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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Aldi s’implante à #Paris et #Nice et teste un nouveau #concept | @LSA

    DE MORGAN LECLERC | LSA | http://bit.ly/2z7PYDp

    #Aldi s’implante à #Paris et #Nice et teste un nouveau #concept

    Le discounter allemand ouvre coup sur coup des magasins à Paris et à Nice, ce qui constitue une petite nouveauté pour l’enseigne. En plus de s’implanter dans des grandes villes, Aldi va y déployer -et tester- un concept plus qualitatif, qui laisse imaginer une sortie prononcée du hard discount (comme Lidl depuis 2012).

    Aldi fait ses premiers pas dans les grandes villes et y teste un concept spécifique, qui pourrait préfigurer le futur visage de l’enseigne. Selon nos informations, l’enseigne, qui s’implante d’ordinaire en périphérie des villes ou en milieu rural, a ouvert un magasin Nice il y a quelques jours, boulevard Virgile Barel. Sur une surface de 1400 m², Aldi déploie un magasin ou le frais est plus présent, ou la décoration et l’ambiance sont plus travaillées, tout comme la signalétique, des sujets qui étaient jusqu’ici les parents pauvres de l’enseigne. Côté encaissement, on trouve toute la panoplie d’habitude présente dans les enseignes classiques de proximité (caisses classiques, et caisses panier ou le client réalise lui-même les opérations). LSA vous proposera très prochainement une visite en photo de ce concept, dont le but est de se positionner comme un supermarché de proximité. Un vocable et une transformation qui ne sont pas sans rappeler l’évolution de Lidl entamée en 2012, lors que le compatriote d’Aldi a décidé de sortir du hard discount. Toujours selon nos informations, Aldi est activement en recherche d’emplacements de 1400 m² dans les villes, ce qui n’est pas toujours réalisable.

    Aldi, Paris, Nice, nouveau concept

    Ainsi, Aldi s’apprête à ouvrir dans Paris, sur une surface légèrement inférieure. L’inauguration est fixée au 22 novembre dans le 20 arrondissement, et plus précisément au 129 boulevard Davout, ce qui constituera une première pour l’enseigne dans la ville intra-muros (on comptait déjà un Aldi à Charenton le Pont, et un autre à Clichy, à quelques centaines de mètres de la capitale). Cette annonce a été faite par la foncière Française Real Estate Partners, qui assure la gestion de l’immeuble concerné. "Aldi développera son nouveau concept adapté au centre-ville sur une surface totale de 980 m². Les clients bénéficieront de 95 places de stationnement directement reliées au local" précise le bailleur. Du côté de l'enseigne visible de l'extérieur, les yeux avertis noteront qu'en lieu et place du logo Aldi,c'est dorénavant un "Aldi Supermarché" qui apparaît, une évolution loin d'être anecdotique.

    Compte tenu du montant des loyers et de la guerre commerciale que se livrent les enseignes de proximité, des acteurs comme Lidl ou Aldi peinent encore à s’installer dans Paris, d’autant que les emplacements ne sont pas toujours adaptés à la duplication de leurs concepts très normés. Ainsi, Lidl malgré ses 1500 magasins en France n’en compte que 16 dans la ville intra-muros.

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    [#CONSOLAB] [ASSOCIATION] | #Auchan et #Alibaba s’associent dans la #distribution en #Chine |@LEMONDE

    DE AFP ET REUTERS | LE MONDE | http://lemde.fr/2zlJsNr

    #Auchan et #Alibaba s’associent dans la #distribution en #Chine


    L’alliance vise à combiner l’expertise des deux entreprises dans le commerce traditionnel et la vente en ligne.

    Le groupe de grande distribution français Auchan va s’allier au géant chinois du commerce électronique Alibaba pour développer le commerce physique et numérique en Chine, ont annoncé les deux distributeurs lundi 20 novembre dans un communiqué commun. Aux termes de leur alliance, Alibaba, propriété du multimilliardaire Jack Ma, va investir 2,44 milliards d’euros dans Sun Art Retail Group, l’un des principaux exploitants d’hypermarchés en Chine, dont Auchan possède plus du tiers du capital.

    L’alliance vise à combiner l’expertise des deux entreprises dans le commerce traditionnel et la vente en ligne, selon le communiqué. « La nouvelle alliance permettra à l’ensemble des activités de Sun Art de bénéficier de l’écosystème digital d’Alibaba », expliquent-elles.

