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    [#CONSOLAB] [ENSEIGNE] | L'#Inde, nouvel eldorado des #enseignes #étrangères | @LESECHOS

    DE ANTOINE BOUDET | LES ECHOS | http://bit.ly/2KE4d7W

    L'#Inde, nouvel eldorado des #enseignes #étrangères

    Depuis l'an dernier, le sous-continent serait devenu la première destination, devant la Chine, pour les groupes de distribution étrangers. Ikea y ouvre ce jeudi son premier magasin.

    Fin juillet, Sephora a ouvert son cinquième magasin à Bombay, et le 17e en Inde, où l'enseigne française de cosmétiques et produits de beauté français est déjà présente dans les principales villes. « Nous avons commencé notre aventure dans les grands centres urbains qui constituent 60 % de notre business », précise Vivek Bali, chargé de l'opérationnel pour la chaîne. Et, poursuit-il, « à partir de cette année, Sephora se développera davantage dans les villes de second rang ». Avec une croissance à deux chiffres, la filiale du groupe LVMH envisage d'ouvrir de 8 à 10 magasins par an.

    Deuxième vague d'enseignes

    Depuis une dizaine d'années, les centres commerciaux, ou « malls », se sont multipliés en Inde et, avec eux, leur cortège de marques étrangères. Parmi elles, Decathlon , Zara, H&M, Gant, Benetton et bien d'autres encore. « Une première vague est arrivée il y a dix ans environ », rappelle Gaurav Marya, président de Franchise India Holdings, et « s'en ajoute désormais une deuxième, avec des enseignes moins importantes que les premières. » Selon ses recensements, plus de 50 enseignes internationales de ce calibre prévoiraient d'investir dans le pays entre 300 et 500 millions de dollars au total.

    Parmi elles, se retrouvent des marques aussi diverses que Korres et Migato, groupes de cosmétique naturel et de mode grecs, ou Evisu, une société de confection japonaise spécialisée dans le denim. La majorité est néanmoins constituée d'enseignes américaines - Texas Chicken et Doc Popcorn, par exemple -, et singapouriennes, comme Lush Addiction dans le bijou.

    Des facteurs porteurs

    Cette frénésie d'ouvertures pourrait se traduire, selon la Fédération indienne des chambres de commerce et d'industrie, par un doublement du poids du secteur du commerce de détail d'ici à 2020. En 2015, il était estimé à 630 milliards de dollars. Une évolution portée par quatre principaux facteurs : la hausse des dépenses de consommation, la pénétration de l'Internet et des smartphones, l'introduction de la TVA unique, et depuis peu le climat plus favorable à l'investissement étranger.

    Au départ hostile à la grande distribution internationale, sujet sensible politiquement , le gouvernement Modi, installé en 2014, n'a cependant pas découragé les mastodontes du secteur. Bien que cantonnés au commerce de gros, Metro, Walmart et Booker sont restés sur place, et vont même être rejoints prochainement par le thaïlandais Siam Makro. Côté français, Carrefour et Auchan ont certes jeté l'éponge. Mais leur décision est loin d'être irrévocable.

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | Les #enseignes #traditionnelles débordées par les #acteurs du #low #cost, du #Web et du #sport | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2t4gmNE

    Les #enseignes #traditionnelles débordées par les #acteurs du #low #cost, du #Web et du #sport

    Le marché français de la mode cherche un nouveau souffle, c’est la conclusion que tire Kantar Worldpanel, qui diffuse les premiers résultats de son étude Référenseigne 2018, basée sur un échantillon de 12 500 consommateurs. Le volume d’affaires du secteur textile/chaussure/accessoires plafonne ainsi à 41,2 milliards d’euros sur les 12 mois, d'avril 2017 à mars 2018. Soit une progression de 0,3 % en valeur.

    Ce très léger rebond observé ne va sans doute pas durer : le premier trimestre 2018 présente un bilan en repli de 3 %, en ligne avec les données communiquées par l’IFM et Procos. D’autre part, le budget mode des clients tricolores reste stable et atteint en moyenne 823 euros par an (-0,5 %) et même 934 euros chez les 50-64 ans. Avec un achat effectué tous les 15 jours.

    On le savait, les rabais proposés par les distributeurs ne font plus autant recette. « Après les soldes, ce sont désormais les promotions qui perdent de leur superbe : seulement 1 % de croissance sur les six derniers mois contre 6 % l’année dernière », relève Kantar Worldpanel.

    Le Référenseigne 2018, qui sera publié à la rentrée, révèle en outre que le comportement d’achat des Français continue de se fragmenter. « Les enseignes traditionnelles spécialistes du prêt-à-porter comme Camaïeu, Celio ou Promod sont les plus en difficulté, attaquées par les chaînes de sport, les e-commerçants et les soldeurs. Le marché ne grossit plus, mais les acteurs y sont toujours plus nombreux : la croissance des uns se fait forcément au détriment des autres », exprime Hélène Janicaud, business unit director chez Kantar Worldpanel. Ainsi, toutes catégories confondues, les entreprises ayant montré le plus fort dynamisme entre 2014 et 2018 au rayon textile s'avèrent être Intersport, Primark, Action et Amazon.

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    Une donnée chiffrée étaie cet engouement croissant pour les prix bas et le discount : entre 2017 et 2018, les quatre acteurs qui ont vu leur nombre de clients progresser le plus côté mode sont Lidl (+5 millions), Aldi (+1,2 million), Intermarché (+0,7 million) et Carrefour (+0,7 million). Autre enseignement, 39 % des Français fréquentent aujourd’hui les solderies mode, alors qu’ils n’étaient que 33 % en 2014. « Le marché est désormais porté par des cibles en recherche de bons plans, peu impliquées et non plus par les fashion addicts ou cibles aisées », atteste l’étude. Un Français sur dix achète ainsi aujourd’hui des vêtements chez Action ou Stokomani.

