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    [#RFM N°262] [EDITORIAL] | Se lancer dans une #stratégie de #digitalisation des #enseignements : dix #questions à se poser |@ C. FOURNIER & J-L. DUBOIS

    Le cinquième article de la RFM n°262, qui paraîtra fin octobre, est écrit par Christophe Fournier et Jean-Louis Dubois sur :

    SE LANCER DANS UNE STRATÉGIE DE DIGITALISATION DES ENSEIGNEMENTS : DIX QUESTIONS A SE POSER

    Avant d’être une pratique, le marketing est aussi un champ de connaissances. La construction des connaissances suppose leur transmission, indissociable de l’exercice d’un enseignement de qualité. La digitalisation n’impacte pas uniquement le domaine marchand ou celui de la socialité : il touche naturellement l’enseignement. Or force est de constater que si la digitalisation des enseignements a suscité de très vifs espoirs par les opportunités qu’il semblait offrir (abolition des contraintes temporelles et spatiales entre autres), son développement et son adoption furent moins rapide que prévu. Il nous a semblé important également d’accorder une tribune à l’enseignement de notre domaine disciplinaire.

    Deux professeurs de l’université de Montpellier, Christophe Fournier et Pierre-Louis Dubois, forts d’une quinzaine d’années d’expérience dans le pilotage de projets dans le domaine de l’enseignement à distance et (ou) en ligne, nous proposent leur décryptage. Les auteurs opposent les MOOC, dispositifs proposés par les universités ou les entreprises, libres d’engagement et le plus souvent gratuits, menant ou non à une certification aux enseignements en ligne, prolongement sur Internet des enseignements dispensés par les universités et les grandes écoles le plus souvent (Licence, Master ou DBA). S’y ajoutent les formations proposées directement par les entreprises, davantage ciblées en termes de durée et de sujets abordés.

    Les auteurs abordent ensuite 10 questions clés à se poser avant de digitaliser un enseignement. Ils y apportent des réponses concrètes éclairées par leur expérience en la matière. Ils mettent ainsi en garde sur le fait que la digitalisation ne remplace pas nécessairement le présentiel qu’elle vient parfois utilement compléter, les formules mixtes ou hybrides étant les plus nombreuses. Le format synchrone ou asynchrone de la formation est aussi une question importante : l’unité de temps facilitant les échanges mais ne permettant pas nécessairement la prise de recul nécessaire. L’enseignement en ligne est souvent associé à l’acronyme « anytime, anywhere, any device » pour en souligner la flexibilité. Les auteurs insistent sur la nécessité de contraindre le choix des terminaux utilisés au format des enseignements dispensés (ou inversement) : c’est ainsi que l’usage du mobile doit être réservé à des formats de type micro-ressources. L’isolement du répondant, tant géographique que psychologique, est aussi une contrainte importante de l’enseignement digitalisé (ou à distance) et les e-pédagogues doivent apporter une attention particulière à animer dans la durée une communauté d’apprenants et à favoriser les pratiques collaboratives à la manière de Wikipédia (ce qui pose également de délicats problèmes de notation de la contribution individuelle). Au final, les ambitions associées au fait de suivre un enseignement via un MOOC (Massive Open Online Course) doivent être correctement appréciées : si un MOOC peut être « le révélateur » d’un intérêt pour un champ disciplinaire, il influence rarement et directement une carrière. Enfin, les MOOC et les enseignements universitaires digitalisés s’opposent sur le caractère volontaire d’un côté et imposé de l’autre de la formation : certaines contraintes fortes, en particulier sur l’assiduité et la disponibilité sont moindres dans le format MOOC que dans celui de l’enseignement universitaire digitalisé. Le temps d’apprentissage est également différent auquel s’ajoute également un temps parfois long et souvent sous-estimé de maîtrise des spécificités propres à chaque plateforme technique d’enseignement digitalisé. Les auteurs soulignent à juste titre que dès lors « l’accompagnement des apprenants est un point crucial du succès de ces dispositifs », ce qui suppose au-delà d’un état d’esprit des enseignants une régularité dans la disponibilité (au minimum quotidienne sur les forums). Enfin, « last but not least », la qualité des supports doit être adaptée à l’outil numérique avec une proportion forte de supports multimédia et une ludification des supports et des exercices proposés, dont il convient de ne pas minorer le coût et le temps de préparation. On apprécie sur ce point la transparence et le retour d’expérience sans concession des deux auteurs sur chacun de ces points. 

