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    [#RFM N°262] [EDITORIAL] | La marque #politique. Le cas de l’#évaluation du #logo Les #Républicains par ses #militants |@F. DOSQUET, H. SERAPHIN & V.BONNARDEL

    Le deuxième article de la RFM n°262, qui paraîtra fin octobre, est écrit par Frédéric Dosquet, Hughes Séraphin et Valérie Bonnardel sur :

    LA MARQUE POLITIQUE. LE CAS DE L’EVALUATION DU LOGO LES REPUBLICAINS PAR SES MILITANTS

    Le deuxième article aborde le champ du marketing politique. Frédéric Dosquet de l’ESC Pau, Hugues Séraphin et Valérie Bonnardel de l’Université de Winchester nous proposent une analyse très détaillée du ressenti des militants sur les qualités du nouveau logotype du parti LR. Nous avons choisi de retenir cet article car, outre l’analogie entre les marques au sens classique du terme et les marques politiques (partis), la rigueur de la démarche peut être inspirante pour des communicants dans de nombreux univers.

    Dans un premier temps, les auteurs soulignent le rôle central du logo et de ses couleurs dans l’identité d’une marque, en insistant sur l’impact cognitif et émotionnel sur l’individu (au-delà de l’attention). Ils proposent une étude empirique pour évaluer les caractéristiques visuelles et sémantiques du nouveau logo Les Républicains et son efficacité à transmettre les valeurs fondamentales du parti (liberté, autorité, responsabilité, mérite, progrès, justice, sécularisme et travail). Ils distinguent pour cela les cinq attributs visuels du logo (le logo dans son ensemble, la couleur bleue, la couleur rouge, la combinaison des trois couleurs et le sigle). Une première analyse de la chromaticité comparée du logo actuel et des deux précédents montrent une évolution dans les teintes des deux couleurs rouge et bleu dominantes. 139 questionnaires ont été collectés auprès de sympathisants LR selon une méthode d’échantillonnage empirique.

    Plusieurs enseignements se détachent de la série d’analyses de variance menées, sur la totalité de l’échantillon puis sur trois clusters identifiés en fonction de leur attitude vis-à-vis du logo (les sceptiques, les enthousiastes et les inconditionnels). Au global, le nouveau logo LR obtient une bonne appréciation auprès des militants. Il se distingue aisément des logos des autres partis et possède une valeur esthétique reconnue, en phase avec l’identité et la sensibilité politique du mouvement. L’analyse des résultats selon l’attitude envers le logo (sceptiques, enthousiastes, inconditionnels) montrent toutefois une dispersion sur la perception du caractère discriminant du logo, ses valeurs esthétiques et sa capacité à refléter l’identité politique du parti.

    Au final, les deux valeurs les mieux représentées sont la liberté et l’autorité, tant est forte la similarité avec le logo de la République Française, la liberté, rappelée dans le blason et la devise de la France, étant l’incarnation et le ciment de l’unité nationale. A cet égard, le nouveau logo des Républicains joue bien son rôle « d’amorçage sémantique visuel », activant le parallèle avec la devise « Liberté, Egalité, Fraternité » à un stade préconscient. Au-delà des apports académiques et managériaux de l’article, il convient de souligner la grande rigueur de la démonstration, en particulier statistique, susceptible de servir d’exemple dans de nombreux tests de logo de marques.

    Cet article vous intéresse ? Il paraîtra intégralement dans la Revue Française du Marketing n°262 qui sortira en février.

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    Pour contacter les auteurs : Frédéric Dosquet : frederic.dosquet@esc-pau.fr, Hughes Séraphin : hugues.seraphin@winchester.ac.uk,  Valérie Bonnardel : valerie.bonnardel@winchester.ac.uk.

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    [#CONSOLAB] [BIO] | #Textile #enfant : #Timberland développe ses gammes dans le #bio | @LSA

    DE VERONIQUE YVERNAULT | LSA | http://bit.ly/2HtfwzB

    #Textile #enfant : #Timberland développe ses gammes dans le #bio

    La nouvelle ligne "écolo" de Timberland pour les 0-16 ans arrive sur le site et dans les boutiques de Kids Around. La griffe, exploitée par le groupe Children Worldwide Fashion (CWF) y élargit son offre de tee-shirts bio et éthiques, qui représentent désormais 80% de sa gamme.

    Un printemps-été écolo chez Timberland ! La célèbre marque, exploitée en mode enfantine par le groupe Children Worldwide Fashion (CWF) lance une nouvelle ligne "écolo" dédiée aux enfants de 0 à 16 ans. Parmi la série de looks proposés, l'accent a été mis sur le bio, qui concerne désormais 80% de sa gamme de tee-shirts enfants.

