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    [#CONSOLAB] [IA] | Vers une #IA plus #humaine pour #séduire et #fidéliser les #consommateurs | @LUSINEDIGITALE

    DE CHLOE BENOIST | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2KYOn8Y

    Vers une #IA plus #humaine pour #séduire et #fidéliser les #consommateurs

    Le rapport du Digital Transformation Institute de Capgemini, sorti ce lundi 9 juillet 2018, révèle que les consommateurs, loin de se sentir étrangers à l’IA, sont majoritairement satisfaits de leurs expériences, avec malgré tout une préférence pour les intelligences artificielles plus humaines.

    73% des consommateurs affirment avoir déjà interagi avec une IA et plus de moitié ont été satisfaits de cette expérience. C'est ce qui ressort de l'étude de Capgemini, réalisée auprès de 10 000 consommateurs et plus de 500 entreprises répartis dans 10 pays*. Cependant, pour séduire les consommateurs, un équilibre entre IA et interactions humaines est privilégié par 55% des interrogés. Pour 64%, il faudrait même que l’IA devienne plus humaine.

    Les consommateurs apprécient l’équilibre entre IA et êtres humains.

    Selon le rapport du Digital Transformation Institute, la disponibilité permanente de l’IA et le contrôle qu’elle permet sur les interactions, sont des points positifs pour 63% des consommateurs, déjà initiés à cette technologie. Mais alors que l’IA prend de plus en plus de place dans leur quotidien, il s’avère que plus celle-ci est dotée d’une intelligence proche de celle de l’Homme, plus les consommateurs se sentent à l’aise. Cette humanisation de l’IA pourrait même être un facteur de fidélisation puisque 49% des interrogés affirment qu’ils se sentiraient plus proches des organisations offrant des interactions IA plus humaines et donc seraient aptes à dépenser davantage.

    Mais attention, une IA plus humaine ne signifie pas à l’apparence semblable à celle d’un humain. Ce critère semble au contraire déranger plus de la moitié des consommateurs, qui préfèrent une IA à la voix humaine ou même capable d’interpréter les émotions. De cette manière, un juste équilibre entre IA et humain paraît correspondre aux interrogés de tous âges, bien que 66% souhaiteraient malgré tout être avertis lorsque l’IA est utilisée par les entreprises dans les interactions.

    Prendre en compte les préférences des clients pour optimiser l'IA

    Le problème majeur engendré avec l’IA se situe au niveau de l’expérience client et plus exactement lors de l’intégration de cette technologie par les organisations. Ces dernières ont en effet du mal à prendre en compte les préférences de leurs clients puisque seulement 7% d’entre elles listent leurs attentes. Un pourcentage bien trop faible à en croire Mark Taylor, responsable de l’Expérience Client au sein de l’activité Digital Customer Experience de Capgemini, qui déclare : "Pour atteindre les meilleurs résultats possibles, les entreprises doivent faire de l’intelligence artificielle et de l’expérience client une priorité stratégique".

    La priorité des entreprises se situe, au contraire, au niveau des coûts (62%) et du ROI (59%) plutôt que de l’expérience client (10%). Ce problème ne devrait pourtant pas être difficile à régler dans la mesure où les consommateurs affirment être prêts à dépenser jusqu’à 10% en plus, pour un quart d’entre eux, afin de bénéficier d’une meilleure expérience client. 38% des interrogés déclarent en effet effectuer davantage d’achats, suite à une expérience utilisateur satisfaisante. Cette dernière contribuant à améliorer la confiance des consommateurs dans l’entreprise et par conséquent la fidélisation, comme le confirme Mark Taylor : "Si les entreprises utilisent l’IA pour réinventer, rationaliser et simplifier les interactions avec leurs clients, elles pourront accroître les dépenses et la fidélité de ces derniers".

