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    [#CONSOLAB] [LIVRAISON] | Avec #Marketplace+, #Deliveroo espère étendre sa #couverture #géographique | @LUSINEDIGITALE

    DE LENA COROT | L'USINE DIGITALE |

    Avec #Marketplace+, #Deliveroo espère étendre sa #couverture #géographique

    Deliveroo lance Marketplace+ ce mardi 26 juin 2018 en France. Avec ce nouveau service, les restaurants opérant leur propre flotte de livreurs peuvent rejoindre la plate-forme de livraison de repas à domicile en utilisant leurs livreurs ou ceux de Deliveroo. Nouveau service sur lequel mise Hugues Décosse, directeur général de Deliveroo France, pour s’implanter dans de nouvelles villes.

    Deliveroo lance Marketplace+ ce mardi 26 juin en France. Les restaurants peuvent désormais intégrer la plate-forme Deliveroo avec leur propre flotte de livreurs. Ces restaurants peuvent choisir d’utiliser soit leurs livreurs, soit ceux la flotte de Deliveroo, soit les deux. Si ce sont les livreurs du restaurant qui s’occupent de la livraison, une mention est ajoutée sur l’application puisque le prix de livraison peut varier et que le client ne pourra pas suivre en direct cette dernière.

    Augmenter sa couverture géographique

    L’objectif pour Deliveroo est "d’augmenter [sa] couverture géographique et la profondeur du service proposé aux clients", explique Hugues Décosse, directeur général de Deliveroo France. D’ici un an, Deliveroo souhaite couvrir "1/4 des foyers en France soit 7,5 millions de foyers contre les 5 millions de foyers couverts aujourd’hui", ajoute-t-il. Cette expansion passe par l’ajout de 50 villes supplémentaires desservies par l’application, ainsi que l'augmentation du nombre de restaurants, à hauteur d'"un millier de restaurants supplémentaires d’ici les six prochains mois", précise Hugues Décosse.

    A l’aide de Marketplace+, Deliveroo va essayer de s’implanter dans "des villes nouvelles dans lesquelles la plate-forme n’avait pas forcément vocation à développer son activité", explique-t-il. Dans des villes de plus petites tailles, un nombre suffisant de restaurants propose déjà la livraison à domicile et ces villes ne disposent pas de suffisamment d’habitants pour que Deliveroo y développe une flotte indépendante. Marketplace+ est donc une façon pour la plate-forme de livraison de mettre un premier pied dans ces villes, avant éventuellement d’y développer une flotte de livreurs.

    Pour le lancement en France, ce sont quelques dizaines de restaurants supplémentaires qui vont être proposés. Le service Marketplace + est déjà opérationnel au Royaume-Uni et sera lancé dans la semaine en Irlande, en Belgique et aux Pays-Bas. Les autres pays dans lesquels Deliveroo est présent devraient suivre d’ici fin juillet 2018.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | #Google #renomme l'ensemble de ses #solutions #publicitaires | @ECOMMERCEMAG

    DE CLEMENT FAGES | ECOMMERCE MAG | http://bit.ly/2N4TIgb

    #Google #renomme l'ensemble de ses #solutions #publicitaire

    Exit Adwords, DoubleClick ou Analytics ! Place à Google Ads, Google Marketing Platform et Google Ad Manager : 18 ans après le déploiement de ses premières offres publicitaires, Moutain View veut rendre celles-ci plus lisibles auprès des annonceurs et des agences.

    Pour faire monter l'attention autour de son événement Google Marketing Live le 10 juillet prochain lors duquel seront dévoilées de nouvelles offres, Moutain View annonce aujourd'hui la refonte de ses offres destinées aux professionnels de la publicité et du marketing.

