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1- Actualités - Page 50

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #20% des #effectifs d'#Amazon sont des #robots | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2krx2gq

    #20% des #effectifs d'#Amazon sont des #robots

    Selon les estimations de Quartz, Amazon aura mis en service 75.000 robots en 2017. Pendant ce temps-là, le retail américain aura subi 24.000 suppressions de postes, malgré les 146.000 créations de postes de l'e-commerçant. Inexorablement, la main d'oeuvre du retail se transforme.

    Combien Amazon compte-t-il de robots ? Le site d’information américain Quartz a fait le calcul. La firme de Seattle, qui en revendiquait 45.000 fin 2016, indique en avoir mis en service 35.000 de plus au premier semestre 2017 et encore 20.000 au troisième trimestre. En conservant ce rythme, elle en aura probablement ajouté 20.000 au quatrième trimestre et en aura donc "recruté" 75.000 cette année.

    Amazon, 20%, effectifs, robots

    Le site estime par ailleurs à 146.000 postes la croissance des effectifs d’Amazon en 2017 (sans tenir compte des salariés de Whole Foods, acquis en juin), mais à 170.000 le total des suppressions de postes dans les branches du retail américain que concurrence l’e-commerçant… et donc à 24.000 postes le déclin du secteur au global. Bien sûr, d’autres facteurs interviennent et l’image des vases communicants ne suffit pas à interpréter ces chiffres. Mais Amazon comptera en 2017 pour 20% de la croissance du retail américain tous canaux confondus et contribue donc activement à la transformation de la main d’œuvre du secteur.

    Enfin, comparer ses effectifs humains (487.400 salariés hors Whole Foods) et robotiques (120.000) à la fin 2017 permet de réaliser qu’en quelque sorte, les robots composent désormais quasiment 20% de ses effectifs. Et cela lui réussit : son action a grimpé de 51% depuis le début de l'année, quand l'index Retail de l'agence de notation financière Standard&Poor's restait, lui, complètement stable.

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    [#CONSOLAB] [ACQUISITION] | #Nestlé #acquiert un #leader de la #nutrition sans #OGM | @LESECHOS

    DE MARIE-JOSEE COUGARD | LES ECHOS | http://bit.ly/2BJiQn3

    #Nestlé #acquiert un #leader de la #nutrition sans #OGM

    Le géant suisse achète le québécois Atrium pour près de 2 milliards d'euros.

    A peine trois mois après avoir acheté la chaîne de cafés américains  Blue Bottle Coffee pour 425 millions de dollars, Nestlé annonce une nouvelle emplette, nettement plus substantielle. Le géant suisse met 2,3 milliards de dollars américains (1,9 milliard d'euros) sur la table pour s'offrir le canadien Atrium Innovations, « un leader mondial des produits de santé nutritionnels », notamment propriétaire de Garden of Life, basée à Palm Beach (Floride) la marque numéro un des compléments naturels aux Etats-Unis, certifiée sans OGM.

    Ainsi que de Pure Encapsulations, la marque de compléments diététiques hypoallergéniques la plus recommandée aux Etats-Unis par les professionnels de santé, selon Nestlé. L'opération s'est conclue auprès d'un groupe d'investisseurs dirigé par le fonds Permira. Les ventes d'Atrium, dont le siège est à Québec, devraient atteindre près de 700 millions de dollars en 2017. L'entreprise emploie 1.400 salariés.

    Nestlé fait ainsi un pas de plus sur la voie de la croissance dans les produits de  santé grand public « en adéquation avec ses priorités axées sur les catégories d'alimentation et de boissons à forte croissance », indique le groupe de Vevey dans un communiqué. La transaction devrait se conclure au premier trimestre 2018 après finalisation des approbations réglementaires.

    Nestlé, acquiert, leader, nutrition, OGM

    Une fois cette étape franchie, Atrium fera partie de Nestlé Health Science. L'équipe de direction actuelle continuera de gérer l'entreprise dirigée par Peter Luther, PDG d'Atrium. Greg Behar, directeur général de Nestlé Health Science, a salué cette acquisition d'« une entreprise prospère », dont les marques viennent compléter le portefeuille de soins grand public. Nestlé produit des solutions nutritionnelles spécialement adaptées aux personnes âgées, aux obèses, ainsi qu'aux enfants pour les aider dans leur croissance et à la santé digestive.

    Atrium apporte des probiotiques, la nutrition à base de protéines végétales, des substituts de repas, et une vaste gamme de multivitamines. Les marques d'Atrium ont « la capacité à générer une croissance forte et continue au sein de Nestlé par le développement de ses familles de produits, des canaux de distribution et de nouvelles géographies », a commenté Greg Behar. C'est également une offre supplémentaire sur le marché des compléments sans OGM, organiques et naturels. « Une tendance en rapide évolution chez les consommateurs et un nouveau canal de vente ». Nestlé mettra à disposition du canadien les ressources nécessaires pour accélérer la croissance de ses marques sur ses marchés et l'aider à en défricher de nouveaux.