    Les chiffres en un coup d'oeil :

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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | Les #cosmétiques peinent toujours à #séduire les #acheteurs #Français | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE VINCENT GALLON | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2o9ufGJ

    Les #cosmétiques peinent toujours à #séduire les #acheteurs #Français

    Les ventes de produits d’hygiène et beauté en grandes surfaces ont reculé de -2,2% selon Kantar Worldpanel, et même de -6,2% pour les produits de rasage et -5,5% pour les déodorants. Du côté du circuit sélectif, le secteur clôt également l’année en recul à -1% mais enregistre d’excellentes ventes de fin d’année, selon The NPD Group. Malgré leur succès croissant, les ventes en ligne ne parviennent pas à compenser la chute des ventes en magasins.

    L’embellie économique enregistrée en 2017 en France avec une croissance du PIB à +1,9% et une stabilisation du chômage peine encore à se traduire dans les ventes de produits cosmétiques et de toilette. Les ventes en grande consommation sont celles qui souffrent le plus, avec un recul de -2,2% pour l’hygiène-beauté, de -2,4 pour l’hygiène corporelle, -0,6% pour les produits bain-douche, -0,6% pour les savons de toilette, -5,5% pour les déodorants et -6,2% pour les produits de rasage, selon l’institut d’études Kantar Worldpanel.

    Selon Kantar Worldpanel, le marché de l’hygiène-beauté est confronté à une problème de création de valeur, mais également à un enjeu de volume, avec des acheteurs moins fréquents. « Les produits d’hygiène-beauté sont de moins en moins prioritaires pour les Français, » souligne l’institut. Résultat : les Français se maquillent moins et se rasent moins.

    Maquillage des lèvres et ventes en ligne soutiennent le sélectif

    Du côté sélectif, malgré un nouveau recul des ventes de (-1%), plusieurs tendances positives ont marqué le circuit en 2017 qui a représenté 3 milliards d’euros en 2017.

    La période des achats de Noël qui a débuté avec l’opération Black Friday - un succès cette année en France - a été particulièrement profitable (30 % des ventes annuelles du secteur ont été réalisées en moins de deux mois, entre novembre et décembre) et a permis au secteur de gagner un point de croissance (de -2% à -1%), selon The NPD Group.

    « Les tendances de la parfumerie sélective s’améliorent légèrement par rapport à l’an passé mais le secteur reste confronté à une concurrence croissante et à un pouvoir d’achat des ménages qui ne s’améliore pas suffisamment pour redynamiser le marché  », explique Mathilde Lion, Expert Beauté Europe chez The NPD Group.

    Ce sont les masques (+12%), pour le soin, et les gloss (+15%), pour le maquillage qui ont tiré les ventes de cosmétiques de prestige en 2017.

     

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    Les crèmes hydratantes finissent l’année à +1% et les lotions et toniques voient également leurs ventes croître de 2%. Si le ventes de masques ne représentent encore que 3 % de l’ensemble des ventes de soins, ils apparaissent comme un véritable vecteur de croissance, sous l’impulsion de la popularité croissante de la K-Beauté. Pour le maquillage, les produits pour les lèvres ont maintenu leur dynamisme avec une croissance des ventes de 3%. Les ventes de rouge à lèvres ont augmenté de 2 % mais le gloss a été la star incontestée en 2017, enregistrant une croissance de 15 % et supplantant le rouge à lèvres comme tendance maquillage de l’année.

    Les ventes de parfums ont joué un rôle important pour le secteur en 2017 avec les Eaux de Parfum comme locomotive du segment (+3% des ventes) confirmant, selon The NPD Group, la préférence des consommateurs pour des essences plus concentrées. Le parfum est le segment pour lequel l’opération Black Friday a eu le plus gros impact, marquant l’ouverture officielle de la saison du shopping de Noël.

    Explosion des ventes en ligne

    Selon The NPD Group, les ventes en ligne de produits de prestige ont augmenté de 27 % en 2017 - soit une contribution de la valeur de deux points de croissance sur l’ensemble du secteur. Ce sont les ventes de maquillage -portées en partie par les Millenials - qui ont le plus progressé en ligne (+44 %), suivi par le soin (+29%) et le parfums (+22%). Les résultats spectaculaires annoncés par Feelunique et Beauté Privéeconfirment cette tendance.

