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    [#CONSOLAB] [ALLIANCE] | #Starbucks s'allie à #Alibaba pour contrer #Luckin, son rival en #Chine | @LUSINEDIGITALE

    DE FLORIANE LECLERC | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2n6u3In

    #Starbucks s'allie à #Alibaba pour contrer #Luckin, son rival en #Chine

    Starbucks s'est allié au géant du commerce électronique Alibaba afin d'accélérer sa digitalisation et contrer son nouveau rival chinois Luckin. Désormais, ses clients pourront commander leur café en ligne via l'application Ele.me.

    La  chaîne de café Starbucks s’est rapprochée du géant du commerce électronique Alibaba afin d’accroître sa présence sur le territoire chinois, où le marché du café est en pleine expansion. “Notre partenariat avec Alibaba doit remodeler notre stratégie Retail et représente un pas en avant dans notre volonté de satisfaire les consommateurs chinois”, a déclaré Kevin Johnson, président et CEO de Starbucks, ce jeudi 2 août dans un communiqué.

    Il s’agit pour la marque à la sirène de tripler son chiffre d’affaire en Chine d’ici 2022. Et de contrer son nouveau rival local, Luckin. La jeune société, qui s’est lancée en janvier avec deux magasins, a depuis ouvert près de 800 cafés dans le pays en un an à peine. Et n’a pas caché, cette semaine, sa volonté de grignoter les parts de marchés du géant vert, rappelle le New-York Times.

    Les cafés livrés par un coursier en scooter électrique

    Longtemps critiquée pour son manque d’adaptation aux habitudes des consommateurs chinois, en demande de services plus digitalisés, la société s’apprête donc à passer un cap. Dès septembre, ses clients pourront commander leur boisson en un clic sur l’application Ele.me, l'unité de livraison de repas acquise par Alibaba en avril dernier, et se le faire livrer par un coursier en scooter électrique. Dans un premier temps, 150 établissements fourniront ce service à Pékin et Shanghaï, les villes stratégiques. A terme, la chaîne de café souhaite étendre le concept à 2 000 cafés dans une trentaine de villes d’ici la fin de l’année, dévoile le communiqué.

    De nouveaux points de livraisons

    Pour doper son déploiement et accroître sa visibilité, Starbucks va également installer des points de livraison dans les magasins Hema du groupe Alibaba, déjà équipés des infrastructures adequates. Les premiers magasins à assurer ce service seront ceux de Shanghai et Hangzhou.

    A terme, c’est une plateforme unique, omnicanale, que le groupe américain entend bâtir. “Ce partenariat digital avec Alibaba doit nous permettre de développer un portail virtuel unique, capable d’intégrer tous les services proposés par Starbucks et de les mettre à disposition de nos clients à travers des canaux multiples”, explique la société dans le communiqué.

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    [#CONSOLAB] [ENGAGEMENT] | #UE : #Amazon, #Alibaba, #Rakuten et #eBay vont accélérer le #retrait des #produits #dangereux | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2txwUxp

    #UE : #Amazon, #Alibaba, #Rakuten et #eBay vont accélérer le #retrait des #produits #dangereux

    Les quatre grandes plateforme d'e-commerce se sont engagées auprès de la Commission européenne à raccourcir les délais de traitement des demandes de retrait de ces articles effectuées par les pays membres et les consommateurs.

    Quatre géants de l'e-commerce, les américains Amazon et eBay, le chinois Alibaba et la branche française du japonais Rakuten se sont engagés auprès de la Commission européenne à retirer rapidement les produits dangereux commercialisés sur leurs plateformes, en propre ou par des marchands tiers. Concrètement, ils disposeront d'un délai de deux jours pour répondre aux notifications relatives à ces produits publiées par les autorités des États membres et de cinq jours pour prendre des mesures concernant les articles signalés par des consommateurs. Ces derniers disposeront dès l'application de cet accord d'un moyen clair de signaler ces marchandises sur ces quatre sites.