    Après avoir lancé Google AdWords en l'an 2000, le géant américain dévoile ainsi Google Ads, qui doit remplacer le premier et regrouper l'ensemble des fonctionnalités publicitaires proposées sur Google.com, YouTube.com et sur son réseau de sites tiers Google Display Network. Dans la même idée, DoubleClick et Google Analytics 360 Suite deviennent Google Marketing Platform, un espace où les marketeurs pourront planifier leurs campagnes, de l'achat média à la mesure de performance. Enfin, les offres spécifiques aux éditeurs que sont DoubleClick for Publishers et DoubleClick Ad Exchange deviennent Google Ad Manager, une "plateforme programmatique complète et unifiée", explique l'entreprise dans un communiqué qui célèbre les campagnes les plus efficaces menées depuis 18 ans.
     
    "Les annonces Google ont évolué au fil des années. Au départ, elles permettaient aux responsables marketing de toucher les utilisateurs dans la recherche Google. Désormais, elles leur servent à interagir avec les consommateurs à chaque étape du parcours client via des formats textuels, vidéo, graphiques et plus encore. C'est la raison pour laquelle nous simplifions aujourd'hui nos produits publicitaires", avance Sridhar Ramaswamy, senior vice-président de la publicité et du commerce chez Google, dans un post de blog où il explique viser notamment avec ces offres les PME, alors que l'amélioration de la transparence est des outils de contrôle est aussi évoquée.

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    [#CONSOLAB] [ENGAGEMENT] | #UE : #Amazon, #Alibaba, #Rakuten et #eBay vont accélérer le #retrait des #produits #dangereux | @LSA

    DE LELIA DE MATHAREL | LSA | http://bit.ly/2txwUxp

    #UE : #Amazon, #Alibaba, #Rakuten et #eBay vont accélérer le #retrait des #produits #dangereux

    Les quatre grandes plateforme d'e-commerce se sont engagées auprès de la Commission européenne à raccourcir les délais de traitement des demandes de retrait de ces articles effectuées par les pays membres et les consommateurs.

    Quatre géants de l'e-commerce, les américains Amazon et eBay, le chinois Alibaba et la branche française du japonais Rakuten se sont engagés auprès de la Commission européenne à retirer rapidement les produits dangereux commercialisés sur leurs plateformes, en propre ou par des marchands tiers. Concrètement, ils disposeront d'un délai de deux jours pour répondre aux notifications relatives à ces produits publiées par les autorités des États membres et de cinq jours pour prendre des mesures concernant les articles signalés par des consommateurs. Ces derniers disposeront dès l'application de cet accord d'un moyen clair de signaler ces marchandises sur ces quatre sites.

    D'autres plateformes appelées à se joindre à cette initiative

    Rakuten France, Alibaba, Amazon et eBay formeront désormais les vendeurs tiers qui commercialisent des articles sur leurs sites sur ces questions et leur imposeront de se conformer à la législation. Pour l'instant, les mesures concrètes que prendront les quatre géants pour y parvenir n'ont pas été détaillées, mais on peut imaginer qu'ils fermeront les boutiques en ligne des entreprises qui ne respecteront pas la réglementation européenne. Les e-commerçants se sont également engagés à prévenir la réapparition de ces marchandises sur leur plateforme.

     
    Les clients "devraient disposer de la même sécurité lorsqu'ils effectuent des achats en ligne que lorsqu'ils font leurs achats dans un magasin", souligne Vera Jourová, commissaire européenne chargée de la justice, des consommateurs et de l'égalité des genres dans un communiqué. "J'appelle également les autres marchés en ligne à se joindre à cette initiative, afin qu'internet devienne un espace plus sûr pour les consommateurs de l'UE", poursuit-elle.

