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    [#CONSOLAB] [LANCEMENT] | Le #groupe #H&M #lance sa #plateforme #discount #Afound en #ligne et en #boutique | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2rWr4Yb

    Le #groupe #H&M #lance sa #plateforme #discount #Afound en #ligne et en #boutique

    Le groupe H&M investit le digital pour contrer son ralentissement sur le plan du retail. Il a officialisé le 31 janvier le lancement d’une marketplace multimarque nommée Afound, dédiée à une offre d’habillement homme et femme et de produits lifestyle. En service dès 2018, le site aura pour spécificité de proposer des rabais allant jusqu’à -70 %.

    Uniquement disponible en Suède pour ses débuts, le site est d’ores et déjà en ligne, mais n’est pas encore achalandé. Il est simplement proposé aux visiteurs de s’enregistrer pour bénéficier d’un accès en avant-première. Cet outlet, qui offrira, selon le groupe, des « deals fantastiques », accueillera ses différentes marques (H&M, Cos, Monki…), mais aussi toute une série de labels internationaux. L’offre se répartira sur des segments de prix variés et inclura des séries limitées de produits créés spécialement par les marques pour le site. Une soixantaine de griffes auraient déjà signé avec le groupe, selon le média suédois Breakit.

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    Afound n’est pas seulement un portail Web. Son lancement s’accompagnera de l’ouverture d’une première boutique physique à Stockholm, sur l’artère Drottninggatan. « Afound se soucie à la fois de la valeur des produits et de l’assortiment. En présentant au client des labels de qualité et le sentiment que vous faites vraiment une bonne affaire, Afound offrira une nouvelle forme d’expérience off-price (prix barrés, ndlr) », expose Fredrik Svartling, le directeur général de la plateforme, qui a occupé le poste de directeur des ventes H&M aux Etats-Unis entre 2006 et 2015.

    La société scandinave ne dévoile pas encore ses ambitions en matière de développement, mais il s’agit à coup sûr d’un projet qui pourra être dupliqué à l’international, à la fois en ligne et physiquement. Afound s’inscrit pleinement dans sa stratégie (essentielle) de transformation pour tenter de s’adapter aux nouvelles manières de consommer la mode, vers un modèle incluant davantage le digital. Sur l’année 2017, le distributeur suédois a généré des ventes en hausse de 4 %, mais a vu son bénéfice net reculer de 13 %.

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    [#CONSOLAB] [PROJET] | #Cosmétiques : #création d’un #cluster #européen pour #favoriser l’#internationalisation des #PME | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2rXce3N

    #Cosmétiques : #création d’un #cluster #européen pour #favoriser l’#internationalisation des #PME

    Le projet Cosmetics4Wellbeing proposé par un consortium de clusters dont la Cosmetic Valley a pour objectif la mise en place d’un cluster européen dédié aux cosmétiques et d’une stratégie d’accompagnement des PME du secteur dans leur internationalisation.

    Retenu dans le cadre du programme européen Cosme, le projet Cosmetics4Wellbeing (C4W) a pour objectif la mise en place d’un cluster européen : ESCP-4i (European Strategic Cluster Partnership – going international) et d’une stratégie d’accompagnement des PME de la cosmétique dans leur internationalisation. Ce projet est porté par la Cosmetic Valley, en collaboration avec Beauty Cluster Barcelona (Espagne), Transylvanian LifeStyle Cluster (Roumanie), l’Association Region Beira Baixa (Portugal) et avec le soutien de France Clusters (France).

