est aussi le fruit d'une réunion entre le PDG du groupe, Jean-Charles Naouri, son DGA, Julien Lagubeau et le fondateur de Redpill, Marco Tinelli dans le courant de l'été. "Nous voulions réfléchir aux moyens de mettre en place une véritable stratégie data pour le groupe Casino", explique Marco Tinelli.

    relevanC, business, data

    Pour constituer sa plateforme, Casino s'est appuyé sur les data de ses 10 000 magasins en France (hypermarchés Géant, Casino de proximité, Franprix, Monoprix, Leader Price). A cela s'ajoute l'activité que Casino réalise sur le Web. 90% de son audience sur ce canal provient de son navire amiral Cdiscount. L'e-commerçant français, dont il est actionnaire quasi exclusif depuis 2011, est sur ce terrain le premier poursuivant d'Amazon. Ce dernier cumulait 24 millions de visiteurs uniques sur tous les devices en août 2017 selon Médiamétrie//Netratings contre 17,2 millions pour le groupe Casino.

    Le maillage cross-canal de Casino lui permet donc d'observer plus de 60 millions de transactions mensuelles qu'elles soient en magasin ou en ligne. Ces informations seront mises à disposition des annonceurs, des agences et des instituts d'étude à travers la plateforme.

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