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1- Actualités - Page 54

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    [#CONSOLAB] [HIGHTECH] | #Waze veut contrer #Blablacar en France avec une offre de #covoiturage | @BFMTV

    DE PASCAL SAMAMA | BFMTV | http://bit.ly/2ie31N6

    #Waze veut contrer #Blablacar en France avec une offre de #covoiturage

    La filiale de Google, éditeur de l’appli de géolocalisation, projette de lancer dans l'Hexagone une offre de covoiturage pour les déplacements domicile-travail.

    Blablacar est en France synonyme de covoiturage, mais le quasi-monopole dont jouit, dans l'Hexagone, le service créée par Frédéric Mazzela pourrait être mis à mal par un acteur de poids. Waze, la filiale de Google connu pour son appli GPS, a l’intention de lancer en France sa propre offre de covoiturage. C’est ce qu’a affirmé aux quotidien Les Échos Thomas Guignard, directeur général Europe, Moyen-Orient et Afrique de la start-up israélienne rachetée par Google en 2013. Officiellement, l'objectif est de participer au désengorgement du trafic routier. "Le covoiturage est un sujet essentiel pour nous. En optimisant le remplissage des voitures, on contribue à désaturer le trafic, et donc à réduire le temps de trajet, ce qui est aligné avec notre vocation".

    Le dirigeant précise qu’il ne compte pas se précipiter. Ce service ne sera pas lancé avant 2019, ce qui laisse du répit à Blablacar, mais également à ces concurrents. Cette activité devient de plus en plus compétitive depuis son lancement en 2004. Aujourd’hui, plusieurs sociétés se sont lancées parmi lesquelles iDvroom (filiale de la SNCF), Wayzup, Karos, ainsi que des services locaux ou associatifs comme freecovoiturage ou covoiturage-libre.

    Waze a déjà une certaine expertise dans le covoiturage courte distance. Lancé en 2015 dans plusieurs villes israéliennes (Tel Aviv, Ra’anana et Herzliya), l'appli de covoiturage qu'elle a mis au point est opérationnelle en Californie depuis 2016. Et après une année de test à Rio de Janeiro, le Brésil est le prochain pays sur la liste. Son offre se veut une alternative aux transports en commun pour les trajets domicile-travail.

    Waze, Blablacar, covoiturage

    L’arrivée du duo Waze/Google doit-elle inquiéter les acteurs français du covoiturage? Blablacar a en tout cas tardé à se lancer sur le covoiturage courte distance. Il a attendu la rentrée 2017 pour lancer une offre comparable baptisée BlablaLines et destinée aux Franciliens. De plus Google apparaissait jusqu'alors comme un allié. Les utilisateurs qui cherchent un itinéraire sur Google Maps se voient aujourd'hui proposer une option covoiturage en plus des autres modes de transport. Et il suffit d'avoir téléchargé l'appli mobile de BlablaCar sur son smartphone pour être redirigé vers la page des résultats sur BlablaCar correspondant au trajet recherché. Cette alliance va-t-elle perdurer après l’arrivée de Waze?

    Selon Les Échos, Blablacar s’est d'ailleurs associé à Transdev, la SNCF et la RATP pour créer une base de données qui centralisera les informations stratégiques des voyageurs afin d’adapter leurs services aux besoins des usagers. Une initiative perçue comme une réplique à Google, Facebook et Amazon qui ne pourraient pas avoir accès à cette mine de données.

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    [#CONSOLAB] [INNOVATION] | #Sephora s’inscrit dans l’ère de l’#assistance #vocale | @FASHION NETWORK

    DE SARAH AHSSEN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2zzjCEV

    #Sephora s’inscrit dans l’ère de l’#assistance #vocale

    L’enseigne de parfumerie sélective Sephora lance son application sur l’Assistant Google, un logiciel qui effectue un certain nombre de tâches pour l’utilisateur en allant chercher des informations dans le téléphone ou sur Internet. Sephora est ainsi l’une des premières applications disponibles sur l’Assistant Google, suite au lancement en France de la plateforme Actions on Google qui permet de contrôler des applications par la voix sans les installer sur son smartphone.

    « L’utilisation des assistants vocaux et plus récemment des enceintes à commande vocale se révèle être bien plus qu’une tendance, mais bien la préparation d’une petite révolution digitale dans laquelle Sephora souhaite être précurseur. Avec ces premières fonctionnalités et cette collaboration avec Google, nous comptons tester l’audience et les réactions de nos clients sur l’assistance vocale », indique Anne Véronique Baylac, directrice du digital chez Sephora Europe et Moyen-Orient.

    Pour appuyer l’importance que pourraient prendre à l’avenir les assistants vocaux, Sephora souligne qu'en 2016, rien qu’aux Etats-Unis, 49 millions de personnes ont utilisé des assistants vocaux et 10 millions d’enceintes à commande vocale ont été vendues.