    Quant au Web, l’enseignement livré par Kantar Worldpanel est qu’Amazon s’impose désormais en France comme le leader online des ventes mode/textile, supplantant de peu Vente Privée, qui se recentre davantage sur le haut de gamme. Le géant du Web Amazon intègre d'ailleurs cette année le Top 20 des enseignes (en part de marché/valeur, voir graphique).

    Enfin, les spécialistes du sport comme Decathlon ou Intersport ont gagné 6 % en valeur, rien que sur l’année écoulée. Intersport fait un vrai bond en avançant de trois rangs pour s’installer à la 2e place des plus gros acteurs du marché des enseignes mode. « Cela s’explique notamment par un engouement non démenti pour le sportswear et les sneakers, Intersport référençant de nombreuses marques et ayant basé son modèle sur la promotion et l’ajustement de l’offre selon l’implantation des magasins, ce qui fait le succès de ce modèle indépendant », analyse Hélène Janicaud. Le classement est toujours dominé par Decathlon, tandis que les Galeries Lafayette pointent à la troisième place du podium (sans La Redoute) et que E.Leclerc, Kiabi, La Halle et H&M reculent.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Picard et #Carrefour, les #enseignes les plus #actives sur #YouTube au 1er trimestre 2018 | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2jeUfym

    #Picard et #Carrefour, les #enseignes les plus #actives sur #YouTube au 1er trimestre 2018

    L’agence TubeReach réalise chaque trimestre un baromètre de vitalité afin de mesurer le dynamisme des marques sur YouTube. Du côté des enseignes de distribution (hors beauté), ce sont Picard et Carrefour qui ont été les plus actives au 1er trimestre 2018.

    Chaque trimestre, l’agence de conseil TubeReach réalise un « baromètre de vitalité » qui analyse et évalue le dynamisme de 500 chaînes YouTube françaises de grandes marques. Elle attribue à chacune un indice de vitalité calculé sur 100. A partir de ces notes, TubeReach a réalisé un classement des 10 enseignes de grande distribution (hors beauté) les plus actives. « C’est un secteur hétérogène. Après cinq bons élèves ayant des scores relativement proches et élevés, nous observons un décrochag certain et donc un potentiel de progression avéré… », commente TubeReach. Effectivement, au premier trimestre 2018, les 5 premières chaînes d’enseigne présentent des indices au-dessus de 25 sur 100. Ce sont Picard et Carrefour qui ont été les enseignes les plus actives avec, pour chacune, un score de 37. A titre de comparaison, dans le domaine de la beauté, sur la même période, Sephora a obtenu un score de 76. La grande distribution a donc encore de gros progrès à faire dans le domaine.

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    [#CONSOLAB] [ENSEIGNES] | #Enseignes de l’année : #Picard devance #Amazon, #Sephora et #Decathlon | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2C6xFDH

    #Enseignes de l’année : #Picard devance #Amazon, #Sephora et #Decathlon

    Le cabinet EY-Parthenon a dévoilé son palmarès des distributeurs plébiscités par les Français. Toutes catégories confondues, la chaîne de produits surgelés Picard remporte le titre d’enseigne de l’année 2018, devançant le géant de l’e-commerce Amazon. Le distributeur d’articles de sport Decathlon et le spécialiste de la beauté Sephora partagent la troisième marche du podium.

    Pour parvenir à constituer ce palmarès, le cabinet a interrogé plus de 8 000 consommateurs sur leur perception d’environ 150 enseignes, en se focalisant sur trois grands critères : l’offre, l’expérience en ligne et en magasin, et le service après-vente. Si Picard domine, c’est surtout grâce à la qualité de ses produits et la gentillesse des équipes, tandis qu’Amazon est reconnu pour son choix, ses prix et ses services. « Decathlon et Sephora excellent également sur les produits et le rapport qualité/prix, et ne cessent de surprendre sur l’innovation, notamment produit », indique l’étude.

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    Les e-commerçants sont globalement en retrait par rapport aux distributeurs spécialisés. « D’une manière générale, les pure players et les enseignes généralistes ont du mal à rivaliser avec les meilleurs spécialistes de chaque catégorie. Il y a cependant une exception de taille : Amazon, dans le multimédia, qui a acquis un statut de spécialiste dans cette catégorie », explique Guy-Noël Chatelin, associé EY-Parthenon.

    Des récompenses par catégorie ont également été décernées : dans le secteur mode femme, Zara a été plébiscitée, alors qu’Okaïdi et Petit Bateau sont à égalité sur le segment mode enfant. Au rayon mode multimarque, Les Galeries Lafayette occupent la première place.

    L’étude constate peu de disparités entre les générations. « Les meilleures enseignes par catégorie ratissent large et se classent généralement première tant auprès des Millennials que de leurs aînés. Les Millennials sont par ailleurs plus curieux et plébiscitent davantage les enseignes nouvelles et/ou plus accessibles comme Lush, Asos, Rituals ou Primark », nuance Julia Amsellem, associée EY-Parthenon.

    Dresser le palmarès des enseignes favorites dans l’Hexagone a décidément le vent en poupe, puisqu’il y a quelques jours, le cabinet OC&C publiait son classement des enseignes préférées des Français. Decathlon y domine Cultura et Picard.