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    [#CONSOLAB] [MAGASIN] | #Tmall Supermart : l’#anti-#Amazon #Go développé par #Alibaba | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2i2aVwj

    #Tmall Supermart : l’#anti-#Amazon #Go développé par #Alibaba

    Le géant chinois de l’e-commerce a présenté pour la première fois à Shanghai lors de son global Shopping Festival, le 11 novembre dernier, un prototype de magasin sans caisses.

    Le supermarché sans caisses Amazon Go a fait couler beaucoup d’encre, notamment pour sa capacité à réinventer -et fluidifier- l’expérience client en point de vente. En proie à quelques problèmes techniques à ses débuts, le concept développé par Amazon pourrait bien être sur le point d’être déployé plus largement, selon toute vraisemblance, les difficultés rencontrées au sein du magasin ayant depuis été résolues. Bientôt, ce pourrait être un autre géant du Web qui pourrait faire parler de lui pour les mêmes raisons : le Chinois Alibaba. Ne cessant de répéter qu’elle est une entreprise de technologie bien plus qu’un professionnel de l’e-commerce, Alibaba a récemment apporté un peu plus d’eau à son moulin avec la présentation, le 11 novembre dernier, d’un prototype de magasin sans caisses baptisé « Tmall Supermart ».

    Le concept a été mis en avant à l’occasion de son Global Shopping Festival, aux journalistes qui avaient fait le déplacement pour couvrir cet événement commercial unique en Chine. Alibaba avait ainsi prévu un espace au sein duquel se trouvaient une sélection de technologies ‘phygitales’ qu’il développe, bien souvent, conjointement avec des grandes marques comme Maybelline. « Tmall Supermart » trônait ainsi aux côtés de miroirs intelligents, cabines virtuelles d’essayage et autres distributeurs automatiques bourrés de technologies. Si le groupe chinois ne communique que très peu pour le moment sur ce prototype, il se pourrait bien que ce soit en raison du fait qu’il n’est pas complètement abouti, un employé du groupe nous ayant confié qu’il restait quelques améliorations à apporter afin que technologiquement il soit complètement au point.

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    Du reste, en l’état, il est tout à fait prometteur. En effet, tout comme Amazon Go, lorsque le client entre sur le point de vente, il est tenu de s’identifier avec son smartphone en scannant un QR Code (photo ci-contre), ainsi, le système fait immédiatement le lien avec le compte de l’application de paiement Alipay du client. Une fois à l’intérieur, et de manière très classique, le client se sert librement des articles dont il a besoin. Détail amusant, certains produits, que le commerçant a le loisir de sélectionner à sa convenance, peuvent être équipés d’une caméra capable de décrypter l’humeur du client, et relié au prix du produit affiché sur son étiquette électronique. Ainsi, lorsque le client sourit au produit, le prix de ce dernier baisse. Et plus le sourire est grand, plus le rabais appliqué est important. Alibaba a baptisé cette technologie (gadget ?), «emotional promotion».

    La première différence avec Amazon Go, Alibaba ne précise pas de quelle manière les articles sont ajoutés à son panier virtuel. Du côté d’Amazon Go, ils sont ajoutés au fur et à mesure du picking grâce la technologie « Just Walk Out » reposant sur l’utilisation de caméras et de capteurs permettant de tracker le client dans le point de vente, et de connaitre les produits qu’il prend en rayons. Dans le Tmall Supermart, il se pourrait que les clients n’aient qu’à scanner un QR Code apposé près des produits pour que ceux-ci s’ajoutent à leur panier, un peu à la manière de ce que l’entreprise propose déjà dans ses points de vente Hema Fresh. Une fois que le client a effectué toutes ses courses, il se dirige à la sortie, et tandis qu’Amazon Go permet au client de prendre la poudre d’escampette sans avoir besoin de rien faire – le paiement est automatique sur son application Amazon Go-, le Tmall Supermart prévoit un sas au sein duquel le client fait une pause de quelques secondes pour que la technologie de reconnaissance faciale – dont l’enseigne KFC en Chine s’est équipée dernièrement - développée par Alibaba identifie le client, l’associe à son compte Alipay, et procède au paiement automatiquement. C’est donc à cette étape que la différence est la plus nette avec le concept Amazon Go se fait ressentir. Le Tmall Supermart ne parvenant pas complètement à s’affranchir de l’étape du paiement. Dans une certaine mesure, il se contente de la lisser un peu plus qu’un classique passage en caisses.

