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1- Actualités - Page 40

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    [#CONSOLAB] [TENDANCES] | La #K-Beauté a le vent en poupe en #France | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2FBhpYU

    La #K-Beauté a le vent en poupe en #France

    BB crèmes, Cushion Cream, et surtout masques en tout genre, les Françaises ont clairement adopté la K-Beauté (Korean Beauty) ces dernières années. La tendance, qui devrait encore prendre de l’ampleur en 2018, a surtout influencé les ventes de masques en 2017 (+12%), d’après les derniers chiffres du secteur de la beauté sélective dévoilés par The NPD Group, jeudi 1er février.

    « Les ventes de masques ne concentrent encore que 3% de l’ensemble des ventes de soins, mais sont le premier vecteur de croissance », souligne The NPD Group dans un communiqué.

    Toujours sur le segment des soins, les ventes de soins des lèvres ont également enregistré une hausse en 2017 (+8%), tout comme les lotions et toniques (+2%), et, dans une moindre mesure, les crèmes hydratantes (+1%).

    En matière de make-up, ce sont les produits pour les lèvres qui se distinguent, avec une croissance des ventes de 3% en 2017. Toutefois, ce ne sont pas forcément les rouges à lèvres (+2%) qui ont tiré le marché vers le haut, mais les gloss, qui ont vu leurs ventes augmenter de 15% en 2017.

    K-Beauté, France

    Autre changement dans l’univers de la beauté sélective : les Français se tournent progressivement vers les magasins virtuels. Les ventes en ligne ont ainsi enregistré une hausse de 27% en 2017, quand, dans le même temps, les ventes en magasin physique ont reculé de 3%. Les ventes de produits make-up en ligne ont augmenté de 44%, les ventes online de soins de 29% et celles de parfums de 22%.

    « Le challenge 2018 pour la beauté sélective va être d’optimiser la croissance des ventes en ligne tout en créant du trafic en magasin. (...) À date, la montée en puissance du online ne compense pas complètement les pertes des magasins physiques. Pourtant, les consommateurs, et notamment les jeunes, aiment se rendre en magasin... tout se jouera donc sur l’expérience, le conseil et la personnalisation du service qu’ils pourront trouver en point de vente », analyse Mathilde Lion, Expert Beauté Europe chez The NPD Group.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Qwant, l'#anti-#Google #français, jouera #quitte ou #double en #2018 | @LUSINEDIGITALE

    DE JULIEN BERGOUNHOUX | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2DQY9Gr

    #Qwant, l'#anti-#Google #français, jouera #quitte ou #double en #2018

    Depuis cinq ans, la start-up française Qwant se démène pour réussir son pari fou : s'imposer comme une alternative respectueuse de la vie privée face à l'empire de Google. Son fondateur et PDG, Eric Léandri, s'est confié auprès de L'Usine Digitale sur la réussite teintée de frustration de son entreprise. 2018 sera pour Qwant une année déterminante, avec en ligne de mire l'obligation d'atteindre une reconnaissance internationale.

    Qwant était présent au FIC 2018 pour mettre en avant la façon dont il protège ses services, notamment grâce à des équipes de hackers qui les attaquent en interne pour mieux déceler de potentielles failles. L'Usine Digitale en a profité pour faire le point sur la santé et les ambitions du moteur de recherche français.

    "Nous sommes ici pour montrer comment nous nous protégeons de la guerre économique qui se déclare aujourd'hui, déclare Eric Léandri, fondateur de Qwant. Vous avez deux côtés : les Etats-Unis et la Chine. Alors lequel on choisit en Europe ? Ou bien est-ce qu'on crée une troisième voie ? C'est notre positionnement chez Qwant : un moteur destiné aux grands services de l'Etat et aux entreprises, qu'il s'agisse de grandes sociétés ou de start-up, ainsi bien sûr qu'au consommateur préoccupé."

