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    [#CONSOLAB] [COMMUNICATION] | Quand #artistes et #influenceurs changent la #com' des marques de #sport | @FASHIONNETWORK

    DE YASSINE KHIRI | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2pDcljL

    Quand #artistes et #influenceurs changent la #com' des marques de #sport

    Paris, 26 déc 2017 (AFP) - Et si Cristiano Ronaldo et Lionel Messi, égéries respectives de Nike et Adidas, avaient des soucis à se faire? A l'image de Rihanna (Puma) ou Ariana Grande (Reebok), les équipementiers sportifs font de plus en plus appel aux artistes et autres "influenceurs" pour mettre en avant leurs produits.

    Quand Adidas réunit tous ses ambassadeurs lors d'un dîner de "créateurs", à la table il y a bien sûr les égéries "naturelles" comme l'ancien footballeur David Beckham ou le basketteur James Harden, mais aussi... des chanteurs comme Pharell Williams, des mannequins comme Karlie Kloss ou encore des créateurs de mode comme Alexander Wang!

    Pourquoi convier de tels "intrus" dans un spot publicitaire? Puisque "les vêtements de sport sont utilisés par les jeunes comme des vêtements de mode", recourir à des artistes est "une excellente occasion pour les marques d'élargir un peu leur cible et leur univers", explique à l'AFP Jean-Philippe Danglade, auteur de "Marketing des célébrités".

    Depuis le groupe hip-hop Run DMC, qui "a ouvert la boîte de Pandore" en 1986 avec sa célèbre chanson "My Adidas", on assiste même à "une vraie bataille" pour s'attacher les services de ces "immenses stars", selon lui. Au point de voir, comme chez les sportifs, certains "transferts" s'opérer d'une marque à l'autre, à l'image de Kendrick Lamar, passé récemment de Reebok à Nike.

    "C'était le mercato hivernal on va dire!", confie à l'AFP le rappeur français MHD, qui vient de lancer une collection avec Puma, après avoir collaboré avec Adidas en 2016 sur le lancement du nouveau maillot du Real Madrid.

    Outre "les valeurs de créativité" que ces artistes peuvent apporter, c'est surtout leur puissance de frappe en matière de notoriété qui attire les marques. Car si l'on compare le nombre de followers sur Instagram, Selena Gomez (131 millions) ou Rihanna (58,9 M) surpassent largement leurs "collègues" de Puma Antoine Griezmann (14,3 M), ou Usain Bolt (7,9 M).

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    Dans leurs stratégies multiformes pour toujours mieux atteindre le consommateur, les marques ont également recours, souvent pays par pays, à des "influenceurs" moins connus mais tout aussi efficaces pour peser sur le comportement d'achat.

    Pour s'offrir une paire de "Glitch", crampons Adidas au revêtement interchangeable lancé en octobre dernier via une application mobile, il faut par exemple se procurer un code uniquement accessible auprès d'une trentaine d'"influenceurs" sélectionnés par la marque : outre le joueur du PSG Presnel Kimpembe, des youtubeurs comme Jordan Dutouya ou encore des "freestylers" comme la S3 Society.

    Pourquoi ce choix ? "Je pense qu'auprès des 17-18 ans, il y a trop d'informations, trop de publicités qui leur sont destinées. Mais l'idée de connaître quelqu'un (en qui) j'ai confiance et qui me recommande quelque chose est très importante pour eux", explique à l'AFP Marc Makowski, directeur du développement commercial football chez Adidas.

    "C'est vrai ils ne sont pas des millions à me soutenir, mais avec déjà plus 20 000 je trouve que c'est un bon début ! Nous avons une vraie relation de confiance, alors quand j'ai un message à faire passer, ils sont à l'écoute", confie le youtubeur Jordan Dutouya, qui reçoit "quasi quotidiennement" des demandes de conseils de ses suiveurs "sur le choix d'un équipement ou sur l'apprentissage d'une technique".

    Et comparé aux millions d'euros pour recruter un potentiel Ballon d'Or comme Kylian Mbappé (Nike), ou un top-model comme Gisele Bündchen (Under Armour), "cela coûte beaucoup moins cher et peut avoir des résultats commerciaux qui ne sont pas négligeables", assure M. Danglade, alors qu'"une personne sur trois" réalise un achat "suite à une recommandation". Suffisant pour remplacer à terme les sportifs? "Je ne le pense pas. Cela dépend de ce que vous faites", considère M. Makowski, qui n'a pas voulu faire appel à de "grands noms" pour un produit expérimental comme "Glitch".

    "Il y a une complémentarité entre eux parce qu'ils ne sont pas liés aux mêmes cibles et mêmes objectifs marketing", souligne M. Danglade: dans certains cas, les marques ont besoin du sportif pour "amener de la légitimité -- ce qui va marcher pour un champion va marcher pour un consommateur --" tandis que les "influenceurs vont être capables d'inciter un petit peu plus à l'achat".

