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    [CONSO LAB] [COMMUNICATION] | La #Febea fait campagne pour rassurer les #consommateurs | @LSA

    FROM MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2xShF64

    La #Febea fait campagne pour rassurer les #consommateurs

    Face à la montée des controverses sur de nombreux ingrédients cosmétiques, la Fédération des entreprises de beauté réalise une campagne digitale pour apporter une information claire et ainsi rassurer les consommateurs.

    Febea, consommateurs

    "Démêlez le vrai du faux", telle est l’ambition de la campagne digitale soutenue par la Fédération des entreprises de beauté (Febea). Face à la montée des controverses sur de nombreux ingrédients cosmétiques, la Febea veut rassurer les consommateurs quant à la qualité des produits cosmétiques. Via une série de vidéos postées sur Youtube, la fédération essaie de répondre simplement aux interrogations des consommateurs sur les parabènes, le phénoxyéthanol, le dioxyde de titane, les phtalates, les allergènes… « Alors que l’information, parfois contradictoire ou inexacte, se diffuse à "la vitesse du clic" sur la toile et ses réseaux, il est naturel que des précisions puissent être apportées quant aux ingrédients utilisés dans les produits d’hygiène et de beauté », explique la Febea. La fédération va aussi communiquer sur les réseaux sociaux avec le hashtag #InfoCosmeto.

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    [CONSO LAB] [TENDANCE] | #Cosmétiques : les Françaises attentives au #prix et aux #ingrédients avant de passer en caisse | @ LaDepeche

    FROM RELAX NEWS | LA DEPECHE | http://bit.ly/2w84KZp

    #Cosmétiques : les Françaises attentives au #prix et aux #ingrédients avant de passer en caisse

    La renommée des marques, le packaging des produits et les campagnes publicitaires ne sont pas des critères déterminants pour l'achat d'un produit cosmétique. C'est le constat établi par une étude menée par OpinionWay pour Phyt's, rendue publique ce mercredi 20 septembre, qui montre que les consommatrices françaises sont avant tout attentives au prix (62%), puis à la composition et aux ingrédients utilisés pour la conception du produit (58%).

    L'efficacité des cosmétiques est également un facteur déterminant pour les Françaises (55%), puis viennent - loin derrière - la réputation de la marque (24%), le label et la certification (21%), les engagements pris par la marque (11%), et les avis des autres consommateurs (9%).

    Il n'est donc pas étonnant d'apprendre que plus de huit femmes interrogées sur dix déclarent avoir confiance dans les cosmétiques certifiés d'origine naturelle (86%) et dans les cosmétiques certifiés bio et d'origine naturelle (84%). A contrario, seules 35% affirment avoir confiance dans les cosmétiques sans mention particulière.

    Cosmétiques, prix, ingédients

    Plus de la moitié des sondées (58%) ont d'ailleurs déjà succombé aux produits de cosmétiques bio. En la matière, les produits d'hygiène sont les plus sollicités (52% des Françaises déclarent en avoir déjà achetés), devant les soins du visage (49%), et les soins corporels (46%). Le maquillage certifié bio ne semble, pour l'instant, pas avoir convaincu les consommatrices (seules 28% en ont déjà acheté).

    Parmi les femmes qui ont déjà acheté des produits bio ou prévoient de le faire, une majorité explique ce choix par la volonté d'éviter des ingrédients susceptibles d'être dangereux pour la santé (59%), mais aussi pour profiter de produits plus respectueux de leur peau (56%) et agir en faveur de l'environnement (50%).

    Cette étude a été réalisée en ligne, du 19 au 27 juillet derniers, auprès d'un échantillon de 1.022 femmes, représentatif de la population des femmes françaises âgées de 18 ans et plus

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    [CONSO LAB] [TECH] | #Google sets its sights on the #iPhone with #HTC #deal | @TheVerge

    FROM VLAD SAVOV | THE VERGE | http://bit.ly/2w9exyg

    #Google sets its sights on the #iPhone with #HTC #deal

    Of the three most influential companies in smartphone design, Nokia fragmented into a million pieces after being bought out by Microsoft, Apple is still going strong, and Google just bought the third with its $1.1 billion deal with HTC. The reason why Google acquired what looks to be the majority of HTC’s phone design and engineering team is simple, and it’s been obvious for over a year: Google is serious about becoming a hardware company.

    Early in 2016, Google created a new hardware division and re-hired Motorola chief Rick Osterloh to run that group. A brief few months after that, the company was plastering the streets of Europe and the US with billboards trumpeting the arrival of the first “Made by Google” Pixel devices. Why do we refuse to acknowledge what’s right in front of our eyes?