    Cet article vous intéresse ? Il paraîtra intégralement dans la Revue Française du Marketing n°262 qui sortira en février.

    Vous n'êtes pas encore abonné, vous souhaitez adhérer à la Revue Française du Marketing et/ou vous souhaitez en savoir plus ? Contactez : adirection@panelontheweb.com

    Pour contacter les auteurs : Christophe Fournier : christophe.fournier@umontpellier.fr

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    [#CONSOLAB] [HIGH-TECH] | #Soin de la #peau : les solutions #high-tech au #coeur de la #stratégie | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2DMxT0R

    #Soin de la #peau : les solutions #high-tech au #coeur de la #stratégie

    (Relaxnews) - Les pratiques esthétiques n'échappent pas au boom technologique. Lorsque l'on se penche sur les innovations du secteur cosmétique, il devient évident que le domaine du soin de la peau subit un relooking high-tech.

    Dermatologie numérique

    Le géant Neutrogena explore le numérique, notamment par le biais de l'appareil « SkinScanner », associé à l'application Skin360. Fonctionnant grâce à la technologie FitSkin, le SkinScanner est un outil permettant d'effectuer un diagnostic complet de la peau grâce à 12 puissantes lampes, une lentille grossissante 30 fois et une batterie de capteur ultra-précis. Du taux d'hydratation à la profondeur des rides, les infos sont transmises à l'application qui les traduit sous forme de scores. En plus d'offrir des conseils précis en fonction des résultats, l'application prévient l'utilisateur de l'évolution de la peau au fil du temps afin d'adapter les habitudes de soin.

    Des « wearables » anti-UV

    Le groupe l'Oréal a présenté un capteur UV électronique sans pile appelé « UV Sense ». L'appareil se porte sur l'ongle du pouce (jusqu'à deux semaines) et mesure l'exposition aux rayons ultraviolets. La capacité de stockage est de trois mois de données. Les adhésifs permettant de fixer le capteur sont interchangeables. Une application associée recueille les informations et envoie des alertes le cas échéant. L'Oréal a également lancé une édition limitée de l'innovant « Patch UV », lancé en 2016. Les deux technologies seront commercialisées via sa marque La Roche-Posay cette année.

    Soin, peau, high-tech, coeur, stratégie

    Seconde peau

    Ce mois-ci, le groupe japonais Shiseido a annoncé l'acquisition de la technologie XPLTM « Second Skin ». Rachetée à la startup américaine Olivo Laboratories, cette « peau artificielle respirante, flexible et quasi invisible » offrirait des avantages « que ne permettaient pas les techniques cosmétiques traditionnelles et la chirurgie esthétique ». Cela ouvre un large champ de possibilités dans le domaine de la correction esthétique. « Notre transaction avec Olivo représente une étape intéressante vers la création d'une catégorie entièrement nouvelle de produits de beauté à l'échelle mondiale. Elle s'inscrit dans le cadre de notre stratégie à moyen et long terme VISION 2020 », explique Masahiko Uotani, PDG de Shiseido. « L'innovation Olivo "Second Skin" rejoindra le portefeuille de Shiseido, déjà bien rempli (technologie de personnalisation de MATCHCo, l'intelligence artificielle de Giaran et notre propre plateforme personnalisée OPTUNE) ».

