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cosmétiques

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    [#CONSOLAB] [APPLICATION] | #Yuka ajoute à son #app l'#analyse des #cosmétiques | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2OO1FYj

    #Yuka ajoute à son #app l'#analyse des #cosmétiques

    L'app d'analyse de la composition de PGC franchit un nouveau cap en ajoutant 100.000 produits cosmétiques et d'hygiène aux 250.000 références alimentaires qu'elle indexait déjà.

    L'application mobile qui permet de scanner le code-barre de 250.000 produits alimentaires pour afficher leur composition vient d'ajouter une nouvelle corde à son arc : l'analyse des produits cosmétiques et d'hygiène. Sur iPhone (et en novembre sur Android), ses utilisateurs n'ont qu'à mettre l'app à jour pour pouvoir afficher la composition de 100.000 références supplémentaires : gels douche, crèmes, dentifrices, shampooings, déodorants, maquillage... Un bénéfice encore plus important que dans l'alimentaire puisque les ingrédients des articles DPH sont désignés par leur nom scientifique en latin.

    L'app "Quel Cosmetic" lancée en mars par l'UFC-Que Choisir indexe pour sa part 6.000 produits, dont elle affirme que 42% contiennent "un ou plusieurs ingrédients indésirables", par exemple des perturbateurs endocriniens. Yuka, lancée en janvier 2017, a pour sa part adopté un fonctionnement collaboratif qui lui permet de se développer vite. Chacun de ses 4,5 millions d'utilisateurs peut renseigner une référence que l'app ne connaît pas encore.

    Un décollage très rapide

    La start-up française, lancée en janvier 2017 et installée depuis juillet 2017 à Station F dans l'incubateur de l'Edhec, revendique 1 million de produits scannés chaque jour, dont elle reconnaît 98%. Yuka figure dans le top 10 des applications gratuites les plus téléchargées sur l'Appstore et le Playstore. Elle travaille actuellement sur plusieurs évolutions à venir :

    • le développement d’un mode hors-ligne, permettant de scanner sans réseau,
    • l’accès à une description détaillée de la nocivité des additifs,
    • le paramétrage d’alertes personnalisables sur les allergènes (gluten, lactose, etc.) et les éléments indésirables.

    En 2019, Yuka prévoit de s’étendre en Belgique, en Suisse et au Luxembourg.

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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | Le #marché #européen des #cosmétiques a #progressé de 1,3% en 2017 | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2MQr8yl

    Le #marché #européen des #cosmétiques a #progressé de 1,3% en 2017

    À l’occasion de sa conférence annuelle, qui s’est tenue à Bruxelles les 13 et 14 juin 2018, Cosmetics Europe a dévoilé ses dernières statistiques du marché des cosmétiques et des soins personnels. En 2017, le marché européen a progressé de 1,3% par rapport à 2016 pour atteindre 77,6 milliards d’euros.
    En 2017, le marché européen des cosmétiques représentait 77,6 milliards d’euros, faisant de l’Europe le plus grand marché mondial.

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    Selon Cosmetics Europe, la chaîne de valeur de l’industrie des cosmétiques contribue à plus de 2 millions d’emplois en Europe.

    Malgré le retour à une croissance plus dynamique, le marché européen reste impacté par la faible performance de certains marchés clés, notamment : le Royaume-Uni (-6,8%), les Pays-Bas (-1,9%) et la France (-0,5%).

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    En ce qui concerne les produits, toutes les catégories sont en hausse par rapport à 2016, à l’exception des parfums (-0,4%) et du maquillage (-0,1%).

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    Les soins pour la peau et les produits de toilette restent les principales catégories en Europe, suivies par les produits capillaires et les parfums.

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    Dans ce contexte de croissance modérée, le commerce international reste un moteur essentiel pour l’industrie européenne. Plus de 20,2 milliards d’euros de produits cosmétiques ont été exportés par les pays européens en 2017 (contre 18,2 milliards en 2016). Le total des importations n’atteint que 5,935 millions d’euros, principalement en provenance des États-Unis, de Chine et du Japon (contre 5,633 millions d’euros en 2016). Plus que jamais, l’exportation apparaît comme le véritable moteur de l’industrie européenne des cosmétiques.

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    [#CONSOLAB] [BIO] | L’#Oréal crée une #marque de #cosmétiques #bio | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2tbHOc6

    L’#Oréal crée une #marque de #cosmétiques #bio

    L’Oréal a créé une marque de cosmétiques labellisée bio baptisée La Provençale bio. Elle sera lancée en septembre 2018 en grandes et moyennes surfaces. En avant-première, LSA vous fait découvrir cette nouvelle marque.