    D'autres plateformes appelées à se joindre à cette initiative

    Rakuten France, Alibaba, Amazon et eBay formeront désormais les vendeurs tiers qui commercialisent des articles sur leurs sites sur ces questions et leur imposeront de se conformer à la législation. Pour l'instant, les mesures concrètes que prendront les quatre géants pour y parvenir n'ont pas été détaillées, mais on peut imaginer qu'ils fermeront les boutiques en ligne des entreprises qui ne respecteront pas la réglementation européenne. Les e-commerçants se sont également engagés à prévenir la réapparition de ces marchandises sur leur plateforme.

     
    Les clients "devraient disposer de la même sécurité lorsqu'ils effectuent des achats en ligne que lorsqu'ils font leurs achats dans un magasin", souligne Vera Jourová, commissaire européenne chargée de la justice, des consommateurs et de l'égalité des genres dans un communiqué. "J'appelle également les autres marchés en ligne à se joindre à cette initiative, afin qu'internet devienne un espace plus sûr pour les consommateurs de l'UE", poursuit-elle.

     

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Alibaba va ouvrir un #centre de #distribution #européen à #Liège | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2HbHIoX

    #Alibaba va ouvrir un #centre de #distribution #européen à #Liège

    Alibaba est en train de conclure ses négociations avec le gouvernement wallon sur l'implantation d'un entrepôt de plusieurs hectares près de l'aéroport de Liège, qu'il vient par ailleurs de désigner comme son futur hub aérien pour desservir l'Europe.

    Le premier e-commerçant de la planète s'apprête à renforcer d'un coup ses capacités logistiques en Europe. Le chinois Alibaba va mettre en service un "gigantesque centre de distribution et de logistique sur une zone de plusieurs hectares située au nord du site de l'aéroport de Liège", révèle en effet L'Echo. Hier 31 mai, le ministre wallon de l'Economie, Pierre-Yves Jeholet, a confirmé à la presse : "Les négociations sont en cours. […] Cela pourrait aller assez vite." Il se réjouit également que cet investissement permette de créer "plusieurs centaines d'emplois, voire plus d'un millier à terme".

    En outre, hier toujours, le bras logistique d'Alibaba, Cainiao Smart Logistics Network, a indiqué avoir choisi l'aéroport de Liège comme centre européen de son réseau international. Outre Liège, Cainiao créera des hubs logistiques à Moscou, Kuala Lumpur et Dubai, de manière à pouvoir livrer n'importe où dans les 72 heures. L'aéroport de Liège, retenu pour "ses atouts de localisation optimale en Europe, son ouverture 24h/24 et 7 jours sur 7 et sa connectivité avec les autres continents" selon son patron Luc Partoune, accueille déjà les expéditions de Cainiao vers l'Europe. Mais l'établissement de ce nouveau hub va démultiplier les volumes acheminés.

    Quant au centre de distribution liégeois qui devrait voir le jour à côté de l'aéroport, il a, selon nos informations, vocation à héberger aussi bien des flux de l'Europe vers la Chine - des marques européennes qui vendent sur Tmall - que des flux de la Chine vers l'Europe - des marchands chinois qui vendent sur Aliexpress.

     
    Alimenter l'ascension d'Aliexpress

    Selon nos estimations, Aliexpress dépassait déjà les 200 millions d'euros de volume d'affaires en France en 2016. Lancé en 2010 par Alibaba pour permettre aux vendeurs chinois de commercialiser à l’étranger leurs produits à prix de gros, le site fait un carton en particulier sur le high-tech, la mode et les catégories grand import. Déjà dans le top 3 de l’e-commerce espagnol, russe et brésilien mais longtemps resté sous le radar dans l’Hexagone, il est maintenant la bête noire des e-commerçants français, des petits vendeurs concurrencés par cette offre à bas prix aux plus grandes marketplaces, qui ont également entrepris de recruter par milliers des vendeurs chinois… et réfléchissent aujourd'hui à stocker leurs best-sellers en France pour raccourcir les délais de livraison.