    Pour l’heure, Alibaba ne communique pas sur les ambitions qu’il nourrit pour ce Tmall Supermart. Il pourrait aussi bien en déployer des dizaines (centaines, milliers ?) aux couleurs de sa place de marché Tmall, que le commercialiser auprès de marques par exemple ou de distributeurs. Il est désormais de notoriété publique que parmi les chevaux de bataille du groupe, aider les marques et les distributeurs à améliorer leurs performances digitales dans le physique, est devenu un axe majeur de la stratégie retail d’Alibaba.

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    [#CONSOLAB] [BIO] | #Bio : la #grande #distribution s’#adapte et elle y #gagne | @LEMONDE

    DE NICOLAS LEGENDRE | LE MONDE | http://lemde.fr/2zwwU69

    #Bio : la #grande #distribution s’#adapte et elle y #gagne

    C’était le 20 juin 2017, à Roncq (Nord), à l’occasion des cinquante ans du premier hypermarché Auchan de France. A la tribune, Gérard Mulliez, fondateur du groupe, patriarche d’une des plus riches familles de l’Hexagone, évoquait la « démarche militante » de ses enseignes en faveur « du bon, mais aussi du sain et du local ». Il y a quelques années encore, une telle rhétorique semblait réservée aux activistes du bien-manger et aux pionniers du commerce de produits biologiques. Elle est désormais déclinée à l’envi par Gérard Mulliez comme par la plupart de ses homologues de la grande distribution.

    Les Système U, Carrefour, E. Leclerc et autres Mousquetaires ont tous entrepris de transformer en profondeur leur offre alimentaire. Une question de survie – de leur propre aveu – pour des poids lourds en perte de vitesse. Le chiffre d’affaires des hypermarchés, toutes enseignes confondues, stagne depuis plusieurs années. Le modèle historique (grands parkings, vastes hangars, prix cassés) s’essouffle.

    Les mastodontes du commerce en ligne grignotent constamment des parts de marché. « La grande distribution est attaquée de toutes parts, affirme Serge Michels, président de l’agence Protéines, spécialisée dans le conseil à destination des acteurs de la distribution. Ses responsables savent que la bataille des appareils photo et des ordinateurs est perdue, donc ils se recentrent sur la grande consommation, notamment l’alimentaire. »

    Mais là aussi, la concurrence s’aiguise. La croissance spectaculaire de réseaux comme Biocoop, dont le chiffre d’affaires a bondi de 25 % en 2016, en témoigne. Par ailleurs, groupements de producteurs et autres plates-formes de vente en direct, s’ils demeurent des offres « de niche », constituent autant d’alternatives au traditionnel pèlerinage entre les longs rayons. « On change d’époque, affirme Thierry Desouches, porte-parole de Système U.

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    [#CONSOLAB] [CONCEPT] | #E.Leclerc crée un #concept #store de #produits #locaux | @LSA

    DE JULIE DELVALEE | LSA | http://bit.ly/2jgsJAi

    #E.Leclerc crée un #concept #store de #produits #locaux

    L’adhérent Patrice Boutet a imaginé un magasin spécial, en dehors de son hypermarché d'Angoulême (16), pour valoriser les produits locaux dans un écrin premium. Un magasin regardé de près par d'autres adhérents de l'enseigne comme par Michel-Edouard Leclerc, qui inaugure ce soir ce point de vente atypique.

    Aucune MDD Leclerc, pas de mention de l’enseigne dans le point de vente… Pourtant, le magasin appartient bien à 100 % à Patrice Boutet, adhérent E.Leclerc à Angoulême (16). En début d’année, ce responsable s’aperçoit qu’une cellule de sa galerie marchande est vide. Qu’à cela ne tienne, en plus de rénover du sol au plafond son hypermarché, il décide de créer un magasin entièrement dédié aux produits locaux. Pour la réalisation, il contacte un partenaire privilégié des Alliances locales : Damien Kuhn, directeur de l'agence Producteurs locaux. Avec Inedit Architecture, ils créent en l’espace de trois mois un concept store très premium, baptisé « Saveurs de nos terroirs ».