    Comme Céline Brucker, directrice générale de L’Oréal France Grand Public, nous l'avait annoncé fin 2017, le leader de la beauté revient en force sur le bio en grande distribution en 2018. Après avoir étoffé l’offre déodorant et douche certifiée Cosmebio d’Ushuaïa, la division Grand Public crée carrément une marque : La Provençale bio. Le nom et le logo, en photo ci-dessus, ont été déposés à l’Inpi le mois dernier.

    Sourcing en Provence

    Comme son nom l’indique, il s’agit de cosmétiques certifiés bio dont les ingrédients principaux ont été sourcés en Provence comme de l'huile d'olive. Les produits sont fabriqués en France. Côté offre, La Provençale va proposer des produits d’hygiène (savons, déodorants…) et surtout des soins du visage. Les grands groupes avaient essayé en 2008-2009 d’implanter du bio en grandes et moyennes surfaces (GMS) mais sans réel succès car les formules n’étaient pas au niveau de la cosmétique conventionnelle, en termes d’efficacité et de sensorialité. Depuis, la R&D a fortement progressé et est capable de proposer du bio pouvant rivaliser avec le conventionnel. D'ailleurs, les consommateurs l'ont bien compris et l'hygiène-beauté bio affiche des croissances à deux chiffres alors que le conventionnel recule. Il n'est donc pas étonnant de voir les grands groupes réinvestir ce marché cette année à l'instar d'Henkel qui vient de lancer un deuxième dentifrice ainsi qu'un bain de bouche (une première pour la GMS) certifiés Cosmebio sous sa marque d'hygiène buccodentaire Vademecum. L'Oréal est le premier des grands groupes à réattaquer les soins du visage avec La Provençale.

     
    Une marque complémentaire

    On peut s'étonner de voir L'Oréal ajouter une autre marque à son portefeuille déjà bien fourni. Mais ce choix est cohérent avec les attentes des consommateurs qui sont de plus en plus méfiants face aux grandes marques des PGC. Au vu du logo déposé à l'Inpi, La Provençale joue sur l'authenticité. La Provence parle aux consommateurs, les ingrédients comme l'olive les rassurent. Et puis, c'est connu: les Français sont friands d'innovations et curieux d'essayer de nouvelles marques. Ensuite, les autres marques de soins du visage de L'Oréal Grand Public ont choisi des stratégies différentes du bio: Garnier est axé sur le naturel et Mixa joue la carte "dermocosmétique" avec des gammes inspirées de ce que l'on trouve en pharmacie. La Provençale bio vient donc compléter mais pas cannibaliser les autres marques du groupe. Selon L'Oréal, les produits arriveront dans les rayons en septembre 2018. Gageons que la force de frappe du groupe permettra de mettre fortement en avant cette nouvelle marque. Et l'hygiène-beauté bio devrait continuer à avoir une croissance à deux chiffres en GMS au second semestre.

     

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    [#CONSOLAB] [INDUSTRIE] | L’#industrie #mondiale des #cosmétiques doit faire face au #défi du #numérique, mais le contexte est #porteur | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE XERFI | PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2kBwhOD

    L’#industrie #mondiale des #cosmétiques doit faire face au #défi du #numérique, mais le contexte est #porteur

    Selon la récente étude publiée par Xerfi Global, l’industrie mondiale des parfums et cosmétiques a connu une solide croissance au cours des dernières années. Son chiffre d’affaires a ainsi progressé de 4% par an en moyenne entre 2013 et 2017, dépassant les 300 milliards d’euros.

    La vigueur de ce secteur se voit également dans les bénéfices réalisés, la plupart des leaders ayant enregistré des taux de marge à deux chiffres sur la période 2013-2017.

    Pour la société d’études de marchés et d’analyses économiques, plusieurs facteurs ont permis aux entreprises de traverser la période d’après-crise assez sereinement. Nombre d’entre eux resteront d’ailleurs des moteurs de croissance dans les années à venir.

    Économies émergentes

    Le dynamisme des économies émergentes arrive en tête des explications. En effet, la simple taille de leurs populations conjuguée à la hausse des revenus font que ces marchés restent très lucratifs, malgré le ralentissement actuel.

    Deuxième moteur de croissance, « l’effet rouge à lèvres » dont bénéficie le segment des parfums et cosmétiques. Cela signifie qu’en période de crise, les consommateurs s’accordent encore quelques dépenses en produits de beauté en faisant des économies sur d’autres postes, protégeant partiellement le marché des fluctuations conjoncturelles. Par ailleurs, la demande est sans cesse stimulée par l’innovation ce qui permet de renouveler l’offre.