    Google is going to war against the iPhone. It sounds preposterous given the number and quality of apps that Google produces for Apple’s iOS ecosystem, but the iPhone is a direct threat and counter to Google’s overarching goal of being ubiquitous on every internet-connected device. Apple’s voice assistant Siri searches the web using Bing rather than Google, and Apple Maps was created explicitly to shake off Apple’s dependence on Google Maps.

    Google, Iphone, HTC, deal

    As Apple works to become independent of Google through the provision of its own services like Apple Music and iCloud, Google is moving to become independent of Apple by trying to make a better smartphone. One company is getting serious about services, the other is getting serious about hardware, and the end result will be an escalation and exacerbation of the conflict between them. The good old days of the Apple CEO and Google CEO sorting out their differences over casual coffee on a Palo Alto street are over.

    Everything we’ve seen Google do since the hiring of Osterloh can be best understood through the prism of competing with Apple’s hardware. Why, for instance, does Google need to buy the HTC team that built its first-generation Pixels? The answer lies in the benefits of tight, Apple-like integration: Google can iterate Pixel designs much faster with an in-house crew, and it can do synergistic things with its hardware and software that it wouldn’t be able to when contracting the work out (even the former Google+ VP Vic Gundotra has stated a preference for this approach). This is an awful example, but having its own design team means Google can build its own Bixby button for launching the Google Assistant.

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    [CONSO LAB] [DISTRIBUTION] | Forte #hausse de la #consommation de #PGC en Europe | @LSA

    FROM JEROME PARIGI | LSA | http://bit.ly/2wIo0fy

    Forte #hausse de la #consommation de #PGC en Europe au second trimestre

    Selon Nielsen, les dépenses des consommateurs en produits de tous les jours ont augmenté en Europe de 3,7% au 2ème trimestre – leur plus forte progression depuis 3 ans.

    Les données Nielsen provenant des distributeurs de 21 pays européens révèlent que cette progression de 3,7% des produits de grande consommation (PGC) s’explique par une hausse de 1,7% du nombre de produits achetés et une progression de 2,0% du prix moyen de chacun d’entre eux. "Ce regain d’activité des marchés PGC à travers l’Europe est la conséquence de 4 facteurs clés", commente Olivier Deschamps, Senior Vice-Président, Services à la Distribution Nielsen Europe. De meilleures conditions économiques, notamment en France et en Espagne, la réduction du chômage dans de nombreux pays, un moral des ménages mieux orienté, ainsi qu’une inflation qui reste contenue. Le décalage calendaire de Pâques explique également une partie de la croissance, mais les voyants sont tous au vert actuellement."

    Hausse, consommation, PGC

    Les performances du 2ème trimestre 2017 La Turquie affiche la plus forte progression (+14.2%), suivie par la Slovaquie (+9.3%) et l’Autriche (+6.7%). A l’opposé, la Suisse, le Danemark (+1.2%) et la Grèce (+1.9%) ont connu les progressions les plus modérées.

    Parmi les 5 économies principales, c’est l’Italie qui affiche la croissance la plus élevée (+4.0%) devant la France (+3.2%). L’Allemagne affiche quant à elle la progression la plus modérée de ce groupe de 5 pays (+2.3%), et la 5ème plus faible parmi les 21 pays étudiés.

    Olivier Deschamps conclut : "Les prévisions pour 2017 donnent une croissance du PIB autour de 1,75% : si aucun choc politique ou économique n’intervient au cours des 6 prochains mois, les perspectives pour la grande consommation sont à la poursuite du redressement en Europe du Sud, et à la progression des volumes en Europe du Nord."

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    [CONSO LAB] [ECONOMY] | #Bankruptcy Is No #Plaything | @Forbes

    FROM GEORGE SCHULTZE | FORBES | http://bit.ly/2xig5rj

    #Bankruptcy Is No #Plaything

    Toys "R" Us, Inc.— with over $5 billion in debt—made big headlines this week by filing for Chapter 11 bankruptcy, making this the third-largest retail industry bankruptcy of all time!