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Amazon #Mode se lance dans la #lingerie | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2BExJpY

    #Amazon #Mode se lance dans la #lingerie

    La mode en septembre, le sport en octobre et maintenant la lingerie en décembre. Le géant du e-commerce en ligne s’intéresse à tous les secteurs. Amazon vient d’annoncer le lancement de sa marque Iris & Lilly, dont les modèles de sous-vêtements féminins viennent d’être dévoilés dans une première campagne.

    Branche d’Amazon Mode, la nouvelle marque de lingerie propose plus de 500 modèles aux styles multiples : ensembles traditionnels en coton, pièces sophistiquées en dentelle et brassières de sport, s'adressant à toutes les femmes. Certains modèles Iris & Lilly sont disponibles jusqu'à la taille 100 et au bonnet E, et d'autres, des brassières légères sans armature, débutent au XS pour les petites poitrines. Les produits de la marque sont pensés et créés par une équipe d'Amazon Mode, chapeautée par Sarah Miles, arrivée chez Amazon Mode en janvier 2017 et aujourd'hui nommée directrice de la marque.

    Fidèle à son positionnement, Amazon arrive sur le marché européen de la lingerie avec des prix très compétitifs. Là encore, le groupe américain entend toucher un public large avec des ensembles vendus en moyenne une vingtaine d'euros.

    Amazon, Mode, lingerie

    Le lancement, initié le 5 décembre, s’accompagne d’une première campagne avec pour égérie Mia Kang. Ancien mannequin qui a notamment collaboré avec Nike, la jeune femme aux origines sud-coréenne et britannique est aujourd'hui une professionnelle de la boxe thaïlandaise. Elle pose sans cacher ses formes sous l'objectif de la photographe américaine Cass Bird.

     

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | Le #commerce #vocal est-il la prochaine #révolution de la #vente en #ligne ? |@FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2ilzWyM

    Le #commerce #vocal est-il la prochaine #révolution de la #vente en #ligne ?

    Demain, serons-nous tous accompagnés d'une petite voix pour faire du shopping ? En France, Monoprix et Sephora sont les premières enseignes de grande distribution à y croire et déployer une application sur Google Home, tandis qu’Amazon prépare le lancement de son propre assistant vocal, Alexa, dans l’Hexagone. Après le commerce en ligne et le commerce mobile, le "v-commerce", ou commerce conversationnel, est-il la prochaine révolution dans le secteur de la vente ?

    Une étude du spécialiste des technologies émergentes Gartner estime que les achats effectués via des assistants personnels virtuels (AVP ou VPA) généreront 2,1 milliards de dollars en 2020, année à laquelle 3,3 % des ménages mondiaux en seront équipés. Et si Samsung semble avoir abandonné l’idée de traduire en français son assistant Bixby, l’Hexagone a accueilli à la rentrée sa première déclinaison physique des AVP avec les haut-parleurs connectés Google Home, tandis que l'enceinte Echo d’Amazon, dotée de l'assistant Alexa, se fait attendre. Lancée en 2011, la technologie Siri d'Apple avait pour sa part ouvert la voie à Cortana (Microsoft), M (Facebook) ou encore Watson (IBM).

    Dès le départ, Amazon faisait de son projet d’assistant personnel une nouvelle manière de consommer. Si l’équipe française refuse pour l’heure de s’exprimer sur le sujet, en attendant l’arrivée d’Alexa sur le marché tricolore, des sources proches du dossier confirment que le développement est mené dans la suite logique des boutons Dash d'Amazon. Ces petits dispositifs connectés qui, d’une simple pression, permettent de commander des produits d’usage quotidien nécessitant des achats réguliers. Alexa permet simplement de contourner toute interaction physique. Et si les offres "Dash buttons" portent logiquement en priorité sur les produits d’entretien de la personne, Amazon lorgnerait aussi vers l’achat vocal d'habillement, puisque le spécialiste du net compte déjà dans son offre l’achat de sous-vêtements et chaussettes par abonnement.

    Chez Google, qui a pris les devants sur le marché français, une application de base permet d’ajouter à la voix des produits sur une "liste de courses", ensuite consultable et modifiable en ligne. Ce n’était donc qu’une question de temps avant que cette fonctionnalité du géant de la recherche en ligne ne s’attire les bonnes grâces de marques et enseignes, à l'image de Sephora. Outre des podcasts d’influenceurs et quizz beauté, le distributeur de parfums et produits cosmétiques propose pour l’heure la réservation à la voix d’un service beauté. Une première étape avant le développement de nouvelles fonctionnalités.