    Les segments de niche, comme les cosmétiques pour hommes, les cosmétiques naturelles ou encore les « cosméceutiques », bénéficient pour leur part d’un véritable engouement. « Et ils continueront d’afficher une croissance forte à l’avenir, » affirme Xerfi.

    Dans de nombreux pays, les populations vieillissantes et dotées d’un pouvoir d’achat élevé dopent également les ventes de soins anti-âge.

    Le défi du numérique

    Enfin, la numérisation de l’économie a ouvert de nouvelles opportunités en matière de marketing et de canaux de distribution. Le numérique joue en effet un rôle de plus en plus important dans le secteur. C’est même particulièrement vrai au niveau du marketing et de l’image de marque, deux leviers qui ont d’ailleurs toujours été stratégiques pour cette industrie.

    « Les groupes de parfums et cosmétiques s’écartent ainsi progressivement des grandes campagnes médiatiques traditionnelles et se tournent davantage vers une communication multicanale plus ciblée, plus variée et plus dynamique. Une telle approche est généralement bidirectionnelle, impliquant une interaction directe ou indirecte avec les consommateurs afin de renforcer les relations clients mais aussi de collecter des données de consommateurs en vue d’améliorer la segmentation comportementale et définir des campagnes promotionnelles plus personnalisées. Néanmoins, le numérique, via les réseaux sociaux, pose des défis majeurs à cette industrie. Les clients deviennent en effet mieux renseignés et plus exigeants. Autrement dit, l’opinion des consommateurs influence de plus en plus les processus de décision d’achat… », explique Xerfi.

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    [#CONSOLAB] [TENDANCES] | #Scanner la #composition des #cosmétiques : Une tendance #impactante ! | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE KRISTEL MILET |  PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2FAOCn3

    #Scanner la #composition des #cosmétiques : Une tendance #impactante !

    Cleanbeauty, INCI Beauty, Pharmapocket, Cosmethics … les applications proposant d’analyser, de décrypter et de noter la composition des cosmétiques se multiplient. QuelCosmetic, la dernière en date sur le marché français, a été lancée en mars dernier par UFC Que choisir. Ces applications qui se fixent pour mission d’informer le consommateur sur la présence dans les formules de substances « à éviter », illustrent - à l’instar du secteur alimentaire - un contexte de crise de confiance qui impacte en partie le marché.

    Scanner, composition, cosmétiques, impactante

    L’application QuelCosmetic assure permettre au consommateur, après lecture du code barre d’un produit, de repérer les substances indésirables de plus de 6000 cosmétiques répertoriés. Financée par l’association de consommateurs UFC Que Choisir, via son fonds de dotation, et complétée de manière participative par les utilisateurs, cette nouvelle source d’informations semble, comme ses concurrentes, répondre à une attente des consommateurs. « Nous sommes dans une société qui doute de tout, des tests, des pouvoirs publics, des entreprises. Les consommateurs veulent des tiers de confiance qui peuvent leur garantir une vraie compréhension des formules et des produits », explique Gildas Bonnel, président de l’agence de communication responsable Sidièse.

    Des informations discutables ?

    La démarche fait pourtant débat quant à l’objectivité et à la scientificité des informations fournies. Bien que consciente et concernée par le besoin d’informations des consommateurs, la FEBEA - le syndicat professionnel représentant les industriels des cosmétiques - pointe du doigt les failles de ces applications.

    « Ces applications émettent des jugements qui ne reposent pas sur des données scientifiques. Cela peut être dénigrant et surtout faire croire au consommateur que le produit n’est pas sûr alors qu’il l’est », explique Anne Dux, directrice des affaires scientifiques et règlementaires.

    Un point de vue partagé par Céline Couteau, docteur en pharmacie de l’université de Nantes et auteur du blog Regard sur les Cosmétiques, qui s’efforce d’analyser les produits cosmétiques de manière globale et scientifique. « Ne nous laissons pas déstabiliser par les bruits que nous entendons ici ou là. Nous nous offrons de vous guider et de vous faire une idée claire sur les intérêts comparés de telle ou telle catégorie de cosmétiques », précise le site.

    Pour la scientifique, les informations apportées par ces applications ne reposent sur aucun fondement scientifique, ne prennent pas en compte les individualités et surtout jouent sur des peurs irrationnelles.

    « Il y a une méconnaissance du sujet, des angoisses irraisonnées concernant certains ingrédients qui pour nous, en tant que pharmaciens, sont totalement inoffensifs. De plus, ce qui convient à certaines personnes ne va pas convenir à d’autres, or l’application ne fait pas de distinguo. Ce n’est pas une bonne tactique de dénigrer sans fondement la cosmétique conventionnelle. Lorsque l’on commence à faire peur aux gens, ils finissent par avoir peur de tout », commente-t-elle.

