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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Avec ses #écrans #intelligents, #Mystor-e transpose l’#expérience #e-commerce en #boutique | @L'USINEDIGITAL

    DE STÉPHANIE MUNDUBELTZ-GENDRON | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2FXiefJ

    Avec ses #écrans #intelligents, #Mystor-e transpose l’#expérience #e-commerce en #boutique

    Apporter l’expérience e-commerce au sein des magasins physiques. Pas si simple pour les distributeurs. La start-up Mystor-e a la solution. C’est qu’elle est venue présenter à New York, sur l’espace Innovation Lab du NRF Retails’Big Show 2018.

    Recommander le bon produit, à la bonne personne, au bon moment… Si le principe est désormais largement utilisé par les e-commerçants, son application est plus compliquée dans les magasins physiques. "Aujourd’hui, les retailers disposent de tout un tas de données sur les comportements d’achats. Ils l’utilisent sur leurs sites e-commerce mais rien n’est fait en magasin. C’est un vrai manque à gagner", déclare Idan Sergi, co-fondateur de Mystor-e, à L’Usine Digitale lors du NRF Retails’Big Show 2018 à New York. "Or, aux Etats-Unis, 85% des personnes qui entrent dans un magasin ressortent sans rien avoir acheté".

    Avec sa solution mixant intelligence artificielle et analyse prédictive, Mystor-e compte bien faire la différence. La start-up développe des écrans digitaux à l’intérieur des magasins, directement sur les étagères ou au cœur des rayons. Dotés d’une caméra, ces écrans sont capables de reconnaître le sexe, l’âge et le style du client qui passe devant. Les algorithmes font ensuite leur travail pour proposer les produits susceptibles de lui correspondre.

    "Nous analysons toutes les datas des distributeurs et cela calcule quel produit a la plus forte probabilité d’être acheté en fonction de la personne, de la saison et des produits disponibles", explique Idan Sergi. Ces produits s’affichent ensuite sur l’écran, ainsi que leur emplacement dans le magasin.

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    Côté back-office, la solution intègre le système de management du magasin (catalogue, état des stocks, tarifs, historique des ventes…). Toutes les données sont restituées en temps réel sur un tableau de bord pour le retailer. "Nous apportons de l’intelligence artificielle les magasins brick and mortar", résume Idan Sergi.

    Sur son stand, Mystor-e présentait une application dans une boutique de vêtement. Mais la start-up ne s’arrête pas au secteur de la mode. La solution est d’ailleurs actuellement en test aux Etats-Unis chez Value City Furniture, une enseigne de meuble appartenant à SB Capital Group, qui détient aussi American Eagle Outfitter. Elle a également décroché un contrat avec deux clients en Israël, dont un dans l’univers de la joaillerie.

    Créée en Israël en 2016, la start-up a mis plus d’un an avant de développer sa solution. "Nous avons lancé le produit il y a seulement quatre mois", indique Idan Sergi. Trop tôt donc, selon lui, pour avoir un retour pertinent sur les chiffres. Sur le pilote, en AB testing, il indique toutefois que la solution a permis de générer une progression du taux de conversion de + 15 %. "Et avec le machine learning, plus de magasins utiliseront la solution et plus elle sera intelligente", assure Idan Sergi.

    Concernant le business model, la start-up propose sa solution en mode Saas (Software as a service) avec un abonnement de l’ordre de 1000 dollars par mois pour 10 à 15 écrans.

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    [#CONSOLAB] [ENSEIGNE] | #Leroy #Merlin essaie un #troisième #modèle de #Techshop à #Station F | @LSA

    DE MAGALI PICARD | LSA | http://bit.ly/2DgIos9

    #Leroy #Merlin essaie un #troisième #modèle de #Techshop à #Station F

    Prototyper des objets, c'est possible au Techshop de Station F qui a ouvert début décembre. Avec cette troisième unité en France, Leroy Merlin poursuit son expérience de bricolage 3.0.

    Et de trois. Après Ivry-sur Seine à l'automne 2015 et Lille au printemps 2017, Leroy Merlin a ouvert début décembre un troisième Techshop en plein coeur de l'un des plus gros incubateurs de start-up en France, Station F, dans le 13ème arrondissement à Paris. Perceuses à colonnes, fraiseuses à commande numérique, imprimantes 3D : les entrepreneurs (neuses) présents sur place peuvent avoir accès à des machines qu'ils ne pourraient pas s'offrir en réalité et faire des prototypes d'objets. Atelier 3D, "la couveuse" propose par exemple une dizaine d'imprimantes ; un atelier de moulage permet de faire des mini-séries et, bientôt, des brodeuses et des machines à faire des transferts compléteront le parc de machines. "Nos clients font tous partie de l'écosystème de Station F, précise Maud Bérenger, qui dirige à la fois celui d'Ivry-sur-Seine et celui de Station F. Ils viennent deux à trois fois par semaine et nous les accompagnons sur les machines".