     

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    [#CONSOLAB] [MAKE-UP] | « Les #consommatrices #brésiliennes sont une source d’#inspiration #stratégique pour L’#Oréal » | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE KRISTEL MILET | PREMUIM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2yNmfE6

    « Les #consommatrices #brésiliennes sont une source d’#inspiration #stratégique pour L’#Oréal » Delphine Allard, L’Oréal Brasil 

    Ouvert en 2017, le nouveau centre de Recherche & Innovation de L’Oréal au Brésil est unique par sa conception tournée vers la durabilité et son organisation qui favorise la flexibilité et les échanges. Situé à quelques pas du campus de l’université fédérale de Rio de Janeiro, ce centre fait figure de modèle au sein du groupe, tout en illustrant la volonté de L’Oréal d’investir au Brésil. Explications par Delphine Allard, Directrice Recherche & Innovation de L’Oréal Brasil.

    Premium Beauty News - Quelle est la position de ce centre d’innovation au sein du groupe L’Oréal ? 

    Delphine Allard - Il fait partie du réseau international de centres d’innovation de L’Oréal dans le monde, qui comprend cinq autres hubs, au Japon, en Chine, en Inde, aux États-Unis, et en Afrique du Sud, tous travaillant en coordination avec les centres de recherche en France.

    Nous avons inauguré un bâtiment de dernière génération l’année dernière sur l’île de Bom Jesus près de Rio, mais l’activité R&I existait déjà au Brésil depuis 2009 sur quatre sites différents. Le nouveau site nous a permis de regrouper toutes les équipes et de gagner en efficacité.

    Premium Beauty News - Quels sont les enjeux de cet investissement ?

    Delphine Allard - Le Brésil est le 4e marché mondial de la beauté, il a donc une importance stratégique, mais si le groupe L’Oréal a choisi d’investir dans cette mesure, c’est aussi en raison de la diversité que l’on peut trouver ici. Le Brésil est ainsi le seul pays où l’on peut facilement trouver les huit types de cheveux de notre classification, du plus raide au plus bouclé. Par ailleurs, sur les 66 teintes de peau du système de classification déterminées par L’Oréal, 55 se trouvent au Brésil. Pour nous, c’est une source d’inspiration très importante. Répondre à toute cette diversité c’est quasiment répondre à toute la diversité du monde.

    Il y a également l’importance de la beauté pour les femmes brésiliennes. Ce sont des femmes parmi les plus exigeantes au monde et parmi les plus expertes. Il était essentiel que d’approcher au plus près de cette source d’inspiration stratégique, afin de comprendre leurs routines et répondre à leurs besoins. Dans ce centre nous avons les ressources en termes d’installations et d’équipements pour les recevoir et les comprendre.

    Premium Beauty News - Y a-t-il des spécificités dans la Recherche de L’Oréal Brasil ?

    Delphine Allard - La principale mission de notre centre R&I est de développer des produits basés sur les besoins des consommateurs locaux mais avec un potentiel global. Du fait des conditions climatiques, des traitements agressifs et de certaines natures de cheveux, la femme brésilienne va dans sa routine, utiliser une moyenne de 5 produits de soin capillaire en moyenne par jour, contre 3 pour les américaines ou les européennes. Par conséquent, le capillaire est largement la catégorie prioritaire sur laquelle nous nous focalisons.

    Nous avons lancé l’année dernière notre premier traitement sans rinçage adapté aux cheveux très abimés des brésiliennes, Elsève Cicatri Renov. Ce produit a ensuite conquis le marché américain et depuis peu l’Europe sous le nom des Cica Crème. C’est un exemple typique d’une innovation développée au Brésil qui dispose d’un potentiel global.

    Premium Beauty News - Travaillez-vous sur d’autres catégories ?

    Delphine Allard - La seconde catégorie phare est le solaire, en particulier les produits de protection pour le visage. Les forts indices UV et le climat humide du Brésil nous conduisent à répondre à des besoins très spécifiques, à savoir une protection très élevée, longue durée ainsi qu’un touché matifiant, l’effet ‘toque seco’ pour les besoins des peaux grasses.

