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1- Actualités - Page 36

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #​E-commerce : l’enrichissement du #catalogue en tête des #priorités pour #2018 | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2Fj55Ru

    #​E-commerce : l’enrichissement du #catalogue en tête des #priorités pour #2018

    Pour l’année en cours, quatre e-commerçants sur cinq font du renforcement de leur offre une priorité, contre 45 % évoquant leur développement à l’international, et 41 % souhaitant développer une stratégie de marque. C’est le constat de l’étude KPMG menée pour Oxatis et la Fevad (la fédération du e-commerce), qui entend dresser le portrait des e-commerçants de France.

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    Il en ressort que seuls 19 % des acteurs tricolores présents sur la Toile font de la création d’un nouveau site une priorité, contre 14 % souhaitant développer un point de vente physique.

    En termes d’objectifs sur le plan du marketing digital, les 2 100 portails interrogés sont 81 % à souhaiter optimiser leur référencement, et 74 % à vouloir développer leur bases clients. Sont également évoqués des actions marketing efficaces (68 %), des améliorations en matière de design (65 %) et le suivi statistique (60 %).

    L’étude éclaire également sur les motivations poussant les commerçants à se créer un site de vente. Les raisons premières sont la volonté d’augmenter sa visibilité (67 %) et d’étendre sa zone de chalandise (65 %). Non loin derrière arrivent l’ambition de renforcer le chiffre d’affaires (57 %), la possibilité de vendre en permanence (54 %), le développement de canaux supplémentaires (54 %) et la fidélisation de la clientèle (49 %).

    Mais le développement d’une activité en ligne n’est pas sans causer plusieurs préoccupations. Le manque de temps serait la principale d'entre elles (pour 39 % des sites interrogés), devant le coût que nécessite l’e-commerce (36 %) et le délai nécessaire pour dégager de la rentabilité (35 %). Suivent l’inquiétude générée par la concurrence accrue sur le web (32 %), le manque de compétences des équipes (31 %) et la concurrence faite à son propre réseau de distribution (19 %).

    E-commerce, catalogue, priorités, 2018

    La fidélisation n’est pas oubliée dans cette enquête, dont il ressort que 57 % des marchands génèrent au moins 10 % de leur chiffre d’affaires via des clients ayant déjà achetés sur leurs pages. Une fidélisation qui, pour les vendeurs, est principalement entretenue par des frais de port offerts (25 %), des newsletters (24 %) et un service de livraisons de qualité (15 %).

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #eBay et #Amazon ouvrent des sections "#10$ et moins" pour contrer #Wish | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2I7vmjq

    #eBay et #Amazon ouvrent des sections "#10$ et moins" pour contrer #Wish

    eBay vient d'ouvrir une catégorie dédiée aux références de moins de 10 dollars. Amazon avait déjà procédé de même en janvier. Dans leur viseur : l'app de produits chinois direct-usine Wish.

    eBay a mis en ligne le 1er mars une section "10$ et moins" sur sa plateforme (en France "15€ et moins"), qui englobe des millions de produits dans des centaines de catégories. Ces produits sont commercialisés à prix fixes (pas d'enchères) et les frais de livraison sont offerts. Des filtres permettent même de n'afficher que les gadgets tech à moins de 3 dollars, ou encore des lunettes de soleil à 5 dollars. En janvier, Amazon avait déjà ouvert une section "10$ et moins" accessible aux abonnés Prime comme à ses autres clients, dont les articles bénéficient aussi d'une livraison gratuite.

    Ebay, Amazon, 10$, Wish

    Pourquoi ces initiatives ? Très certainement en raison du succès de Wish. Cette application mobile californienne de vente de produits à très bas prix livrés directement depuis des usines chinoises fait actuellement un carton dans le monde entier, à commencer par l'Amérique du Nord et l'Europe. C'est d'ailleurs en bonne partie l'exemple de cette marketplace mobile qui a incité Amazon à se lancer dans le fret maritime en provenance de Chine, de manière à proposer aux fabricants chinois un accès encore plus direct aux consommateurs américains. Aux Etats-Unis, la récession a provoqué une montée en puissance des chaînes de magasins à très bas prix, comme le montre le déploiement ultra-rapide de l'enseigne Dollar General.
     