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    Issue d'un partenariat avec la jeune pousse américaine Techshop noué il y a deux ans, qui comprend 14 sites dans le monde, la greffe prend peu à peu en France. Depuis deux ans, Leroy Merlin, numéro un du bricolage en France avec 137 magasins et plus de 6 milliards d'euros de chiffre d'affaires, expérimente plusieurs modèles. A Ivry-sur-Seine, le Techshop est accolé à un magasin classique, ciblant ainsi les bricoleurs experts qui voudraient passer de l'un à l'autre. A Lille, il est adossé à l'Université et s'adresse aux étudiants. Ici, il vise clairement les start-up installées à Station F. Autre changement par rapport aux deux autres Techshops, des forfaits à la journée alors qu'ils étaient forcément annuels. "Nous analysons et nous apprenons, explique Maud Bérenger. Il fallait offrir plus de souplesse".

    Loin d'être profitable -Leroy Merlin parle d'un retour sur investissement d'ici cinq à dix ans-,  le modèle Techshop sert de laboratoire à Leroy Merlin pour toucher les "makers" et rajeunir, au passage, ses clients. Car ces derniers vieillissent : ils ont en moyenne 53 ans, quand celui d'un Techshop a moins de 30 ans. Ce ne sont plus seulement les clients de Leroy Merlin que Techshop veut toucher, mais aussi les entreprises. "Elles prennent une part de plus en plus importante, note Maud Bérenger, qui chiffre à 30% leur poids dans le chiffre d'affaires. Nous mettons à leur disposition un designer, un ingénieur, un ébéniste". Autant de métiers présents parmi le personnel de Techshop.

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    [#CONSOLAB] [ENSEIGNE] | #Leclerc va #lancer sa #propre #enseigne #bio | @LINEAIRES

    DE B. MERLAUD | LINEAIRES | http://bit.ly/2BcxS3s

    #Leclerc va #lancer sa #propre #enseigne #bio

    Leclerc prépare une grosse offensive sur le bio en 2018. Des adhérents piaffaient pour ouvrir des concepts spécialisés sous une enseigne à part, ils auront bientôt satisfaction. Les hypers, eux, vont accueillir des univers bio mieux travaillés et plus spectaculaires. Une info Linéaires.

    En novembre, le mouvement d'indépendants a constitué son "GT bio GSA-GSS" (pour grandes surfaces alimentaires et spécialisées). Il a dans la foulée déposé la marque "Le Village Bio". Les industriels sont démarchés (avec plus ou moins de succès) pour remplir les magasins avec des marques présentes habituellement dans les réseaux bio spécialisés. Car l'idée est bien de venir sur les plates-bandes de Biocoop et consorts, ces enseignes qui ont su développer un marché qui échappait jusqu'à présent aux distributeurs conventionnels.

    L'ambition : rien de moins qu'un parc de 200 magasins, sur des surfaces comprises entre 400 et 800 mètres carrés.

    Cela fait déjà un certain temps que l'idée a germé parmi les adhérents Leclerc. Quelques-uns, d'ailleurs, n'ont pas attendu la centrale pour prendre des initiatives. En septembre 2015, le Leclerc de Chambly (60), pionnier dans le mouvement, a ouvert un magasin "Le Temps du Bio" à l'autre bout de son parking, sur 300 mètres carrés.

    En juin 2016, l'adhérent de Nice Saint-Isidore (06) a inauguré un original "E.Leclerc Bio et Italien". Un vrai hyper de 3800 mètres carrés, étrangement partagé entre deux vocations qui n'ont guère en commun que le pouvoir d'achat de leurs consommateurs.

    Leclerc-Bio-Italien-2.jpg

    Depuis l'automne 2017, le tempo s'accélère. En septembre, c'est le Leclerc de Nancy Saint-Georges (54) qui ouvre dans sa galerie un magasin "Ma Boutique Bio". En octobre, un point de vente "La Bio Culture" de 300 mètres carrés fait son apparition à proximité du Leclerc d'Hauconcourt (57).

    En décembre, le Leclerc de Saint-Paul-lès-Romans (26) ouvre à son tour, dans sa galerie, une petite surface baptisée... "Le Village Bio". Pas encore un concept validé par le GT bio, mais l'agencement est bien léché quand même (Linéaires l'a visité).

