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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #Ocado envisage de s’#étendre à la #mode et à l'#équipement de la #maison | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2uClGYq

    #Ocado envisage de s’#étendre à la #mode et à l'#équipement de la #maison

    Pour rentabiliser ses lourds investissements logistiques et IT, le cybermarché britannique a annoncé au marché qu'il envisageait de développer son e-commerce non-alimentaire.

    Le supermarché en ligne britannique Ocado est connu en France pour avoir développé une technologie et un savoir-faire logistique et IT si poussés qu’il a convaincu Monoprix de lui sous-traiter les opérations de son e-commerce alimentaire, puis le retailer américain Kroger. Après des années passées à prospecter les distributeurs physiques qui le percevaient comme un concurrent potentiel, il a de quoi se réjouir que son activité BtoB décolle bientôt : son cours de bourse, qui n’en pouvait plus d’attendre ces signatures, a bondi de 250% en un an grâce à ces partenariats. Avec une capitalisation dépassant 7,4 milliards de livres, Ocado vaut actuellement plus que Morrisons ou Marks&Spencer.

    Sauf que ses investissements, en particulier dans ses centres de distribution britanniques et dans sa plateforme logicielle, vont passer de 160 millions de livres en 2017 à 210 millions en 2018 et dégrader d’autant ses profits. Lors de la présentation de ses résultats trimestriels aux analystes financiers, son fondateur Tim Steiner a indiqué que l’entrepôt ultra-automatisé qu’Ocado vient de mettre en service à Erith, dans le sud de Londres, est capable d’absorber pour 200 millions de livres par an de ventes de produits non alimentaires, en plus de son activité alimentaire. Et d’ajouter, comme le rapporte le Guardian : « Nous devons non seulement nous focaliser sur ce que nous devons faire aujourd’hui mais aussi nous assurer que nous innovons pour le futur. Le marché alimentaire est important, mais nous explorons également d’autres domaines où nos compétences sont tout aussi utiles. »

    Ocado opère déjà trois autres sites marchands que son cybermarché éponyme : le site de petfood Fetch, le site d’arts de la table et de cuisine Sizzle, ainsi que l’e-boutique de produits de beauté Fabled en partenariat avec Marie-Claire.

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    [#CONSOLAB] [LIVRAISON] | Essayer avant d'acheter : #Amazon étend son #service #mode #Prime #Wardrobe | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2qBxB7z

    Essayer avant d'acheter : #Amazon étend son #service #mode #Prime #Wardrobe

    Lancée en version bêta en juin 2017, cette offre est étendue à une partie des abonnés Prime américains du groupe, qui s'en réjouissent sur Twitter.

    Amazon s'apprête à lancer à grande échelle aux USA son service Prime Wardrobe. Il permet à ses clients d'essayer entre 3 et 15 vêtements ou accessoires à domicile sans les acheter et de rendre gratuitement pendant une semaine ceux qui ne conviennent pas. Il suffit pour cela à l'internaute de prendre rendez-vous gratuitement avec un livreur qui vient récupérer le produit chez eux ou de  déposer une boite prévue à cet effet chez UPS (l'équivalent américain de Chronopost).

    Cette offre, lancée en version bêta en juin 2017, est désormais disponible à une partie des abonnés prime aux USA, qui s'en réjouissent dans leurs tweets, rapporte Techcrunch.

    Le média a également remarqué une série de tweets postés par les équipes d'Amazon sur le sujet, même si le lancement officiel du service à grande échelle n'a pas été confirmé officiellement par le groupe.

    En permettant à ses clients d'essayer les produits de leur choix, Amazon fait disparaitre l'un des principaux freins à l'achat d'articles de mode en ligne, tirant une balle dans le pied des retailers physiques, qui souffrent déjà de la concurrence avec le géant de la vente en ligne. 30% des 1700 américains interrogés dans le cadre d'une étude du think tank retail Coresight Research datée de février 2018, affirment s'être détournés de Targetau profit d'Amazon pour acheter des vêtements. Amazon, qui a lancé 65 du total de ses 74 marques propres dans le domaine du vêtement, des accessoires, des chaussures et des bijoux muscle ainsi sa stratégie dans le secteur.

    Amazon n'est pas pionnier en la matière : plusieurs autres e-commerçants spécialisés dans la mode, comme Asos ou Zalando, ont lancé en 2017 des services similaires.

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    [#CONSOLAB] [MODE] | #El #Corte #Inglés s’attaque à la #mode #durable avec le #recyclage du #denim | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2FvbAwK

    #El #Corte #Inglés s’attaque à la #mode #durable avec le #recyclage du #denim

    El Corte Inglés vient de lancer une nouvelle campagne de recyclage de jeans dans le but de soutenir la mode durable et de promouvoir l’économie circulaire en tant que modèle de fabrication d’articles textiles, a annoncé l'enseigne de grands magasins espagnols cette semaine.

