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    [#CONSOLAB] [VENTES] | Nouveaux #formats et #e-commerce stimulent les #ventes de #parfums d’#intérieur aux #États-Unis | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2mlhlFn

    Nouveaux #formats et #e-commerce stimulent les #ventes de #parfums d’#intérieur aux #États-Uni

    Le marché américain des parfums d’ambiance a encore accéléré en 2017 par rapport à l’année précédente, les ventes sur Internet jouant un rôle important dans la dynamique du marché, selon l’étude Home Fragrances : U.S. Market Analysis and Opportunities de Kline. Les bougies vendues en grande distribution dominent largement le marché, mais les petites marques des segments de haut de gamme connaissent une croissance à deux chiffres.

    « Ce marché, en particulier la catégorie des bougies, continue de bien performer, car les consommateurs restent attirés par ces produits pour leurs designs élégants, leur esthétique et l’expérience sensorielle qu’ils procurent », explique Dana Kreutzer, analyste principale chez Kline. « Le commerce électronique et la technologie transforment ce segment en proposant de nouvelles expériences aux consommateurs, et les marques de luxe comme les petites start-up profitent du e-commerce pour renforcer leur présence ».

    Concurrence accrue

    Côté distribution, les cartes continuent à être rapidement rebattues entre les marques. Tout au long de l’année, Yankee Candle a renforcé sa présence en grande distribution en entrant chez Walmart durant le printemps. Newell Brands, la maison mère de la marque, a ouvert son premier magasin pop-up store expérientiel pendant la période des fêtes de fin d’année.

    La concurrence entre les principaux acteurs du marché et les marques émergentes a continué de se renforcer en 2017. Newell Brands s’est affirmé comme le géant du marché, avec l’ajout des marques WoodWick et Chesapeake Bay Candle à son portefeuille de parfums d’ambiance en 2017. Toutefois, Bath & Body Works, l’une des marques les plus prestigieuses, enregistre toujours d’excellentes performances. Par ailleurs, les acteurs émergents du segment haut de gamme tirent le marché : Voluspa, Nest, Illume et Paddywax figurent parmi les marques les plus performantes avec des progressions à deux chiffres en 2017.

    Le canal de la vente directe a progressé de 10% en 2017, tandis que les ventes de bougies dans ce canal ont crû encore plus vite.

    Les bougies dominent

    Les bougies sont toujours la principale catégorie du marché en 2017, contribuant pour plus de 41% aux ventes. Elles forment également la catégorie la plus dynamique du marché, tirées par les ventes de bougies de luxe qui enregistrent une croissance deux fois plus rapide que celle de la catégorie. Plusieurs nouveaux acteurs sont entrés sur le segment du luxe en 2017, tels que Gibson & Dehn et HomeWorx by Harry Slatkin, qui vend ses produits à travers sur la chaine commerciale QVC. Mais en dépit de ces nouveaux arrivants et de la forte croissance de plusieurs marques de prestige, Yankee Candle reste le leader du marché.

    Autre catégorie bénéficiant des faveurs des consommateurs : les diffuseurs. Cette catégorie est particulièrement innovante ; parfum et technologie s’y combinent et de nouveaux diffuseurs intelligents de marques comme Moodo et Aera offrent aux consommateurs la possibilité de contrôler et de personnaliser leurs parfums d’intérieur. De nouveaux formats, tels que les diffuseurs sans liquide de Nest et Diptyque, augmentent l’attractivité de ce segment.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | L’#e-#commerce pèse désormais #13 % des #ventes d’#habillement | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2KfPmoM

    L’#e-#commerce pèse désormais #13 % des #ventes d’#habillement

    Après avoir publié des chiffres en hausse de 14,3 % pour l’année 2017, la Fédération de la vente en ligne (Fevad) dévoile sa traditionnelle cartographie de référence du secteur. Des chiffres qui montrent une nouvelle fois l’importance de l’habillement pour le secteur de la vente en ligne. Internet pèse en effet désormais 13 % des ventes en ligne d’habillement, avec 3,7 milliards d’euros, bien plus que la part de marché sur l’ensemble du retail, établie à 8,5 %.

    Interrogés par CSA, les cyberacheteurs tricolores sont 66 % à indiquer commander des articles de mode. Il s'agit de la première catégorie de produits commandée en ligne, devant les biens culturels, les voyages et les jouets. La chaussure arrivant en 5e position (45 %), la beauté en 7e (40 %) et les articles de sport en 10e (29 %).

    Au-delà des volumes, ces chiffres sont aussi l’occasion de tirer le portrait du cyberacheteur tricolore. Ainsi, chez les internautes, 87,1 % des hommes et 83,8 % des femmes achètent en ligne. Par tranches d'âge, la proportion d'acheteurs en ligne est sans surprise plus forte chez les jeunes - 92,3 % de cyberacheteurs chez les 18-24 ans, 93,8 % chez les 25-34 ans, 92,1 % chez les 35-49 ans, 88,4 % chez les 50-64 ans et 80 % chez les plus de 65 ans - bien qu’une certaine homogénéité s’installe dans ce domaine.