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    « Le projet Cosmetics4Wellbeing va permettre aux 5 clusters européens de construire une véritable stratégie d’internationalisation pérenne vers les marchés de "grand export", notamment en développant de nouveaux partenariats sur des axes de travail innovants, liant la cosmétique à des secteurs transverses tels que la santé, l’agro-alimentaire et la transition digitale », explique la Cosmetic Valley dans un communiqué de presse. Officiellement lancé le 8 janvier 2018 et prévu sur une durée de 18 mois, le projet C4W bénéficiera d’un financement H2020 pour un montant de 199 223 euros


     

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    [#CONSOLAB] [ENSEIGNES] | #Amazon #détrônée, #Decathlon en #tête | @FASHIONNETWORK

    DE MARION DESLANDES | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2nwyNqE

    #Amazon #détrônée, #Decathlon en #tête

    Désigné enseigne préférée des Français à cinq reprises en sept ans, le géant américain Amazon est détrôné en 2018 par le distributeur d'articles de sport Decathlon, couronné pour la première fois, selon une étude annuelle publiée par le cabinet OC&C. Depuis 2012, Amazon n'avait été devancé que par le spécialiste du surgelé Picard, par deux fois (2012 et 2015).

    En 2018, non seulement Amazon chute de son trône au profit de Decathlon, mais il n'obtient que la 5e place, devancé par l'enseigne culturelle Cultura, 2e, grâce à un bon bouche-à-oreille, Picard (3e), fort de son image de qualité, et la Fnac (4e), qui bénéficie de son rapprochement avec Darty et de l'investissement dans tous les canaux de vente décidé par son ex-PDG, Alexandre Bompard, désormais à la tête de Carrefour.

    « Le consommateur paraît frustré par les enseignes qui se basent essentiellement sur la technologie et les algorithmes », explique à l'AFP le responsable cette étude, David de Matteis, associé au sein du cabinet OC&C. Pour lui, le client est désormais plus attentif à la « transparence sur les prix » et se méfie des enseignes et des places de marché comme Amazon, qui proposent une « offre pléthorique », car souvent, la qualité ne suit pas.

    En termes de prix, Amazon est toujours bien classé, mais quand on se base sur l'adéquation de l'offre aux besoins des consommateurs, le géant américain déçoit, souligne David de Matteis.

    D'autre part, si Decathlon arrive pour la première fois en tête du classement, c'est que l'enseigne sportive est considérée comme « un champion dans sa catégorie », souligne-t-il. « Ils ont investi dans la recherche et le développement » et sont « très bons » dans leur domaine d'expertise.

    Les modèles gagnants, analyse-t-il, reposent sur une « vision claire de la proposition d'une enseigne aux consommateurs et de ses points de différenciation » : spécialisation produit, expérience client, focalisation sur une génération etc. Autre donnée qui ressort de l'étude : la prime au rapport qualité/prix. « Le critère du prix est important, mais le consommateur ne souhaite plus faire de compromission sur la qualité », explique David de Matteis, pour qui « le niveau d'exigence du consommateur s'est élevé ».

    Si on décompose le classement en fonction des marchés, c’est la chaîne française Etam qui mène la danse dans le secteur Chaussure/Habillement. Elle devance le géant Zara, Jules et Kiabi. Côté mode enfant, Petit Bateau s’impose devant Orchestra, Tape à l’œil et Sergent Major. En outre, Sephora domine le rayon beauté, suivie par Yves Rocher, Nocibé et Kiko.

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    L’étude rappelle enfin que la préférence varie selon l’âge, les différentes générations ayant des styles de vie différents. Ainsi, Cultura arrive en tête du classement des enseignes préférées chez les Millenials et la génération X, tandis que Picard est plébiscité par les Baby-boomers. Alors que Decathlon occupe la deuxième place pour tous, Amazon ne figure pas dans les 10 premiers noms cités par les Baby-Boomers.

    Méthodologie : 7 572 consommateurs français interrogés pour mesurer l'attractivité de 122 enseignes, en se basant sur différents critères (prix, qualité des produits, choix, services...).