    E.LECLERC, concept store, produits locaux

    Ce magasin, ouvert cet été au public, propose près de 400 références fournies par une cinquantaine de cultivateurs locaux. Le branding sur le lieu de vente valorise d'ailleurs les alliances locales-Leclerc un peu partout dans le magasin. Le centre de la surface de vente est occupée par six tables disposant des fruits et légumes de saison. Une boucherie traditionnelle joue à la fois sur des codes très premium et moderne. Une large place est également faite aux vins et à la catégorie de la crèmerie, le tout dans une coque très sobre.

    Si le magasin est déjà accessible au public, il reçoit ce soir d’autres adhérents plus qu’intéressés par ce concept, à l’heure où l’argument du local pèse lourd dans les décisions d'achats des consommateurs. Michel-Edouard Leclerc vient d’ailleurs en personne inaugurer ce "concept-store" scruté de près (photo i-dessous), qui pourrait rapidement faire des petits dans d’autres galeries marchandes E.Leclerc.

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | #Vente-privee innove dans l'#expérience d'#achat | @LESECHOS

    DE CLOTILDE BRIARD | LES ECHOS | http://bit.ly/2B5Fyot

    #Vente-privee innove dans l'#expérience d'#achat

    Le site a lancé avec l'artiste Brocken Back un clip interactif où l'Internaute se fait styliste et peut acheter les vêtements qu'il fait porter aux personnages.

    Vente-privee a l'habitude de faire parler de son site par des initiatives sortant de l'ordinaire. Dernière opération en date : son alliance avec l'artiste Broken Back donne naissance à un clip d'un genre nouveau, lancé ce mercredi 22 novembre, à l'occasion de la sortie du titre « The Sooner the better ». Lorsque la vidéo tourne sur le site www.youarethestylist.com/fr , l'Internaute a le pouvoir de modifier le cours de l'histoire_ inspirée de celle de Benjamin Button avec des héros qui rajeunissent au fil du temps_, en faisant varier les tenues des personnages. Et il peut les acheter par la même occasion.

    Vente-privée, expérience d'achat

    Toucher de nouveaux publics. S'il s'agit d'une opération spécifique, elle illustre bien les recherches que font les acteurs de la vente en ligne pour apporter de nouvelles expériences d'achat plus ludiques aux consommateurs. Et leur appétence à toucher d'autres communautés, en l'occurrence celle des fans de Broken Back.

    Ce mode particulier de commercialisation durera une dizaine de jours mais le clip sera, lui, disponible durant trois mois. De quoi donner un autre type de visibilité à Vente-privee en l'attachant au nom d'un artiste electro-folk.

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    [#CONSOLAB] [E-COMMERCE] | Les marques en #ligne se dotent d'espaces de #vente #physiques | @FASHIONNETWORK

    DE BARBARA SANTAMARIA | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2iGDzjG

    Les marques en #ligne se dotent d'espaces de #vente #physiques

    Le showrooming est la dernière tendance en date pour le secteur de la vente au détail. De plus en plus de détaillants en ligne présentent leurs produits dans des espaces physiques, face au ralentissement de la croissance des ventes en ligne.

    Plusieurs marques, comme la griffe française Sézane, qui a démarré sur eBay avant de distribuer ses produits sur son propre site d'e-commerce, ou ME+EM, l'une des marques préférées de Kate Middleton, suivent cette tendance et ouvrent des magasins physiques à Londres. Sézane a ouvert un magasin éphémère sur South Molton Street ce mois-ci, tandis que ME+EM a récemment inauguré son troisième magasin londonien à Notting Hill.

    en ligne, vente physique

    Pour ces marques, l'objectif principal n'est pas nécessairement de générer des ventes, mais plutôt de renforcer la fidélité de leurs clients. Au final, l'idée est de stimuler les ventes en ligne, selon Colliers International, cabinet de conseil canadien spécialisé dans l'immobilier commercial.