    Bio et bon pour l'environnement

    En effet, les T-shirts proposés sont fabriqués à partir de coton 100% biologique, sans engrais, ni pesticide, ni OGM. Même les encres ont été étudiées sous l'angle écolo : les imprimés sont ainsi réalisés à partir d'encres non polluantes. "La ligne de tee-shirt Timberland illustre l’engagement de Timberland pour la préservation de l’environnement, éveillant ainsi la conscience écologique des enfants et des parents", commente-t-on chez CWF, qui commercialise cette gamme dès ce mois de février sur le site marchand de son enseigne Kids Around, ainsi que dans ses boutiques. 

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    [#CONSOLAB] [GAMME] | #Arcade #Beauty veut offrir une #gamme complète de #services pour les #mini-produits | @PREMIUMBEAUTY

    DE V.G | PREMIUM BEAUTY | http://bit.ly/2GuaJMN

    #Arcade #Beauty veut offrir une #gamme complète de #services pour les #mini-produits

    Arcade Beauty, spécialiste mondial des solutions d’échantillonnage pour l’industrie de la beauté, équipe son usine Biopack, située à Val-de-Reuil, d’un atelier « cosmétique » totalement dédié aux mini-produits. L’entreprise entend fournir à ses clients une gamme complète de services dédiés aux mini-produits et autres monodoses, afin de mieux répondre à la forte demande pour ces produits.

    Pour répondre à la demande croissante des marques et des consommateurs pour les mini-produits et les monodoses, Arcade Beautya ouvert un nouvel atelier full-service dans son usine Biopack de Val-de-Reuil.

    « Les produits nomades et doses uniques sont aujourd’hui des must-have de nos modes de vie. Pratiques à utiliser, hygiéniques, faciles à emporter en avion, au sport, au bureau, ils sont également un moyen de tester un soin, un parfum ou un make-up, dans les meilleures conditions et sur plusieurs jours. Ces produits, champions du travel retail et du beauty-to-go, sont pour les marques l’opportunité de faire découvrir un produit et de séduire de nouveaux consommateurs pour un ticket d’entrée minime, » explique Carl Allain, le directeur général Europe du Groupe.

    Le nouvel atelier est doté d’une zone d’atmosphère contrôlée conforme aux normes ISO équipée de nouvelles machines avec air filtré et surpression. Cet espace est totalement consacré au remplissage de doses cosmétiques : tubes (notamment les mascaras), pots, mini flacons, pompes en verre et plastique, airless, et tout autre type de mini-produits et de doses uniques.

    « Cet investissement offre à nos clients la possibilité de conditionner les doses cosmétiques en sachets, étuis, cartes, coffrets, et bien sûr tout type d’habillage souhaité, » précise Arcade Beauty dans un communiqué.

    Outre une zone spécifique de stockage pour les bulks, sous rétention, Arcade Beauty prévoit de nouveaux investissements en 2018 (zone de lavage, prélèvement ...) en conformité aux Bonnes Pratiques de Fabrication (GMP) permettant de conditionner des produits OTC.

    Basé à New York et Paris, le groupeArcade Beauty propose un large éventail de technologies d’échantillonnage pour toutes les catégories cosmétiques. Son portefeuille de produits comprend des solutions de publipostage, d’insertion en magazines, de promotions en magasin et de produits destinés à la vente. Arcade Beauty dispose d’unités de fabrication en Amérique du Nord et du Sud, ainsi qu’en Europe et en Asie.

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    [#RFM N°262] [EDITORIAL] | Vers une méthodologie de #valorisation des #entreprises fondée sur un #portefeuille client #BtoC |@E. STEVENS, O. BEN HMIDEN & X. DURAND

    Le premier article de la RFM n°262, qui paraîtra fin octobre, est écrit par Éric Stevens, Oussama Ben Hmiden et Xavier Durand sur : 

    VERS UNE METHODOLOGIE DE VALORISATION DES ENTREPRISES FONDEE SUR UN PORTEFEUILLE CLIENT BTOC

    Le premier article nous est proposé par trois enseignants-chercheurs de l’ESSCA, messieurs Éric Stevens, Oussama Ben Hmiden et Xavier Durand. Les auteurs établissent en premier lieu un constat sans concession : une instrumentation de gestion souvent pauvre dans l’univers des petites et moyennes entreprises se traduit au final par une asymétrie d’informations pour le repreneur, qui prend toujours un pari risqué sur l’activité à venir dans le cas d’un rachat ou d’une transmission. Ceci est d’autant plus vrai dans les entreprises dont l’essentiel de la valeur repose sur des actifs intangibles (services) ou dont l’activité repose sur l’information détenue ou les processus de traitement de celle-ci (digital).

