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    [#CONSOLAB] [EMPLOIS] | #Amazon devient le #deuxième plus gros #employeur #américain dans le monde | @LSA

    DE JULIE DELVALLE | LSA | http://bit.ly/2z88n3P

    #Amazon devient le #deuxième plus gros #employeur #américain dans le monde

    Amazon devient aussi un géant en termes de masse salariale. Avec le rachat de Whole Foods et du site Souq.com, il se hisse parmi les plus gros employeurs américains, avec plus de 500 000 salariés répartis dans le monde… juste derrière Walmart.

    Le géant du e-commerce se démarque aussi par sa masse salariale. Alors qu’il vient d’annoncer un troisième trimestre en forte hausse pour ces résultats financiers, Amazon grossit aussi ses rangs. Avec le rachat récent de Whole Foods et de Souq.com, il compte ainsi parmi les gros employeurs américains du monde.

    Amazon, deuxième, employeur, américain

    Amazon compte désormais 541 900 collaborateurs à travers le monde, avec 159 500 personnes en plus sur le dernier trimestre. Ce bond, de 77% par rapport à la même période de l’année dernière, s’explique en partie par ces deux acquisitions. Les magasins Whole Foods, rachetés cette année, lui ont apporté 87 000 salariés supplémentaires. Souq.com, numéro 1 du commerce électronique au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, fait quant à lui gonfler ses effectifs de 3 000 salariés. En parallèle et malgré ces opérations financières, les effectifs d’Amazon sont en hausse de 47%, tous contrats confondus, sur cette période. Le e-marchand emploie notamment 120 000 saisonniers pour les périodes de rush. Les profils de commerciaux et des fonctions pointues consacrées à la technologie sont parmi les métiers où Amazon recrute le plus.

    Au total, la croissance RH d’Amazon le propulse deuxième plus gros employeur américain derrière Walmart. Le retailer numéro un dans le monde emploie de son côté 2,3 millions de salariés dans l’ensemble des pays où il est implanté.

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    [#CONSOLAB] [MARQUE] | #Entremont se #diversifie et s'#internationalise | @LESECHOS

    DE MARIE-JOSE COUGARD | LES ECHOS | http://bit.ly/2gWR0uE

    #Entremont se #diversifie et s'#internationalise 

    Le numéro un européen de l'emmental se donne cinq ans pour réduire sa dépendance au marché français à la moitié de son chiffre d'affaires.

    Sept ans après son rachat par la coopérative Sodiaal, Entremont, le leader européen de l'emmental, estime avoir suffisamment gagné en compétitivité pour accélérer son internationalisation. Le fromager affiche un chiffre d'affaires de 1,15 milliard d'euros en 2017 et revendique un bilan sain, où la dette a été divisée par deux à environ 230 millions d'euros.

    L'organisation du groupe a été profondément remaniée depuis le rachat, les sites industriels robotisés et spécialisés après le licenciement de 10 % du personnel. Les gammes de fromages ont été elles aussi largement revisitées au profit d'une plus grande qualité et de la création de marques.

    « Notre objectif est de réaliser la moitié de nos ventes en dehors de la France d'ici à 2022. L'exportation est juste vitale dans notre métier », dit François Boudon, le président d'Entremont. Le processus d'internationalisation a déjà été entamé, avec un quasi-doublement de la part du commerce réalisée à l'étranger. De 20 % en 2012, elle est passée à 36 % en 2017.

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    Mais la guerre des prix dans les linéaires de la distribution pousse à aller plus loin encore pour mieux rentabiliser un produit aussi basique que l'emmental, tout particulièrement le râpé. L'emmental fait les plus gros volumes de fromage commercialisés en France et le râpé l'essentiel d'un marché. « On consomme plus de râpé dans une vie que de Roquefort », résume François Boudon en guise de clin d'oeil.

    Entremont fabrique en Allemagne de longue date et dispose de bureaux commerciaux en Belgique et en Italie. Son objectif est de développer fortement son activité sous des horizons plus lointains, comme l'Asie et l'Afrique et l'Amérique du nord grâce à « des investissements importants. Pas nécessairement sur l'emmental, mais sur d'autres fromages qui seront lancés en 2018 », indique François Boudon : la raclette, le cheddar, les tranches spécial hamburgers, les fondus qui commencent à connaître un réel succès en Chine, dans la pâtisserie et dans les produits agroalimentaires. Le marché russe sous embargo est toujours fermé aux produits européens.