    Sephora, assistance vocale

    Pour ses débuts sur l’Assistant Google, Sephora propose la réservation de services beauté, de jouer avec l’enseigne via des quiz et d’écouter des podcasts beauté orchestrés chaque semaine par un influenceur. D’autres fonctionnalités seront disponibles en 2018.

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    [#CONSOLAB] [MAGASIN] | #Marks & #Spencer contraint d'accélérer sa #réorganisation | @LES ECHOS

    DE ALEXANDRE COUNIS | LES ECHOS | http://bit.ly/2z0cdza

    #Marks & #Spencer contraint d'accélérer sa #réorganisation

    L'enseigne britannique, dont les profits ont baissé pour le deuxième semestre consécutif, va réduire le rythme de ses ouvertures de magasins consacrés à l'alimentaire.

    Plus vite, plus fort. Marks & Spencer a annoncé mercredi une accélération de son plan de redressement, après avoir essuyé le deuxième recul consécutif de son bénéfice au premier semestre. Même s'il est supérieur aux attentes des analystes, le résultat avant impôts et éléments exceptionnels de mars à septembre fléchit de 5,3 % par rapport à la même période de l'an dernier, à 219,1 millions de livres (248,1 millions d'euros).

    L'occasion pour le nouveau président, Archie Norman, connu pour avoir sauvé les supermarchés britanniques Asda de la faillite avant de les revendre à Wal-Mart en 1999, d'imprimer sa marque sur le groupe. Et d'imposer son rythme à son directeur général, Steve Rowe, dont le plan de réorganisation lancé il y a un an était jugé par certains trop timoré.

    Dans l'habillement-habitat, d'abord. Les ventes ont reculé de 0,1 % à périmètre comparable au deuxième trimestre, après une baisse de 1,2 % sur les trois mois précédent. L'enseigne britannique compte rationaliser ses surfaces de vente plus vite que prévu, alors qu'au moins 30 boutiques de vêtements doivent être fermées et 45 autres relocalisées ou réduites sur cinq ans. Dans ce secteur qui pèse depuis longtemps sur ses résultats, Marks & Spencer s'efforce depuis plus d'un an de simplifier son offre, de booster les ventes en ligne (pour en porter la part à un tiers du total) et de réduire le coût de sa chaîne d'approvisionnement.

    Dans l'alimentation, ensuite. Le chiffre d'affaires recule de 0,1 % sur le semestre hors ouverture de nouveaux magasins et risque de souffrir encore, les consommateurs britanniques étant soumis à une double contrainte : les salaires réels ont cessé d'augmenter et la chute de la livre liée aux incertitudes sur le Brexit a commencé attiser l'inflation .

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    L'enseigne s'attend à une détérioration de ses marges brutes plus importante que prévu sur l'exercice. Elle a donc décidé de ramener de 90 à 80 le nombre d'ouvertures de magasins Simply Food (consacrés à l'alimentaire) prévues sur 2017-2018. « Nous reconnaissons que nous faisons face à de forts vents contraires dans l'alimentaire, auxquels nous allons nous attaquer dans l'année à venir », a promis Steve Rowe

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    [#CONSOLAB] [VENTE] | #Facebook teste l’intégration de #Messenger aux portails de #vente | @FASHION NETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2AGQQAd

    #Facebook teste l’intégration de #Messenger aux portails de #vente

    Si la révolution du social commerce n’a pas eu lieu, les réseaux se sont avérés être de précieux outils de génération de trafic et d’engagement pour les commerces. C’est donc logiquement que Facebook propose actuellement aux e-commerçants de tester un plugin Messenger permettant d’engager la conversation avec les clients.

    Le portail corporate du réseau social propose aux professionnels de s’inscrire à un accès anticipé du dispositif, qui se traduit sur les sites de vente par l’apparition d’une fenêtre de discussion semblable à celle présente sur la version web de Facebook. Le tout en utilisant la session Facebook déjà active sur ce même terminal. L’outil réclame au préalable l’autorisation de l’utilisateur, ce dernier pouvant ensuite retrouver la conversation en dehors du site marchand, sur sa page ou sur son application Facebook.

    Le déploiement s’est fait de manière discrète : le portail américain dédié au fitness Bodeaz figure parmi les premiers portails à s’essayer au procédé via Facebook, dans un domaine de l'engagement client sur lequel de nombreuses start-up se sont de longue date positionnées.

    « L'utilisation de Messenger a augmenté dans certains cas la satisfaction vis-à-vis du service client de 80% », a déclaré le responsable de Messenger, David Marcus, le 9 novembre à l’occasion d’une conférence donnée à Station F, le campus de start-up parisien lancé par Xavier Niel. Une prise de parole au cours de laquelle le dirigeant a confirmé qu’il s’agit du principal ajout de la prochaine version de la messagerie. « Il est également possible désormais d'opérer des paiements mobiles directement via Messenger », a-t-il par ailleurs indiqué.

