Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [APPLICATION] | #Instagram #intègre les #paiements directement dans l'#application | @LUSINEDIGITAL

    DE VICTOIRE SAUGNAC | L'USINE DIGITALE | http://bit.ly/2riZSQI

    #Instagram #intègre les #paiements directement dans l'#application

    Instagram poursuit son intrusion sur le terrain de l'e-commerce avec l'intégration native du paiement dans l'application.

    Faire son shopping sur Instagram, c'est déjà possible. Mais le réseau social va aujourd'hui encore plus loin. Le 3 mai 2018, TechCrunch a repéré une nouveauté introduite discrètement sur Instagram : intégrer du paiement directement dans l'application. Aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, quelques utilisateurs ont déjà pu entrer leur numéro de carte de crédit ainsi qu’un code de sécurité pour acheter des services.

    UN TEST PROMETTEUR ?

    Dans un premier temps, la fonctionnalité est disponible pour des services de restauration, tels que Resy, ou des salons de coiffure et de beauté. Un système de réservation simple existait déjà pour ces services depuis 2016, mais le paiement avait lieu hors de l'application. Finaliser sa commande en payant instantanément était donc une évolution logique.

    La facilitation des échanges commerciaux sur la plate-forme est également très avancée pour les enseignes de prêt-à-porter, très présentes en photos depuis les débuts d'Instagram. Avec "Shopping", les followers d’une marque peuvent connaître toutes les informations relatives à un article, et être redirigés vers le site d’achat en ligne de la boutique. Beaucoup de secteurs ne peuvent pas encore faire usage de cette fonctionnalité pour le moment, mais les marques ayant l’habitude de faire leur publicité sur Instagram seront certainement les premières à l'expérimenter dès l’expansion du service.

    LA TRANSFORMATION CONTINUE DU RÉSEAU SOCIAL

    Le réseau social, créé à l’origine pour partager des clichés avec ses proches, s’est de plus en plus tourné vers la publicité avec les comptes de célébrités ou de marques qui n’en finissent pas d’envahir les fils d’actualité. Si auparavant naviguer sur l'application se réduisait à regarder des photos et suivre des hashtags communs, aujourd’hui on peut discuter, chose que faisaient déjà très bien Messenger et WhatsApp, ou encore poster des "stories", fonctionnalité propre à Snapchat, et même mener une campagne politique, traditionnellement faite sur Twitter. Il sera par ailleurs bientôt possible de passer des appels vidéo à deux ou en groupe, comme sur WhatsApp encore une fois.

    La plateforme ne prend pour le moment aucune commission sur les transactions qu’elle héberge, toutefois les boosts de publication, payants pour les professionnels et les particuliers, ne devraient pas tarder à décoller, transformant peut-être demain Instagram en lui adjoignant un volet e-commerce. A noter cependant l’application n’est pas la première à expérimenter avec l'intégration native du paiement : il est déjà possible sur Snapchat et Messenger.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #Amazon lance une #marque #propre de #petfood : #Wag | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2rlo19f

    #Amazon lance une #marque #propre de #petfood : #Wag

    Wag compte pour l'instant 10 références de croquettes pour chiens, mais il est probable qu'Amazon l'étende à l'avenir à d'autres catégories du petfood et du petcare.

    Amazon US vient de lancer sa première marque propre de nourriture pour animaux : Wag. Elle compte actuellement 10 références de croquettes pour chiens et est disponible uniquement pour les abonnés Prime.

    L'entrée d'Amazon dans cet univers est parfaitement logique, explique Spencer Millerberg, fondateur de One Click Retail interviewé par Retail Dive : "En 2017, les ventes de produits pour animaux ont augmenté de 40% sur Amazon, pour qui elles pèsent maintenant plus de 2 milliards de dollars par an." Pour attaquer cet univers, l'e-commerçant débute par la catégorie qui se vend le mieux : les croquettes. Comme elles s'achètent habituellement par sacs de plusieurs kilos, les clients peuvent en effet voir un bénéfice important à se faire livrer chez eux. Mais il est probable qu'Amazon enchaîne bientôt avec d'autres catégories animalières : les friandises, les paniers, niches et cages, ainsi que tout le pet care avec l'hygiène et les soins.

    On peut par ailleurs interpréter le nom de la nouvelle marque comme une petite provocation adressée à Walmart. Le site de produits pour animaux Wag.com avait été lancé par Quidsi et son fondateur Marc Lore peu après le rachat de la société par Amazon. Marc Lore est, depuis, devenu l'ennemi de Jeff Bezos, a lancé Jet.com pour contrer Amazon et l'a revendu à Walmart dont il dirige maintenant l'e-commerce.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [MARQUE] | #Jacquet fait peau #neuve | @LADN

    DE ALICE HUOT | L'ADN | http://bit.ly/2rkd8nj

    #Jacquet fait peau #neuve

    La marque de pains Jacquet présente sa nouvelle plateforme de communication et d’identité de marque avec l’agence Nouveau Monde et le studio 5.5. La marque a décidé de recentrer son identité sur son appartenance à une coopérative de plus de 700 agriculteurs basés en Auvergne. Le nouveau slogan “J’aime, tu aimes, nous aimons, Ils sèment”, accompagnera le nouveau logo et l’identité visuelle.