    L’écart est plus fort entre les catégories socio-professionnelles. Les CSP+ sont ainsi 96,1 % à acheter sur Internet, contre 87,6 % chez les CSP- et 82,1 % chez les retraités. En revanche, l’écart entre la région parisienne et la province reste réduit, avec respectivement 87,4 % et 85 % d’internautes convertis à l’achat en ligne.

    E-commerce, 13, ventes, habillement

    Côté entreprise, la rentabilité fait son chemin, avec désormais 68 % de sites rentables chez les leaders, contre 9 % à l’équilibre et 23 % de déficitaires. Du côté des TPE et PME, quelque 65 % des portails seraient à l’équilibre, contre 35 % de déficitaires. La lutte reste cependant âpre, avec 5 % des sites cumulant à eux seuls 87 % du chiffre d’affaires de la vente en ligne.

    L’enquête souligne par ailleurs une nouvelle fois l’importance du click & collect en magasin, qui occasionnerait dans 33 % des cas l’achat d’un ou plusieurs produits supplémentaires. Quant au mobile, qui pèse 20 % des ventes en ligne, il est utilisé par 61 % des cyberacheteurs pour suivre les achats en ligne, mais aussi pour rechercher un produit avant achat online ou offline (57 %) et pour chercher ou localiser un magasin (52 %).

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Benefit #booste ses #ventes #e-commerce grâce à la #réalité #augmentée | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2JkxyaW

    #Benefit #booste ses #ventes #e-commerce grâce à la #réalité #augmentée

    A l’occasion de VivaTech, Benefit (LVMH) a présenté son service Benefit Try-On, baptisé Sourcils live en français, qui permet de tester virtuellement différentes formes de sourcils et de produits pour sourcils. Un module qui a permis à la marque de booster ses ventes en e-commerce.

    Sur le stand de LVMH à VivaTech, la marque de maquillage Benefit a mis en avant son module de réalité augmentée Benefit Try-On, rebaptisé Sourcils live en français. Sur le site marchand de la marque, il permet de tester virtuellement différents looks pour ses sourcils, de comparer les formes proposées avec leur aspect actuel, de savoir quels produits Benefit permettent d’obtenir tel ou tel look. « L’internaute peut jouer avec une quinzaine de design. Il peut choisir la visualisation 3D en réalité augmentée ou en 2D statique », précise Gala Sarmini Kressmann, directrice marketing digital pour Benefit Cosmetics au niveau mondial.

    Une utilisation mobile

    Le service a été mis en place en début d’année sur 42 sites de la marque à travers le monde. En moins de cinq mois, « Sourcils live a déjà été utilisé 750 000 fois et dans 80% des cas, il s’agissait d’une utilisation via un appareil mobile », annonce précise Gala Sarmini Kressmann. Cet outil de simulation a permis aussi à la marque d’améliorer ses ventes et le trafic sur son site. « Les personnes utilisant Sourcils live passent 93% de temps en plus que les autres sur notre site, soit plus de 6 minutes. Chez eux, nous avons constaté un panier d’achat moyen 44% plus élevé que pour les autres », confie Gala Sarmini Kressmann. L’outil de simulation renvoie aussi aux magasins physiques. En effet, l’internaute peut prendre en photo sa simulation préférée et prendre rendez-vous dans un bar à sourcils Benefit (chez Sephora en France) pour qu’une esthéticienne de la marque redessine ses sourcils comme sur la simulation.

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Adidas va #fermer plusieurs #magasins pour #stimuler ses #ventes #e-commerce | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2IGkrwF

    #Adidas va #fermer plusieurs #magasins pour #stimuler ses #ventes #e-commerce

    Adidas prévoit de fermer plusieurs magasins ces prochaines années, dans le cadre d'une stratégie visant à distribuer plus de produits en ligne, selon les dires de son PDG Kasper Rorsted. Dans un entretien donné au journal britannique Financial Times, Kasper Rorsted déclare : "Avec le temps, nous aurons moins de magasins, mais ils seront optimisés", avant d'ajouter que ces prochaines années, le nombre de magasins Adidas devrait diminuer légèrement. "Notre site Internet est notre premier magasin dans le monde".

    Adidas aimerait multiplier par plus de 2 ses ventes e-commerce pour atteindre 4 milliards d'euros d'ici 2020, contre 1,6 milliard l'an dernier. L'équipementier allemand exploite 2500 magasins dans le monde et 13000 magasins franchisés.

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    Adidas vient de lancer une application mobile qui permet de personnaliser son expérience d'achat en ligne. Celle-ci est disponible aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Allemagne, et devrait sortir cette année en France, en Espagne et au Canada.

    En 2017, Adidas a annoncé des revenus en hausse de 16% à 21,2 milliards d'euros, tandis que ses marges d'exploitation ont progressé de 120 points de base pour atteindre 9,8%.

    À l'avenir, Adidas aimerait faire augmenter ses ventes de 10% à 12% par an jusqu'en 2020, et ses marges d'exploitation de presque 10% à 11,5%. L'entreprise a pour objectif de faire progresser son résultat net d'environ 22% à 24% par an jusqu'en 2020.