    L'INTERNATIONALISATION, TÂCHE ARDUE

    Si la cause est noble, Qwant fait office de David contre le Goliath que représente Google, à tel point qu'il est difficile de croire qu'il puisse vraiment lui faire de l'ombre. Pour autant le petit Français fait son bonhomme de chemin, y compris à l'international. "En Allemagne la progression est très forte, de 200% en octobre et en décembre. Mais tous nos serveurs sont en France, ce qui nous désavantage sur les comparateurs", reprend le dirigeant. L'Allemagne représente aujourd'hui 29% du trafic de Qwant, l’Italie fait 8%, suivie du Luxembourg, de la Belgique, de la Suisse, du Portugal et de la Chine (des Européens basés en Chine, s'entend). Sans surprise, la France reste en tête avec 44%.

    La pénétration est en revanche faible sur le marché américain, car Qwant tient à rester en dehors du Patriot Act et du Freedom Act, et ne peut donc pas avoir de serveurs aux Etats-Unis, ce qui rallonge d’autant les délais pour les utilisateurs. "Nous avons par contre une bonne croissance au Canada, contre Eric Léandri. Et Qwant Junior y sera fortement médiatisé à partir du mois de mars, notamment pour les vidéos."

    LE RÈGNE SANS PARTAGE DE L'EMPIRE GOOGLE

    Les vidéos, justement, sont un autre quasi-monopole de Google au travers de YouTube. "C'est très difficile, confirme Eric Léandri. Prenons un cas simple : Vevo. Nous avons un service Qwant Music, mais nous nous sommes fait couper l'accès à Vevo par YouTube, ce qui nous a forcés à aller demander directement l'accès à Universal Music. YouTube a décidé de nous bloquer unilatéralement. Après avoir tué Dailymotion et mis Vimeo sur la touche, ils ont décidé de choisir chez qui leurs vidéos peuvent être diffusées...". Qwant a déposé un recours en justice européen, mais "cela prend du temps, donc nous attendons", soupire le patron.

    Qwant, anti, google, français, quitte, double; 2018

    Qwant avait également passé quatre partenariats avec des fabricants de smartphones et opérateurs télécom pour être installé par défaut sur les téléphones, mais ils sont tombés à l'eau lorsque Google a menacé de leur refuser l'utilisation des Google Services (la partie propriétaire d'Android, dont il est quasi-impossible de se passer aujourd'hui). "Maintenant, à cause de l'action de la Commission européenne, ils ne peuvent plus bloquer les constructeurs de cette manière, donc à la place ils vont les voir et les paient pour s'assurer que leur navigateur soit installé par défaut. C’est une stratégie que je trouve de bas étage, complètement nulle," s'énerve Eric Léandri.

    DUCK DUCK GO, UNE IMPOSTURE

    Les choses ne sont pas meilleures du côté des navigateurs. "C’est un vrai enfer, commente-t-il sans ambages. Nous avons un partenariat qui court avec Firefox, mais Google a payé, ce qui fait que les utilisateurs ont reçu des notifications durant tout le mois de décembre leur disant que leur moteur de recherche était obsolète et qu'il fallait changer pour Google… Tout le monde a beaucoup souffert, sauf nous car nos utilisateurs sont plus aguerris que la moyenne. Mais certains ont perdu 15% de leur trafic. Nous sommes aussi en discussion avec Brave, mais ils ont signé avec Duck Duck Go."

    Duck Duck Go dispose d'une certaine notoriété aux Etats-Unis et se positionne sur un registre pratiquement identique à celui de Qwant : le respect de la vie privée, sans tracking des utilisateurs. Une comparaison qui fait bouillir Eric Léandri. "C'est juste un méta-moteur hébergé sur Amazon Web Services. C'est du Canada Dry. Si le gouvernement américain veut des données, il n'a qu'à demander à Amazon, sans même passer par Duck Duck."