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    [#CONSOLAB] [MAGASIN] | #Nespresso renforce sa #stratégie #omnicanale | @EMARKETING.FR

    DE DALILA BOUAZIZ | EMARKETING.FR | http://bit.ly/2z7Ws5Q

    #Nespresso renforce sa #stratégie #omnicanale

    La marque premium de café inaugure un nouveau concept mondial de boutique, avec l'ouverture d'un point de vente parisien dans le Marais, qui replace la dégustation au coeur de l'expérience client. Nespresso lance en parallèle de nouveaux services digitaux et accélère l'ouverture de magasins.

    Lancé en mai 2017 d'abord à Cannes puis à Toulouse, Nespresso dévoile, pour la première fois dans la capitale, son nouveau concept mondial de boutique centré autour de l'expérience client et de la dégustation autour du café."Nous sommes très heureux d'ouvrir une boutique au coeur de ce quartier historique et très représentatif de la vie parisienne,souligne Ségolène de Malherbe, directrice des opérations boutiques et développement Nespresso. Cela faisait longtemps que nous y cherchions un emplacement pour partager l'expérience café avec nos clients."

    Une boutique de 140 mètres carrés qui a été inaugurée jeudi 19 octobre au 29 rue des Francs Bourgeois, dans le 3earrondissement parisien. Côté décoration, les luminaires sont inspirés de ceux utilisés dans les fermes des caféiculteurs pour le tri des cerises de café, et le mobilier est labellisé FSC. Cette nouvelle boutique Nespresso compte 18 collaborateurs pour offrir toute l'expertise de la marque.

    Dès leur entrée dans la boutique, les clients sont immergés dans un lieu de vie, aux tons beige et bois clair qui créent une atmosphère conviviale. Ce nouveau concept favorise la vente conseil mobile pour que les vendeurs -spécialistes cafés-, équipés de tablettes, puissent échanger avec les consommateurs pour plus de proximité. Le click and collect est également proposé ainsi que la livraison à domicile.

    Dès leur arrivée dans la boutique, les clients sont accueillis autour d'un café", indique Arnaud Deschamps, DG France Nespresso. La dégustation est en effet mise à l'honneur dès l'entrée du point de vente et grâce à des espaces cosy dédiés où chacun pourra goûter les différents Grands Crus -au nombre de 23- sentir leurs arômes, voire toucher du doigt leur mouture... Les experts de la marque, formés à la culture et la variété des cafés, initieront ceux qui le souhaitent à l'art de la dégustation du café et pourront expliquer à chacun les différentes technologies d'extraction du café développées par Nespresso pour réaliser des cafés courts ou longs.

    Le lancement de la gamme Vertuo et de sa nouvelle machine qui a demandé 10 ans de R&D, d'abord aux États-Unis et au Canada puis en France en 2016, s'adresse aux amateurs de café long privilégiant le format "mug" ou grande tasse. "Nous avons réussi à acquérir 30% de nouveaux consommateurs français et nous avons déjà vendu 120 000 machines", souligne le DG de Nespresso.

    Nespresso, stratégie, omnicanale

    Les clients ont la possibilité dans l'espace service libre de sélectionner eux-mêmes les étuis de capsules de café disposés tout au long des murs de la boutique qu'ils souhaitent se procurer. Il suffit au client de se servir parmi les 23 grands crus de la gamme Classique et les 20 grands crus de la nouvelle gamme Vertuo, lancée en 2016, qui s'adresse aux amateurs de café de qualité en grandes tasses. Les étuis des capsules sont équipés de puces RFID afin de faciliter le passage en caisse.