    Although we’re heading into the toy-buying, holiday shopping season, the news wasn’t shocking to most investors since problems in the retail industry have been widely-publicized for some time now. Retailers have been negatively-impacted by a number of major disruptive changes. Initially, big box retailers, like Walmart, Home Depot and Target, were able to take advantage of huge economies-of-scale in purchasing inventory and heavy investments in managing real-time inventory delivery logistics to pass through much lower costs to customers. Next came the proliferation of online shopping and the digitization of sales where new-economy companies, like Amazon and eBay, further lowered the cost to the end customer by altogether disintermediating the need to rely on bricks and mortar for retail purchases. Add excessive leverage at the company level to this mix of major disruptive trends and distress and/or bankruptcy seems inevitable.

    Bankruptcy, plaything

    While many retailer chains are struggling to adapt—Walmart’s new alliance with Google to compete with Amazon is a great example—Toys ‘R’ Us, Inc. has some additional baggage. This company has been overleveraged ever since it went private in a leveraged buyout in 2005. Back then, its equity sponsors (KKR, Bain Capital, and Vornado Realty Trust) assumed over $6.2 billion in debt and added on more even though the company was generating only $782 million per annum in earnings before interest, taxes, depreciation, and amortization (“EBITDA”). Perhaps the thinking at the time of the Toys "R" Us LBO was that it would be somewhat insulated from these macroeconomic trends due to the value of its underlying real estate.

    Like many old-line retailers, Toys "R" Us, with approximately 1,690 stores worldwide, rents space at many locations and a significant number of these below-market long-term leases have value – even in bankruptcy – as they are assets that can be sold (or re-leased) to other potential tenants. Having said that, the company says its Toys "R" Us and Babies "R" Us stores will continue to operate as usual. This is probably just as well since, the trends of late in retailer real estate haven’t been encouraging either and finding new tenants for some of those locations might be difficult. 

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    [CONSO LAB] [EN LIGNE] | #Walmart et #Google s'associent dans le #commerce en #ligne | @La Tribune

    DE ALEXANDRE GADAUD | LA TRIBUNE | http://bit.ly/2fFrp9i

    #Walmart et #Google s'associent dans le #commerce en #ligne

    Les clients de l'enseigne de distribution Walmart pourront désormais effectuer leurs achats via la plateforme Google Express. Une alliance pour mieux contrer le leader mondial Amazon.

    Le numéro un mondial de la distribution, Walmart, et Google ont officialisé mercredi (via leurs blogs respectifs) un partenariat d'envergure afin de s'attaquer au marché du commerce en ligne dominé aujourd'hui par Amazon. À partir de septembre, Google proposera des "centaines de milliers" de produits Walmart sur sa propre plateforme de livraison à domicile disponible pour l'instant uniquement aux États-Unis, Google Express. Les achats pourront également se faire à la voix avec Google Home, le nouvel assistant personnel du moteur de recherche déployé en France depuis mi-août. C'est la première fois que les produits du spécialiste de la grande distribution sont disponibles sur un autre site que le sien aux États-Unis.

    Pour le groupe de la grande distribution, ce partenariat pourrait lui permettre de considérablement augmenter ses ventes sur la toile. Il offrirait aussi une plus grande visibilité pour ses produits, et rendrait l'utilisation de la commande vocale "aussi facile que possible" pour ses clients, comme le souhaite Marc Lore, directeur de la branche e-commerce chez Walmart. Un shopping vocal innovant -qu'Amazon propose déjà- apporterait aux clients une nouvelle expérience d'achat, selon lui.

    Walmart, Google, Commerce en ligne

    De son côté, la firme de la Silicon Valley profiterait de cette association en récupérant de nouvelles références produits sur sa plateforme. La nouvelle liaison des comptes Walmart et Google apporterait des "résultats personnalisés" à partir des différents achats de leurs clients d'après Sridhar Ramaswamy, responsable publicité et commerce pour le géant du web. Des informations essentielles au bon référencement de sa plateforme lui donneraient un avantage par rapport à Amazon.

    Officieusement, les deux groupes se lient pour mieux détrôner l'entreprise de Seattle. Avec une part de marché de 38% selon les dernières analyses du cabinet Retailer, Amazon écrase la concurrence dans le marché américain de la vente en ligne. Depuis quelques années déjà, Walmart multiplie les effortspour contrer ce rival, et avait d'ailleurs déboursé trois milliards de dollars, il y a un an, pour racheter le site discount Jet.com, sa plus grosse acquisition depuis 2010.

    Pour la filiale d'Alphabet, l'accord met en avant son assistant domestique Google Home, en concurrence avec Echo, son équivalent chez Amazon. Le partenariat devrait aussi soutenir les efforts du moteur de recherche pour développer sa boutique en ligne, toujours dans l'ombre du groupe fondé par Jeff Bezos.