    MÊME L'ÉTAT PRÉFÈRERAIT LES AMÉRICAINS ?

    Et pour noircir encore un peu plus le tableau, les marchés publics eux-mêmes favoriseraient les produits des grandes sociétés américaines. "Qwant Junior a du succès, le développement commercial est très bon, mais que ce soit dans les écoles ou pour les environnement numérique de travail des universités, on doit le fournir sous forme d'API... Ce qui ne me dérange pas en soit, sauf que personne n'oblige Google à en faire de même, se lamente Eric Léandri. Le résultat, c'est que nous n'avons pas de trafic qui nous est propre."

    "L'objectif de Qwant Junior est de faire du marketing éthique, donc nous n'avons pas de problème de revenus, et la solution peut aussi être intégrée à des services comme Acadomia... mais je préfère avoir une audience." Il soupire. "Donc on y va, mais l’état signe plus facilement avec Microsoft et Google qu’avec des entreprises européennes. On devait signer un partenariat avec le gouvernement mais il est toujours en l’air." Le dirigeant se veut malgré tout optimiste et se félicite que Qwant Junior intéresse aussi les pouvoirs publics en Italie et en Allemagne.

    "Le vrai abcès que je voudrais crever, c'est le déficit de confiance de l'Etat français envers les produits européens. Je pense que c’est dû à la façon dont on fait les appels d’offre. Les produits américains ne respectent pas forcément les obligations qu'on nous impose, mais ce n’est pas bloquant. Ils ont des points en moins, mais les décideurs s’en fichent." Outre la renommée des géants technologiques, il est aussi difficile de ne pas aborder le sujet du lobbying auprès des instances dirigeantes. "Ils sont 90 à faire du lobbying, tandis qu'on était encore 50 en tout dans l'entreprise il y a 6 mois [ndlr. Qwant a beaucoup recruté depuis et emploie actuellement 144 personnes]. Mais ils sont bons... ils vont former 100 000 familles au respect de la vie privée," ironise Eric Léandri avec amertume.

    Rappelons néanmoins que Qwant a levé 15 millions d'euros auprès de la Caisse des Dépôts en 2017, et que cette dernière détient en conséquence 20% des parts de l'entreprise. Qwant a par ailleurs souscrit un emprunt de 25 millions d'euros auprès de la Banque européenne d'investissement en 2015. On peut donc difficilement dire que l'entreprise n'est pas soutenue.

    LE RGPD N'AURA PAS D'IMPACT CONCRET

    Qwant, anti, google, français, quitte, double; 2018

    Quid de l'impact du Règlement européen sur la protection des données (RGPD) sur l'hégémonie de Google ? Eric Léandri n'y voit pas une solution miracle.  "Cela ne changera rien, ils seront tous conformes dès le premier jour. Et de toute façon la e-privacy dépasse le cadre du RGPD."

    Cette opposition acharnée avec Google pose une question toute bête : pourquoi ne pas s'allier avec Microsoft ? Son moteur de recherche Bing connaît un certain succès aux Etats-Unis, mais il est anecdotique en Europe. "On pourrait faire beaucoup de choses avec eux, répond Eric Léandri. Le problème c'est qu'ils sont américains. Ils ont une procédure en cours aux Etats-Unis pour bloquer l'accès libre du gouvernement américain aux données de leurs serveurs européens. On verra s'ils gagnent... Moi, tant que je n'ai pas à donner les adresses IP de mes utilisateurs, il n'y a pas de problème."

    Même si tout cela est vrai, on se permet de glisser au dirigeant que la France n'est pas exempte de zones d'ombres quant aux pratiques de ses propres services de renseignement. "C'est vrai, ce n'est pas parfait, admet-il. Mais c'est mieux. Ca n'a aucun rapport avec les Etats-Unis ou la Chine. Les boîtes noires ne sont pas chez nous. Les règles européennes sont claires, et ces organismes s'intéressent au terrorisme, le reste ils n'en ont rien à faire. Ceux qui veulent les données, ce sont les marketeurs."Qwant cherche par ailleurs à se blinder au maximum, par exemple en ouvrant son propre DNS (système de noms de domaine), pour éviter d'avoir à se reposer sur des acteurs dont la fiabilité n'est pas garantie.