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    [#CONSOLAB] [COSMETIQUES] | #Philippe #Pinatel quitte #Birchbox pour prendre les commandes de #M·A·C #Cosmetics | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2oPP7mJ

    #Philippe #Pinatel quitte #Birchbox pour prendre les commandes de #M·A·C #Cosmetics

    Philippe Pinatel, président de Birchbox depuis 2015, vient d’être nommé au Senior Vice President, Global General Manager, M·A·C Cosmetics. Il prendra ses fonctions le 5 mars 2018. M. Pinatel intègrera l’équipe dirigeante de The Estée Lauder Companies et reportera directement auprès de John Demsey, Executive Group President du groupe.

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    Philippe Pinatel succède à Karen Buglisi Weiler qui, après 20 ans au sein de la marque a choisi de donner la priorité à ses projets personnels. Mme Buglisi Weiler apportera son appui à Philippe Pinatel durant la période de transition jusqu’à la fin de l’exercice en cours. À compter de juillet 2018, elle occupera ainsi un rôle de consultant et ce jusqu’à la fin de l’année 2018.

    Au sein de Birchbox, Philippe Pinatel s’est concentré sur une croissance stratégique efficace, la réduction des coûts d’exploitation et le positionnement de l’entreprise en tant qu’innovateur dans le secteur de la beauté. Sous sa direction Birchbox a réalisé plusieurs avancées dont le lancement de BirchboxMan, le développement de nouveaux produits, de ses activités en Europe, ainsi que de son cœur d’abonnés.

    Philippe, Pinatel, Birchbox, MAC, Cosmetics

    Ayant vécu et travaillé aux États-Unis, au Canada, en Europe, en Chine et en Corée du Sud, Philippe Pinatel apportera son expérience internationale au groupe Estée Lauder. Il a notamment été Senior Vice President et General Manager de Sephora Canada, et Vice President and General Manager de Sephora Inside JCPenney. Il a également passé 11 ans au sein de Guerlain International, en charge des opérations sur plusieurs marchés, notamment en France, en Corée, en Europe du Nord et en Chine.

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    [#CONSOLAB] [ETUDE] | #25% des #Européens prêts à #payer grâce au #sans #contact avec leur carte... ou des #objets #connectés | @LUSINEDIGITALE

    DE SIMON CHODORGE | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2oorAcl

    #25% des #Européens prêts à #payer grâce au #sans #contact avec leur carte... ou des #objets #connectés

    A l'approche du Mobile World Congress, Mastercard publie une étude sur l'adoption du paiement sans contact dans les pays européens. L'occasion pour l'entreprise spécialisée dans le paiement de rappeller ses objectifs pour faire du "tap and go" la nouvelle norme.

    Le sans contact, nouvelle norme du paiement ? Selon une étude* publiée par Mastercard ce jeudi 22 février, plus de 175 millions d’Européens (soit 24 %) sont prêts à payer en sans contact avec leur carte bancaire classique, mais aussi tout autre objet, comme une montre, un bracelet ou un porte-clé. A quelques jours du Mobile World Congress, l’entreprise spécialisée dans le paiement veut répandre la pratique du “tap and go”.

    LES POINTS DE VENTE DE PLUS EN PLUS ÉQUIPÉS

    Les paiements sans contact auraient augmenté de 145 % en 2017 pour les cartes Mastercard et Maestro. Si les cartes bancaires équipées sont de plus en plus nombreuses, le “tap and go” se décline sous d’autres supports : montre intelligente, bague connectée ou tout autre moyen de paiement mobile.

    En parallèle, le nombre de commerçants équipés progresse aussi : le nombre de points de vente acceptant le paiement sans contact a progressé de 42 % en Europe, indique l'étude. Encore émergent, le “tap and go” n’est toutefois pas majoritaire : il ne représente que 38 % des transactions en magasin.

