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    [#CONSOLAB] [INVESTISSEMENT] | #Google #investit 550 millions de dollars dans l'#e-commerçant #chinois #JD.com | @LUSINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2MzIH6w

    #Google #investit 550 millions de dollars dans l'#e-commerçant #chinois #JD.com

    Google multiplie ses investissements en Asie pour profiter du développement de la classe moyenne. La firme de Mountain View place cette fois 550 millions de dollars (environ 475 millions d'euros) dans l'e-commerçant chinois JD.com

    Google renforce sa présence en Asie. La firme de Mountain View vient d'investir 550 millions de dollars (environ 475 millions d'euros) dans l'e-commerçant chinois JD.com, principal concurrent du numéro un Alibaba. En contrepartie de cette augmentation de capital, Google détiendrait désormais un peu moins de 1% du capital de l'entreprise. Dans un communiqué de presse commun, les deux sociétés expliquent vouloir collaborer sur une série d'initiatives stratégiques, dont le développement de nouvelles solutions retail en Europe, aux Etats-Unisainsi qu'en Asie du Sud-Est.

    GOOGLE INTÉRESSÉ PAR L'INDIEN FLIPKART ?

    L'objectif est d'associer l'expérience de JD.com en matière de supply chain (l'e-commerçant a récemment dévoilé à Shanghai un entrepôt hautement robotisé qui n'emploie que quatre humains) avec le savoir-faire de Google en data, marketing et connaissance client pour développer de nouveaux produits en ligne. Ce rapprochement devrait donc se traduire, en premier lieu, par la promotion des produits de JD.com sur la plate-forme Google Shopping à travers le monde.

    Cotée au Nasdaq, la société JD.com est aujourd'hui valorisée environ 60 milliards de dollars. Parmi les principaux actionnaires de JD.com figurent l'américain Walmart mais aussi le chinois Tencent, à l'origine de l'application Wechat et grand rival d'Alibaba et de son application Alipay.

    Depuis quelques mois, Google accélère ses investissements sur le continent asiatique afin de profiter du développement de la classe moyenne et du manque d'infrastructures dans le retail et la finance, notamment. Par ailleurs, Google est récemment entré au capital de l'indonésien Go-Jek, spécialiste des services de VTC, et selon des sources de l'agence Reuters pourrait investir dans l'e-commerçant indien Flipkart.

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    [#CONSOLAB] [RACHAT] | #Monoprix #investit dans #Epicery en vue de le #racheter | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2BRe8Ue

    #Monoprix #investit dans #Epicery en vue de le #racheter

    Le service permet de se faire livrer les produits de 250 commerces de bouche parisiens et 50 lyonnais. Bientôt, il permettra d'acheter chez Monoprix et Naturalia. Mais surtout, il sera accessible depuis le site de Monoprix.

    Selon nos informations, Monoprix vient d’investir dans Epicery à l'occasion du second tour de table de la start-up. L’enseigne prend une part minoritaire de son capital, mais prévoit d’y monter progressivement dans les années qui viennent. Epicery, créé par Elsa Hermal et Édouard Morhange avec Marc Ménasé, a lancé son service très récemment : en octobre 2016 à Paris, Boulogne-Billancourt, Levallois-Perret et Neuilly, puis en octobre 2017 à Lyon et Villeurbanne. Il permet de se faire livrer dans l’heure (ou à un créneau programmé à l’avance) des achats réalisés dans des commerces de bouche dans un rayon de 2,5km autour de chez soi. Epicery travaille pour l’instant avec 250 commerçants de la région parisienne et 50 de la région lyonnaise, auxquels il fournit une tablette pour recevoir les commandes et tenir leur stock à jour.

    Monoprix, investit, Epicery, racheter

    Dans l’immédiat, la start-up va commencer à ajouter à son offre les magasins Monoprix et Naturalia (l’enseigne bio du groupe Casino). Mais le service va aussi être intégré au site de Monoprix, qui à l’avenir permettra donc également de passer commande auprès des commerçants de son quartier et peut-être, lorsque sera mutualisé le panier, de ne réaliser qu’une seule transaction pour le vacherin du fromager du coin et le gel douche de Monoprix. Ce rapprochement constitue donc pour l’enseigne non seulement un nouveau débouché pour son service de vente en ligne depuis ses magasins, mais lui permet également de se positionner comme le fédérateur des commerces de bouche locaux avec une puissance de frappe bien plus élevée que celle de la start-up.

    Lors de sa première levée de fonds, la start-up avait fait rentrer à son capital une floppée d'entrepreneurs du Web comme Michaël Benabou (Vente-privée), Marc Menasé (Nextedia, Menlook, Kelkoo) et Xavier Niel (Iliad-Free). Selon nos informations, son chiffre d'affaires 2017 avoisinera le million d'euros.