    2018, ANNÉE DÉCISIVE

    Eric Léandri ne se fait pas d'illusion, 2018 sera une année décisive pour Qwant, qui va sur ses 5 ans. Et le succès passera avant tout par le gain d'une renommée internationale et d'une crédibilité auprès des experts de la protection des données, notamment aux Etats-Unis. Qwant y est passé curieusement inaperçu jusqu'ici. "Nous sommes obligés de percer sur la scène internationale cette année, nous n'avons pas le choix. Il nous faut être dans TechCrunch."

    Il explique ce profil bas outre-Atlantique par un désir d'être parfaitement rodé, car il n'aura pas de seconde chance. "Jusqu'à présent Qwant n'était pas finalisé. L'exposer à la critique des experts aurait résulté en des critiques acerbes. Et un moteur de recherche comme Qwant est beaucoup plus complexe qu'un protocole de messagerie instantanée comme Signal. Donc nous avons pris notre temps. Aujourd'hui, notre capacité d'indexation n'a plus rien à voir avec ce qu'elle était il y a un an et demi. Début 2016, nous indexions 40 millions de pages par jour. C'est passé à 120 millions fin 2016, puis à 250 millions en 2017, et fin 2017 nous avons dépassé le milliard de pages. Désormais, nous pouvons aller jouer dans la cour des grands, et nous pouvons pousser le produit auprès des experts. Nous allons le leur faire tester, valider. Nous verrons si c'est concluant au bout de deux mois."

    Autre signe de maturité, Qwant va désormais proposer ses résultats de recherche à des partenaires, chose qu'il ne pouvait pas faire auparavant car il n'en avait pas la capacité techique. "Nous avons encore plein de serveurs qui attendent d'être installés," termine Eric Léandri.

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    [#CONSOLAB] [CAMPAGNE] | #Kinder #Bueno explore la veine de l'#humour | @LESECHOS

    DE CLOTILDE BRIARD | LES ECHOS | http://bit.ly/2s1UqV6

    #Kinder #Bueno explore la veine de l'#humour

    La marque de barres chocolatées de Ferrero a lancé un vaste dispositif, le Bueno Comedy Show, pour toucher les Millenials.

    A chaque marque sa stratégie pour parler au public si convoité des Millenials. Kinder Bueno, la marque de barres chocolatées de  Ferrero , a opté pour le rire. Déjà, ses campagnes publicitaires avaient cette tonalité, la dernière en date mettant en scène Elie Semoun. Désormais, elle organise aussi un Bueno Comedy Show pour contribuer à révéler des talents de l'humour.

    « Les Millenials sont un public plutôt hétérogène parmi lequel on trouve aussi bien de grands adolescents habitant chez leurs parents que de jeunes adultes vivant en solo ou eux-mêmes parents. Mais ils ont des valeurs en commun autour de la passion, du fait de prendre la vie du bon côté, d'aimer s'amuser », analyse Virginie Fleury, chef de groupe marketing Kinder snack et Kinder chocolat. Elle souligne que les événements représentent, en outre, une forme de marketing qu'ils apprécient.

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    La marque a donc voulu capitaliser sur ce goût du « fun » et mis sur pied un dispositif se déroulant sur une année. Un casting a démarré en octobre dans toute la France avec le Campus Comedy Tour. Le 3 février, un spectacle aura lieu à Paris, à  La Scène Musicale , avec une quinzaine de talents sélectionnés sous l'égide de parrains connus, de Bérangère Krief à Baptiste Lecaplain. Des consommateurs auront pu gagner des places pour y assister. Ensuite, jusqu'à fin mai, des vidéos des humoristes seront soumises au vote sur Facebook. Le gagnant jouera en première partie du spectacle d'un des parrains.