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    [#CONSOLAB] [POP-UP] | Pourquoi #Leboncoin ouvre-t-il un "#pop-up" du #jouet d'#occasion à Paris ?| @LSA

    DE VERONIQUE YVERNAULT | LSA | http://bit.ly/2Djf4Rs

    Pourquoi #Leboncoin ouvre-t-il un "#pop-up" du #jouet d'#occasion à Paris ?

    En face des Galeries Lafayette, sur le célèbre boulevard Haussmann de Paris, s'est ouvert le 15 décembre dernier un magasin éphémère d'un nouveau genre : un espace dédié aux jouets d'occasion et signé Leboncoin. L'occasion, pour le géant du marché de la seconde main, de mettre en avant son offre de jouets et de battre en brèche certains a prioris.

    "La fabuleuse histoire des jouets d'occasion" : telle est l'enseigne choisie par Leboncoin pour son espace éphémère inauguré le 15 décembre sur les grands boulevards parisiens. Ouvert jusqu'au 23 décembre, ce "pop-up" de 150m²  présente de nombreuses gammes de jouets vintage... mais pas seulement ! "Au-delà des seuls robots Goldorak et autres jouets de collection, les annonces de jouets d'occasion sur notre site comptent de nombreux "intemporels" comme Lego, Playmobil, Barbie et autres jouets en bois, petites voitures, jeux éducatifs et de société", explique Anne Quemin, directrice de la communication Leboncoin. Un large assortiment mis en avant ludiquement sur les deux étages du magasin éphémère : circuit de train géant, tours en briques, piscine à peluches... Tout pour s'amuser... mais pas seulement.

    Du jouet d'occasion pour Noël... et pas seulement après

    En effet, pour Leboncoin, l'ouverture de cet espace éphémère est également l'occasion de faire un peu de pédagogie et de lever certains a prioris sur le jouet de seconde main. "Il n'y a rien à vendre dans ce magasin, donc pas d'enjeu commercial : notre objectif est d'accompagner un phénomène que nous constatons depuis deux-trois ans et qui montre que l'achat d'occasion s'installe dans les habitudes des Français", reprend Anne Quemin.

    Leboncoin, pop-up, jouet, occasion

    Ainsi, le fait d'offrir un jouet d'occasion à Noël semble être de moins en moins un frein pour les consommateurs. Pour preuve, le site d'annonces a dévoilé la courbe du nombre d'annonces postées sur la catégorie jeux et jouets en 2016. Verdict : leur nombre atteint un pic en novembre avec jusqu'à 1,4 millions d'annonces sur cette période, contre 600 000 le reste de l'année. De même, c'est avant Noël que le site enregistre un pic d'audience avec près de 6 millions de visiteurs uniques contre 2,3 millions le reste de l'année. Preuve que les parents ne craignent plus désormais de glisser un "vieux" jouet sous le sapin ! Et la revente des cadeaux ? "Notre site n'enregistre pas plus de dépôts d'annonces après Noël. En revanche, nous y trouvons davantage d'objets neufs jusqu'au 15 janvier", détaille la directrice de la communication. Une manière efficace pour "corriger les erreurs et doublons du Père Noël". 

    Evolution des comportements

    Pourquoi un tel engouement pour les jouets de seconde main ? Plusieurs phénomènes expliquent cet essor selon Anne Quemin : "Outre l'envie de compléter une collection, on note aussi le développement d'autres raisons comme la volonté des parents de transmettre un jouet qu'ils ne trouvent plus dans le commerce mais aussi de donner du sens à leurs cadeaux de Noël et d'éviter le diktat du "jouet tendance". Contrairement aux idées reçues, il n'y a pas uniquement des motifs économiques, mais aussi le plaisir de trouver un jouet qui fera vraiment mouche et qui raconte une histoire."

    Les prix n'en restent pas moins attractifs. "Nos comparaisons sur certaines références, comme les bateaux Playmobil, montre des baisses de 30 à 50% par rapport au tarif des jouets neufs. Il n'y a pas de spéculation sur les prix des jouets car comme ce ne sont pas des produits tendance du moment, il n'y a pas d'effet pervers", ajoute Anne Quemin.

    Raconter et éduquer

    Si le pop-up inauguré boulevard Haussmann n'est pas le premier espace éphémère ouvert par le e-marchand, qui avait précédemment ouvert des pop-ups dédiés aux mamans dans certains magasins Auchan des Hauts de France en septembre dernier et un appartement à Paris pour Noël dernier, c'est la première fois que Leboncoin consacre un tel espace au seul jouet avec différents ateliers ludiques et pédagogiques comme la réparation et la customisation de jouets avec l'association Rejoué. Un jouet ne meurt jamais !