     

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    [#CONSOLAB] [COVOITURAGE] | #Blablacar se #rapproche (un peu) du #monde des #VTC grâce à une #mutualisation #accrue des #trajets | @L'USINEDIGITALE

    DE SYLVAIN ARNULF | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2nw6kAZ

    #Blablacar se #rapproche (un peu) du #monde des #VTC grâce à une #mutualisation #accrue des #trajets

    Rapprocher conducteurs et passagers en facilitant la mutualisation de trajets longue distance : c’est la mission que se fixe le géant du covoiturage Blablacar. Avec une fonctionnalité qui rappelle celle d’Uber Pool et autres taxis et VTC partagés.

    Faire un petit détour pour récupérer plus de passagers et remplir son véhicule : c’est devenu une habitude pour les chauffeurs de taxis et VTC, depuis l’émergence de services de mutualisation de trajets comme Uber Pool, LeCab plus, G7 Partagé et autres AlloCab pool. Cela va-t-il aussi devenir la règle pour les conducteurs amateurs utilisant les applications de covoiturage ?

    Blablacar va progressivement mettre en place un nouvel algorithme d’ici l’été 2018 qui permettra aux conducteurs de croiser plus facilement des passagers près de leur chemin pour des trajets longue distance. L’application va permettre aux utilisateurs de réserver des sous-segments d’un trajet plus long et multiplier les points de "départ / arrivée" potentiels croisés sur la route. Ils seront automatiquement dirigés vers des conducteurs qui passent dans la même zone. Une façon de mieux faire matcher offre et demande et d’optimiser le maillage existant. "Nous avons aujourd’hui 38000 points de départ différents lors de week-end de forte activité, à comparer aux 3000 gares ferroviaires du pays : ce chiffre va être multiplié avec ce nouvel algorithme", avance Nicolas Brusson, co-fondateur et directeur général de Blablacar.

     

    TRANSPORTER LES PASSAGERS DE PORTE À PORTE, OU PRESQUE

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    L’application veut inciter ses utilisateurs (18 millions dans une vingtaine de pays au dernier trimestre 2017) à changer leurs habitudes. Blablacar parle de "changement de paradigme ", et a même bouleversé son identité visuelle pour l’illustrer. "85% de la population vit en dehors des villes, mais doit se rendre dans un hub de transport pour trouver un point de départ de covoiturage", constate Nicolas Brusson. Il cite l’exemple d’un habitant d’Evry voulant se rendre à Villeurbanne qui va spontanément taper 'Paris / Lyon' dans le moteur de recherche du site pour être sûr de trouver un trajet. "Ces utilisateurs doivent aujourd’hui se rendre à l’intérieur d’une ville, dans un point central pour en ressortir ensuite. Nous voulons leur permettre de partir de plus près de chez eux depuis un point intermédiaire, qui croisera le trajet d’un covoitureur".

    Pour bâtir ce service, Blablacar devra connaître les points de départ et d’arrivée exacts des passagers, de porte à porte. "On veut que nos utilisateurs aient le même réflexe que lorsqu’ils entrent un trajet sur leur GPS ou réservent une course de VTC, en indiquant les points de départ et d’arrivée réels", explique Nicolas Brusson. C’est déjà ce que fait Blablacar avec son service de covoiturage domicile / travail Blablalines.

     

    CONDUCTEURS ET PASSAGERS VONT-ILS SUIVRE ?

    Tout l’enjeu va être de sensibiliser les utilisateurs fidèles du service à changer leurs habitudes sans contrepartie. Les conducteurs n’auront pas forcément envie de faire plusieurs détours (même courts) et les passagers vont peut être râler en voyant les temps de trajets s’allonger. Surtout que contrairement à Uber Pool et consorts, Blablacar ne promet pas de tarifs plus bas si les passagers acceptent de partager leur trajet : la société mise sur l’information en amont pour éviter toute frustration. Cela suffira-t-il ?

