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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Google s'apprête à lancer une #marketplace en #France | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2KHx9vU

    #Google s'apprête à lancer une #marketplace en #France

    La firme de Mountain View a beau s’en défendre, tout démontre qu’elle cherche à se positionner comme un nouvel intermédiaire marchand entre consommateurs et distributeurs.

    En annonçant son partenariat avec Carrefour le 11 juin, Google a laissé entrevoir l’expérience d’achat et l’interface qu’il souhaite créer sur le web hexagonal. Google Shopping se dotera au second semestre d’un début de marketplace, faisant de la France le deuxième marché où la firme s’essaie à l’e-commerce après les États-Unis.

    Rappel des faits. Outre-Atlantique, le moteur a lancé en mars le programme Google Shopping Actions. Il permet aux marchands de faire apparaître leurs produits sur un nouveau format de Product Listing Ads (annonces apparaissant sur le comparateur Google Shopping et dans les pages de résultats de recherche) et sur l’interface vocale Google Assistant. Autant de canaux permettant aux internautes de remplir un tout nouveau « panier universel », qu’ils règlent en un clic grâce à des informations de paiement préenregistrées. Concrètement, ces commandes sont transférées au service de livraison Google Express. Quant aux marchands, c’est dans le Merchant Center, où ils gèrent leurs campagnes Google Shopping, qu’ils paramètrent Actions, c’est-à-dire choisissent que leurs annonces pointent vers Google Express et non vers leur propre site. Actions n’est pas facturé comme un programme d’affiliation classique, au CPC (coût au clic) ou CPM (coût pour mille affichages), mais par une commission lorsque la vente se fait. En bref, ce nouvel environnement reçoit les mises au panier de tous les canaux Google, permet de régler en une fois des paniers multimarchands et dispatche les commandes vers les vendeurs, moyennant une commission. « Une marketplace », dites-vous ?

    Une version française d’Actions

    Retour en France. Carrefour et son nouvel ami ont annoncé «une nouvelle expérience d’achat Carrefour dans l’environnement Google (Assistant Google, Google Home et via une nouvelle interface du site Google Shopping en France) ». Explication de Sébastien Missoffe, vice-président, directeur général de Google France : « Les acheteurs souhaitent des expériences fonctionnelles, simples et personnalisées qui les aident à prendre des décisions sur ce qu’ils achètent, à créer facilement des paniers d’achat quel que soit le support utilisé et avec un paiement final facilité.» François Loviton, directeur marques, retail et e-commerce de Google France, précise: « Carrefour ne disposera d’aucune exclusivité, même sur l’alimentaire. La solution sera ouverte à tous les e-commerçants, petits ou grands. » Et le distributeur confirme le modèle de rémunération à la commission sur la vente. « Google Shopping Actions », dites-vous ?

    Si le silence assourdissant des marchands et prestataires sollicités par LSA, tenus par des clauses de confidentialité, en dit déjà long, Pierre Krstulovic, directeur de projet SEA (pub sur les moteurs de recherche) chez iProspect, confirme que « toutes les composantes de ce nouveau programme permettent de dire qu’il s’agit d’une marketplace ». Chez Google, François Loviton proteste. « Google Shopping ne devient pas une marketplace. C’est d’abord dû à la place du commerçant dans l’expérience. Nous ne voulons pas recréer l’expérience du site marchand, nous encouragerons le visiteur à entrer par le commerçant plutôt que par le produit. » Sauf que cela sera possible aussi, confirme-til. «Deuxièmement, alors qu’aux États-Unis, nous disposons du site de destination Google Express, cette page supplémentaire n’est pas prévue en France. Techniquement, nous créerons la nouvelle interface à partir de Google Shopping. »

    Certes, l’absence d’Express se traduira par des différences avec l’Actions américain. Reste qu’il s’agit dans les deux cas d’un nouvel environnement, avec panier universel multicanal multimarchand et paiement oneclick. Que Google n’assure pas la livraison est-il pertinent pour écarter le terme de place de marché ? Ajoutons que les commandes vocales, qui pour l’instant ne remplissent que des listes de courses, devront bien un jour tomber dans un vrai panier. Fnac Darty bêtateste le paiement vocal sur Google Assistant : « Ces commandes ont toutes les chances d’aboutir dans cette même nouvelle interface », estime Pierre Krstulovic. Et l’on parierait volontiers que l’accord signé mi-juin avec JD.com pour commercialiser son offre hors de Chine prévoit un dispositif similaire.