    Les boutiques sont un enjeu stratégique pour Nespresso puisqu'elles permettent d'intégrer plus de services et d'expériences au coeur de la relation client, et permettent de multiplier le taux de pénétration par deux", avance Arnaud Deschamps, DG France. La marque premium veut doubler le nombre de ses boutiques d'ici 3 ans en passant de 35 à 70 points de vente, actuellement elle réalise les deux tiers de son chiffre d'affaires sur Internet et le mobile. Nespresso proposera dès le 6 novembre prochain une offre d'abonnement : trois formules à 19€, 29€ et 39€ pendant douze mois. Les clients pourront utiliser ce montant comme ils le souhaitent : choix de cafés, d'accessoires, de machines.

    Après avoir lancé un service de chat en début d'année, Nespresso teste depuis un mois un service de relation client à distance via WhatsApp, disponible 24H sur 24 et sept jours sur 7. "Nous voulons écouter nos clients là où ils se trouvent", commente Arnaud Deschamps, DG France de Nespresso.

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    [CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | Le nouveau #Monoprix parisien, concentré de la #stratégie #omnicanale de l’enseigne | @LSA

    DE JULIE DELVALEE | LSA | http://bit.ly/2gyTTlk

    Le nouveau #Monoprix parisien, concentré de la #stratégie #omnicanale de l’enseigne

    Le magasin, installé sous la canopée du Forum des Halles en plein cœur de Paris, présente une multitude de services pour simplifier la vie de ses consommateurs urbains. Régis Schultz, patron de l’enseigne, a inauguré ce dernier point de vente et a présenté l’ensemble de ces dispositifs digitaux à LSA.

    « Notre objectif, c’est de maximiser le plaisir et de minimiser les contraintes de notre clientèle », débute Régis Schultz, tout sourire, quelques minutes avant l’inauguration officielle du Monoprix des Halles, ouvert le 26 juillet dernier. Smartphone à la main, le président de Monoprix énumère à vitesse grand V l‘ensemble des dispositifs omnicanaux rassemblés dans ce dernier point de vente. "C’est le dernier né des Monoprix, il bénéficie donc de tous nos services en matière d'omnicanalité. La clientèle est prête à s’approprier ses services », assure-t-il.

    Sa démonstration démarre avec l’application Monop’Easy, installée depuis la veille dans le magasin pour l'offre de sandwiches et de boulangerie, et déjà en place dans le Monop' situé près de la place de la Madeleine, à Paris. Le principe ? Le client scanne le code-barre du produit, qui s’affiche dans l‘application Monop’Easy préalablement téléchargée sur son mobile. Il finalise le paiement sur son smartphone avec les coordonnées d’une carte bancaire enregistrée. « Cette application est légitime dans les petites surfaces et met fin à l’irritant principal des consommateurs : l’attente en caisse», souligne Régis Schultz. Cette possibilité sera étendue à tous les Monop' sur le premier semestre 2018.

    Toujours dans cette logique de gain de temps, la géolocalisation des produits dans le point de vente se développe peu à peu dans les surfaces de vente de l’enseigne urbaine. Là encore, le smartphone des utilisateurs est l’outil indispensable pour profiter cette fonction. Ceux-ci entrent dans le portail virtuel de Monoprix pour indiquer dans quel point de vente ils se situent. Ils inscrivent la référence recherchée… Un plan -et même un itinéraire- s'affiche alors pour se rendre jusqu’au produit convoité.

    L’aspect serviciel s'étend aussi en dehors du magasin. D’abord avec le click and collect, les courses alimentaires sont disponibles en magasin entre 1 heure et 3 heures après la commande. Pour la mode, les articles peuvent être réservés en deux heures. Après le passage dans le point de vente, les adeptes de la livraison bénéficient aussi d’une service rapide. La livraison s’effectue en effet en une heure et sans véhicule quand le client se situe à moins de 500 mètres. « Ici aux Halles, 30 % des livraisons se font à pieds ».

    Monoprix, stratégie, omnicanale

    Une fois livrés, les consommateurs les mieux organisés peuvent recourir au « Shop & Give », un service permettant de remettre gratuitement au livreur des produits alimentaires non périmés, des fruits et légumes ainsi que des piles et des ampoules usagées.

