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Confinés chez eux pendant près de deux mois, les Français ont ouvert leurs porte-monnaie au mois de juin. Plus qu’au mois de février, selon les chiffres de l’Insee.
Ils se sont rattrapés. Les dépenses de consommation des ménages français ont été plus fortes au mois de juin 2020 qu’avant la crise du coronavirus, a affirmé l'Insee ce vendredi 31 juillet. Après leur net repli durant le confinement, les dépenses de consommation des ménages en juin ont été supérieures de 2,3 % à celles de février, a dévoilé l’institut statistique.
Au premier trimestre, la production de crédit à la consommation a diminué de 5 % en France, sur un an, une situation que le confinement a forcément dégradé. Les spécialistes multiplient les initiatives pour aménager les dettes et faciliter les demandes de report.
La crise sanitaire a brisé net l'élan du crédit à la consommation. Depuis cinq ans, ce mode de financement avait connu une embellie en France alors que les consommateurs - par comparaison aux pays voisins ou aux États-Unis - en sont traditionnellement peu friands.
Report des échéances
Au premier trimestre, la production de nouveau crédits a reculé en raison de l'arrêt de la consommation lié au confinement. Le montant total des crédits à la consommation a baissé de plus de 5 %, à 10,2 milliards d'euros, soit « la plus forte contraction trimestrielle depuis le premier trimestre 2012 », précise l'Association française des sociétés financières. Et encore, la baisse a été de 25 % en mars !
La quasi-totalité des métiers ont souffert, avec une baisse de l'activité particulièrement marquée pour les financements d'automobiles d'occasion (-11,1 %) ou de véhicules neufs (-9,3 %). Les prêts personnels sont pour leur part en recul de plus de 6 % sur un an.
L'activité reprend "prudemment mais nettement" depuis le début du déconfinement. Le produit intérieur brut devrait quand même chuter "d'environ 20%" au deuxième trimestre, selon des projections dévoilées mercredi par l'Insee, qui appelle à les prendre avec précaution.
Un "rebond" de la consommation des ménages. Pendant la première semaine du déconfinement, l'activité est repartie "prudemment mais nettement" en France, a constaté l'Institut national de la statistique (Insee). L'économie française tournerait actuellement "à environ quatre cinquièmes de son niveau d'avant crise", contre deux tiers pendant le confinement, précise l'Insee, dans ses enquêtes de conjoncture, publiées mercredi 27 mai.
"En dépit des incertitudes inhérentes à l'exercice, des tendances assez claires se dégagent, avec notamment une reprise assez nette bien qu'encore partielle de l'activité économique française", souligne l'Insee dans sa nouvelle estimation de l'impact de la crise sanitaire en cours.
Alors que la tendance mondiale est à la baisse des ventes de bouteilles de champagne, le confinement a logiquement fait chuter la consommation en France.
Afin de ne pas avoir à manipuler de la monnaie, certains commerçants sont tentés d’imposer le paiement par carte bancaire sans contact, dont le plafond est passé à 50 euros depuis le 11 mai. Pour autant, ce type de transaction n’est en rien obligatoire et un commerçant ne peut refuser à un client de payer en liquide. Explications.
Depuis le début de la crise sanitaire, les commerçants tentent de limiter au maximum la manipulation des pièces et billets, considérés comme potentiels vecteurs du virus. Pour encourager le recours à la carte bancaire, le plafond des paiements sans contact a ainsi été relevé de 30€ à 50€ depuis le déconfinement le 11 mai.
Conséquence : de nombreux commerçants (des grosses enseignes de bricolage ou encore des grandes chaînes de fast-food) refusent désormais les paiements en liquide, constate la Fédération des entreprises de sécurité fiduciaire qui a saisi mi-mai la Direction générale de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF).
Priority to utilitarian spending and those that contribute to a return to normalization, the luxury sector still broadly lackluster. Wave 2 in China of an international tracking called “#COVID-19: Tracking the Rebound” jointly led by Promise Consulting | Panel On The Web and Alliance Bernstein. Results issued from 600 people, from higher social professional categories, interviewed between April 06 and April 10, 2020 in the largest cities of China.
Promise consulting a consulting Company, and Panel On The Web, an institute for marketing, consumer, and opinion research, interviewed 600 Chinese people, living in urban areas and belonging to the 10% of households with the highest income, between 04 and April 10, 2020. These questions were asked as part of an International Tracking on the perspective for a rebound in household consumption in the World, following the #covid-19 crisis: • Frequency with which individuals were engaged in a variety of economic, cultural, and social activities before the Coronavirus crisis. • Slowdown in each of these activities compared to the rate before the Coronavirus health crisis. • Anticipation of a back to normal in the next 15 days. These three indicators are measured using standardized scales, allowing a comparison of the results of a fortnightly wave with the other, and the followup of a global indicator by country and wave, called “Rebound Index.” This is the 2nd wave for China.