    Colliers International a étudié plus de 30 marques en ligne sur le marché Europe/Moyen-Orient/Afrique, qui ont toutes ouvert des showrooms. Selon lui, cette tendance fait suite à un léger ralentissement des ventes en ligne : le taux de croissance des ventes d'e-commerce devrait décliner de 11 % à 7 % d'ici 2021. Le « showrooming » concerne tous les types de marques, notamment celles qui étaient précédemment distribuées par des revendeurs, comme Samsung, Dyson et Volkswagen, et qui commencent à explorer la vente directe au consommateur grâce à leur propre réseau de magasins. Aux Pays-Bas, l'une des marques en ligne qui a acheté le plus d'espaces physiques est le détaillant de bicyclettes Fietsenwinkel. L'entreprise a ouvert plus de 30 salons d'exposition, où les consommateurs peuvent tester leurs produits avant de les acheter sur Internet.

    « Le taux des ventes sur Internet devrait diminuer dans les quatre prochaines années; c'est pourquoi de nombreux détaillants en ligne voient dans le principe des showrooms un remède au déclin de leurs bénéfices », explique Paul Souber, coresponsable pour la vente au détail dans la région Europe/Moyen-Orient/Afrique chez Colliers.

    « Le nombre croissant de showrooms dans des environnements de shopping "physique" permet à la fois de générer plus de ventes en ligne, d'augmenter la visibilité des marques, de promouvoir la fidélité des clients et d'offrir aux consommateurs la possibilité de voir, toucher et sentir les produits. » 

    « La tendance est aussi motivée par des considérations budgétaires. Il n'est pas rare que 40 % des commandes d'articles de mode en ligne soient retournées par les consommateurs, sans achat définitif. Ce taux est un véritable fardeau logistique, très coûteux, pour les marques en ligne. » 

    Investir des espaces physiques pour en faire des showrooms représente d'autre part un intérêt financier pour les marques. Les showrooms sont en effet souvent situés dans des zones immobilières de second ordre - et donc à faible loyer, toujours selon Colliers.

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    [#CONSOLAB] [ACHATS] | #Black #Friday et #Cyber #Monday : les #Français achèteront pour plus de #944 millions d'euros | @LSA

    DE JULIE DELVALEE | LSA | http://bit.ly/2i1wflJ

    #Black #Friday et #Cyber #Monday : les #Français achèteront pour plus de #944 millions d'euros

    Les consommateurs français dépenseront en moyenne 117,93 € durant Black Friday et Cyber Monday, selon une étude Kantar TNS pour eBay. Parmi les plus intéressés par ces promotions : les millenials ; 44% d’entre eux prévoient en effet de faire des achats durant cette période.

    La vague de promos déferlent aussi en France. Le temps fort promotionnel, qui se déroulera cete année vendredi 24 novembre 2017, gagne en visibilité : 63% des Français ont entendu parler de ce long week-end de promotions selon une enquête réalisée en ligne par Kantar TNS auprès de 2 883 Français âgées de 18 à 64 ans, du 12 au 16 octobre 2017, pour eBay. Les millenials (16-34 ans) sont les plus au fait et les plus intéressés par Black Friday et Cyber Monday (le lundi suivant le black Friday, c’est-à-dire le lundi 27 novembre 2017 pour cette année). Ils sont en effet 68% à connaitre cet événement contre 60% pour les consommateurs âgés de 35 à 64 ans.

    Black Friday, Cyber Monday, Français, 944 millions d'euros

    Les Français seront 31%, soit plus de 8 millions de personnes, à réaliser des achats à l’occasion du Black Friday et du Cyber Monday. En matière de budget, les consommateurs français devraient, au total, dépensé plus de 944 millions d'euros. Dans le détail, les foyers achèteront durant cette période pour 117,93 € en moyenne. Ils seront ainsi 77% à dépenser plus de 51€ et 42% plus de 100€. Les femmes seront plus raisonnables que les hommes puisque seulement 17% d’entre elles envisagent de dépenser plus de 100€ tandis que ces messieurs seront 27%. Les millenials seront également au rendez-vous puisqu’ils seront 44% à vouloir acheter durant ce temps fort, contre 24% des 35-64 ans.

    Si cette vague de promos plait tant, c’est aussi parce qu’elle intervient à un moment clé, un mois tout juste avant de déballer les cadeaux sous le sapin. 47% des Français achetant des cadeaux pour Noël réalisent leurs achats en novembre. Dernier enseignement de cette étude, 39% des Français se disent encore indécis au sujet de cette opération. A coup sûr, l’importance des promotions et du relai accordé à ces opérations doperont sans doute les achats d’impulsion.