    Le laboratoire a pu apporter une réponse à ces besoins en s’inspirant notamment d’une technologie initialement destinée au skincare, développée par le réseau international de la Recherche L’Oréal. Il s’agit de la technologie AIRlicium, au pouvoir d’absorption d’humidité et de sébum extrêmement élevé. À partir de cette innovation, nous avons lancé une gamme spécifique Anthelios AIRlicium de La Roche Posay avec une très haute protection pouvant aller jusqu’à un SPF 70. Les femmes ici peuvent utiliser un indice de protection de 70 au quotidien, ce qui met la barre encore plus haut en termes de la sensorialité du produit, et de tenue.

    Lancée au départ en version blanche et teintée, la gamme Anthelios AIRlicium s’est agrandie cette année de trois nouvelles nuances pour répondre à la diversité de couleurs de peaux dans tout le pays. Cette gamme nous permet d’être aujourd’hui leader sur la catégorie en croissance élevée des solaires teintés qui représente 45% du marché des solaires.

    Ce produit, de par ses spécificités, n’est pour l’instant dédiée qu’au marché brésilien, mais nous évaluons le potentiel et travaillons sur une version qui pourrait être plus adaptée mondialement.

    Premium Beauty News - En quoi ce centre R&I L’Oréal Brasil est-il un modèle du genre au sein du réseau L’Oréal ?

    Delphine Allard - Nous avons une installation complètement up to date avec un laboratoire Flex unique au sein du groupe L’Oréal. Il n’est pas segmenté par catégorie mais par activité (pesée, contrôle ou fabrication …). Au-delà de l’intérêt d’améliorer les flux et de capitaliser sur les équipements, cela nous permet de favoriser la cross fertilisation entre les catégories. Un technicien peut formuler un soin pour les cheveux à côté de quelqu’un qui travaille sur du sun care, et échanger sur les textures, les protocoles … Cela génère des idées, un espace de collaboration et de créativité plus important. En ce sens nous sommes uniques et devenons un modèle pour les autres centres.

    Nous avons également une partie évaluation exemplaire avec toutes les installations pour travailler encore une fois au plus près des consommatrices, que ce soit pour la conception avec des co-créations, ou pour l’évaluation des produits depuis leur phase de prototypage jusqu’à leur validation finale.

    Ce concept de co-création est très intéressant, il nous a permis de lancer par exemple l’année dernière pour la marque locale Niely, une gamme dédiée aux cheveux bouclés conçue avec les consommatrices brésiliennes, o Diva de Cachos. Elles ont été consultées du début du projet jusqu’au choix final du nom.

    Premium Beauty News - Le formidable potentiel qu’offre la biodiversité brésilienne est-il une autre forme d’inspiration pour la Recherche ?

    Delphine Allard - Au côté de l’activité développement de produits, nous avons une activité Advanced Research dont le rôle principal est de découvrir, travailler et valoriser mondialement les ingrédients de la biodiversité brésilienne. Nous avons la chance d’avoir accès au Brésil à des ingrédients inspirant aux performances uniques.

    Pour cela nous travaillons avec les fournisseurs locaux ou directement en partenariat avec les communautés locales dans le cadre du programme Sharing Beauty with All. Il en ressort déjà un certain nombre de projets sur des ingrédients identifiés comme inspirants et performants, comme le kamu kamu pour Vichy, le murumuru, le cupuaçu ou le pracaxi.

    Premium Beauty News - Les femmes brésiliennes préfèrent-elles les cosmétiques contenant des ingrédients brésiliens ?

    Delphine Allard - Ce qui est important pour elles ce sont les ingrédients naturels en général. La tendance à la naturalité est importante pour beaucoup d’entre elles mais en revanche elles ne vont jamais compromettre la performance pour la naturalité.

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    [SALON] | #Promise #Consulting participe à la 4ème édition des #Chemins de l'#Innovation | @COMEDIA

    LES CHEMINS DE L'INNOVATION | PROMISE CONSULTING

    #Promise #Consulting participe à la 4ème édition des #Chemins de l'#Innovation

    Promise Consulting sera présent à la 4ème édition des Chemins de l’Innovation en tant qu’exposant mais aussi que speaker. Nous aurons l’occasion d’aborder notre cœur de métier : « Donner aux études marketing tout leur sens en privilégient une démarche sur-mesure ».