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Kepler, la (future) #réponse de #Walmart à #Amazon Go | @L'USINEDIGITALE

    DE JULIETTE RAYNAL | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2BVev3W

    #Kepler, la (future) #réponse de #Walmart à #Amazon Go

    Le géant américain de la grande distribution Walmart planche au sein de son incubateur sur un projet de magasin physique sans caisse basé sur des technologies de vision par ordinateur. En parallèle Walmart travaille également sur un service d'assistant shopping.

    Walmart planche sur un projet dont le but est de réinventer l'expérience shopping en magasin grâce à de nouvelles technologies comme la vision par ordinateur… Il y a comme un air de déjà vu dans cette présentation ? C'est normal. Selon les informations du site Recode, le géant américain de la grande distribution concocte une sorte de réplique d'Amazon Go, le concept de boutique connectée sans caisse imaginé par le roi du e-commerce et qui s'appuie justement sur ce type de technologies.

    UN MAGASIN SANS CAISSE

    Baptisé Project Kepler, le dispositif est en cours de développement au sein de Store No 8, l'incubateur de start-up de Walmart. Il est piloté par Mike Hanrahan, le cofondateur et ancien CTO de Jet.com, racheté 3 milliards de dollars par Walmart en août 2016.

    Une offre d'emploi d'ingénieur spécialiste de la vision par ordinateur relative à ce projet indique que le poste consiste à créer une expérience consommateur de premier ordre dans le secteur du retail physique. Par ailleurs, plusieurs sources proches du dossier auraient confirmé à Recode que l'objectif était de créer des magasins physiques qui fonctionneraient sans caisse… et donc sans file d'attente. Contacté par le site américain, un porte-parole de Walmart n'a pas souhaité commenter cette information.

    ET UN ASSISTANT SHOPPING

    En parallèle de ce projet, Walmart expérimente un service d'assistant personnel au sein de Code Eight,  une start-up de l'incubateur Store No 8 dirigée par Jennifer Fleiss, anciennement à la tête du site Rent the Runway (location de vêtements haut de gamme sur abonnement). Le service vise une clientèle urbaine et aisée (qui n'est donc pas le cœur de cible historique de Walmart). Il consiste à faire des recommandations de shopping puis à permettre l'achat via des messages texte.

    Si à première vue cette interface ressemble à un chatbot, l'assistant shopping serait en fait animé par des experts humains, précise Recode. Les clients ont aussi la possibilité de prendre en photo des produits qui les entourent pour les ajouter à leur liste de shopping. Les articles classiques de la maison sont ensuite livrés dans les 24 heures et le délai de livraison s'étend à deux jours ouvrés pour les autres types de produits. Code Eight songerait à développer ce service à travers un abonnement mais pour l'heure les premiers testeurs en bénéficient gratuitement.

    PAS DE DATE DE DÉPLOIEMENT

    Le calendrier de déploiement et d'industrialisation de ces nouveaux concepts reste inconnu pour le moment, mais le projet Kepler pourrait mettre un certain temps à voir le jour tant il repose sur des technologies complexes. D'ailleurs, le concept Amazon Go, présenté il y a plus d'un an, n'est toujours pas accessible au grand public. 

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    [#CONSOLAB] [INTERNATIONAL] | #Chine : #H&M se lance sur #Tmall | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2kYHHwE

    #Chine : #H&M se lance sur #Tmall

    En marge de la publication de résultats décevants, le groupe H&M annonce qu’elle étend son partenariat avec le géant chinois de l’e-commerce Alibaba. Déjà présente sur Tmall, sa griffe Monki va y être rejointe par les marques H&M et H&M Home.

    "Nous sommes très heureux de pouvoir rendre H&M encore plus accessible en Chine, se félicite le CEO du groupe suédois", Karl-Johan Personn. "Tmall est un complément important à nos boutiques physiques et en ligne existantes. Nous voyons un grand potentiel pour une future croissance, et Tmall en sera une part importante", a-t-il ajouté.

    Chine, Tmall, H&M

    L'arrivée des collections H&M et H&M Home sur la plate-forme de commerce en ligne chinoise devrait intervenir au printemps prochain, sans que le groupe suédois ne précise la date exacte. Celui-ci annonce également que les discussions sur l'introduction du reste de ses marques sur Tmall sont déjà "très avancées".