    Leur inquiétude ne peut aujourd'hui que s'accroître. Maintenant qu'Aliexpress va disposer de capacités logistiques accrues, il va aussi pouvoir commencer à actionner divers leviers marketing, ce qu'il n'avait quasiment pas fait jusqu'ici.

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Distribution #physique : #Alibaba, #géant du #e-commerce, poursuit son #offensive | @LATRIBUNE

    DE LA TRIBUNE | http://bit.ly/2BB6f7I

    #Distribution #physique : #Alibaba, #géant du #e-commerce, poursuit son #offensive

    Le mastodonte chinois des ventes en ligne vient d'annoncer une prise de participation dans la chaîne d'ameublement Beijing Easyhome Furnishing. Cette opération est loin d'être un cas isolé. Grâce à la récolte massive de données sur ses plateformes, Alibaba veut développer des services personnalisés dans les magasins physiques.

    Alibaba fait les yeux doux au commerce traditionnel. Le numéro un chinois de la vente en ligne a annoncé dimanche prendre une participation de 15% dans Beijing Easyhome Furnishing - une chaîne de magasins de meubles, d'objets d'intérieur et de matériaux de construction. Le géant du web chinois va y investir quelque 5,45 milliards de yuans (706 millions d'euros), a-t-il précisé dans un communiqué.

    Easyhome, fondé en 1999, détient 223 magasins en Chine. La chaîne, basée à Pékin, a réalisé l'an dernier un chiffre d'affaires d'environ 7,8 milliards d'euros environ. Avec 580 millions d'utilisateurs actifs par mois, le groupe du milliardaire Jack Ma entend s'appuyer sur sa vaste collecte de données en ligne pour aider Easyhome à améliorer sa gestion des stocks et sa logistique. L'objectif : mieux s'adapter aux fluctuations de la demande.

    "Les magasins physiques sont incontournables"
    Alibaba confirme sa stratégie "new retail" - une combinaison de distribution physique et commerce en ligne pour "offrir une expérience ininterrompue" aux clients. Face à une concurrence de plus en plus acérée dans l'e-commerce, le groupe s'efforce de multiplier les interactions entre ses plateformes de vente en ligne et des magasins en dur traditionnels. Il a ainsi dévoilé en novembre un investissement de 2,44 milliards d'euros dans Sun Art Retail Group, l'un des principaux exploitants d'hypermarchés en Chine, dont le distributeur français Auchan possède plus du tiers du capital.

    "Les magasins physiques sont incontournables dans le parcours de courses des consommateurs. A l'ère du digital, ils doivent être enrichis par des services personnalisés, grâce aux nouvelles technologies de traitement des données", avait souligné à l'éqoque Daniel Zhang, directeur général d'Alibaba Group.
    Sur la piste d'Amazon
    Ce n'est pas tout. Le géant de Hangzhou (est de la Chine), qui a par ailleurs racheté 20% du distributeur chinois d'électroménager Suning, a également lancé sa propre chaîne de supermarchés hyper-connectés, Hema, spécialisée dans les produits frais et qui comptait 25 antennes fin décembre. Une stratégie semblable à celle adoptée par son rival américain, Amazon - dont la dernière opération en date est le le rachat de l'enseigne bio américaine, Whole Foods, finalisé fin août. En déboursant 13,7 milliards de dollars (11,6 milliards d'euros), Amazon a signé sa plus grosse opération jamais réalisée - mais aussi son offensive la plus importante dans la distribution physique.

    Alibaba, toujours tiré par ses ventes en ligne
    Si Alibaba a largement diversifié ses activités, l'écrasante majorité (88%) vient cependant toujours de ses plateformes de commerce en ligne, Taobao et Tmall au premier plan. Il faut dire que le e-commerce est très développé en Chine. "En moyenne, les utilisateurs chinois passent 30 minutes par jour sur Taobao, souligne une étude de BCG publiée en mai 2017.C'est presque trois fois plus long que le temps passé en moyenne par un utilisateur américain sur Amazon." Selon le Bureau national des statistiques de la Chine, les consommateurs chinois ont dépensé 750 milliards de dollars en ligne en 2016 - soit plus que les États-Unis et le Royaume-Uni combinés.