    Jacquet, neuve

    La plateforme de marque sera déployée à partir du 26 avril 2018 grâce à un dispositif mass media orchestré par Nouveau Monde, qui comprendra 5 spots TV sur les chaînes nationales, et des supports digitaux dont un nouveau site web.

     

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [MODE] | #Catimini bientôt sous #pavillon #chinois | @LESECHOS

    DE DOMINIQUE CHAPUIS | LES ECHOS | http://bit.ly/2JSdFVc

    #Catimini bientôt sous #pavillon #chinois

    Le chinois Semir va racheter Kidiliz, l'ex-Zannier, spécialiste des vêtements pour enfant (Catimini, Chipie…). Les deux groupes veulent former le numéro deux mondial du secteur.

    Les industriels chinois continuent de faire leurs emplettes dans l'habillement en France. Cette fois, c'est l 'ex-groupe Zannier,rebaptisé Kidiliz en 2016, qui va passer sous pavillon chinois. L'entreprise française de Saint-Chamond (Loire) spécialisée dans la mode enfantine, avec les marques Catimini, Chipie, ou Kenzo Kids, est entrée en « négociations exclusives » avec Semir, le leader du secteur en Chine.

    L'ambition est de créer « le numéro deux mondial de la mode enfantine avec environ 2 milliards d'euros de chiffre d'affaires », indiquent les deux sociétés. Au terme de l'opération, le groupe chinois détiendra le contrôle de l'intégralité de Kidiliz, cédé par la famille Zannier, encore actionnaire à 100 %. L'équipe de direction, emmenée par Rémy Baume depuis 2013, restera en place.

    Accélérer à l'international

    Le groupe tricolore avait été créé par Roger Zannier en 1962. Le fondateur avait passé la main à ses enfants il y a quelques années. D'abord atelier de bonneterie, Zannier a été un pionnier avec Z, la première marque française de vêtements pour enfants à installer des boutiques en centre-ville.

    En 2015, avec la vente de IKKS, sa marque féminine à l'esprit rock, le groupe de la Loire s'est recentré sur l'habillement pour enfants. Suite au recul de ses ventes, il avait dû réduire ses effectifs de 11 % en France l'année précédente. Il souhaitait ainsi se relancer et profiter d'un marché alors en hausse pour les plus petits, en se positionnant sur le haut de gamme.

    10789-3002.jpg

    Kidiliz compte aujourd'hui 15 marques, avec, outre Catimini, 3 Pommes, Jean Bourget ou Lili Gaufrette. Il a affiché un chiffre d'affaires de 427 millions d'euros en 2017, avec 3.500 salariés, et ne précise pas sa rentabilité. Avec ce rapprochement, il veut accélérer son développement à l'international, qui pèse déjà 52 % de ses ventes. Le groupe français revendique d'ailleurs le titre de leader européen sur son secteur. Dans le giron du chinois Semir, il va aussi s'ouvrir en grand les portes de la Chine, où il est présent depuis une vingtaine d'années.

    « Le groupe Semir nous apporte les moyens nécessaires pour consolider notre croissance en Europe et amplifier notre présence en Chine », souligne Rémy Baume, président de Kidiliz Group.

    Un réseau de 8.000 points de vente

    Créé en 1996, Zhejiang Semir Garment est de fait le leader de la mode enfantine en Chine avec la marque Balabala. Ce groupe familial, toujours contrôlé par la famille Qiu, est aussi présent sur le marché de l'habillement pour adulte, via un réseau global de 8.000 magasins. Coté en Bourse, il a affiché un chiffre d'affaires de 1,6 milliard d'euros l'an dernier.

    « Cette transaction représente une évolution stratégique. Nos atouts sont très complémentaires », s'est félicité Sam Qiu, le président de Semir. Les deux entreprises veulent faire jouer les synergies sur les approvisionnements.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [CONNECTE] | #Facebook entrevoit son #futur #commercial à travers les #réalités #virtuelle et #augmentée | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2I99h79

    #Facebook entrevoit son #futur #commercial à travers les #réalités #virtuelle et #augmentée 

    Un milliard d’utilisateurs : c’est l’objectif que se fixe Mark Zuckerberg pour ses outils de réalité virtuelle, à l’heure où Facebook peaufine son casque Oculus Go. Cet outil permettra de jouer, regarder des vidéos, chatter ou acheter en ligne.

    Facebook a investi quelque 3 milliards de dollars (2,5 milliards d'euros) l’an passé dans le spécialiste des casques virtuels Oculus, et entend en profiter pour prendre le leadership dans ce domaine. Un marché où le réseau social détiendrait à la fois les programmes et les outils permettant de les utiliser, ce que n’est pas parvenu à faire le groupe face à l’explosion du marché des smartphones.

