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    [#CONSOLAB] [MAGASIN] | #2018 : le #retour en force du #magasin |@ECOMMERCEMAG.FR

    DE SOPHIE LUBET | ECOMMERCEMAG.FR | http://bit.ly/2Ct8SGo

    #2018 : le #retour en force du #magasin

    Face au raz-de-marée du on line, le traditionnel brick & mortar est-il voué à disparaître ? Quelles adaptations pourraient lui permettre de réenchanter l'expérience en magasin et répondre aux nouvelles attentes des consommateurs ?

    Avec la digitalisation et la multiplication des devices dans la société, les consommateurs souhaitent une expérience client fluide et rapide. Les e-commerçants et applications l'ont bien compris et proposent des services ultra-performants : livraison en 1h pour Amazon avec Prime Now ou avec Carrefour pour les Parisiens, possibilité de se faire livrer "n'importe quoi n'importe où" en un claquement de doigts... Les services administratifs eux-mêmes se digitalisent puisqu'il est possible depuis le 6 novembre de commander son permis et sa carte grise en ligne pour les recevoir directement dans sa boîte aux lettres. Il serait donc aujourd'hui facile d'organiser ses achats sans sortir de chez soi.

    Face à ce raz-de-marée du on line, le traditionnel brick & mortar est-il voué à disparaître ? Quelles adaptations pourraient lui permettre de réenchanter l'expérience en magasin et répondre aux nouvelles attentes des consommateurs ?

    Le magasin : être plus qu'une adresse IP

    En 2015, la France comptait 340 000 points de vente qui réalisaient 1.1 million d'euros de chiffre d'affaires selon l'Insee. Le magasin bénéficie d'un atout majeur que le on line ne peut pas concurrencer : le sensoriel. Les consommateurs apprécient de pouvoir voir, toucher, tester, sentir un produit, cela participe de l'expérience d'achat et ne peut être remplacé par de la data !

    Si aujourd'hui, la réalité augmentée ou la réalité virtuelle permettent de visualiser un produit "en situation", pour certains types d'achats comme les ensembles (cuisine, salon, chambre), les Français préfèrent encore visualiser concrètement ces produits en magasin pour pouvoir mieux se projeter.

    Le sensoriel, cette qualité intrinsèque du magasin, s'inscrit parfaitement dans une tendance plus globale de la société : le retour à l'essentiel. L'humain ne se cache plus derrière le client, il n'est pas qu'une adresse IP, il veut vivre une expérience d'achat utile, qui prenne en compte ses besoins (grâce à la data) et qui lui offre une réelle valeur ajoutée, du service notamment.

    En se digitalisant, les magasins réhumanisent l'achat : le CRM permet de personnaliser les offres, les vendeurs équipés de tablettes accompagnent le client, le click & collect réconcilie le on et off line, bref, les magasins ont tout à y gagner.

    Le magasin : créer son propre univers

    Preuve de ce retour en grâce du magasin physique : 57% des Français et 70% des 18-24 ans souhaitent que les pure players comme Amazon (qui a racheté les supermarchés Whole Foods), VentePrivée ou AMPM La Redoute (la branche déco de la marque) ouvrent des magasins physiques. L'objectif ? Créer du lien et surtout, créer un univers propre avec une identité de marque forte. Ces caractéristiques visuelles, sonores et/ou expérientielles sont l'ADN d'une enseigne et la raison pour laquelle un consommateur s'attache à elle. Certaines poussent même cette démarche à l'inverse : c'est le cas récemment de Chanel qui a refusé d'ouvrir un site de vente en ligne pour ne pas détériorer son image de marque.

    Le développement des pop-up stores illustre cette tendance à revenir au brick & mortar. Gibli par exemple qui en a récemment ouvert un pour quelques semaines à Paris : événement rare, les fans ont pu à cette occasion se plonger dans l'univers de Miyazaki et découvrir des produits dérivés inédits. Nature & Découvertes l'a bien compris également et renforce encore son image " healthy " - bien-être en proposant un espace scénographié dédié à la dégustation de thé. Autre exemple, Birchbox qui a procédé par étapes : le pure player a commencé avec une boutique éphémère en 2014, en avril 2017 le magasin Birchbox a ouvert ses portes rue Montmartre et ne désemplit pas depuis.