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    VERS DU SANS CONTACT... SANS CARTE

    En avance avec 80 % de terminaux déjà équipés, les Pays-Bas représentent un laboratoire à grande échelle pour Mastercard. L’entreprise a annoncé en février une phase test d’accessoires de paiements mobiles avec la banque néerlandaise ABN AMRO. 500 clients seront équipés d’un objet connecté (bague, montre, bracelet, porte-clef…) lié à leur compte courant pour effectuer des achats en “tap and go”.

    En janvier 2018, Mastercard révélait son objectif ambitieux de faire de ce moyen de paiement une norme d'ici 2023. Sa stratégie : équiper tous les terminaux marchands de la technologie sans contact en Europe, en Amérique Latine, en Asie-Pacifique, au Moyen-Orient et en Afrique.

    *Méthodologie : l’étude a été menée auprès de 50 747 personnes par GCT Research, Inc en Allemagne, en Espagne, en France, en Italie, au Pays-Bas, en Pologne, au Royaume-Uni, en Russie et en Suède.

     

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    [#CONSOLAB] [LOGISTIQUE] | #Marionnaud anticipe le #développement de son #e-commerce | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2EJawZI

    #Marionnaud anticipe le #développement de son #e-commerce

    D’un entrepôt situé à Châtres (Seine-et-Marne), ID Logistics gère l’approvisionnement des 500 magasins français de Marionnaud et toutes les commandes e-commerce. Le site logistique a été équipé afin d’anticiper la montée en puissance de l’enseigne sur le digital.

    12000 m2 pour stocker 16 500 références de parfums et cosmétiques, approvisionner les 500 magasins français de Marionnaud et gérer toutes les commandes e-commerce de l’enseigne. Depuis six ans, la logistique de Marionnaud est opérée par ID Logistics à partir d’un entrepôt unique situé à Châtres (Seine-et-Marne). Le site a dû s’adapter notamment à la forte croissance de l’activité e-commerce. « De moins de 500 commandes par jour en moyenne il y a six ans, nous sommes passés à 1300 commandes par jour en moyenne », explique Eric Hémar, pdg d’ID Logistics. « A Noël et pour le Black Friday, nous avons eu des pics à 7000-8000 commandes par jour, ajoute Jean-Michel Palumbo, responsable du site logistique de Marionnaud. Nous anticipons dans les trois années à venir une augmentation des commandes e-commerce avec des pics qui seront probablement autour des 12 000 commandes/jour. » En effet, cette activité b to c qui devrait croître bien plus rapidement que celle des magasins. ID Logistics et Marionnaud investissent donc en conséquence afin de traiter l’augmentation des volumes de commandes.

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    Mécanisation

    Parmi les innovations logistiques mises en place sur le site de Marionnaud, citons le système de mécanisation Order Distribution System (ODS). Il permet une ramasse du besoin exact des faibles et fortes rotations, couplé à un stockage automatisé des références de moyennes rotations avec une ventilation des ramasses dans les bacs magasins et dans ceux pour les commandes internet. En effet, la solution e-commerce qui est intégrée dans le flux global de préparation de commandes. « Nous envisageons d’automatiser la mise en forme des emballages e-commerce afin de faire gagner du temps à nos opérateurs dans la préparation de commandes », explique Jean-Michel Palumbo. Le site gère également les retours internet. « En parfumerie, le taux de retour est très faible de l’ordre de 4 ou 5% alors qu’en textile il peut s’élever à 30% », commente Jean-Michel Palumbo.