    A Romilly (10), l'adhérent local porte un projet sur une cellule de 400 mètres carrés. Le 17 janvier, également, un petit magasin bio de 450 mètres carrés ouvrira ses portes en solo à Fontaine-lès-Dijon (21). Accolé cette fois à un Picard sur un axe passant, à 3 kilomètres du Leclerc de Dijon.

    Leclerc n'est pas le seul distributeur à s'intéresser au business des enseignes bio spécialisées. Les Mousquetaires viennent d'annoncer une prise de participation minoritaire au capital des Comptoirs de la bio. Cette association avec l'un des premiers réseaux spécialistes du bio en France, lui-même groupement d'indépendants, va permettre aux adhérents Intermarché d'ouvrir des petits supermarchés bio.

    Casino, de son côté, ouvre à tour de bras des magasins Naturalia (151 points de vente à fin septembre, soit un parc multiplié par trois depuis 2011). Auchan, qui vient d'inaugurer son premier magasin Auchan Bio, n'est pas prêt à renoncer à Cœur de Nature, un concept bio spécialisé qu'il avait testé avant de mettre en œuvre sa stratégie de convergence d'enseigne (deux magasins en exploitation). Et Carrefour, de même, envisage d'ouvrir des points de vente Greenweez, du nom du site spécialisé qu'il a racheté, en complément de son réseau Carrefour Bio.

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    [#CONSOLAB] [LANCEMENT] | #Nintendo annonce Nintendo #Labo, une gamme de #jouets en #carton à #construire pour #Switch | @LEMONDE

    DE LE MONDE | http://lemde.fr/2FQxgnr

    #Nintendo annonce Nintendo #Labo, une gamme de #jouets en #carton à #construire pour #Switch

    Avec cette nouveauté destinée au public des enfants et des bricolos, le constructeur japonais mise sur la carte du « do-it-yourself » et du jeu tangible.

    Pixels et carton, une rencontre inattendue. Nintendo, le célèbre constructeur de consoles, a annoncé mercredi 17 janvier dans la soirée un nouveau concept d’accessoires de jeu vidéo basé sur la construction, Nintendo Labo. Ils se composent de planches pliables pour former des objets basiques dans lesquels insérer la console Switch et ses manettes pour jouer à des mini-jeux dédiés.

    Les planches de carton à plier, surnommées Toy-Con, peuvent s’utiliser de manière créative avec les manettes de la Switch pour donner naissance à n’importe quel type d’accessoire, promet le constructeur. Il invite les utilisateurs à personnaliser ses créations avec des stickers coloriables ou encore des bandes de Scotch.

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    Nintendo Labo sera lancé le 27 avril sous la forme de deux modèles, Variety Kit et Robot Kit. Le premier contient le matériel pour construire une maison, une voiture télécommandée, un piano ou encore une moto, et les cartouches de jeux compatibles avec chaque transformation. Le second intègre le matériel pour se fabriquer une sorte de sac à dos-exosquelette en carton, et un jeu de robot. Ils devraient coûter entre soixante et quatre-vingt euros.

    Alors que l’industrie ne parle que de réalité virtuelle et de 4K depuis deux ans, le numéro 1 historique du jeu vidéo, par ailleurs ancienne campagnie de jouets, confirme une nouvelle fois sa propension à prendre le contre-pied des tendances. Nintendo Labo s’inscrit toutefois dans la continuité de deux phénomènes du début des années 2010, le jeu de construction Minecraft et ses créations abondamment partagées en ligne, et les jouets vidéo Skylanders, Disney Infinity puis Amiibo, qui avaient déjà tendu un pont entre jouet physique et jeu vidéo.

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    [#CONSOLAB] [NUMERIQUE] | #Cosmétiques et #aliments #naturels et #bio entrent dans l’#ère du #numérique |@PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2mQw8rf

    #Cosmétiques et #aliments #naturels et #bio entrent dans l’#ère du #numérique

    Alors que la distribution évolue vers des systèmes de vente en ligne et de livraison à domicile, le marché des produits biologiques et durables entre dans une nouvelle phase de croissance, selon Ecovia Intelligence (ex Organic Monitor).

    Selon la société d’études de marché, l’achat par Amazon de Whole Foods Market marque le début de la nouvelle ère. « Les aliments durables et les cosmétiques naturels ont été initialement lancés dans les détaillants de produits naturels et de santé, puis au cours des deux dernières décennies leur distribution s’est étendue à la grande distribution. La prochaine vague de croissance devrait provenir des applications mobiles liées aux services de livraison », constate Ecovia Intelligence.