    Au dernier trimestre 2017, Alibaba a annoncé un chiffre d'affaires de 12,76 milliards de dollars (+56%) - dont 11,26 milliards de dollars réalisés grâce à la vente au détail. Le mastodonte chinois, dont la capitalisation boursière dépasse les 500 milliards de dollars, a été dopé par la "Fête des célibataires", le 11 novembre. Durant cette journée de soldes monstres, le groupe a enregistré en 24 heures quelque 25 milliards de dollars de transactions sur ses plateformes.

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    [#CONSOLAB] [MAGASIN] | #Tmall Supermart : l’#anti-#Amazon #Go développé par #Alibaba | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2i2aVwj

    #Tmall Supermart : l’#anti-#Amazon #Go développé par #Alibaba

    Le géant chinois de l’e-commerce a présenté pour la première fois à Shanghai lors de son global Shopping Festival, le 11 novembre dernier, un prototype de magasin sans caisses.

    Le supermarché sans caisses Amazon Go a fait couler beaucoup d’encre, notamment pour sa capacité à réinventer -et fluidifier- l’expérience client en point de vente. En proie à quelques problèmes techniques à ses débuts, le concept développé par Amazon pourrait bien être sur le point d’être déployé plus largement, selon toute vraisemblance, les difficultés rencontrées au sein du magasin ayant depuis été résolues. Bientôt, ce pourrait être un autre géant du Web qui pourrait faire parler de lui pour les mêmes raisons : le Chinois Alibaba. Ne cessant de répéter qu’elle est une entreprise de technologie bien plus qu’un professionnel de l’e-commerce, Alibaba a récemment apporté un peu plus d’eau à son moulin avec la présentation, le 11 novembre dernier, d’un prototype de magasin sans caisses baptisé « Tmall Supermart ».

    Le concept a été mis en avant à l’occasion de son Global Shopping Festival, aux journalistes qui avaient fait le déplacement pour couvrir cet événement commercial unique en Chine. Alibaba avait ainsi prévu un espace au sein duquel se trouvaient une sélection de technologies ‘phygitales’ qu’il développe, bien souvent, conjointement avec des grandes marques comme Maybelline. « Tmall Supermart » trônait ainsi aux côtés de miroirs intelligents, cabines virtuelles d’essayage et autres distributeurs automatiques bourrés de technologies. Si le groupe chinois ne communique que très peu pour le moment sur ce prototype, il se pourrait bien que ce soit en raison du fait qu’il n’est pas complètement abouti, un employé du groupe nous ayant confié qu’il restait quelques améliorations à apporter afin que technologiquement il soit complètement au point.

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    Du reste, en l’état, il est tout à fait prometteur. En effet, tout comme Amazon Go, lorsque le client entre sur le point de vente, il est tenu de s’identifier avec son smartphone en scannant un QR Code (photo ci-contre), ainsi, le système fait immédiatement le lien avec le compte de l’application de paiement Alipay du client. Une fois à l’intérieur, et de manière très classique, le client se sert librement des articles dont il a besoin. Détail amusant, certains produits, que le commerçant a le loisir de sélectionner à sa convenance, peuvent être équipés d’une caméra capable de décrypter l’humeur du client, et relié au prix du produit affiché sur son étiquette électronique. Ainsi, lorsque le client sourit au produit, le prix de ce dernier baisse. Et plus le sourire est grand, plus le rabais appliqué est important. Alibaba a baptisé cette technologie (gadget ?), «emotional promotion».