    Toutefois, le dynamisme des boutiques en ligne n’a pas suffi à compenser le recul des ventes des magasins physiques qui ont reculé de 3%. « Les ventes en ligne ne sont pas des ventes additionnelles mais traduisent une profonde mutation dans le mode d’achat, » commente The NPD Group.

    « Le challenge 2018 pour la beauté sélective va être d’optimiser la croissance des ventes en ligne tout en créant du trafic en magasin. Le potentiel de l’e-commerce sur la beauté est énorme même si nous sommes encore très loin en France de ce que ce circuit peut représenter dans d’autres pays, comme les États-Unis ou le Royaume Uni. À date, la montée en puissance du on-line ne compense pas complètement les pertes des magasins physiques. Pourtant, les consommateurs, et notamment les jeunes, aiment se rendre en magasin ...tout se jouera donc sur l’expérience, le conseil et la personnalisation du service qu’ils pourront trouver en point de vente, » conclut Mathilde Lion.

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    [#CONSOLAB] [PRODUITS] | #Coca #Cola #Light cherche à #séduire les #millennials #américains | @GONDOLA

    DE CAROLE BOELEN | GONDOLA | http://bit.ly/2mWnBUy

    #Coca #Cola #Light cherche à #séduire les #millennials #américains 

    Aux Etats-Unis, la version light du Coca-Cola perd en popularité au profit des eaux gazeuses aromatisées. Pour séduire une nouvelle génération de consommateurs, le géant du soda mise donc sur un rebranding et l’introduction de nouvelles saveurs.

    « Coca-Cola Light est l’une des marques les plus emblématiques, aimée par des millions de fans en Amérique du Nord » déclare Rafael Acevedo, directeur du département Diet Coke au sein de Coca-Cola Amérique du Nord. « Tout au long du processus de relance de la marque, nous avons tenus à nous montrer audacieux, à penser différemment et à être innovants. Et surtout, nous voulions rester fidèles à l’essence du Coca-Cola Light, tout en remaniant la marque pour la destiner à une nouvelle génération ».

    4 variétés supplémentaires, un nouveau look

    Résultat? Si le Coca-Cola Light traditionnel garde une version identique, tant au niveau du look que de la recette, la gamme se voit étendue. Quatre nouvelles variantes font ainsi leur apparition sur le marché américain et bientôt aussi au Canada. Deux ans auront été nécessaires à l’élaboration des nouvelles variétés, qui se déclinent comme tel: Ginger Lime, Feisty Cherry, Zesty Blood Orange et Twisted Mango. La canette, quant à elle s’affine et le rond laisse place à une ligne… « La ‘high line’ est un disque rouge Coca-Cola qui fait une promenade » explique James Sommerville, vice-président de Coca-Cola Global Design. « Cela montre le mouvement continuel de la marque Coca-Cola Light, de son innovation et de ses consommateurs ».

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    Cible? Les Millennials

    « Le processus d’innovation qui s’est étalé sur deux ans  a été alimenté par une recherche consommateur, soulignant l’attrait des jeunes américains envers des saveurs fortes, mais rafraîchissantes et savoureuses, dans leurs aliments et boissons préférées, des bières artisanales houblonnées aux sauces épicées » explique la société. « Les Millennials sont plus que jamais assoiffés d’aventures et de nouvelles expériences, et nous voulons être à leurs côtés », poursuit Rafael Acevedo.

    Quant à savoir si ce lancement aura un jour lieu en Europe, rien ne filtre. « Diet Coke, connu sous le nom de Coca-Cola Light dans la plupart des marchés internationaux, est disponible dans 110 pays. Le nouveau design et les nouveaux goûts seront d’abord disponibles aux Etats-Unis, suivis du Canada en février ».