    Auchan, Alibaba, distribution, Chine

    Alibaba va prendre 36,16 % du capital de Sun Art, soit une part très légèrement inférieure à celle d’Auchan, qui en détient 36,18 % via sa filiale Auchan Retail. Alibaba rachète en fait les parts du partenaire taïwanais d’Auchan, Ruentex, qui ne conservera que 4,67 % du capital.

    Cette alliance s’inscrit dans la stratégie d’Alibaba, qui a commencé à se rapprocher avec des chaînes de magasins en dur, du spécialiste de l’électroménager Suning au géant de la distribution Shanghai Bailian.

    Le groupe chinois a ainsi lancé une chaîne de supérettes hyperconnectées, Hema, dans lesquelles les consommateurs scannent et paient leurs achats sans aucune assistance extérieure. Sun Art exploite aussi déjà le même type de magasins de proximité ainsi que des supermarchés sous la marque Auchan Minute.

    La filiale chinoise d’Auchan se présente comme le leader de la distribution alimentaire physique en Chine, pays où le commerce en ligne a pris une position considérable, largement grâce à la puissance d’Alibaba. Sous ses enseignes Auchan et RT-Mart, Sun Art exploite 490 magasins en Chine et emploie 140 000 employés, selon le communiqué.

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Auchan, le roi des #hypers, acquiert enfin la #science du #supermarché | @LESECHOS

    DE PHILIPPE BERTRAND | LES ECHOS | 

    #Auchan, le roi des #hypers, acquiert enfin la #science du #supermarché

    Le distributeur a déjà transformé 100 de ses Simply Market en Auchan Supermarché. Des rénovations qui mettent l'accent sur les rayons frais et poussent les ventes.

    Enfin, une bonne nouvelle pour Auchan France ! La relance de ses supermarchés paraît bien engagée, alors même que le distributeur nordiste est malade de ses hypermarchés. « Le chiffre d'affaires n'est pas au rendez-vous », déclarait ainsi début septembre le directeur général Wilhelm Hubner. Les ventes des magasins de l'Hexagone ont baissé de 1,8 % au cours du premier semestre 2017.

    L'embellie des petits formats est comme une trouée de ciel bleu dans un ciel d'orage. Elle valide aussi la stratégie qui a rassemblé tous les points de vente sous la bannière Auchan. Le groupe a entamé la bascule de ses 281 supermarchés Simply Market en août 2017.

    La barre de la centième transformation a été franchie le 7 novembre. « Nous tiendrons l'objectif de la mi-2018 », affirme aux « Echos » Cyril Dreesen. Le directeur général des supermarchés d'Auchan Retail France rappelle que 15 prototypes de nouvel aménagement ont été testés. « Il ne s'agit pas que d'un changement d'enseigne », souligne-t-il.

    Auchan, Hypers, science, supermarché

    Cinq orientations ont été retenues qui sont déployées avec plus ou moins d'envergure, selon que le point de vente est grand ou petit, situé dans une zone rurale ou au centre d'une agglomération. « Les produits frais sont la priorité », insiste le dirigeant. L'offre a été densifiée et compte plus de produits bio et locaux. Les rayons dits à service - boucherie, poissonnerie, charcuterie - ont aussi été multipliés.

    « Nous cuisinons des plats sur place, pressons des fruits », ajoute encore Cyril Dreesen. Des services de développement de photos, de billetterie et l'incontournable livraison à domicile complètent le tout. Enfin, la livraison des commandes effectuées sur Auchan.fr (160.000 références en alimentaire et en non-alimentaire) permet d'élargir l'offre un peu plus.

    La transformation s'inscrit dans la logique du distributeur qui vise à établir des passerelles entre ses différents formats de magasin et son site d'e-commerce. « L'unification des données clients et de la carte de fidélité est le symbole de cette convergence de marque », explique Cyril Dreesen. Le client cumule des avantages qu'il achète chez Auchandrive, les hypers Auchan, Auchan Supermarché ou Auchan.fr.

    A son arrivée à la tête du concurrent Carrefour, Georges Plassat a estimé que placer sous une même enseigne des points de vente de taille différente, avec des structures de coûts différentes, affectait l'image-prix. Le PDG, qui a cédé la place à Alexandre Bompard, a ôté le nom de son groupe de la façade image-prix City, Market et autres Contact. Seul le logo apparaît.