    Les clients de l'enseigne espagnole souhaitant participer à ce projet ont jusqu’au 29 avril pour amener les jeans qu’ils ne portent plus dans plusieurs magasins El Corte Inglés pour les recycler. En échange, ils recevront un bon d’achat de 5 euros à déduire de leurs achats d’articles en jean du département de mode jeune de l’enseigne et des corners de la marque Sfera.

    La chaîne de grands magasins a tenu à souligner que l’objectif de cette campagne est de donner une nouvelle vie aux articles en denim amenés par les clients pour être recyclés. Après traitement, le tissu récolté pourra être utilisé dans la fabrication de fil « Recover » qui servira à fabriquer des collections de vêtements à partir de tissu recyclé.

    Une collection capsule d’articles en tissu recyclé

    La marque de mode jeune Easy Wear Él y Ella propose déjà à la vente dans les magasins El Corte Inglés une collection capsule d’articles en tissu recyclé : jeans, bermudas, gilets, vestes et pantacourts.

    L’économie circulaire permet de minimiser les déchets, d’économiser de l’eau et de l’électricité et de réduire les émissions de CO2 durant la fabrication textile. D’autre part, elle rejette l’utilisation de produits chimiques polluants comme les teintures liquides, les pesticides et les engrais.

    La fabrication du fil Recover permet d’économiser 13 000 litres d’eau par kilo de coton. De plus, 50 % de l’énergie utilisée est solaire. Selon l’entreprise, l’économie circulaire prétend se substituer au modèle de production traditionnel du textile, qui consiste à produire, utiliser et jeter. Dans le modèle circulaire, on cherche à imiter la nature, où les déchets non utilisés n’existent pas.

    L’association Cáritas se chargera de classer les pièces récoltées par l'enseigne de grands magasins espagnole et d’éliminer les accessoires (fermetures éclair, boucles, boutons et autres ornements) pour que le tissu soit ensuite recyclé par la société Hilaturas Ferre, fournisseur durable avec qui El Corte Inglés travaille depuis plusieurs années et qui produit le fil Recover.

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    [#CONSOLAB] [MODE] | #Amazon serait le #deuxième #distributeur de #mode le plus populaire aux #États-Unis | @FASHIONNETWORK

    DE ROBIN DRIVER | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2CBmmza

    #Amazon serait le #deuxième #distributeur de #mode le plus populaire aux #États-Unis

    Selon une nouvelle étude de Coresight Research, le géant du e-commerce Amazon est de plus en plus plébiscité pour son offre d’habillement. Les chaussures et le sportswear sont ses catégories les plus vendues et la facilité de recherche est citée comme son principal avantage. Menée auprès de 1 699 consommateurs américains et portant sur leurs habitudes de shopping au début de l’année, cette étude montre que seul Walmart dépasse Amazon en nombre d’acheteurs en 2017. Lorsque l’on demande aux participants à l’enquête où ils ont acheté leurs vêtements ou leurs chaussures dans les douze derniers mois, 41,8 % des répondants mentionnent Walmart, mais Amazon arrive en deuxième position avec 37,4 %, juste avant Target (37,3 %).

    Les membres d’Amazon Prime sont apparemment des acheteurs d’habillement particulièrement actifs sur la plateforme : 65,5 % avaient acheté au moins un article de mode en 2017. Les catégories les plus populaires sur Amazon auprès des acheteurs interrogés étaient les chaussures homme et femme et l'habillement casual pour adulte. 46,9 % des répondants qui avaient acheté des articles de mode sur le site l’année passée avaient acheté des chaussures, tandis que 36,6 % déclaraient avoir commandé des vêtements décontractés pour femme et 33,5 % des vêtements décontractés pour homme.

    Nike (16,8 %), Under Armour (13,8 %) et Hanes (12,9 %) sont les trois marques les plus achetées sur le site, ce qui indique un penchant intéressant pour le sportswear ; mais les marques privées d’Amazon affichent également de bonnes performances : 11 % des répondants qui avaient utilisé le site pour acheter des articles de mode avaient acquis des pièces des marques propres de la plateforme.

    La facilité de recherche est citée comme principale motivation d’achat sur le site par 65,4 % des acheteurs, devant la livraison peu coûteuse (62,2 %) et la disponibilité des produits (52,4 %).

    Cependant, 48 % des acheteurs de mode sur Amazon ont reconnu s’attendre à payer des prix inférieurs à ceux du marché, une donnée que Coresight interprète comme une preuve « d’un risque pour Amazon d’avoir l’image d’un distributeur discount ». L’étude a cependant montré que l’entreprise est déjà en train de prendre des mesures pour contrer cette perception en diversifiant ses propres lignes et en incluant des marques comme Nike pour étendre son offre d’habillement.

    Alors que les distributeurs de mode sont tous en train de tester différentes stratégies pour essayer de toucher le marché en pleine croissance des millennials, le rapport de Coresight a aussi permis de mieux appréhender les habitudes d’achat de cette génération.