    Avec l’utilisation omniprésente des appareils mobiles et l’influence grandissante de la génération Y, la prochaine phase de croissance pour les produits durables sera probablement la vente en ligne. Selon Ecovia, une grande part de demande de produits biologiques et durables provient des Millennials. Ils sont les acheteurs d’aliments biologiques dont la part croit le plus rapidement aux États-Unis, générant plus de la moitié des ventes. Ce sont aussi des consommateurs numériques qui achètent 40% de leurs produits d’épicerie en ligne. Par ailleurs, 58% des membres de la génération Y déclarent faire leurs achats dans un magasin par intérêt pour leurs marques propres.

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    Reste à savoir comment les marques vont se positionner sur ce marché numérique ? Whole Foods Market semble déjà prendre ses distances avec les petits producteurs, car il se concentre sur ses marques propres et les articles à fort volume. Le futur sera peut-être numérique, mais sera-t-il durable pour les petits producteurs ?

    Mais si Amazon profite de ces tendances en Amérique du Nord, Ecovia Intelligence estime que la firme aura plus de mal à se développer de la même manière en Europe. Les marchés de l’alimentation biologique et de la cosmétique naturelle sont très fragmentés en Europe, et les distributeurs détiennent les marques les plus performantes. Whole Foods Market compte seulement sept magasins au Royaume-Uni. Alors qu’il y a plus de 20 chaînes de magasins d’alimentation biologique en Europe, aucune n’a de présence régionale. Amazon devrait acquérir et intégrer plusieurs chaînes de distribution pour avoir un impact significatif sur le vieux continent.

    Ces questions seront discutées lors des prochaines éditions des sommets sur les aliments durables et les cosmétiques durables organisés par Ecovia Intelligence.

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    [#CONSOLAB] [HIGH-TECH] | #Soin de la #peau : les solutions #high-tech au #coeur de la #stratégie | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2DMxT0R

    #Soin de la #peau : les solutions #high-tech au #coeur de la #stratégie

    (Relaxnews) - Les pratiques esthétiques n'échappent pas au boom technologique. Lorsque l'on se penche sur les innovations du secteur cosmétique, il devient évident que le domaine du soin de la peau subit un relooking high-tech.

    Dermatologie numérique

    Le géant Neutrogena explore le numérique, notamment par le biais de l'appareil « SkinScanner », associé à l'application Skin360. Fonctionnant grâce à la technologie FitSkin, le SkinScanner est un outil permettant d'effectuer un diagnostic complet de la peau grâce à 12 puissantes lampes, une lentille grossissante 30 fois et une batterie de capteur ultra-précis. Du taux d'hydratation à la profondeur des rides, les infos sont transmises à l'application qui les traduit sous forme de scores. En plus d'offrir des conseils précis en fonction des résultats, l'application prévient l'utilisateur de l'évolution de la peau au fil du temps afin d'adapter les habitudes de soin.

    Des « wearables » anti-UV

    Le groupe l'Oréal a présenté un capteur UV électronique sans pile appelé « UV Sense ». L'appareil se porte sur l'ongle du pouce (jusqu'à deux semaines) et mesure l'exposition aux rayons ultraviolets. La capacité de stockage est de trois mois de données. Les adhésifs permettant de fixer le capteur sont interchangeables. Une application associée recueille les informations et envoie des alertes le cas échéant. L'Oréal a également lancé une édition limitée de l'innovant « Patch UV », lancé en 2016. Les deux technologies seront commercialisées via sa marque La Roche-Posay cette année.

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    Seconde peau

    Ce mois-ci, le groupe japonais Shiseido a annoncé l'acquisition de la technologie XPLTM « Second Skin ». Rachetée à la startup américaine Olivo Laboratories, cette « peau artificielle respirante, flexible et quasi invisible » offrirait des avantages « que ne permettaient pas les techniques cosmétiques traditionnelles et la chirurgie esthétique ». Cela ouvre un large champ de possibilités dans le domaine de la correction esthétique. « Notre transaction avec Olivo représente une étape intéressante vers la création d'une catégorie entièrement nouvelle de produits de beauté à l'échelle mondiale. Elle s'inscrit dans le cadre de notre stratégie à moyen et long terme VISION 2020 », explique Masahiko Uotani, PDG de Shiseido. « L'innovation Olivo "Second Skin" rejoindra le portefeuille de Shiseido, déjà bien rempli (technologie de personnalisation de MATCHCo, l'intelligence artificielle de Giaran et notre propre plateforme personnalisée OPTUNE) ».