    Trois méthodes de valorisation sont communément adoptées : la méthode des flux actualisés, patrimoniale ou par analogie. Or ces trois méthodes partagent une même faiblesse : une approximation des flux d’activité future. Les auteurs proposent d’ajouter aux outils traditionnels une méthode d’analyse du portefeuille clients, utile en particulier pour les entreprises B2C non cotées ou présentes sur des niches de marché : il s’agit d’estimer les ventes prévisionnelles afin de les traduire en flux financiers, ce qui suppose la mise au point d’un plan d’affaires fiable et pertinent, et par là même une analyse solide du portefeuille clients. C’est ainsi que les auteurs dégagent trois facteurs à prendre en compte, le taux de clients fidèles, la probabilité de renouvellement de la commande et la probabilité de dépassement du délai client, en raison de leur impact sur le chiffre d’affaires et le besoin en fond de roulement. Les auteurs soulignent en outre que les technologies digitales facilitent l’accès et le traitement d’informations nombreuses sur les clients. Dans l’analyse du portefeuille des clients, les auteurs insistent sur la probabilité d’achat par de nouveaux clients, en partant des séries statistiques passées, puis détaillent l’apport au chiffre d’affaires des clients fidèles, avant d’aborder la contribution de ces méthodes au calcul d’un « goodwill » lié pour le repreneur à l’acquisition de nouveaux clients et à l’accroissement du chiffre d’affaires lié à ces mêmes nouveaux clients.

    Les auteurs concluent sur les perspectives qu’offrent aujourd’hui la constitution de bases de données des clients renseignées en profondeur, sans pour autant nier la part d’estimation et donc au final d’incertitude qui s’attache à toute méthode de prévision.

    Cet article vous intéresse ? Il paraîtra intégralement dans la Revue Française du Marketing n°262 qui sortira en février.

    Vous n'êtes pas encore abonné, vous souhaitez adhérer à la Revue Française du Marketing et/ou vous souhaitez en savoir plus ? Contactez : adirection@panelontheweb.com

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    [#CONSOLAB] [PARTENARIAT] | #Mango développe des #cabines #intelligentes en partenariat avec #Vodafone | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2Cvchno

    #Mango développe des #cabines #intelligentes en partenariat avec #Vodafone

    La marque espagnole Mango travaille actuellement en partenariat avec l’opérateur de télécommunications Vodafone sur un nouveau projet de déploiement de cabines numériques dans certaines de ses boutiques les plus emblématiques dans le monde, selon un communiqué.

    Les deux entreprises ont expliqué que ces nouvelles cabines avaient été conçues à partir d’un miroir intelligent basé sur la technologie de l’Internet des objets ou Internet of Things (IoT). Mango s’est chargée du design et Vodafone du développement, en collaboration avec Jogotech.

    Ce nouveau miroir digital permettra aux clients de scanner les étiquettes des produits choisis en cabine et de communiquer avec le personnel de la boutique directement via le miroir pour demander une autre taille ou couleur. Le miroir suggère également des produits associés pour compléter la sélection originale du client.

    Mango compte bien étendre ces cabines digitales à ses principales boutiques, de Barcelone à New York, ce qui permettra de « lier les expériences de vente en ligne et en boutique pour les clients de Mango. »

    Mango, cabines, intelligentes, Vodafone

    Mango a fait le choix de s’associer à Vodafone pour démarrer le processus de transformation digitale de ses boutiques, que le géant de la mode espagnol souhaite « convertir (...) en des espaces innovants où le client achète et communique avec la marque d’une façon différente ».

    Le directeur de l'Internet des Objets chez Vodafone, Stefano Gastaut, a assuré que ce projet aiderait à « donner plus de pouvoir aux acheteurs » et rapprocherait Mango de ses clients, permettant à la marque d’offrir « plus d’options, d’alternatives et d’expériences que dans une cabine traditionnelle. »

    Pour sa part, le directeur de la clientèle et des relations institutionnelles de Mango, Guillermo Corominas, a souligné qu’il s’agit « d’un projet qui tient beaucoup à cœur à Mango ». « Nous voyons l’avenir du secteur du retail comme une combinaison des services en ligne et hors ligne. Ces nouvelles cabines sont un pas de plus vers la transformation digitale de nos boutiques, pour créer une expérience complètement nouvelle pour nos clients », a-t-il relevé.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #Monoprix veut s’#offrir #Sarenza pour développer son offre #eCommerce | @FRENCHWEB

    DE FRENCH WEB | http://bit.ly/2HqYDVY

    #Monoprix veut s’#offrir #Sarenza pour développer son offre #eCommerce

    Monoprix accélère sa transformation numérique avec le projet d’acquisition de Sarenza. En négociations exclusives avec la société de Stéphane Treppoz, Monoprix souhaite de par cette acquisition « compléter l’offre de Monoprix et à le positionner comme un leader omnicanal du lifestyle (mode, décoration, beauté) ».

    Une opportunité pour Monoprix qui se doterait enfin d’une plateforme eCommerce de premier niveau. Sarenza ayant réussi à développer une structure d’achat, marketing, logistique et technologique bien huilée.  Sarenza a réalisé en 2017 un chiffre d’affaires de plus de 250 millions d’euros

    Un exutoire pour Sarenza fortement attaqué par ses concurrents direct à l’instar de Zalendo mais surtout Amazon, et de nombreuses marketplaces. Une compétition qui nécessite d’importants investissements pour rester dans la course.