    80 salariés en CDI travaillent sur le site de Marionnaud, 5 jours sur sept. « En pic d’activité, le nombre de salariés peut passer à 135 personnes et nous pouvons travailler le week-end », confie Jean-Michel Palumbo. Car beaucoup de personnes passent leurs commandes le week-end et le lundi, les sites logistiques se retrouvent avec d’énormes volumes à traiter. « Pour Marionnaud, l’an passé, cela a été le cas par exemple le lundi qui a suivi le Black Friday où nous avons eu 7000 commandes à gérer ce jour-là », cite Jean-Michel Palumbo. Eric Hémar conclut : « l’enjeu de demain n’est pas l’ouverture des magasins le dimanche mais la préparation des commandes le dimanche. Pour l’instant, nous sommes structurés pour le faire lors des pics saisonniers mais demain, avec la croissance globale du e-commerce, il faudra être organisé pour le faire tout au long de l’année. »

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    [#CONSOLAB] [INTERNET] | La recette de #Lidl pour être plus #performant sur #Facebook | @ECOMMERCEMAG

    DE FLORIANE SALGUES | ECOMEMRCEMAG | http://bit.ly/2BH22Qe

    La recette de #Lidl pour être plus #performant sur #Facebook

    Lidl France a dépassé, fin janvier, la barre des 2 millions de fans sur le média social Facebook. Un record pour un distributeur alimentaire.

    Lidl a atteint, fin janvier 2018, le cap des 2 millions de fans sur sa page Facebook (2,05 millions au 19 février). Un record dans le secteur. L'enseigne se démarque ainsi - et de loin - des géants de la distribution alimentaire : Carrefour (1,1 million de fans), Monoprix (1,05 million de fans), Intermarché (739 000 fans), Auchan (687 000), E.Leclerc (557 000 fans) ou, encore, Géant Casino (196 000 fans). Mais, quelle est donc la bonne recette de Lidl, actif depuis mars 2012 sur Facebook ?

    Premier ingrédient : la régularité des partages sur la page Facebook France, à savoir, au minimum, un post par jour. Mais, aussi, la réactivité aux messages postés par les abonnés, grâce à l'internalisation du community management au sein du groupe Lidl. "Nous sommes en contact direct avec les services achat, qualité et client et pouvons donc répondre très rapidement aux messages des clients sur la disponibilité d'un produit ou sa qualité, explique Isabelle Schmidt, responsable communication et social media de Lidl France. Il faut savoir que Facebook est, pour Lidl, un important canal de relation client, avec un grand flux de messages positifs comme négatifs, tandis que le fil Twitter est davantage ancré dans le corporate et l'actualité de Lidl."

    Lidl, performant, Facebook

    La marque mise, aussi, sur des formats qui ont fait leur preuve : "Les jeux-concours représentent pour Lidl un véritable média pour recruter de nouveaux fans et animer une communauté très engagée", poursuit Isabelle Schmidt, qui manage deux community managers pour gérer l'ensemble des médias sociaux du groupe (Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat). Le levier "jeu-concours" a d'ailleurs été choisi par l'enseigne pour remercier ses 2 millions d'abonnés et leur permettre de gagner, par tirage au sort (22 janvier - 4 février 2018), 3 minutes chrono de courses gratuites en magasin.

    La professionnelle parie également, pour suivre les temps forts de l'enseigne, sur la vidéo (tutoriels de recettes ou coulisses des lancements de produits, par exemple). L'idée : jouer la carte de la proximité avec ses clients.

    Le management social media de Lidl est intégré à la direction communication du groupe, qui comprend les relations presse, la communication interne, le sponsoring et la publicité. "Cette organisation nous donne les moyens de communiquer en cross-canal.... et donc de manière plus efficace", précise la responsable communication et social media. Pour preuve, la stratégie de la marque sur les autres médias sociaux, notamment Instagram, performe : sur ce-dernier, Lidl comptait, en janvier 2018, 82,6 K abonnés ; 90 000 le 5 février et 93,4 K au 19 février. Une forte croissance due à une stratégie de post différenciée par rapport à Facebook. "Nous avons choisi d'aller sur Instagram en 2015, avec des posts sur le "food", témoigne Isabelle Schmidt. Mais, nous nous sommes rapidement rendu compte que la beauté est le secteur préféré de nos abonnés. Nous avons donc changé de cap pour valoriser davantage les produits de soin Cien."