    Facebook, Messenger, portails de vente

    En septembre dernier, Facebook indiquait que son outil de messagerie est désormais utilisé par 1,3 milliard d’internautes à travers le globe. Alors qu’il aurait pour sa part dépassé les deux milliards d’utilisateurs actifs dans le monde au mois de juin dernier, le groupe Facebook a généré en 2016 un chiffre d’affaires de 27,67 milliards de dollars, pour des bénéfices s’élevant à 10,2 milliards.

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    [#CONSOLAB] [FLAGSHIP] | #Naturalia inaugure un #flagship #végétal | @LSA

    DE CAMILLE HAREL | LSA | http://bit.ly/2zTyLBA

    #Naturalia inaugure un #flagship #végétal

    Naturalia tape très fort en 2017. Après avoir fait sensation avec l’ouverture de trois points de vente dédiés aux produits vegan en Ile-de-France, l’enseigne inaugure le 9 novembre son dernier flagship. Le mot qui s’impose face à cette boutique : atypisme. Avenue Victor Hugo à Boulogne-Billancourt, une grande bâtisse rouge de quatre étages avec un mur végétal s’érige : c’est le dernier magasin Naturalia remodelé. « Nous avions un point de vente à cet emplacement, depuis 2004, au rez-de-chaussée sur 140 m². Mais nous avons eu l’opportunité de reprendre l’ensemble de l’immeuble et de gagner en surface pour compter désormais 440 m² », indique Franck Poncet, directeur général de Naturalia.

    A chaque étage son métier

    A l’intérieur, chaque étage représente une offre ou un métier dédié. Au rez-de-chaussée, place aux produits du marché et au frais. « Nous avons une trentaine de références en boulangerie, 100 en fruits et légumes et un rayon coupe sur le fromage et la charcuterie », ajoute-t-il. L’ensemble de l’épicerie, des références végan et du sans gluten sont réunies au 1er étage. La zone beauté et bien-être se situe au 2ème étage avec près de 2 000 références. « Les clients se rendent facilement dans cet univers après leurs courses alimentaires. Nous mettons à disposition un bar à maquillage et un espace aromathérapie et phytothérapie avec deux naturopathes qui sont là pour donner des conseils et accompagner les consommateurs dans l’élaboration de leurs produits », détaille Franck Poncet. Enfin, clou du spectacle : la salle zen & yoga au dernier étage ou sont donnés des cours par deux professeurs, qui viennent de l’atelier Kbox, situé à Boulogne-Billancourt. « Cet espace s’inscrit dans la continuité de notre magasin », ajoute-t-il.

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    L’écologie est de mise

    Outre l’aspect service, le magasin, qui a nécessité 4 mois de travaux, a été remodelé dans une démarche d’écoconception : de la peinture sans solvant, des meubles en bois issus de forêts éco-gérées, du végétal dans la cage d’escaliers… Par ailleurs, quatre ruches ont été aménagées sur le toit de l’immeuble pour favoriser la pollinisation et la biodiversité. « Ce magasin n’est pas unique et peut-être duplicable. Il y a des éléments de ce lieu qui pourront être adaptés à d’autres magasins », indique Franck Poncet.

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    [#CONSOLAB] [FLAGSHIP] | L’#Occitane va ouvrir un #flagship à #Londres | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2iRjMx7

    L’#Occitane va ouvrir un #flagship à #Londres

    L’actualité est chargée chez L’Occitane en cette fin d’année 2017. En décembre, l’enseigne cosmétique va ouvrir deux flagships : un à Paris sur les Champs-Elysées et un autre à Londres dans Regent Street. L’Occitane avait déjà une boutique dans cette célèbre rue londonienne depuis 20 ans mais elle profite d’un déménagement pour investir un lieu plus grand (6450 pieds carré) et en faire sa vitrine pour le Royaume-Uni. C’est l’agence de design Uxus qui est en charge du concept du futur vaisseau amiral londonien de L’Occitane. Celle-ci donne un premier aperçu du futur magasin anglais grâce à des vues 3D. La boutique se veut une oasis de calme au milieu de la célèbre et très fréquentée  destination shopping qu’est Regent Street.

    L'Occitane, flagship, Londres

    Comme pour Sunshine, le dernier concept de l’enseigne en cours de déploiement, la boutique se veut très lumineuse. La lumière semble sortir de la boutique au travers des grandes baies vitrées qui donnent une vue intégrale sur l’intérieur de la boutique. A l’intérieur, les matériaux nobles, le bois, semblent prépondérants mais l’architecture de la boutique se veut résolument moderne. Le jaune est aussi très présent. A l’étage, les nombreux sièges laissent présager la possibilité de prendre du temps pour tester les produits et recevoir des conseils beauté« Nous voulons apporter un concept unique à cet emplacement de choix en créant une expérience multi-sensorielle pour notre clientèle locale mais aussi internationale, tout en restant fidèle à nos racines provençales », explique Jamie Taylor, directeur retail de L’Occitane pour le Royaume-Uni.