    Monoprix va lui plus loin, l’intelligence artificielle de Google Home cédant sa place à celle développée pour le distributeur par l’agence Artefact. Liant les données à la carte fidélité Monoprix de l’utilisateur, le système permet de remplir une liste de courses en prenant en compte les marques privilégiées du client, et retrouvable sur l’application mobile de l’enseigne. Là encore, il s’agit d’une première étape, qui vient répondre aux préoccupations majeures des enseignes que sont les enjeux de fidélisation et de collectes de données.

    Commerce, vocal, révolution, vente en ligne

    Cette avancée à pas de loup n'est pas sans rappeler quelques souvenirs aux enseignes de mode, dont certaines avaient mis longtemps à se convaincre du potentiel de la vente en ligne, puis de la vente sur mobile. "Les PC et Internet ont révolutionné le commerce il y a vingt ans, le mobile le révolutionne aujourd’hui, les assistants vocaux et la data vont le faire dans les dix années qui viennent, estimait il y a quelques jours Olivier de la Clergerie, directeur général et cofondateur de la société de e-commerce informatique LDLC, à l'occasion d'une conférence de la Fevad. C’est une nouvelle étape. Nous utilisons tous notre mobile, où l’écran est petit et où c’est compliqué d’écrire. Il y a donc un avenir pour le triptyque commerce mobile, assistant vocal et data".

    "Il est encore très tôt pour voir ce qu’il va se passer, indique pour sa part Emmanuel Grenier, PDG de Cdiscount. Clairement, c’est une mise en avant complémentaire, comme peut l’être le mobile à un instant T. Or, on a vu que la mobile a mis un petit peu de temps à venir. Les assistants vocaux peuvent connaître le même destin. Si l’on prend quelques produits, comme les boutons Amazon, on voit qu’il y a beaucoup de réflexions possibles sur comment faciliter l’achat. Pour autant, je pense qu’on en est encore aux prémices et qu’il va falloir affiner tout cela. Qu’est-ce qu'il est logique de proposer en achat par abonnement ? Quels achats nécessitent de la réflexion ? Ce n’est pas la même chose de commander un produit que l'on connaît et que l'on veut acheter, et de chercher et comparer des produits".

    Tout comme les détaillants devaient précédemment choisir de prioriser le développement d’applications iOS (Apple) ou Android (Google), ils pourraient donc bientôt avoir à choisir entre Amazon Echo et Google Home, ce qui amenait d'ailleurs en début d’année Google à communiquer sur les applications vocales développées par 43 détaillants partenaires.

    "La crainte des marchands est de voir un système s’imposer, nous explique Marc Lolivier, directeur général de la Fédération du e-commerce (Fevad), et vice-président de la confédération Ecommerce Europe. Les ménages n’auront pas trois haut-parleurs connectés à leur domicile, et il est clair que le choix ne sera pas neutre. Un dispositif aura tendance à favoriser des distributeurs ou produits vendus en direct ou par des partenaires. Ce n’est donc pas simplement un gadget qui permet de commander plus facilement. C’est tout l’internet des objets qui apporte une nouvelle façon de faire, s’intégrant parfaitement dans la vie quotidienne".

    Pour l’heure freiné par des questions de langues, le devenir commercial des assistants vocaux s’inscrit en outre dans un contexte plus large, qui a vu cette année Amazon racheter les supermarchés bio Whole Food et Google s’associer au géant de la distribution Walmart. Une alliance d’ampleur inédite entre acteurs du web et réseau physique, et le signe d’un lien croissant entre le secteur du commerce en ligne et celui des biens alimentaires. Avant de gagner le domaine de la mode ? C'est en tout cas l'avis de Marc Lolivier : "Je pense que le secteur de la mode sera très loin d’être exclu du jeu".

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    [#CONSOLAB] [LANCEMENT] | #Etam lance son “#Tinder” #emploi | @REBONDIR

    DE CAMILLE BOULATE | REBONDIR | http://bit.ly/2ASuEWV

    #Etam lance son “#Tinder” #emploi

    Le Groupe Etam vient d’annoncer le lancement national d’une nouvelle application pour favoriser l’emploi de ses hôtesses sur l’ensemble de ses marques (Etam, 1.2.3 et Undiz).

    Développée en interne, l’application SquadSHIFT vient d’être lancée par le Groupe Etam. L’objectif : permettre à ses 1 570 hôtesses, employées à temps partiel, de multiplier les missions dans tous les magasins du groupe (Etam, 1.2.3 et Undiz) mais aussi de satisfaire les besoins de l’ensemble des points de vente.

    Etam, Tinder, emploi

    Une application ludique. Une fois l’application téléchargée sur votre mobile, vous pouvez ainsi indiquer vos disponibilités et recevoir des offres de missions correspondant à votre profil mais également à votre géolocalisation. “Si [la personne] est intéressée par l’une delles, elle la valide en un clic et reçoit une notification par mail et par sms”, souligne le Groupe Etam.