    Entremont a augmenté ses ventes de 10 % en volume et en valeur en 2017 sur un marché national atone à +0,3 %. « L'année a été meilleure que les deux précédentes, durant laquelle nous devions rivaliser avec une Europe du nord où le lait était payé 250 euros la tonne, quand, en France, on le payait 300 euros. Trop peu pour le producteur, mais trop pour l'industrie compte tenu de la concurrence », dit François Boudon.

    Grevé de dettes en 2009, 462 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 1,4 milliard d'euros, en perte, le leader européen de l'emmental a été cédé par Albert Frère en 2010 à Sodiaal (Candia) au terme d'une bagarre homérique avec Lactalis.



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    [#CONSOLAB] [ENSEIGNE] | Le #Slip #français étend sa #toile dans les grandes #villes | @LSA

    DE JEAN-NOËL CAUSSIL | LSA | http://bit.ly/2xMrVJB

    Le #Slip #français étend sa #toile dans les grandes #villes

    La marque qui, en six ans à peine, a su se faire une place au soleil, pourtant bien voilé, du textile, entend maintenant avoir pignon sur rue. Elle ouvre des magasins dans les grandes villes françaises. À commencer par Aix-en-Provence et Toulouse, en attendant Lyon.

    Le Slip français pose ses caleçons – pardon, ses jalons – en province. Toujours e-commerçant avant tout, mais avec la volonté claire, désormais, d’avoir une belle visibilité dans les villes françaises. Après Paris, la marque s’installe ainsi à Aix-en-Provence et à Toulouse, en attendant Lyon. Une première vague qui en appellera d’autres. En vérité, une évolution très classique tant, aujourd’hui, il paraît difficile de se passer de points de vente « en dur ». Après Spartoo, LDLC et après beaucoup d’autres (ex-)pure players, Le Slip français passe donc la vitesse supérieure. « La marque a le désir de créer un contact plus direct avec ses clients, plus directement incarné », explique Philippe de Mareilhac, directeur général de Market Value, l’agence de design avec laquelle Le Slip français a travaillé pour ses concepts.

    Avec, comme défi principal, non pas celui de la notoriété – Guillaume Gibault, le fondateur de la marque en 2011, ayant bien appris les techniques modernes du marketing – mais celui de l’adaptation. On ne vend pas de la manière en ligne et en magasin. « Tout l’enjeu est là, concède Philippe de Mareilhac. Savoir transposer les valeurs décalées et le second degré de la marque dans une boutique. » Dans ce contexte, le vendeur joue un rôle encore plus important qu’ailleurs. C’est lui qui insuffle l’esprit de la marque dans sa boutique. Le choix du recrutement s’avère donc primordial. Le reste est affaire de codes couleurs et de techniques merchandising… Le bleu, le blanc et le rouge du Slip français s’étalent partout.

    En revanche, et c’est volontaire, pas de relais clairement affichés avec le web. Au contraire, même… « De l’humain, de la proximité et encore de la proximité, c’est tout ce qui nous importe », plaide Philippe de Mareilhac. Cela dit, évidemment, le « sans-couture » reste d’actualité : le retrait des commandes faites en ligne est possible.

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    Sinon, l’ensemble des 67 mètres carrés de la boutique d’Aix-en-Provence est organisé pour mettre l’offre en valeur. La présenter le mieux possible pour donner envie d’acheter : des portants, avec le modèle exposé et, sur des étagères, à côté, des boîtes en « prêt-à-acheter ». Pas simple quand il s’agit de slips ou de caleçons… Mais le jeu des couleurs, plus audacieuses pour les dessous, aide à créer de jolis murs bigarrés. À noter, ainsi, cette belle exposition de chaussettes. Car Le Slip français ne fait pas que des sous-vêtements. Des chaussettes, donc, mais la marque élargit aussi son offre aux sweats, aux polos et aux blousons. Bref, elle devient généraliste.

    À tel point, d’ailleurs qu’elle s’ouvre également aux femmes. Dans le magasin, l’offre féminine s’installe d’un côté du magasin, et son pendant masculin, en face. Et l’on chemine ainsi vers le fond de la boutique et l’escalier qui mène à l’étage. La marque profite de cette zone commercialement « froide » pour détailler son engagement sociétal avec sa Fabricaslip, qui raconte l’histoire de la marque et insiste sur son concept de « fabriqué en France ».