    2018, retour, magasin

    Le magasin revendique son propre univers avec la création d'animations communautaires, comme l'illustre les magasins Lululemon qui organisent des cours de yoga pour séduire les sportifs amateurs.

    Les communautés se retrouvent par ailleurs volontiers dans ces univers à l'identité très forte : en témoigne le succès du forum d'entraide entre bricoleurs passionnés créé par Leroy Merlin !

    Un magasin qui se réinvente pour satisfaire sa clientèle

    Plus qu'un lieu d'achat, le magasin devient un lieu de vie et d'expérience. Cette revendication est forte chez les 18-24 ans : 60% d'entre eux ont envie de magasins où ils peuvent faire autre chose qu'acheter. Nike l'a bien compris et propose des terrains de sport dans ses magasins, Samsung conçoit ses magasins comme des lieux d'expériences à l'image des parcs d'attraction. Les centres commerciaux se sont aussi emparés du phénomène et proposent par exemple des espaces lounge pour se relaxer, des espaces de jeux pour les enfants ou encore des solutions pour recharger les devices... Finalement on fait du shopping comme chez soi !

    Autre point d'amélioration des magasins sur lequel le digital offre de nombreuses solutions, la réduction des points de frictions. En effet, une mauvaise expérience en boutique peut être fatale pour une marque. Une des priorités : l'attente en caisse, qui décourage nombre de consommateurs. Pour y remédier, Monoprix teste actuellement le Monop Easy, Amazon et Alibaba le magasin sans caisses, et les paiements mobiles se multiplient. L'objectif : permettre au consommateur de payer ses achats en un minimum de temps.

    Les nouvelles technologies offrent par ailleurs aux enseignes la possibilité d'aller plus loin dans les services : commander des articles indisponibles ou en rupture de stocks chez Célio, assistant virtuel pour choisir ses vêtements en fonction de ses goûts chez Uniqlo... Autant de services qui scellent l'union du magasin et du digital !

    2018, retour, magasin

    Le magasin est toujours bien vivant et sa disparition, souvent annoncée, n'est pas d'actualité. L'enjeu n'est plus de savoir comment faire cohabiter le on et off line mais comment les faire fusionner, c'est la condition sine qua non pour passer d'un acte d'achat simple à une expérience qui s'inscrit avec fluidité dans la vie quotidienne des consommateurs

     

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | #Albert #Heijn teste les #courses sans passer par la #caisse avec "#Tap #to #go" | @LSA

    DE MORGAN LECLERC | LSA | http://bit.ly/2Ebh9iW

    #Albert #Heijn teste les #courses sans passer par la #caisse avec "#Tap #to #go"

    L’enseigne hollandaise Albert Heijn teste une technologie qui permet de faire ses courses rapidement en posant une carte NFC sur les étiquettes électroniques en rayon. Cette action va constituer le panier de courses et débiter les achats concernés. Sans avoir besoin de faire la queue pour payer.

    Les magasins ou il est possible de partir sans passer -physiquement- par la caisse comptent un modèle de plus, après Amazon Go, Auchan Minute, ou le chinois Hema. Aux Pays-Bas, le groupe Ahold Delhaize a annoncé il y a quelques jours tester le système "Tap to go" dans un supermarché à l’enseigne Albert Heijn.

    Albert Jeijn, courses, caisse, Tap to go

    Les consommateurs doivent préalablement s’enregistrer via l’application, et disposent d’une carte équipée de la technologie NFC (la prochaine étape sera d’intégrer ce dispositif sur smartphone). Au fil de leurs achats, les clients vont apposer la carte sur les étiquettes électroniques des produits qui les intéressent (également NFC), mettent les produits dans leur sac, et peuvent quitter les lieux. Dans les 10 minutes, le montant des achats sera prélevé sur leur compte bancaire, sans avoir besoin donc de passer en caisse. Si le consommateur hésitant désire remettre un produit en rayon, il lui suffit de bipper de nouveau sa carte sur l’étiquette électronique, pour annuler l’achat en question.

    Cette expérience de shopping "rapide et efficace" selon Albert Heijn a été mise en place très rapidement, puisqu’il s’est écoulé moins de six mois entre le début des réflexions et le déploiement. "La technologie change rapidement. Donc pourquoi attendre ? Plus tôt nous commencerons, plus nous apprendrons" a commenté dans un communiqué de presse Jan-Willem Dockheer, directeur général des supermarchés Albert Heijn to go. L’enseigne a d’ores et déjà indiqué que cette technologie sera déployée dans d’autres magasins du parc hollandais d’ici juin.