    Compléter son contrat. Pour le moment, l’application est disponible seulement pour les hôtesses déjà employées chez Etam, 1.2.3 ou Undiz et “n’a pas encore vocation à être étendue à l’externe”, nous précise le Groupe Etam. “Plutôt que de chercher des heures complémentaires ailleurs, les hôtesses concernées peuvent désormais choisir des missions en temps réel et géolocalisées au sein du même du Groupe pour compléter leur contrat. C’est aussi une façon de dynamiser leur parcours et de rajouter des expériences professionnelles dans d’autres marques”, estime Caroline Bour, Mission director au sein du Groupe Etam.

    Disponible dans tous les magasins. En test depuis avril dernier sur l’Île-de-France (160 points de vente), l’application semble avoir bien fonctionné. Au total, ce sont 92 % des magasins qui avaient adopté l’application pour 338 missions postées et une moyenne de 4 matches par semaine. Désormais, l’application est accessible et disponible pour l’ensemble du réseau de magasins du Groupe Etam, soit 600 points de vente.

     

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    [CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | Avec #Monoprix, la #distribution #alimentaire débarque sur #Google #Home | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2ASMGsc

    Avec #Monoprix, la #distribution #alimentaire débarque sur #Google #Home

    Le distributeur est le premier en France à débarquer sur Google Home, l’enceinte intelligente à commande vocale développée par Google. Les clients de l’enseigne peuvent désormais faire leur liste de course rien que par l’usage de la voix, en commençant par prononcer la formule : "ok google, parle avec Monoprix".

    Monoprix marque l’entrée de la distribution alimentaire française dans l’ère du commerce conversationnel. Alors que sa maison-mère, le groupe Casino vient d’annoncer un partenariat avec le pure player britannique Ocado pour lui confier l’e-commerce de Monoprix, l’enseigne démontre à nouveau sa capacité à aller de l’avant en débarquant sur Google Home, rapporte le quotidien Les Echos.

    Ainsi, les clients du distributeur qui sont équipés dans leur foyer de l’enceinte intelligente de Google, peuvent à partir d’aujourd’hui faire leur liste de courses par le simple usage de la voix. Il leur suffit pour cela de se connecter la  première fois en indiquant leur numéro de carte de fidélité puis en demandant à Google Home de ‘parler avec Monoprix’. Ensuite, ils doivent tout simplement énumérer les produits dont ils ont besoin pour que ceux-ci s’ajoutent à une liste de courses virtuelle. Si le client indique des produits génériques comme de l’eau, des pâtes ou du beurre, Monoprix est capable de faire le lien avec ses historiques d’achat – grâce à sa carte de fidélité – et d’y associer la marque préférée du client, ou à défaut, la marque la plus populaire sur la catégorie de produits concernée. En revanche pour le moment, l’assistant de Google ne permet pas de commander les articles désirés, cette fonctionnalité n’étant effective qu’aux Etats-Unis même s’il ne fait aucun doute qu’elle sera déployée en France. L’utilisateur français devra donc se connecter au site Monoprix.fr ou sur son application mobile afin de retrouver sa liste de courses, et passer la commande.

    Monoprix, distribution, alimentaire, Google Home

    Pour l’heure, en France et dans le secteur de la distribution, seule l’enseigne Sephora est active sur Google Home, à travers trois services : de la prise de rendez-vous pour une mise en beauté (maquillage, épilation sourcils), pour répondre à un quizz beauté ou encore écouter des podcasts de vloggeurs spécialisés évoquant diverses thématiques relatives à la beauté.

    Aux Etats-Unis, c’est le distributeur Walmart qui a conclu un accord avec Google afin de permettre à ses clients, depuis le mois de septembre dernier, de faire leurs courses chez lui via Google Assistant, l’assistant vocal de Google intégré à Google Home. Ce partenariat concerne des centaines de milliers de références commercialisées par l'enseigne Walmart. Et parmi les fonctionnalités disponibles, l’assistant de Google propose des "recommandations d'achats hautement personnalisées en fonction des achats précédents des clients, y compris ceux réalisés dans les magasins Walmart et sur Walmart.com", précisait alors Marc Lore, patron de l’e-commerce pour Walmart. Aux Etats-Unis, il pourrait se vendre jusqu'à 24,5 millions d’unités d'appareils intelligents du type Google Home en 2017, selon une étude réalisée par VoiceLabs. L'enjeu est de taille pour Google, qui entend notamment rivaliser avec Amazon et son fameux "Echo" dont la spécificité est de proposer d'ores et déjà des fonctionnalités e-commerce étendues, du moins aux Etats-Unis.