    C’est là, avec ce « fabriqué en France », la force de la griffe. Sa faiblesse potentielle, si on doit en chercher une, sera dans sa capacité à sortir du carcan « rigolo » dans laquelle elle s’est inscrite. Cela et sa capacité à élargir sa clientèle. Le Slip français est-il soluble dans la femme ? C’est tout le défi de ces boutiques… En attendant de savoir si elles tiendront ces objectifs « quanti », elles réussissent déjà le pari du « quali » avec un décor qui donne envie et attire l’œil. 

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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | #Carrefour revient dans l'#optique grâce à un #partenariat avec #Atol | @LESECHOS

    DE PHILIPPE BERTRAND | LES ECHOS | http://bit.ly/2ihz9ib

    #Carrefour revient dans l'#optique grâce à un #partenariat avec #Atol

    Carrefour revient dans l'optique. En 2003, le distributeur a vendu 150 magasins «Carrefour Optique » implantés en France et en Espagne à Alain Afflelou. Le franchiseur les a passé sous son enseigne. Ce lundi le leader français des supers et hypermarchés a annoncé un partenariat avec la coopérative d'opticiens Atol.

    L'accord prévoit la relance de la marque « Carrefour Optique » dans l'Hexagone, à laquelle est ajoutée la mention «et Audition ». Le président d'Atol précise aux «Echos » que seuls les membres de son groupement l'utiliseront. «C'est une exclusivité. L'objectif est qu'ils créent leur propre concurrence dans leur zone de chalandise» complète Eric Plat. «Notre coopérative n'exploitait qu'une enseigne jusqu'à présent. Elle rassemble des entrepreneurs indépendants. L'accompagnement de leur croissance au local constitue notre mission ». Optic 2000 possède Lissac et Krys Group Vision Plus et Lynx Optique. Les points de vente « Carrefour Optique et Audition » s'étendront sur 150 à 200 mètres carrés. Ils ne seront implantés que dans les galeries marchandes des hypermarchés Carrefour. Les premiers verront le jour en 2018.

    « L'offre associera la qualité et l'accessibilité en termes de prix. C'est l'image de marque de Carrefour » précise le président d'Atol. « L'innovation portera aussi sur le parcours client qui sera plus rapide ». Le concept s'adressera aux millennials en matière d'aide à l'audition. L'objectif est la sensibilisation du jeune public qui alimentera à terme ce marché d'avenir. 

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    L'offre de la nouvelle enseigne sera également déclinée sur le Web. La conquête d'une nouvelle clientèle constitue le but de Carrefour et d'Atol. «Carrefour Optique et Audition nous permettra de proposer de nouvelles offres avec un partenaire de choix. Il s'agit d'une véritable opportunité qui s'inscrit dans la stratégie de Carrefour de diversifier ses services » explique Jean-François Pagnoux, directeur des services marchands de Carrefour France. Le groupe est présent dans la billetterie, le voyage, la banque, l'assurance et la location. La plupart des distributeurs français proposent ces services. Leclerc possède, lui, déjà, un site de e-commerce de vente de lunettes et de lentilles. Le réseau qui prend des parts de marché à Carrefour a également des déclinaisons dans la culture et le bricolage. 

    Le projet de magasins d'optique a été décidé avant la nomination d'Alexandre Bompard. Le nouveau PDG l'a validé. On notera que ce développement s'appuie sur des commerçants indépendants. Cela sonne comme un symbole à l'heure où des analystes envisagent la mise en franchise d'hypermarchés. 

    « Etre partenaire d'un des leaders de la distribution mondiale est une fierté pour notre coopérative, et démontre la pertinence de notre modèle » écrit le PDG d'Atol dans le communiqué publié lundi. Une cinquantaine parmi les 520 membres d'Atol ont déjà manifesté un intérêt pour « Carrefour Optique et Audition ».



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    [#CONSOLAB] [RACHAT] | #Fusion dans la #jardinerie: #Gamm Vert et #Jardiland se rapprochent | @BFMTV

    DE N.G AVEC AFP | BFMTV | http://bit.ly/2z0FYwv

    #Fusion dans la #jardinerie: #Gamm Vert et #Jardiland se rapprochent

    La coopérative agricole InVivo, propriétaire de Gamm Vert et Delbart, et L-Gam, qui détient Jardiland, sont entrés en négociations exclusives pour se rapprocher et créer un acteur "de taille européenne".