    Partage des données limité

    Troisième argument de François Loviton : « Il sera possible de lier son compte client Google à son compte chez le marchand. Ce n’est pas le cas dans une marketplace où le vendeur ne peut pas contacter le client, qui appartient à la place de marché.» Mais en pratique, quel partage de données est prévu ? Par défaut, le marchand ne recevra que le nom, l’adresse et la commande du client, sans lesquels il ne pourrait pas la lui livrer. « Si l’acheteur lie son compte à celui du retailer, celui-ci pourra utiliser ces informations pour enrichir sa base clients et mieux s’adresser à lui à l’avenir, notamment via Google. » Donc des données réutilisables… à certaines conditions. « Quant aux données de navigation – quels produits le visiteur a consultés avant, etc.–, elles ne sortiront jamais de chez nous. » Aux États-Unis, Google utilise toutes les données recueillies pour personnaliser les recommandations de produits d’Actions.

    Quel potentiel au-delà du vocal ?

    Comment l’américain expliquet- il alors son rôle? «Il serait dommage de le réduire à celui d’ecommerçant, car cela ne décrit pas la spécificité de ce que nous essayons de construire, qui n’existe pas encore », avance François Loviton. Google se présente comme un partenaire de la transformation digitale des distributeurs qui, outre une pléthore d’outils marketing, organisationnels ou bureautiques, peut leur apporter une technologie en pointe pour certains cas d’usage (tel le commerce vocal) ou son savoir-faire en matière de simplification de l’expérience utilisateur. Tout cela est vrai. Mais cela ne l’empêche pas de construire sa marketplace. De même qu’Amazon est devenu la première porte d’entrée des recherches de produits aux États- Unis, Google étoffe ses activités liées à l’e-commerce, en témoignent les 72 enseignes (Walmart, The Home Depot, Target..) présentes sur Google Express. Dans le cas d’Actions : « D’un côté, Amazon opère une marketplace mais permet aux vendeurs d’améliorer la visibilité de leurs produits via sa régie Amazon Marketing Services. De l’autre, Google fait le chemin inverse et, à ses offres publicitaires, ajoute un début de marketplace », analyse Pierre Krstulovic. Les deux géants convergent de plus en plus. Pour ne pas faire peur aux marchands qui ont déjà fort à faire avec Amazon ou, s’ils ne sont pas dupes, permettre une communication plus positive de leurs partenariats avec Google, mieux vaut donc pour ce dernier avancer masqué.

    Or au-delà du débat quasi sémantique autour de la marketplace, se trame-t-il un intermédiaire puissant ? Sur le commerce vocal, certainement. Mais sur le reste ? Les Français voudront-ils acheter sur Google ? La liste de retailers qui vont, comme leurs homologues américains, lui tomber dans les bras va y contribuer. Peut-être entrevoit-on déjà la limite de l’ère des partenariats, en tout cas avec les Gafa.

    POURQUOI

    • Pour simplifier l’expérience d’achat en ligne et vocale des consommateurs.
    • Pour se positionner comme le partenaire anti-Amazon des distributeurs.
    • Pour étoffer ses revenus liés à l’e-commerce.

    COMMENT

    • En créant, à partir de Google Shopping, un programme et une interface type place de marché.
    • En y invitant un maximum de marchands.
    • En faisant valoir le caractère incontournable du dispositif pour vendre vocalement hors d’Amazon Alexa.

     

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Google #renomme l'ensemble de ses #solutions #publicitaires | @ECOMMERCEMAG

    DE CLEMENT FAGES | ECOMMERCE MAG | http://bit.ly/2N4TIgb

    #Google #renomme l'ensemble de ses #solutions #publicitaire

    Exit Adwords, DoubleClick ou Analytics ! Place à Google Ads, Google Marketing Platform et Google Ad Manager : 18 ans après le déploiement de ses premières offres publicitaires, Moutain View veut rendre celles-ci plus lisibles auprès des annonceurs et des agences.

    Pour faire monter l'attention autour de son événement Google Marketing Live le 10 juillet prochain lors duquel seront dévoilées de nouvelles offres, Moutain View annonce aujourd'hui la refonte de ses offres destinées aux professionnels de la publicité et du marketing.

    Après avoir lancé Google AdWords en l'an 2000, le géant américain dévoile ainsi Google Ads, qui doit remplacer le premier et regrouper l'ensemble des fonctionnalités publicitaires proposées sur Google.com, YouTube.com et sur son réseau de sites tiers Google Display Network. Dans la même idée, DoubleClick et Google Analytics 360 Suite deviennent Google Marketing Platform, un espace où les marketeurs pourront planifier leurs campagnes, de l'achat média à la mesure de performance. Enfin, les offres spécifiques aux éditeurs que sont DoubleClick for Publishers et DoubleClick Ad Exchange deviennent Google Ad Manager, une "plateforme programmatique complète et unifiée", explique l'entreprise dans un communiqué qui célèbre les campagnes les plus efficaces menées depuis 18 ans.
     