    La première différence avec Amazon Go, Alibaba ne précise pas de quelle manière les articles sont ajoutés à son panier virtuel. Du côté d’Amazon Go, ils sont ajoutés au fur et à mesure du picking grâce la technologie « Just Walk Out » reposant sur l’utilisation de caméras et de capteurs permettant de tracker le client dans le point de vente, et de connaitre les produits qu’il prend en rayons. Dans le Tmall Supermart, il se pourrait que les clients n’aient qu’à scanner un QR Code apposé près des produits pour que ceux-ci s’ajoutent à leur panier, un peu à la manière de ce que l’entreprise propose déjà dans ses points de vente Hema Fresh. Une fois que le client a effectué toutes ses courses, il se dirige à la sortie, et tandis qu’Amazon Go permet au client de prendre la poudre d’escampette sans avoir besoin de rien faire – le paiement est automatique sur son application Amazon Go-, le Tmall Supermart prévoit un sas au sein duquel le client fait une pause de quelques secondes pour que la technologie de reconnaissance faciale – dont l’enseigne KFC en Chine s’est équipée dernièrement - développée par Alibaba identifie le client, l’associe à son compte Alipay, et procède au paiement automatiquement. C’est donc à cette étape que la différence est la plus nette avec le concept Amazon Go se fait ressentir. Le Tmall Supermart ne parvenant pas complètement à s’affranchir de l’étape du paiement. Dans une certaine mesure, il se contente de la lisser un peu plus qu’un classique passage en caisses.

    Pour l’heure, Alibaba ne communique pas sur les ambitions qu’il nourrit pour ce Tmall Supermart. Il pourrait aussi bien en déployer des dizaines (centaines, milliers ?) aux couleurs de sa place de marché Tmall, que le commercialiser auprès de marques par exemple ou de distributeurs. Il est désormais de notoriété publique que parmi les chevaux de bataille du groupe, aider les marques et les distributeurs à améliorer leurs performances digitales dans le physique, est devenu un axe majeur de la stratégie retail d’Alibaba.

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    [#CONSOLAB] [ASSOCIATION] | #Auchan et #Alibaba s’associent dans la #distribution en #Chine |@LEMONDE

    DE AFP ET REUTERS | LE MONDE | http://lemde.fr/2zlJsNr

    #Auchan et #Alibaba s’associent dans la #distribution en #Chine


    L’alliance vise à combiner l’expertise des deux entreprises dans le commerce traditionnel et la vente en ligne.

    Le groupe de grande distribution français Auchan va s’allier au géant chinois du commerce électronique Alibaba pour développer le commerce physique et numérique en Chine, ont annoncé les deux distributeurs lundi 20 novembre dans un communiqué commun. Aux termes de leur alliance, Alibaba, propriété du multimilliardaire Jack Ma, va investir 2,44 milliards d’euros dans Sun Art Retail Group, l’un des principaux exploitants d’hypermarchés en Chine, dont Auchan possède plus du tiers du capital.

    L’alliance vise à combiner l’expertise des deux entreprises dans le commerce traditionnel et la vente en ligne, selon le communiqué. « La nouvelle alliance permettra à l’ensemble des activités de Sun Art de bénéficier de l’écosystème digital d’Alibaba », expliquent-elles.

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    Alibaba va prendre 36,16 % du capital de Sun Art, soit une part très légèrement inférieure à celle d’Auchan, qui en détient 36,18 % via sa filiale Auchan Retail. Alibaba rachète en fait les parts du partenaire taïwanais d’Auchan, Ruentex, qui ne conservera que 4,67 % du capital.

    Cette alliance s’inscrit dans la stratégie d’Alibaba, qui a commencé à se rapprocher avec des chaînes de magasins en dur, du spécialiste de l’électroménager Suning au géant de la distribution Shanghai Bailian.

    Le groupe chinois a ainsi lancé une chaîne de supérettes hyperconnectées, Hema, dans lesquelles les consommateurs scannent et paient leurs achats sans aucune assistance extérieure. Sun Art exploite aussi déjà le même type de magasins de proximité ainsi que des supermarchés sous la marque Auchan Minute.

    La filiale chinoise d’Auchan se présente comme le leader de la distribution alimentaire physique en Chine, pays où le commerce en ligne a pris une position considérable, largement grâce à la puissance d’Alibaba. Sous ses enseignes Auchan et RT-Mart, Sun Art exploite 490 magasins en Chine et emploie 140 000 employés, selon le communiqué.