    Le groupe coopératif agricole InVivo et le fonds d'investissement L-Gam sont entrés en "négociation exclusive" pour "étudier le rapprochement" de leurs jardineries respectives Gamm vert et Delbard d'un côté, et Jardiland de l'autre, afin de créer un acteur "de taille européenne", selon un communiqué commun diffusé jeudi soir. Les deux parties envisagent de garder les trois enseignes indépendantes, précise le communiqué.

    Unies, les jardineries et animaleries "auraient davantage de moyens pour accélérer leur déploiement, en particulier à l'international et dans le numérique, et de servir leurs partenaires franchisés" indique le communiqué.

    Le bouclage de l'opération est "conditionné" par la signature d'accords finaux après consultation des instances représentatives du personnel de chaque entité et à l'autorisation de l'Autorité de la concurrence, précise le texte.

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    Gamm vert, numéro un de la jardinerie en France dispose de 1.004 magasins qui emploient 4.500 salariés pour un chiffre d'affaires annuel de 1,3 milliard d'euros. Delbard et affiliés compte 183 jardineries réalisant un chiffre d'affaires de 217,7 millions d'euros.

    Leur propriétaire, le groupe coopératif agricole InVivo réunit 220 coopératives qui rassemblent plus de 300.000 agriculteurs au total et emploient 9.200 collaborateurs dans 31 pays autour de cinq pôles d'activité: Grandes cultures, nutrition et santé animale, distribution grand public, viticulture et Food and tech. Son chiffre d'affaires 2016-2017 s'élève à 5,5 milliards d'euros.

    Jardiland, fondé en 1973 dispose d'un réseau de 189 magasins dont une centaine en succursales directes et les autres en franchise. L'enseigne réalise un chiffre d'affaires de 730 millions d'euros et emploie 2.500 salariés (5.000 collaborateurs au total en incluant les franchisés).

    Son propriétaire, le fonds d'investissement L-Gam, est spécialisé dans les PME européennes. Il a été fondé en 2013 par Yves Alexandre, Ferdinando Grimaldi et Felipe Merry del Val avec le soutien de la famille princière du Liechtenstein et d'investisseurs familiaux européens, asiatiques et nord-américains.

     

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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | #Amazon obtient sa #licence pour vendre des #médicaments dans plusieurs États #américains | @NUMERAMA

    DE CORENTIN DURAND | NUMERAMA | http://bit.ly/2idBZEE

    #Amazon obtient sa #licence pour vendre des #médicaments dans plusieurs États #américains

    Amazon semble prêt à aborder le marché très rémunérateur de la vente de médicaments. D'après le St Louis Post Dispatch, l'entreprise est désormais légalement habilitée à proposer les mêmes produits qu'une pharmacie. Selon des rapports publics obtenus par le St. Louis Post-Dispatch, le géant du e-commerce Amazon a obtenu, dans différents États américains, une licence pour commercialiser des médicaments, à l’instar des pharmacies.

    En conséquence, les chaînes pharmaceutiques américaines ont dévissé en bourse, même si Amazon n’a pas souhaité commenter cette information. Toutefois, selonCNBC, Amazon se laisserait jusqu’à Thanksgiving, fin novembre, pour décider si le marché pharmaceutique l’intéresse à long terme. 

    Amazon, licence, médicaments, américains, consolab

    Si la firme de Seattle souhaite s’y lancer, elle dispose désormais des atouts légaux  pour vendre des médicaments, même sur ordonnance, dans douze États : le Nevada, l’Arizona, le Dakota du Nord, la Louisiane, l’Alabama, le New Jersey, le Michigan, le Connecticut, l’Idaho, le New Hampshire, l’Oregon et le Tennessee. Des observateurs ont noté que l’enseigne avait recruté différents experts du secteur récemment, corroborant son intérêt certain dans ce domaine.

    Selon CNBC, cette activité cible un marché qui pourrait rapporter entre 25 et 50 milliards de dollars à la firme. Au Japon, l’entreprise livre déjà des médicaments grâce à son service Prime Now.