    "Les annonces Google ont évolué au fil des années. Au départ, elles permettaient aux responsables marketing de toucher les utilisateurs dans la recherche Google. Désormais, elles leur servent à interagir avec les consommateurs à chaque étape du parcours client via des formats textuels, vidéo, graphiques et plus encore. C'est la raison pour laquelle nous simplifions aujourd'hui nos produits publicitaires", avance Sridhar Ramaswamy, senior vice-président de la publicité et du commerce chez Google, dans un post de blog où il explique viser notamment avec ces offres les PME, alors que l'amélioration de la transparence est des outils de contrôle est aussi évoquée.

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    [#CONSOLAB] [INVESTISSEMENT] | #Google #investit 550 millions de dollars dans l'#e-commerçant #chinois #JD.com | @LUSINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2MzIH6w

    #Google #investit 550 millions de dollars dans l'#e-commerçant #chinois #JD.com

    Google multiplie ses investissements en Asie pour profiter du développement de la classe moyenne. La firme de Mountain View place cette fois 550 millions de dollars (environ 475 millions d'euros) dans l'e-commerçant chinois JD.com

    Google renforce sa présence en Asie. La firme de Mountain View vient d'investir 550 millions de dollars (environ 475 millions d'euros) dans l'e-commerçant chinois JD.com, principal concurrent du numéro un Alibaba. En contrepartie de cette augmentation de capital, Google détiendrait désormais un peu moins de 1% du capital de l'entreprise. Dans un communiqué de presse commun, les deux sociétés expliquent vouloir collaborer sur une série d'initiatives stratégiques, dont le développement de nouvelles solutions retail en Europe, aux Etats-Unisainsi qu'en Asie du Sud-Est.

    GOOGLE INTÉRESSÉ PAR L'INDIEN FLIPKART ?

    L'objectif est d'associer l'expérience de JD.com en matière de supply chain (l'e-commerçant a récemment dévoilé à Shanghai un entrepôt hautement robotisé qui n'emploie que quatre humains) avec le savoir-faire de Google en data, marketing et connaissance client pour développer de nouveaux produits en ligne. Ce rapprochement devrait donc se traduire, en premier lieu, par la promotion des produits de JD.com sur la plate-forme Google Shopping à travers le monde.

    Cotée au Nasdaq, la société JD.com est aujourd'hui valorisée environ 60 milliards de dollars. Parmi les principaux actionnaires de JD.com figurent l'américain Walmart mais aussi le chinois Tencent, à l'origine de l'application Wechat et grand rival d'Alibaba et de son application Alipay.

    Depuis quelques mois, Google accélère ses investissements sur le continent asiatique afin de profiter du développement de la classe moyenne et du manque d'infrastructures dans le retail et la finance, notamment. Par ailleurs, Google est récemment entré au capital de l'indonésien Go-Jek, spécialiste des services de VTC, et selon des sources de l'agence Reuters pourrait investir dans l'e-commerçant indien Flipkart.

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    [#CONSOLAB] [CONNECTE] | #Google perd des #centaines de #millions en essayant de #rattraper #Amazon dans la #smart #home | @LUSINEDIGITALE

    DE LENA COROT | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2IdAohm

    #Google perd des #centaines de #millions en essayant de #rattraper #Amazon dans la #smart #home

    Amazon dans la smart home, Apple pour les smartphones ou encore Microsoft sur les ordinateurs… Google investit sur beaucoup de fronts et face à de nombreux concurrents... et dépense des millions pour les rattraper. A l'occasion de la publication de ses résultats semestriels, The Verge a calculé que le géant de la tech avait dépensé plus d'un demi-milliard de dollars... uniquement dans Nest.

    La maison-mère de Google, Alphabet, a publié ses résultats trimestriels lundi 23 avril. Avec un bénéfice net qui a bondi de 74% pour atteindre 9,4 milliards de dollars et un chiffre d'affaires atteignant 31,1 milliards de dollars (+26%), ces résultats sont au-dessus des attentes. Mais, plus intéressant encore, The Verges'est plongé dans les chiffres afin d'en déduire les pertes et les gains de Nest. Le spécialiste de la maison connectée ayant été officiellement absorbé par Google en février de cette année, ses résultats sont passés de la section "Other Bets" d'Alphabet aux résultats de Google. En conséquence, Google a publié une version recalculée de son exercice 2017.