    Il faut remonter à 2007 pour voir le groupe suédois déployer son premier magasin en Chine, avec une adresse hongkongaise qui était d'ailleurs le premier magasin déployé dans l’est de l’Asie. Le groupe compte désormais plus de 500 adresses dans le pays. Une progression par rapport à l’exercice 2016, clos fin décembre, au sortir duquel le groupe H&M totalisait 444 magasins dans l’Empire du Milieu, avec 92 unités déployées cette année-là

    Les ventes chinoises avaient la même année représentées 1,09 milliards d’euros, en faisant le cinquième marché du groupe après l’Allemagne, les Etats-Unis, le Royaume Uni et la France. Néanmoins, la très légère progression des ventes de 2,68 %, malgré le développement rapide du réseau, pourrait être l’une des principales motivations de ce resserrement des relations avec Alibaba, qui pèse à lui-seul près de 80 % des ventes en ligne chinoise, dans un pays aux comportements d’achat singuliers.

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    [#CONSOLAB] [NUMERIQUE] | #E.Leclerc renforce son #offre de #musique #numérique avec #Qobuz | @LSA

    DE FRANCOIS LECOCQ | LSA | http://bit.ly/2DSd8Ai

    #E.Leclerc renforce son #offre de #musique #numérique avec #Qobuz

    Le distributeur a signé un partenariat avec la société spécialisée dans le streaming musical, afin de proposer aux détenteurs de la carte de fidélité E.Leclerc des offres spéciales autour de son offre de musique numérique.

    L'enseigne E.Leclerc fait un pas en avant dans le renforcement de son offre de musique numérique. Le distributeur vient en effet de signer un partenariat avec Qobuz, spécialiste du streaming musical dont la particularité est de proposer une qualité sonore de haute résolution (Hi-Res 24-bits). E.Leclerc voit en ce partenariat l’occasion de renforcer son offre numérique, tandis que l’enseigne revendique en effet réaliser plus de 20% des ventes de disques physiques en France.

    E.Leclerc, offre, musique, numérique, Qobuz

    Dans les faits, le partenariat avec le distributeur permettra aux détenteurs de la carte de fidélité E.Leclerc de disposer d’offres spéciales pour écouter de la musique en streaming à partir de 0,99 euros pour 2 mois, et pourront par ailleurs bénéficier de réductions de 10% en permanence sur les titres téléchargés, pour l’ensemble du catalogue musical de Qobuz, soit environ 40 millions de titres. Ces offres sont disponibles à la fois dans les 662 points de vente E.Leclerc ainsi que sur le site Internet de l’espace Culturel du distributeur.

    Pour Qobuz, c’est le deuxième partenariat d’ampleur signé en quelques mois puisque le service annonçait au mois de juillet dernier une collaboration du même type avec l’enseigne Cultura portant sur les 74 magasins de l’enseigne. Devenu un mode de consommation de la musique à part entière, le marché du streaming musical se partage entre quelques grands acteurs tels que Spotify, le Français Deezer, mais aussi Apple Music, Google Play Music et dans une moindre Tidal et Qobuz.

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    [#CONSOLAB] [FLAGSHIP] | #Etam et #Undiz dévoilent un #flagship #connecté sur les #Champs-Elysées | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2kYJL7M

    #Etam et #Undiz dévoilent un #flagship #connecté sur les #Champs-Elysées

    Pour la première fois, les deux enseignes du groupe Etam font boutique commune sur l’artère la plus réputée de la capitale. Le magasin de 500 mètres carrés, inauguré le 16 décembre dernier, présente deux visages – l’esprit frenchy et sexy d’Etam, et l’ADN cool et street d’Undiz -, reliés par plusieurs dispositifs connectés et ingénieux.

    Au 118 de l’avenue des Champs-Elysées, une large façade vitrée dotée d’une arche lumineuse accueille le visiteur. Etam déploie ensuite son offre sur 350 mètres carrés, mise en valeur par une série de mannequins et de nombreux visuels épinglés au mur, à la manière d’un affichage sauvage géant.

    Etam, Undiz, flagship, connecté, Champs-Elysées

    Les 150 mètres carrés consacrés à Undiz abritent le concept novateur de la marque jeune, l'« Undiz Machine » : le client choisit son produit sur une borne connectée et le réceptionne quelques instants plus tard après que celui-ci a voyagé dans une capsule du stock à la boutique, en passant par des tubes traversant l’espace de vente. Un mur social, constitué d’écrans, permet aussi à Undiz de mettre en valeur ses fans en magasin.

    Pour relier les deux griffes, une verrière centrale endosse le rôle d’espace événementiel, commune à Etam et Undiz et entièrement modulable. Un planisphère indique également leur présence dans le monde, soit 1 400 magasins dans 50 pays pour Etam et 203 boutiques réparties dans 17 pays pour Undiz.

    En cabine, des tablettes permettent à la cliente de commander une autre taille ou produit et de se le faire apporter par un vendeur. Chacun d’entre eux étant équipé d’un terminal connecté, permettant d’accéder aux demandes des clients et surtout de procéder à un encaissement mobile, épargnant donc le passage en caisse.