    L'objectif de l'opération est de moderniser la perception de Kinder Bueno auprès des jeunes adultes et de dynamiser une catégorie très concurrencée par les biscuits et qui se trouve, au global, en léger recul. Kinder Bueno est le leader des barres chocolatées en France et revendique 29,5 % de parts de marché en valeur en grande surface. En magasin, les produits sont mis en avant jusqu'à mi-février sur la thématique du Bueno Comedy Show, avec des leaflets humoristiques et des bornes qui diffuseront des blagues.

     
    « L'humour représente un élément clef pour créer de la proximité », estime Virginie Fleury. Elle doit permettre d'élargir le recrutement en apportant des nuances au positionnement plutôt familial des produits Kinder en général.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Achats en #ligne : #51% des #Français #influencés par les #avis | @FASHIONNETWORK

    DE RELAXNEWS | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2Eb1ns0

    #Achats en #ligne : #51% des #Français #influencés par les #avis

    Quelque 51% des Français seraient sensibles aux avis en ligne pour acheter un produit ou un service sur Internet malgré des doutes sur la véracité des commentaires (86%), d'après un baromètre PagesJaunes réalisé avec OpinionWay sur les avis en ligne.

    Les 18-24 ans (68%) seraient les plus concernés, selon le baromètre qui a sondé 2 003 Français sur leurs usages et attentes des avis en ligne. 77% des Français consultent les avis tant pour choisir un produit qu'un professionnel ou un commerce (plombiers, restaurants, garagistes...), selon l'étude.

    Les avis les plus consultés concernent le choix d'un bon restaurant (64%), suivis des commentaires sur les activités touristiques ou loisirs (60%), les commerces non alimentaires (34%), les artisans du BTP (27%) et enfin les professionnels de santé (27%).

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    Pour mieux choisir un professionnel, les Français souhaiteraient davantage d'avis sur les artisans dépannage/installateurs (46%), les artisans du BTP (45%) et les médecins ou paramédicaux (42%). Pour 86% des interrogés, il est cependant difficile de distinguer les vrais des faux avis.

    Selon l'étude, 60% des Français déposent des critiques sur Internet : lorsqu'ils ont été satisfaits de l'expérience, 20% des Français déclarent poster un avis favorable contre 12% qui partagent leur mécontentement. 68% déclarent faire cette démarche dans un état d'esprit contributif qu'ils soient satisfaits ou non.

    Enfin, pour 67% des Français, les avis en ligne jouent un rôle prépondérant dans la réputation d'une marque ou d'une entreprise tandis que deux tiers des entreprises sondées avouent ne pas savoir ce qui se dit sur elles sur Internet. L'enquête PagesJaunes a été réalisée du 19 juin au 21 juillet 2017 par OpinionWay auprès d'un échantillon de 2 003 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, ainsi qu'un échantillon de 1 003 TPE-PME représentatives des entreprises de moins de 250 salariés, exceptés les entreprises du secteur Industrie.

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    [#CONSOLAB] [LANCEMENT] | Le #groupe #H&M #lance sa #plateforme #discount #Afound en #ligne et en #boutique | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2rWr4Yb

    Le #groupe #H&M #lance sa #plateforme #discount #Afound en #ligne et en #boutique

    Le groupe H&M investit le digital pour contrer son ralentissement sur le plan du retail. Il a officialisé le 31 janvier le lancement d’une marketplace multimarque nommée Afound, dédiée à une offre d’habillement homme et femme et de produits lifestyle. En service dès 2018, le site aura pour spécificité de proposer des rabais allant jusqu’à -70 %.