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    [#CONSOLAB] [ALLIANCE] | #Mattel #ouvre un #studio de #jeux #vidéos avec le #chinois #NetEase | @CAPITAL

    DE AOF | CAPITAL | http://bit.ly/2Eti7Z0

    #Mattel #ouvre un #studio de #jeux #vidéos avec le #chinois #NetEase

    (AOF) - Mattel a créé une coentreprise avec NetEase, un éditeur chinois de jeux vidéo, pour ouvrir un studio commun appelé Mattel163. Les titres qui en sortiront seront basés sur les jeux les plus iconiques de Mattel, comme Uno, Barbie ou encore Hot Wheels.

    Pour la neuvième année consécutive, le marché de l'habillement, en France a pâti d'un recul de 1,2% en 2016, pour s'établir à environ 30 milliards d'euros. Le prêt-à-porter féminin, qui représente plus d'un tiers du total, a même affronté une baisse encore plus marquée, selon la Fédération française du prêt-à-porter féminin (FFAPF), avec des ventes qui sont tombées à 10,4 milliards d'euros en 2016 (-2,6% en valeur sur l'année, et -3% en volumes).

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    En revanche les cosmétiques français plaisent toujours autant. Les exportations françaises ont dépassé les 12 milliards d'euros, soit une augmentation de 2% par rapport à 2015, d'après la Fédération des entreprises de la beauté (Febea).

    En dépit d'un ralentissement, l'Europe constitue un débouché important car l'Allemagne, le Royaume-Uni, l'Espagne et l'Italie font partie des pays grands consommateurs de cosmétiques français. Les exportations vers l'Amérique du Nord sont en croissance (+8,5% vers les Etats-Unis et +4,5% vers le Canada), et le marché est reparti à la hausse en Asie (+18% vers la Corée du Sud, +15% vers la Chine, +13% vers Singapour et +4% vers le Japon).

     

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    [#CONSOLAB] [MARQUES] | #Amazon devient la #marque la plus #valorisée du #monde devant #Apple | @LSA

    DE LEILIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2BJKW09

    #Amazon devient la #marque la plus #valorisée du #monde devant #Apple

    La marque Amazon vaut 150,8 milliards de dollars en janvier 2018, soit 42% de plus qu'en 2017 selon le classement annuel Brand Finance Global 500.

    Amazon joue à saute-mouton avec Apple et Google. Il leur est passé au-dessus pour se saisir de la première place du classement des marques les plus valorisées du monde. Le nom de l'e-commerçant, inspiré de celui du fleuve le plus long de la planète, pèse 150,8 milliards de dollars en janvier 2018 selon le palmarès annuel Brand Finance Global 500 dévoilé ce 1er février, soit un bond de 42% sur un an.

    La valeur des marques d'Apple et de Google a beau avoir respectivement cru de 36 et de 10% entre janvier 2017 et janvier 2018, cela n'a pas été suffisant pour contenir la progression d'Amazon. Apple reste donc en deuxième position avec une valorisation de 146,3 milliards de dollars et la firme de Mountain Vue abandonne la médaille d'or pour un petit bronze avec une valorisation estimée à 120,9 milliards de dollars.

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    Cette forte progression de la valeur de la marque Amazon est partiellement liée à l'acquisition pour 13,7 milliards de dollars de l'enseigne bio Whole Foods, annoncé en juin 2017. Le groupe a désormais une emprunte physique significative sur le sol américain, canadien et britannique, où Whole Foods possédait 460 magasins au moment du rachat.

    Elle vient également saluer la stratégie d'un groupe qui se développe tous azimuts. La marketplace, dont la version américaine ne comptait pas moins de 398 millions de références en janvier 2017, était une simple librairie en ligne lors de sa création en 1994. Mais Amazon est aussi devenu un fournisseur d’infrastructure cloud. Sa branche Amazon Web Services a dégagé environ 16 milliards de dollars de chiffre d'affaires entre septembre 2016 et septembre 2017. La pieuvre est également présente dans la fabrication d'appareils électroniques grand public (avec sa gamme de haut-parleurs connectés Echo qui devraient débarquer en France en avril 2018), dans le transport maritime, la musique et le streaming vidéo.