    Notre présence à cette journée des Chemins de l’Innovation représente pour nous le partage de valeurs communes avec l’Observatoire Com Media comme l’innovation, le ROI, la transparence et la fidélité.

    Rendez-vous le 28 juin, au cœur des innovations de l’univers du marketing et de la communication.

    Télécharger le programme

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    [#CONSOLAB] [LIVRAISON] | #Cdiscount lance à #Paris la #livraison sur des #créneaux de #30mn | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2KkHlLe

    #Cdiscount lance à #Paris la #livraison sur des #créneaux de #30mn

    Chronopost stocke les colis dans les consignes automatiques du réseau Pickup et Stuart se charge du dernier kilomètre. Le lancement de ce nouveau service fournit aussi à Cdiscount l'occasion d'annoncer que Pierre-Yves Escarpit est nommé directeur général adjoint en charge de la supply chain.

    Cdiscount, qui propose déjà la livraison le jour-même à Paris, Bordeaux, Lille, Lyon, Strasbourg et Marseille en partenariat avec Chronopost, va un cran plus loin aujourd’hui. Il annonce que ses clients parisiens peuvent, à partir de ce 25 juin, se faire livrer par vélo ou vélo-cargo sur un créneau horaire de leur choix de 30 minutes une commande passée la veille. Un service développé par Chronopost et Stuart (groupe La Poste) qui s’appuie sur un réseau de consignes.

    En pratique, dès la commande passée, Chronopost collecte le colis dans les entrepôts de Cdiscount et le transporte jusqu’à la consigne Pickup (réseau qui, comme Chronopost, appartient à DPDgroup) la plus proche du destinataire. Celui-ci reçoit un mail et un SMS l’invitant à programmer un créneau de livraison de livraison de 30mn, soit le jour-même (et dès la mise à disposition du colis dans la consigne) jusqu’à 22h, soit l’un des sept jours suivants entre 10h et 22h. Stuart affecte alors à l’un de ses coursiers le soin d’aller retirer le colis dans la consigne et de le livrer au client. Le service est lancé à Paris dans un premier temps mais bien entendu attendu dans d'autres villes.

    ... et une nomination

    "La livraison est aujourd’hui une composante fondamentale de l’acte d’achat et par conséquent un élément clé de notre compétitivité, commente Pierre-Yves Escarpit, directeur des opérations de Cdiscount depuis 2013 et nouvellement promu directeur général adjoint en charge de la supply chain. Après la livraison le dimanche et la livraison le même jour, ce partenariat nous permet d’étoffer notre palette de solutions de livraison et de proposer à nos clients une offre toujours plus innovante et flexible s’adaptant à tous leurs besoins."

    La rapidité d’expédition et la précision de la livraison sont aujourd’hui des arguments de différentiation majeurs pour les e-commerçants, ajoute d’ailleurs Cdiscount dans un communiqué, précisant que 85% des e-shoppers européens souhaitent que leur site marchand favori propose une livraison J+1 (baromètre 2017 du e-shipper, DPDGroup) et que 78% des consommateurs considèrent que l’heure d’arrivée estimée et la localisation en temps-réel de leur produit sont les informations les plus importantes (Etude YouGov & Infor « Attentes des consommateurs sur l’omni-shopping », avril 2018).

    Ce nouveau mode de livraison ne manque pas d’attrait, puisque comme le conclut Antoine Carteyron, directeur général de Stuart : "Rapprocher les commandes du client final nous donne un double avantage : honorer une promesse de rapidité et de livraison sur créneaux courts inégalée, mais surtout pouvoir effectuer l’ensemble de ces livraisons au cœur des villes en mode doux, en vélo ou vélo-cargo."