    Uniquement disponible en Suède pour ses débuts, le site est d’ores et déjà en ligne, mais n’est pas encore achalandé. Il est simplement proposé aux visiteurs de s’enregistrer pour bénéficier d’un accès en avant-première. Cet outlet, qui offrira, selon le groupe, des « deals fantastiques », accueillera ses différentes marques (H&M, Cos, Monki…), mais aussi toute une série de labels internationaux. L’offre se répartira sur des segments de prix variés et inclura des séries limitées de produits créés spécialement par les marques pour le site. Une soixantaine de griffes auraient déjà signé avec le groupe, selon le média suédois Breakit.

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    Afound n’est pas seulement un portail Web. Son lancement s’accompagnera de l’ouverture d’une première boutique physique à Stockholm, sur l’artère Drottninggatan. « Afound se soucie à la fois de la valeur des produits et de l’assortiment. En présentant au client des labels de qualité et le sentiment que vous faites vraiment une bonne affaire, Afound offrira une nouvelle forme d’expérience off-price (prix barrés, ndlr) », expose Fredrik Svartling, le directeur général de la plateforme, qui a occupé le poste de directeur des ventes H&M aux Etats-Unis entre 2006 et 2015.

    La société scandinave ne dévoile pas encore ses ambitions en matière de développement, mais il s’agit à coup sûr d’un projet qui pourra être dupliqué à l’international, à la fois en ligne et physiquement. Afound s’inscrit pleinement dans sa stratégie (essentielle) de transformation pour tenter de s’adapter aux nouvelles manières de consommer la mode, vers un modèle incluant davantage le digital. Sur l’année 2017, le distributeur suédois a généré des ventes en hausse de 4 %, mais a vu son bénéfice net reculer de 13 %.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Amazon poursuit la #dématérialisation de ses #Dash #Buttons | @USINEDIGITALE

    DE SYLVAIN ARNULF | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2DJ7v7a

    #Amazon poursuit la #dématérialisation de ses #Dash #Buttons

    Amazon annonce l'extension de son programme de recharge automatique d'objets, Dash Replenishment, à de nouveaux produits.

    Amazon ne lâche pas ses boutons Dash, permettant de commander un produit d’un simple clic. Mais les boutons physiques, qui ne se sont jamais vraiment imposés dans les foyers (d’ailleurs Amazon ne communique pas de chiffres de ventes) sont remplacés par des boutons virtuels, directement intégrés aux objets de tous les jours. Ce n’est pas un constat d’échec : la stratégie d’Amazon était bien celle-là depuis le départ, passer par un objet physique pour créer une nouvelle habitude, puis le remplacer par un équivalent virtuel.

    DES NOUVEAUX ADEPTES POUR "DASH REPLENISHMENT"

    Le géant américain du e-commerce déroule donc son plan machiavélique. Il continuer à développer le programme "Dash replesnishment", un service de recharge d'objets utilisant des consommables. De nouvelles marques comme les fabricants d’imprimantes HP, Epson et de machines à café Illy adoptent ce système de réapprovisionnement automatique qui "efface" comme par magie l’acte d’achat, pour le consommateur final. Ces objets compatibles sont équipés de capteurs qui mesurent la consommation en temps réel et commandent des recharges avant même que le réservoir ne soit vide.

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    DES BOUTONS VIRTUELS POUR LES FABRICANTS-TIERS

    Amazon lance aussi un kit de développement permettant aux fabricants de machines équipées d’écrans (comme les frigos et machines à laver) et connectées à internet d’intégrer plus facilement un "Dash Button" virtuel. L’américain avait déjà intégré cette fonction à son propre site web en janvier 2017, puis à son application mobile et ses enceintes Echo Show, pour une commande en un clic, sans avoir à s’authentifier, à entrer ses informations de paiement et son adresse à chaque transaction. Avec ce SDK, il veut aussi bien toucher de grands fabricants comme LG, Whirpool ou Samsung, que des start-up des objets connectés. Et enfermer les consommateurs dans un cercle vicieux de consommation éternelle ?