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    [#CONSOLAB] [MARQUE] | Excellent #bilan 2017 pour la #marque « C’est qui le patron ? » | @LSA

    DE CAMILLE HAREL | LSA | http://bit.ly/2CHIahy

    Excellent #bilan 2017 pour la #marque « C’est qui le patron ? »

    La marque créée par les consommateurs en octobre 2016, « C’est qui le patron ? », qui vise à commercialiser des produits sains, bons et équitables au juste prix, a connu des résultats records en 2017.

    En quinze de mois d’existence, la marque des consommateurs « C’est qui le patron ? » peut être fière de ses performances.  Selon le fondateur, Nicolas Chabanne, c’est le plus gros succès pour une nouvelle marque depuis 30 ans sans soutien publicitaire et commercial dans les magasins.

    33 millions de litres de lait vendus

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    Tout est parti de situation de la filière laitière. Pour sortir de la crise et permettre aux producteurs une rémunération au juste prix, les 7 850 consommateurs engagés ont répondu à un questionnaire, composé de sept items, afin de constituer leur lait (rémunération, origine du lait, pâturage, alimentation des vaches…).  Ainsi, le premier produit commercialisé a été la brique de lait UHT demi-écrémé. Depuis le lancement, 33 millions de litres ont été vendus (pour un marché du lait de 2,1 milliards d'euros en valeur et de 2,4 milliards en volume selon Iri), contre 5 millions espérés, dans plus de 10 000 points de vente. Au fur et à mesure, la marque s’est étendue à de nouvelles références comme le steak haché, la compote de pommes, la pizza surgelée, le beurre bio… A ce jour, une dizaine de produits soutiennent les producteurs. Fort de ce succès, de nouveaux projets sont en cours d’élaboration à l’instar des pâtes, de la salade, des soupes ou des biscuits. Si l’année 2018 va donc être riche en innovations, une nouvelle action va voir le jour. Les consommateurs ont désormais pris en main le développement collectif de la gamme via le site internet « C’est qui le patron ? ». Ils peuvent signaler, en temps réel, des produits en magasins et soumettre aux enseignes des demandes de référencements.

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    [#CONSOLAB] [TENDANCES] | Ces #tendances #beauté vont-elles #dominer l’année #2018 ? | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2CHXb2L

    Ces #tendances #beauté vont-elles #dominer l’année #2018 ?

    Si l’on en croit les beautystas de Pinterest, l’année 2018 devrait être placée sous le signe du derma rolling, des coiffures à effet humide, des fonds de teints diversifiés et des cils ultra longs. Le réseau social a partagé ses prévisions beauté pour l’année 2018 en suivant l’activité de ses 48 millions d’utilisateurs friands de beauté, et elles réservent quelques surprises.

    Soins de la peau

    Des dermarollers devraient avec la cote dans les douze prochains mois. Malgré les controverses autour de ce soin du visage qui roule et pique avec ses petites aiguilles, le terme ‘derma roller’ a enregistré une progression de 345% sur Pinterest cette année. Les rollers en jade, en quartz, et même les rollers glacés, devraient gagner en popularité.

    Autre soin de la peau en progression, les huiles, les termes ‘cleansing oil’ (huile purifiante ou nettoyante) gagnent 555% au cours des 12 derniers mois.

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    Maquillage

    En ce qui concerne le maquillage, il semblerait que les cils auront la cote, alors que les dessins graphiques pour les ongles resteront bien d’actualité, surtout les dessins géométriques. Dans la lignée des tendances vues sur les podiums des collections printemps/été 2018, le maquillage flashy devrait être de mise, avec une progression de 63% pour les recherches de ‘bright eyeshadow’ (fard à paupières vif).

    Autre grande tendance, celle des fonds de teint adaptés à toutes les carnations avec de nombreuses nouvelles couleurs. L’expression ‘complexion matching’ (teint coordonné) enregistre une progression de 378% cette année.