    Selon l’étude, les jeunes consommateurs sont en général plus réceptifs à l’offre d’habillement proposée par Amazon que les générations plus âgées : 35,4 % des 18-29 ans ayant effectué des achats de mode sur la plateforme ont déclaré qu’ils aimeraient voir plus de marques de chaussures et de vêtements sur Amazon Fashion, tandis que 38,1 % montraient de l’intérêt pour le service Amazon Prime Wardrobe, qui permet aux acheteurs d’essayer les vêtements avant de payer ceux qu’ils veulent garder. C’est aussi la tranche d’âge qui a exprimé le plus d’intérêt pour les marques propres d’Amazon.

    Au final, le rapport de Coresight semble confirmer que le titan du e-commerce est en train de devenir un acteur de poids dans le secteur de l’habillement. Ces résultats paraissent faire écho aux prévisions de Cowen and Company, qui annonçait à la fin de l’année dernière que les ventes totales d’habillement d’Amazon atteindraient les 28,4 milliards de dollars en 2017 (23,04 milliards d’euros) et augmenteraient jusqu’à 35 milliards de dollars en 2018 (28,41 milliards d’euros).

    En janvier 2018, CPC Strategy a aussi publié un rapport à propos des bénéfices d’Amazon dans le secteur textile, citant l’intégration « cross-platform » de ses services et la popularité de son application mobile comme des forces motrices de son succès.

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Amazon #Mode se lance dans la #lingerie | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2BExJpY

    #Amazon #Mode se lance dans la #lingerie

    La mode en septembre, le sport en octobre et maintenant la lingerie en décembre. Le géant du e-commerce en ligne s’intéresse à tous les secteurs. Amazon vient d’annoncer le lancement de sa marque Iris & Lilly, dont les modèles de sous-vêtements féminins viennent d’être dévoilés dans une première campagne.

    Branche d’Amazon Mode, la nouvelle marque de lingerie propose plus de 500 modèles aux styles multiples : ensembles traditionnels en coton, pièces sophistiquées en dentelle et brassières de sport, s'adressant à toutes les femmes. Certains modèles Iris & Lilly sont disponibles jusqu'à la taille 100 et au bonnet E, et d'autres, des brassières légères sans armature, débutent au XS pour les petites poitrines. Les produits de la marque sont pensés et créés par une équipe d'Amazon Mode, chapeautée par Sarah Miles, arrivée chez Amazon Mode en janvier 2017 et aujourd'hui nommée directrice de la marque.

    Fidèle à son positionnement, Amazon arrive sur le marché européen de la lingerie avec des prix très compétitifs. Là encore, le groupe américain entend toucher un public large avec des ensembles vendus en moyenne une vingtaine d'euros.

    Amazon, Mode, lingerie

    Le lancement, initié le 5 décembre, s’accompagne d’une première campagne avec pour égérie Mia Kang. Ancien mannequin qui a notamment collaboré avec Nike, la jeune femme aux origines sud-coréenne et britannique est aujourd'hui une professionnelle de la boxe thaïlandaise. Elle pose sans cacher ses formes sous l'objectif de la photographe américaine Cass Bird.

     

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    Chez #Zara, des #etiquettes malines pour mieux gérer les #stocks [#RFID]

    Le groupe de prêt-à-porter Zara commence à déployer à grande échelle un système d’étiquetage par radio fréquence. Un pas de plus dans le processus de « fast fashion ».

    Le groupe de prêt-à-porter Zara commence à déployer à grande échelle un système d’étiquetage par radio fréquence. Un pas de plus dans le processus de « fast fashion ».

    Inditex continue d’affiner l’efficacité de son modèle logistique. La mise en place d’étiquettes intelligentes, équipées d’un système de radio fréquences RFID (Radio-Frequency Identification), devrait ainsi lui offrir une meilleure évaluation de ses stocks. Un atout qui facilitera le réassortiment des rayons. Testé depuis 2013, le système fonctionne déjà dans plus de 1.500 magasins Zara dans le monde. Le géant de la mode à petits prix, célèbre pour sa capacité à dessiner, fabriquer et mettre en vente ses modèles dans un délai de quinze jours dans toutes ses boutiques du globe, accélère ainsi encore un peu plus le processus de « fast fashion ».

    Le nouveau système offre la possibilité d’un suivi de chaque pièce depuis sa livraison par le fabricant. Ainsi, toutes les palettes de marchandises qui transitent par les plateformes logistiques du groupe sont d’abord passées sous des arcs de lecture qui permettent, sans ouvrir les caisses, de compter les pièces. Ce procédé permet ensuite de « charger » chaque étiquette d’informations sur le modèle, la taille et la couleur, et au fur et à mesure du circuit, au sein du centre logistique, d’y ajouter des données sur son magasin de destination, avant sa sortie en camion vers son lieu de livraison.

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