    « Nous n'avons pas eu de remontées de ce type, explique Cyril Dreesen. Les prix sont plus élevés dans des supermarchés de centre-ville que dans les hypermarchés de périphérie. Mais le client qui choisit la proximité et qui économise ainsi le coût de l'effort d'un déplacement en périphérie le comprend très bien ». Et ça marche. « Nous enregistrons en moyenne des progressions de ventes à deux chiffres dans les magasins transformés », affirme le directeur général. Reste à savoir si ces gains ne résultent pas de la désaffection des hypermarchés ou... n'y contribuent pas.

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    [#CONSOLAB] [STORE] | #Amazon #Go may be #ready to #debut | @THESTRAITSTIMES

    FROM THE STRAITS TIMES | http://bit.ly/2j81Qys

    #Amazon #Go may be #ready to #debut

    Walk in, get the items you want, then walk out of the store? For the past year, Amazon employees have been doing just that, test-driving Amazon Go, an experimental convenience store in downtown Seattle.

    The idea is to redesign the shopping experience - without the need for consumers to ever stand in line at a cashier - whether human or scanning-cum-payment machine. Amazon is vague on the mechanics, but the store relies on a mobile app and some of the same sensing technology that powers self-driving cars to figure out who is buying what. Employees have tried to fool the technology.

    One day, three enterprising Amazonians donned bright yellow Pikachu costumes and cruised around grabbing sandwiches, drinks and snacks. The algorithms nailed it, according to a person familiar with the situation, correctly identifying the employees and charging their Amazon accounts, even though they were obscured behind yellow polyester.

    Amazon Go represents the company's most ambitious effort yet to remodel the brick-and-mortar shopping experience by eliminating the checkout line, saving customers time and furthering its reputation for convenience. The push into groceries is a way for the company to get consumers to shop at Amazon more often. The e-commerce giant unveiled Amazon Go last December, saying it planned to open the store to the public early this year.

    However, it encountered technical difficulties and postponed the launch to work out the bugs, The Wall Street Journal reported in March. Seven months later, challenges remain, but the "just walk out" technology has improved markedly, added the source. And in a sign that the concept is almost ready for prime time, hiring for the Amazon Go team has shifted from the engineers and research scientists needed to perfect the platform to the construction managers and marketeers who would build and promote the stores.

    Shoppers visiting an Amazon Go outlet will scan their smartphones upon entering. Cameras and shelf sensors will work together to figure out which items have been removed and who took them. There will be no need for tracking devices, such as radio frequency chips, embedded in the merchandise. When shoppers leave, algorithms will total the order and bill their Amazon account.

    Amazon GO, Ready, debut

    The system is working well for individual shoppers, but still struggles to accurately charge people who are moving around in groups, such as families with kids who like to grab stuff, the source noted. Amazon Go engineers have been studying families shopping together and are tweaking their sensors to recognise when a child eats an item while wandering around the store. Engineers are also figuring out which person to charge when a couple go shopping together.

    Amazon has encouraged employees to enter the store in pairs and buy lunch. The company is conducting further tests and focus groups in Seattle, the source said. The focus groups are used to design protocols for in-store returns, spoilt or damaged merchandise and customer service issues that are common to brick-and-mortar retail. it is unclear how quickly Amazon Go will ramp up.

    The company has moved deliberately with its brick-and-mortar book stores, opening just 13 in seven American states since launching the first in Seattle two years ago. Analysts expect a version of Amazon Go technology to be rolled out eventually at Whole Foods Market, the upscale grocery chain that the company acquired in September. That is a far more challenging prospect because Whole Foods locations are much larger than the 1,800 sq ft convenience store and carry thousands more products.

    Amazon will need a lot more testers wearing Pikachu costumes to pull the seamless experience off.

    WASHINGTON POST

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    [#CONSOLAB] [PRODUITS] | #Monoprix #développe son offre de #cosmétiques #bio | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2yThdkM

    #Monoprix #développe son offre de #cosmétiques #bio

    Monoprix étend sa nouvelle marque cosmétique de soins du visage sur le segment du bio. 7 références sont en train d'arriver en magasin.