    En plus de sa stratégie digitale, ce Monoprix , qui s’étale sur 2 760 mètres carrés de vente répartis sur deux étages, offrent également un choix alimentaire adapté à son public urbain. Au rez-de-chaussée, l’espace « Pain en Ville » présente une offre boulangerie-pâtisserie et sandwicherie traditionnelle, visible ci-contre, ainsi que d’une salle de restauration, auxquels s’ajoutent deux terrasses de 80 places. Au niveau -1, le magasin principal commercialise de nombreux produits adaptés à la restauration (sur place ou à emporter) avec notamment un corner à sushis, un bar à salade et à fruits.

     

     

     

     

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    [S1 EP7 - J'y croââ !] - Certaines marques ont tout compris... [#kawa #marketingdelagrenouille]

    A l’inverse, quelle est la marque qui a tout compris ?

    conso,strategie,marketing,conso-battant,marketing de la grenouille,kawaPh. Jourdan : Il y en a beaucoup et fort heureusement. Certaines empruntent à la nouvelle économie, mais nous avons un coup de cœur particulier pour les marques qui ont su prendre le virage de l’économie digitale tout en préservant leur vision sans trahir ni leur vocation, ni leurs clients. Dans l’univers des cosmétiques, Sephora nous semble exemplaire. L’enseigne, créée en 1973 et propriété depuis 1997 du groupe LVMH, ne s’est jamais départie de sa philosophie : casser les codes de la parfumerie traditionnelle, en offrant un vaste espace de découvertes, d’essais, de conseils dans une ambiance festive et ludique, de marques de luxe, de créateurs, de spécialistes pour toucher tous les publics. Cette philosophie, l’enseigne a su la reproduire sur son site Internet, prenant une place éminente dans le e-commerce de produits de beauté. Enfin, elle innove dans la réconciliation entre le magasin physique et virtuel, en vue d’améliorer l’expérience d’achat : application Color Your Face sur son mobile, programme de la relation client MySephora, tutos sur iPad interactifs, ouverture du premier magasin.

    [RETROUVER L'INTERVIEW COMPLET EN LIGNE]

    [VOIR L'OUVRAGE]

    [PRENDRE CONNAISSANCE DES MEILLEURES PAGES]

    [QUI SOMMES-NOUS ?]

    Promise Consulting Inc intègre l’ensemble des métiers liés à la prise de décision marketing (études, analyse, conseil). La société apporte son expertise aux marques souhaitant se développer tant sur les marchés locaux qu'internationaux. Elle dispose d'un département recherche marketing qui lui permet de développer des outils d'aide à la décision innovants pour les décideurs. La société est certifiée OPQCM, Social Media Marketing de la DMA et adhère aux règles SYNTEC et ESOMAR. Elle a rejoint en 2015 le réseau des sociétés d'études et de conseil international ICG (Internal Consulting Group).

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    Vers la fin des outils marketing classique face à un consommateur devenu imprévisible ? [#marketing #grenouille #somdig16]

    marketing,strategie,positionnement,segmentation,sommets du digitalA l'occasion des Sommets du Digital, tenu à la Clusaz le 1,2 et 3 Février 2016, Philippe Jourdan a présenté son ouvrage, co-écrit avec Valérie Jourdan et Jean-Claude Pacitto : l'occasion de faire passer quelques messages forts pour défendre le marketing d'aujourd'hui et dessiner le marketing de demain.

    Prenant la parole lors de la clôture des Sommets du Digital à la Clusaz, Philippe Jourdan, professeur des universités et CEO de Promise Consulting, s'exprime sur la fin des outils marketing classiques (planification, segmentation, positionnement, information qualifiante, etc.), en raison de la difficulté à saisir un consommateur devenu difficilement prévisible.


    Retrouvez plus d'info dans l'ouvrage le #marketingdelagrenouille aux éditions #kawa :