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    [#CONSOLAB] [RACHAT] | #Monoprix #investit dans #Epicery en vue de le #racheter | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2BRe8Ue

    #Monoprix #investit dans #Epicery en vue de le #racheter

    Le service permet de se faire livrer les produits de 250 commerces de bouche parisiens et 50 lyonnais. Bientôt, il permettra d'acheter chez Monoprix et Naturalia. Mais surtout, il sera accessible depuis le site de Monoprix.

    Selon nos informations, Monoprix vient d’investir dans Epicery à l'occasion du second tour de table de la start-up. L’enseigne prend une part minoritaire de son capital, mais prévoit d’y monter progressivement dans les années qui viennent. Epicery, créé par Elsa Hermal et Édouard Morhange avec Marc Ménasé, a lancé son service très récemment : en octobre 2016 à Paris, Boulogne-Billancourt, Levallois-Perret et Neuilly, puis en octobre 2017 à Lyon et Villeurbanne. Il permet de se faire livrer dans l’heure (ou à un créneau programmé à l’avance) des achats réalisés dans des commerces de bouche dans un rayon de 2,5km autour de chez soi. Epicery travaille pour l’instant avec 250 commerçants de la région parisienne et 50 de la région lyonnaise, auxquels il fournit une tablette pour recevoir les commandes et tenir leur stock à jour.

    Monoprix, investit, Epicery, racheter

    Dans l’immédiat, la start-up va commencer à ajouter à son offre les magasins Monoprix et Naturalia (l’enseigne bio du groupe Casino). Mais le service va aussi être intégré au site de Monoprix, qui à l’avenir permettra donc également de passer commande auprès des commerçants de son quartier et peut-être, lorsque sera mutualisé le panier, de ne réaliser qu’une seule transaction pour le vacherin du fromager du coin et le gel douche de Monoprix. Ce rapprochement constitue donc pour l’enseigne non seulement un nouveau débouché pour son service de vente en ligne depuis ses magasins, mais lui permet également de se positionner comme le fédérateur des commerces de bouche locaux avec une puissance de frappe bien plus élevée que celle de la start-up.

    Lors de sa première levée de fonds, la start-up avait fait rentrer à son capital une floppée d'entrepreneurs du Web comme Michaël Benabou (Vente-privée), Marc Menasé (Nextedia, Menlook, Kelkoo) et Xavier Niel (Iliad-Free). Selon nos informations, son chiffre d'affaires 2017 avoisinera le million d'euros.

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    [CONSO LAB] [E-COMMERCE] | Non, #Amazon ne va pas #racheter tout le monde | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2yqShor

    Non, #Amazon ne va pas #racheter tout le monde

    Depuis le rachat de la chaîne de magasins bios Whole Foods par Amazon, de nombreuses rumeurs alimentent l'idée selon laquelle le géant américain aurait des velléités de rachats sur un distributeur français. De Carrefour, en passant par Monoprix, jusqu'Intermarché, tous ou presque auraient été à un moment ou un autre dans le viseur d'Amazon.

    Affolement général ? A en croire de nombreux médias qui multiplient les articles en ce sens ces derniers temps, Amazon aurait l’intention de mettre la main sur un distributeur français dans un avenir plus ou moins proche. Depuis l’acquisition des magasins bios Whole Foods, et l’impact inattendu qu’a eu cette opération sur les valeurs boursières des retailers européens, les rumeurs de salle de marché enflent autour de l’hypothèse selon laquelle Amazon pourrait assouvir une sorte de gloutonnerie soudaine pour le retail physique français. En s’offrant pourquoi pas Carrefour, Intermarché, Système U et, allez, Monoprix !

    Experts et analystes de tous bords ont des positions contradictoires sur la question. Certains pensent que cela va arriver quand d’autres estiment qu’Amazon va d’abord devoir absorber Whole Foods avant de sortir de nouveau son carnet de chèque. Y a-t-il eu des discussions entre Amazon et des distributeurs français ? Assurément, car cela fait partie de leur travail… de discuter et de regarder d’autres business model potentiellement compatibles avec le leur. Amazon a-t-il réussi à en convaincre un (ou deux, ou trois) ? Visiblement pas. « Ils ont démarché tout le monde mais n’ont pas reçu de retours positifs », a ainsi déclaré un distributeur (anonyme) au journal Le Monde.

    Amazon, racheter

    Dernière rumeur en date, aussi relayée par le quotidien, la volonté du géant de l'e-commerce d'ouvrir une quinzaine de points de vente à Paris sur le modèle d'Amazon Go à Seattle. Avant de reprendre des emplacements dans les centres villes du monde entier, encore faut-il sans doute que ce concept de supermarché sans caisse fonctionne dans sa ville natale, puisque le concept est toujours en train d'être rodé auprès des salariés. Et les Londoniens qui, en février, avaient lus dans la presse une rumeur similaire... attendent toujours. Autrement dit, beaucoup de bruit pour, in fine, peu d’actions concrètes. On ne prête qu'aux riches ? Une chose est certaine, ces rumeurs servent encore et surtout Amazon qui profite ainsi d'une omniprésence médiatique. Et ce n’est pas ce dernier qui s’en plaindra.