    En faisant la différence entre les deux, The Verge conclut que Nest a enregistré environ 726 millions de dollars de revenus pour 621 millions de pertes dans l'année. Google a donc dépensé plus d'un demi-milliard de dollars l'année dernière afin d'assoir la notoriété de Nest dans le domaine de la maison connectée. Alors que Nest était plus calme ces dernières années, en septembre 2017 cette entité a multiplié les sorties de nouveaux produits : caméras extérieures, visiophone d'entrée, système d'alarme,… Ces nouveautés impliquant des dépenses en amont.

    GOOGLE ASSISTANT FACE À AMAZON ALEXA

    Si Google dépense autant pour le développement de ces objets, combien le géant de l'Internet investit-il en R&D pour son assistant personnel, ses smartphones ou ses ordinateurs, s'interroge le site d'information. Google doit faire face à d'autres géants de la tech dans chacun de ces secteurs : il est face à Apple dans les téléphones, Microsoft pour les ordinateurs, et Amazon dans la maison connectée et les assistants vocaux. Et il a déjà prouvé qu'il était prêt à dépenser des sommes considérables sur le marché saturé des smartphones alors même que personne ne s'attend à ce que Google ne rattrape Apple (ou Samsung) sur ce segment.

    Mais la firme a encore des chances pour rattraper Amazon et son assistant vocal Alexa sur le marché de la smart home. C'est la raison pour laquelle l'entité Nest a été rattachée à Google. L'objectif est d'intégrer l'intelligence artificielle Google Assistant à tous ses objets connectés. Et avec des équipes désormais intégrées aux équipes hardware de Google (responsables entre autres des enceintes Google Home), Nest peut se concentrer sur la recherche autour de nouveaux objets et de nouvelles applications sans avoir à étoffer l’écosystème d’objets-tiers compatibles. Entre Google et Amazon la course est plus rude que jamais dans le domaine de la smart home.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Fnac #Darty #partenaire de #Google dans les #objets #connectés | @FASHIONNETWORK

    DE THOMSON REUTERS | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2EPEqql

    #Fnac #Darty #partenaire de #Google dans les #objets #connectés

    PARIS (Reuters) - Fnac Darty a annoncé lundi un partenariat avec Google (groupe Alphabet), qui permettra au géant américain de présenter ses produits connectés dans l’ensemble des magasins du groupe de distribution.

    Les clients du groupe pourront découvrir l’univers Google au sein d’espaces dédiés de 10 à 50 m2 présentant notamment les possibilités offertes par l’Assistant Google, présent sur de nombreux appareils comme l’enceinte intelligente Google Home ou les smartphones compatibles, précise le groupe français dans un communiqué.

    En août dernier, Google avait déjà lancé en exclusivité en France son enceinte intelligente connectée, intégrant l’Assistant Google, dans les magasins Fnac et Darty.

    Ce partenariat avec Google vise à répondre à l’offensive lancée également par Amazon et Apple sur le marché très prometteur des objets connectés.

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    [#CONSOLAB] [COMMERCE VOCAL] | #Target et #Google créent le #premier #coupon #vocal | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2qi9Jox

    #Target et #Google créent le #premier #coupon #vocal

    Pour les deux firmes, ce pilote vise à accroître la notoriété de ces nouveaux usages, à tester de nouveaux modes de monétisation vocale et à se renforcer face à Amazon.

    L'enseigne américaine Target s'est associée à Google pour créer un coupon activé par la voix, une première pour Google Assistant, rapporte Adweek. La promotion s'est achevée le 3 avril, en avance, car elle avait déjà atteint ses objectifs selon Target. Les consommateurs pouvaient activer la remise en disant (ou en tapant) la phrase "spring into Target" ("ouvre l'app Target") à Google Assistant, sur le haut-parleur Google Home ou sur l'app Android ou iOS du service. Ils recevaient alors un coupon de 15 dollars à valoir sur leur prochaine commande réalisée avant le 21 avril auprès de Target via le service de livraison à domicile Google Express.

    Pour l'instant, la monétisation des recherches vocales reste peu explorée. Mais cette opération montre une voie possible, visant à doper les ventes de Target (qui a tout de même dû annoncer sa promo sur d'autres canaux) et à accroître les usages de Google Assistant, notamment en démontrant qu'ils ne servent pas qu'à demander la météo ou à passer de la musique. L'assistant de Google nécessitant une forte composante shopping pour pouvoir rivaliser avec Alexa d'Amazon, on pourrait voir se multiplier ce type d'initiatives et voir progresser les coupons vocaux au même rythme que les achats vocaux.