    Un incontestable besoin de transparence

    Partant du principe que l’ignorance est la base de tous les maux et de toutes les craintes, la nécessité d’informer le consommateur pour le rassurer est la grande conclusion du phénomène. Un constat que la FEBEA et les instances européennes ont déjà anticipé.

    « Nous avons notre part de responsabilité », admet Anne Dux. « L’industrie cométique a cru que le fait d’étiqueter la composition des produits avant tous les autres secteurs, répondait de manière satisfaisante au besoin de transparence du consommateur. Mais cette liste est faite pour que le produit puisse naviguer dans le monde entier et peut surtout contenir des dénominations qui provoquent la perplexité. Il faut que l’industrie prenne note de ce besoin légitime d’information de la part du consommateur et réponde autrement à cette attente ».

    Après une expérimentation en France, la Fédération travaille actuellement avec Cosmetics Europe - son homologue européen - sur des systèmes permettant une meilleure information du consommateur à partir du scan du packaging. Lancée à grande échelle dans cinq pays européens, l’expérimentation se base sur la dématérialisation d’une information objective et complète de la composition des produits cosmétiques.

    Les marques impactées

    Bien que l’achat à partir d’applications tests ne concerne encore qu’une faible part de la population, le besoin de réassurance ne peut être ignoré au regard de la tendance à la déconsommation. « Il est impossible de dire dans quelles mesures les marques sont touchées mais il est certain que le climat actuel privilégie les produits bio et explique sûrement en partie la contraction du marché », analyse Anne Dux.

    Effectivement, d’après la dernière étude Kantar Worldpannel, le secteur hygiène beauté en France est orienté à la baisse. L’évolution des volumes passe dans le rouge à -1,5%. Le marché s’inscrit également à la baisse en valeur (-0,9 %). Un chiffre toutefois meilleur qu’en 2016, du fait d’une remontée des prix (+0,6 %). « Les gens achètent moins mais mieux, leur choix est plus qualitatif », commente Anaïs Dupuy, business development manager. Une des explications est la recherche de produits plus naturels qui passe notamment par une vigilance vis-à-vis des ingrédients qu’ils contiennent.

    « Le recul de l’hygiène beauté est lié pour 78% à la cible nature, c’est-à-dire les gens qui recherchent du naturel, qui veulent agir pour préserver l’environnement. Ils vont avoir peu d’impulsion à l’achat et vont être attentifs aux ingrédients », ajoute Anaïs Dupuy.

    Une autre façon pour le consommateur d’exprimer son besoin de confiance !

     

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    [#CONSOLAB] [COSMETIQUES] | #Nocibé se lance sur le #marché des #cosmétiques #naturels | @FASHIONNETWORK

    DE SARAH AHSSEN | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2q0BD8w

    #Nocibé se lance sur le #marché des #cosmétiques #naturels

    Nocibé poursuit le développement de son offre propre en lançant Naturals, sa première gamme de soins composée à 90 % et plus d’ingrédients naturels. Disponible dans les magasins de l’enseigne de parfumerie sélective à compter du mois d’avril, cette ligne de plus de 30 références conçues autour de cinq actifs naturels - la rose, l’argile, l’eau de coco, le moringa et l’extrait d’amande - se décline notamment en huile de douche (12,95 euros), gelée exfoliante, mousse de rasage, huile démaquillante ou encore sérum booster d’éclat (19,95 euros).

    Positionnée sur le segment dynamique de la cosmétique naturelle, cette nouvelle gamme vise à élargir la clientèle de l’enseigne française en séduisant des consommateurs de plus en plus sensibles à la composition des produits. Naturals by Nocibé renforce également l’offre propre de Nocibé, une offre que la filiale du groupe allemand Douglas développe depuis 2012 et qui compte aujourd’hui près de 1 400 références : du maquillage aux soins du visage et du corps en passant par les produits pour le bain et la douche.

    Il y a quatre ans, Nocibé a même lancé un concept de magasin dédié à son offre propre, avec en complément divers services proposés (pose de vernis, maquillage des yeux). Baptisé Les Bellista by Nocibé, ce concept ne compte cependant aujourd’hui que deux unités.

    Nocibé, qui a récemment inauguré un flagship parisien dans le quartier de L’Opéra, dispose de plus de 600 points de vente, essentiellement implantés en régions (succursales et franchisés). L’enseigne réalise aujourd’hui près d’un milliard d’euros de chiffre d’affaires.