    En juin, Monoprix lançait sa nouvelle marque cosmétique "la beauté du visage". Cinq mois plus tard, elle élargit son offre sur le segment du bio. La ligne simplement nommée "la beauté bio" se compose d'une mousse nettoyante, de lingettes et d'un lait démaquillants, d'une eau micellaire, d'une eau à la rose, d'une crème hydratante et d'un contour des yeux. Ces sept références certifiées Cosmebio sont en train d'arriver dans les magasins de l'enseigne. Elles bénéficient du même design épuré que les produits lancés en juin dernier. Les noms des produits vont aussi à l'essentiel comme "la mousse qui nettoie" ou "la crème qui hydrate".

    Monoprix, développe, cosmétiques, bio

    Ces références remplacent l'ancienne marque bio de Monoprix. Avec cette nouvelle marque, l'enseigne veut recruter les consommateurs de plus en plus nombreux à se tourner vers le bio. Sur les sept premiers mois de l'année, l'hygiène-beauté bio a vu ses ventes progresser de 24% en valeur en hypermarchés et supermarchés selon Iri.

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    [#CONSOLAB] [COSMETIQUES] | Un #vernis qui peut #changer de #couleur | @L'ADN

    DE SYLVIE LE ROY | L'ADN | http://bit.ly/2j8hJVv

    Un #vernis qui peut #changer de #couleur

    Working-girl le jour, glamour le soir… De Blangy fait monter la température avec des vernis qui changent de couleur à la demande.

    Plus besoin de perdre 40 minutes pour changer de manucure, désormais 10 secondes suffisent. Pour passer d’une couleur à une autre, il suffit d’appliquer sur les ongles, avec de l’eau par exemple, du chaud à 40° pour changer une première fois de couleur ou du froid à 6° pour revenir à la couleur initiale. Chacune des deux couleurs reste stable sans limite de temps. On peut répéter ce rituel plusieurs fois par jour. Au cœur de cette innovation, la découverte d’un pigment révolutionnaire par Benjamin de Blanzy et Nicolas Rauber, fondateurs d’INK AND OUT. Pour mener à bien ce projet, ils ont profité de l’expertise de chercheurs.

    Passionné depuis toujours par la science et entrepreneur depuis de longues années, j’ai toujours trouvé dommage de ne pas pouvoir allier les deux.  C’est désormais chose faite. », précise Benjamin de Blanzy.

    La première gamme propose 6 duos de couleurs donc, douze par extension. Pour autant, le prix de vente devrait varier entre 13 et 15 euros le flacon « Les femmes ont de plus en plus recours au semi permanent, elles sont donc contraintes de porter la même teinte pendant 3 semaines. »

    « Notre vernis permet, en particulier aux femmes actives, d’avoir toujours deux personnalités au bout des doigts : classique le jour, plus espiègle le soir », Julie Preud’homme, responsable communication chez De Blangy. « Les femmes que nous avons interrogées nous expliquent que le vernis est le seul maquillage qu’elles voient tout le temps. Passer en un clin d’oeil d’un rouge carmin à un noir profond par exemple, suggère un état d’esprit très différent. »

    Vernis, changer, couleur

    Fin 2016, la startup a remporté le prix Start in Cosmetics de la meilleure jeune entreprise innovante de moins de 3 ans. Très sollicitée lors du salon cosmetic 360, la technologie est déjà convoitée par les plus grands acteurs du marché avec qui la startup est actuellement en discussion.

    « Le marché du vernis a explosé dans les années 2000, mais il connaît depuis quelque temps une vraie perte de vitesse, faute d’innovation. Nous pensons que notre vernis peut relancer ce segment des cosmétiques. », explique Benjamin de Blanzy, « Pour ce qui est de la cible, si notre premier choix était la femme active, 35/45 ans pour le coté très fonctionnel du produit, on s’est aperçu qu’il suscitait un véritable engouement auprès des 20/30 ans. Notre vernis apporte une réponse super intéressante à l’idée très en vogue ; ‘une femme, plusieurs vies’ mais il a également cet aspect magique et fun qui plait aux plus jeunes. »

    De Blangy a fait le choix de se tourner vers le marché des professionnels plus facile à toucher et avec moins de moyens. La partie retail sera confiée à un grand groupe cosmétique. La startup compte sortir une première gamme dans une sélection de salons de manucure avant l’été.