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    [#CONSOLAB] [EMBALLAGE] | #Recyclage et #digital au cœur des #préoccupations des #acheteurs | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2FZO8sp

    #Recyclage et #digital au cœur des #préoccupations des #acheteurs

    Dans un contexte d’affaires prometteur lié au retour de la croissance, le secteur de l’emballage en France et en Europe anticipe les nouvelles obligations réglementaires en matière de recyclabilité et cherche à concrétiser sa révolution digitale, selon la dernière livraison de l’Observatoire All4Pack. Les résultats de l’Observatoire 2017 dévoilés par le salon All4Pack Paris révèlent de belles perspectives de croissance pour le secteur en 2018.

    Retour à la croissance

    Les perspectives d’investissement de la filière sont boostées par la croissance dans les secteurs utilisateurs d’emballages. 

    • Le retour de la croissance continue de profiter à l’emballage. 63% des acheteurs et 62% des fournisseurs prévoient une hausse de leur production en volume en France. La distribution/commerce/e-commerce maintient son 1er rang de secteur utilisateur le plus optimiste. Le secteur des biens d’équipement industriel, intermédiaires et BTP est à nouveau optimistes pour 58% des acheteurs. Un acheteur sur deux a investi ou prévoit d’investir pour la création, la fabrication de packagings/emballages.
    • Process et manutention stimulent les investissements. Parmi les 91% d’acheteurs ayant un investissement en cours ou prévus dans les 2 ans ; 1 sur 3 va investir dans les machines de process/conditionnement et 1 sur 3 dans les systèmes de stockage/manutention des charges.
    • Le « made in France » sécurise les achats, malgré une tension palpable sur les prix des matériaux. 46% des acheteurs se fournissent en emballage en France. 78% pensent que le « Made in France » est une clé de développement pour l’emballage mais 41% s’attendent à une hausse du prix des matériaux.

    Forts enjeux de durabilité

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    Selon l’Observatoire All4Pack, l’économie circulaire se place de plus en plus au coeur de la filière emballages, qui anticipe les nouvelles obligations réglementaires.

    • Le recyclage/la recyclabilité des matériaux piloteront l’innovation dans les deux ans pour 52% des acheteurs. Loin devant le design.
    • La réduction des coûts et le recyclage bouclent le cercle vertueux de l’emballage. Facteur d’évolution « historique » le plus important pour 51% des acheteurs, la réduction des coûts voit sa prégnance diminuer. La recyclabilité/le recyclage des matériaux devient le 2ème facteur d’évolution, la réduction à la source/l’écoconception se hisse à nouveau au 4ème rang.

    Transformation digitale

    L’observatoire relève également des signaux forts autour des modes de distribution, de la transformation digitale et de l’industrie 4.0 :

    • L’e-packaging s’impose. 4 acheteurs sur 7 estiment que l’emballage primaire doit s’adapter globalement à une distribution omnicanale et 2 pensent qu’il doit être spécifiquement adapté au canal de l’e-commerce. L’emballage d’expédition profite aux cartons à la dimension des colis, aux enveloppes, aux calages par coussins d’air et papier recyclé, mais dans 1 cas sur 2, c’est un carton à dimensions standards.
    • L’emballage connecté/intelligent pour répondre aux millennials : ainsi pensent 79% des acheteurs. 29% des acheteurs pensent nécessaire de différencier les packagings destinés aux millennials de ceux destinés aux baby-boomers. 71% estiment que le format et la taille sont des critères de différenciation pour les baby-boomers.
    • L’emballage et le conditionnement désormais de plain-pied dans l’industrie 4.0 pour 71% des acheteurs et fournisseurs. Les acheteurs en attendent une meilleure qualité à moindre coût, encore plus de flexibilité pour les équipements et des gains de productivité. La réduction du temps de mise en marché prime chez les fournisseurs. 36% des acheteurs ont entamé des investissements pour prendre le virage de l’Industrie 4.0, les autres attendent une évaluation du retour sur investissements.
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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | Les #cosmétiques peinent toujours à #séduire les #acheteurs #Français | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE VINCENT GALLON | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2o9ufGJ

    Les #cosmétiques peinent toujours à #séduire les #acheteurs #Français

    Les ventes de produits d’hygiène et beauté en grandes surfaces ont reculé de -2,2% selon Kantar Worldpanel, et même de -6,2% pour les produits de rasage et -5,5% pour les déodorants. Du côté du circuit sélectif, le secteur clôt également l’année en recul à -1% mais enregistre d’excellentes ventes de fin d’année, selon The NPD Group. Malgré leur succès croissant, les ventes en ligne ne parviennent pas à compenser la chute des ventes en magasins.