    Cheveux

    Les amatrices de beauté les plus à la page arboreront leurs coiffures tirées vers l’arrière grâce à grand renfort de gel ou afficheront des boucles, à en croire l’augmentation des recherches de ces termes de 166%. Les coiffures gominées ou effet mouillé ont eu les faveurs des défilés en 2017, mais reste à voir si ce concept se retrouvera dans les coiffures quotidiennes des fashionistas l’année prochaine. Côté coiffures, même si cette année a été marquée par le carré court, du moins du côté des célébrités, il semblerait que cette tendance n’ait pas vraiment d’avenir sur Pinterest, termes ‘long hair’ (cheveux longs) et ‘pixie’ (coupe garçonne) ont gagné 130%... donc adieu le carré court.

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    [#CONSOLAB] [RACHAT] |# Target, la prochaine #cible d'#Amazon ? | @LESAFFAIRES

    DE YANNICK CLEROUIN | LES AFFAIRES | http://bit.ly/2CpphvE

    #Target, la prochaine #cible d'#Amazon ?

    Et si la prochaine cible d’Amazon (AMZN, 1182,85$US) dans le commerce de détail était la grande rivale de Wal-Mart Stores (WMT, 99,27$US), Target (TGT, 67,39$US)?

    Un analyste reconnu dans le milieu de la technologie a allumé le feu de la spéculation mardi matin en affirmant que cette transaction pourrait se matérialiser en 2018. L’action de Target, qui a affiché une performance nettement inférieure aux indices en 2017, prend 3,4% en fin de matinée mardi.

    Gene Munster, cofondateur de Loup Venture et reconnu pour avoir bien anticipé le potentiel de croissance d’Apple, a présenté huit prévisions pour le secteur techno cette année. 

    À son avis, la chaîne à la cible rouge est une partenaire idéale pour le géant du commerce en ligne, parce que sa clientèle est similaire à celle d’Amazon et parce qu’elle possède un nombre gérable de magasins(1828), a-t-il écrit dans son rapport dont Bloomberg fait écho ce mardi. «Il est difficile d’établir le moment où une telle transaction surviendra, mais il est facile d’en évaluer le potentiel», écrit M. Munster.

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    Amazon a causé une onde de choc dans le commerce de détail l’an dernier en avalant la chaîne d’épiceries bio Whole Foods Market pour 13,7G$US. L’incursion du chef de file de la vente en ligne dans le commerce traditionnel a même fait des vagues au Québec, où Metro a annoncé l’acquisition de la chaîne de pharmacies Groupe Jean Coutu.

    Selon M. Munster, un éventuel mariage entre Amazon et Target obtiendrait le feu vert des autorités américaines du commerce parce que Wal-Mart resterait en tête au chapitre des parts de marché du détail en dépit d’une telle union. Bien que les arguments avancés par l’analyste de 46 ans comportent une certaine logique, il faut prendre cette prédiction avec un grain de sel. Si on prenait toutes les prédictions en compte, Amazon avalerait le spécialiste des logiciels de commerce en ligne d'Ottawa Shopify, Lululemon Athletica, Bed Bath & Beyond,une chaîne de pharmacies, une banque...



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    [#CONSOLAB] [CONNECTE] | Les #clients #Echo dépensent #70% de plus que les clients #lambda d'#Amazon | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2EV4Jwv

    Les #clients #Echo dépensent #70% de plus que les clients #lambda d'#Amazon

    Les clients qui achètent vocalement des produits via le haut-parleur connecté d'Amazon déboursent en moyenne 1700 dollars par an chez l'e-commerçant.

    Amazon ne s'est pas lancé dans le secteur des haut-parleurs intelligents avec son Echo en 2014, deux ans avant son concurrent Google Home, pour des prunes. Les clients du groupe qui possèdent l'une de ces enceintes connectées dépensent en moyenne 1700 dollars par an sur le site de vente en ligne, contre 1000 dollars pour un client Amazon lambda, soit 70% plus que la moyenne selon un nouveau rapport du Consumer Intelligence Research Partners, spécialiste de l'étude de marché qui fournit des données aux investisseurs.

    Les utilisateurs d'Echo déboursent en moyenne 30% de plus que les abonnés Amazon Prime qui ne possèdent pas d'enceinte intelligente. Ces derniers, réputés être les meilleurs clients de la multinationale, se délestent de 1300 dollars par an en moyenne. Attention, pour acheter un produit sur le site de vente en ligne via un haut-parleur Echo, il faut être un abonné Prime. Les clients vocaux d'Amazon étaient donc déjà des fidèles de l'entreprise.