    L’expérience vidéo sera au centre de l’offre Oculus Go, qui a récemment lancé Oculus TV. L’appareil qui, à la différence de la concurrence, ne nécessite aucun smartphone, ordinateur ou console de jeu, sera ouvert aux développeurs tiers, qui pourront proposer via la plateforme leurs apps. De quoi ouvrir la voie à de possibles, et très probables, offres de vente au détail.

    La réalité virtuelle a connu un certain retard à l’allumage, malgré la vaste communication ayant entouré les lancements des casques de Samsung, PlayStation et autres. De nombreux développements prometteurs s’étaient pourtant fait jour, notamment dans l’univers de la vente. Dès mai 2016, c’était un géant américain de la vente en ligne, Ebay, qui dévoilait sa vision de l’apparence que pourrait prendre une marketplace en réalité virtuelle. La même année, Ikea appliquait de son côté une approche "showroom" à la réalité virtuelle, en déployant un programme permettant de tester virtuellement sa future cuisine.

    VR contre AR

    Reste que la réalité virtuelle (VR) s’est largement fait voler la vedette par la réalité augmentée (AR), avec laquelle elle est souvent confondue. Cette dernière repose sur l’ajout d’éléments virtuels sur une image bien réelle captée par un smartphone. Procédé largement popularisé par les "masques virtuels" humoristiques proposés par certaines messageries. Zara a récemment dévoilé son usage commercial de la réalité augmenté, tandis que le géant de la vente en ligne Amazon et son concurrent chinois Alibaba ont successivement révélé leurs axes de travail pour amener l’AR à accompagner les ventes.

    C’est donc sans surprise que Facebook entend là encore imposer sa domination en déployant l’AR sur son application Messenger, utilisée par quelque 1,3 milliard d’utilisateurs. Le groupe a mis en place une boîte à outils pour permettre aux développeurs de créer leurs propres concepts en réalité augmentée. Quatre grands groupes prennent part au lancement : Nike, Sephora (LVMH), Asus et Kia.

    Les dispositifs, en cours de finalisation, vont ainsi permettre aux utilisateurs de tester via la réalité augmentée les produits Sephora. Domaine lequel L’Oréal s’est de longue date montré très actif. De son côté, Nike propose aux utilisateurs de tester leurs modèles via une expérience "visual red carpet". Au-delà de ces offres, le groupe Facebook mise sur l’ajout progressif d’expériences conçues par les marques internationales pour les mobiles, terminaux qui génèrent 85 % des revenus publicitaires du réseau social.

  • Imprimer

    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #Amazon fait une #offre sur le #leader #indien #Flipkart, aussi convoité par #Walmart | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2rfJLm6

    #Amazon fait une #offre sur le #leader #indien #Flipkart, aussi convoité par #Walmart

    Une bataille sans merci est engagée entre les deux groupes américains, qui souhaitent devenir actionnaires majoritaires de l'e-commerçant afin de se positionner sur le marché indien de la vente en ligne, qui pèsera 28 milliards de dollars en 2020. 

    Amazon aurait déposé le 1er mai une offre formelle de rachat de 60% des parts de l'e-commerçant indien Flipkart, convoité depuis 2016 par son rival numéro un, Walmart, rapporte la chaîne de télévision indienne CNBC-TV18 qui cite des sources anonymes.

    Cette offre est loin d'être une surprise. Amazon avait indiqué en juin 2016 qu'il prévoyait d'investir 5 milliards de dollars en Inde dans les prochaines années. Devenir actionnaire majoritaire de Flipkart lui permettrait d'éviter que l'e-marchand indien ne signe avec Walmart et ne bénéficie de son expertise dans la logistique pour gagner des points dans le pays, au dépend d'Amazon. Le groupe de Jeff Bezos aurait intégré à son offre une clause de non-concurrence entre Amazon et Flipkart, selon CNBC-TV18. Elle inclut également une indemnité de rupture de contrat de 2 milliards de dollars, que Flipkart devra payer s'il décide finalement de se vendre à une autre entreprise comme…. Walmart.

    Alibaba en embuscade

    Mais rien ne dit pour l'instant que Flipkart signera avec Amazon. Le groupe est engagé depuis deux ans dans des négociations avec Walmart, aujourd'hui très avancées. L'américain propose de racheter plus de 80% de l'e-marchand. Il aurait, selon la chaîne de télévision, l'accord des fondateurs de Flipkart et de plusieurs investisseurs (l'entreprise en compte 145 au total).

    Flipkart, qui empocherait 40% des revenus de l'e-commerce en Inde selon Forester, est une prise de choix pour les deux entreprises qui essayent de poser un pied sur le marché indien de la vente en ligne, qui pèsera 28 milliards de dollars en 2020, selon des estimations du cabinet Kotak Institutional Equities. L'entreprise était valorisée plus de 11 milliards de dollars lors de sa dernière levée de fonds d'1,4 milliard de dollars, bouclée en 2017. Mais celui qui emportera le morceau ne sera pas au bout de ses peines. Il devra faire face sur place à la concurrence du chinois Alibaba, qui a investi 200 millions de dollars pour prendre 36% des parts de Paytm E-Commerce, le principal concurrent de Flipkart dans le pays.