    L’embellie économique enregistrée en 2017 en France avec une croissance du PIB à +1,9% et une stabilisation du chômage peine encore à se traduire dans les ventes de produits cosmétiques et de toilette. Les ventes en grande consommation sont celles qui souffrent le plus, avec un recul de -2,2% pour l’hygiène-beauté, de -2,4 pour l’hygiène corporelle, -0,6% pour les produits bain-douche, -0,6% pour les savons de toilette, -5,5% pour les déodorants et -6,2% pour les produits de rasage, selon l’institut d’études Kantar Worldpanel.

    Selon Kantar Worldpanel, le marché de l’hygiène-beauté est confronté à une problème de création de valeur, mais également à un enjeu de volume, avec des acheteurs moins fréquents. « Les produits d’hygiène-beauté sont de moins en moins prioritaires pour les Français, » souligne l’institut. Résultat : les Français se maquillent moins et se rasent moins.

    Maquillage des lèvres et ventes en ligne soutiennent le sélectif

    Du côté sélectif, malgré un nouveau recul des ventes de (-1%), plusieurs tendances positives ont marqué le circuit en 2017 qui a représenté 3 milliards d’euros en 2017.

    La période des achats de Noël qui a débuté avec l’opération Black Friday - un succès cette année en France - a été particulièrement profitable (30 % des ventes annuelles du secteur ont été réalisées en moins de deux mois, entre novembre et décembre) et a permis au secteur de gagner un point de croissance (de -2% à -1%), selon The NPD Group.

    « Les tendances de la parfumerie sélective s’améliorent légèrement par rapport à l’an passé mais le secteur reste confronté à une concurrence croissante et à un pouvoir d’achat des ménages qui ne s’améliore pas suffisamment pour redynamiser le marché  », explique Mathilde Lion, Expert Beauté Europe chez The NPD Group.

    Ce sont les masques (+12%), pour le soin, et les gloss (+15%), pour le maquillage qui ont tiré les ventes de cosmétiques de prestige en 2017.

     

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    Les crèmes hydratantes finissent l’année à +1% et les lotions et toniques voient également leurs ventes croître de 2%. Si le ventes de masques ne représentent encore que 3 % de l’ensemble des ventes de soins, ils apparaissent comme un véritable vecteur de croissance, sous l’impulsion de la popularité croissante de la K-Beauté. Pour le maquillage, les produits pour les lèvres ont maintenu leur dynamisme avec une croissance des ventes de 3%. Les ventes de rouge à lèvres ont augmenté de 2 % mais le gloss a été la star incontestée en 2017, enregistrant une croissance de 15 % et supplantant le rouge à lèvres comme tendance maquillage de l’année.

    Les ventes de parfums ont joué un rôle important pour le secteur en 2017 avec les Eaux de Parfum comme locomotive du segment (+3% des ventes) confirmant, selon The NPD Group, la préférence des consommateurs pour des essences plus concentrées. Le parfum est le segment pour lequel l’opération Black Friday a eu le plus gros impact, marquant l’ouverture officielle de la saison du shopping de Noël.

    Explosion des ventes en ligne

    Selon The NPD Group, les ventes en ligne de produits de prestige ont augmenté de 27 % en 2017 - soit une contribution de la valeur de deux points de croissance sur l’ensemble du secteur. Ce sont les ventes de maquillage -portées en partie par les Millenials - qui ont le plus progressé en ligne (+44 %), suivi par le soin (+29%) et le parfums (+22%). Les résultats spectaculaires annoncés par Feelunique et Beauté Privéeconfirment cette tendance.

    Toutefois, le dynamisme des boutiques en ligne n’a pas suffi à compenser le recul des ventes des magasins physiques qui ont reculé de 3%. « Les ventes en ligne ne sont pas des ventes additionnelles mais traduisent une profonde mutation dans le mode d’achat, » commente The NPD Group.

    « Le challenge 2018 pour la beauté sélective va être d’optimiser la croissance des ventes en ligne tout en créant du trafic en magasin. Le potentiel de l’e-commerce sur la beauté est énorme même si nous sommes encore très loin en France de ce que ce circuit peut représenter dans d’autres pays, comme les États-Unis ou le Royaume Uni. À date, la montée en puissance du on-line ne compense pas complètement les pertes des magasins physiques. Pourtant, les consommateurs, et notamment les jeunes, aiment se rendre en magasin ...tout se jouera donc sur l’expérience, le conseil et la personnalisation du service qu’ils pourront trouver en point de vente, » conclut Mathilde Lion.