En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Les dépenses de consommation des ménages français ont chuté de 17,9 % en mars par rapport à février en raison du confinement, soit la plus forte baisse mensuelle enregistrée depuis 40 ans que cet indicateur est mesuré.
« La consommation de biens fabriqués chute lourdement (-42,3 % après -0,6 % en février) et les dépenses en énergie baissent fortement (-11,4 % après -0,9 %). Seule la consommation alimentaire augmente nettement (+7,8 % après -0,1 %) », détaille l’Insee dans un communiqué ce jeudi.
Sur l’ensemble du premier trimestre 2020, la consommation des ménages baisse très nettement (-7,3 %), souligne l’Insee, qui ajoute que le recul pour février, initialement annoncé à 0,1 %, a finalement été accentué et atteint -0,5 %.
Au lendemain des annonces de Matignon concernant le déconfinement, Bercy pose les bases d'un encadrement de la distribution de masques dans l'Hexagone. Les grandes enseignes de distribution se sont engagées sur des prix allant de 2 à 3 euros pour les masques réutilisables en tissus, contre 1 euro pour les masques à usage unique. Mais, alors que de nombreux portails vendent désormais des masques produits par des industriels comme des artisans, se pose désormais la question d'un encadrement des prix pour limiter arnaques et abus.
A compter du 4 mai, les enseignes de la grande distribution alimentaire (Auchan, Aldi, Carrefour, Colruyt, Cora, Groupe Casino, Intermarché, Leclerc, Lidl, Netto, Supermarché Match, Système U) mettront progressivement en vente des masques grand public (en tissu et réutilisables) et des masques à usage unique. Avec des approvisionnements qui monteront en puissance après le 11 mai. Les enseignes vont par ailleurs devoir élaborer des guides de bonnes pratiques devant accompagner les produits.
24 HEURES AVEC. Quel est votre quotidien en pleine crise du coronavirus ? Chaque jour, Presse Océan part à la rencontre de lectrices et lecteurs. Aujourd’hui, le journaliste nantais Pascal Praud.
Le plus Nantais des Parisiens ne chôme pas pendant la crise du coronavirus, n’en déplaise à ses détracteurs. Pour lui, rien n’a changé ou presque puisqu’il continue à exercer son métier de journaliste pour Cnews et pour RTL. Et sa vie est réglée comme du papier à musique. Son réveil sonne à 5 h 45 et il se couche chaque soir à 23 h. Je suis très discipliné et j’ai vraiment besoin de dormir pour être en forme. D’ailleurs, il ne faut pas couper le rythme, pas manger trop, pas picoler non plus, un peu comme un sportif.
Actuellement, Pascal Praud vit son métier comme un bienfait : On a la chance de travailler, de bouger, ce qui est un luxe par rapport à tous les gens qui doivent rester confinés. Et on travaille dans de bonnes conditions. Nous ne sommes pas au contact comme les soignants, les caissières, les éboueurs… Il faut simplement appliquer les « gestes barrière ». Sur Cnews le matin, je ne reçois plus que quatre invités, contre six auparavant, pour garder une distance de sécurité. On n’est surtout pas à plaindre.
Le géant américain de la logistique Amazon annonce qu'il prolonge jusqu'au 5 mai la suspension de l'activité de ses centres de distribution en France, après une décision de justice lui imposant d'évaluer les risques liés à l'épidémie de Covid-19.
« Il sera demandé aux collaborateurs d'Amazon de rester chez eux jusqu'au 5 mai inclus - ils percevront leur plein salaire », annonce le groupe dans un communiqué. Les centres de distribution d'Amazon sont fermés depuis le 16 avril.
La cour d'appel de Versailles a donné raison le 24 avril aux syndicats qui réclamaient une réelle évaluation des risques liés au nouveau coronavirus, venant confirmer une décision du tribunal de Nanterre dix jours plus tôt. La cour d'appel a précisé et élargi la liste des produits qu'Amazon peut continuer à livrer dans l'attente de cette évaluation et a fixé une astreinte de 100 000 euros par infraction.
Promise Consulting| Panel On The Web vous souhaite de très bonnes Fêtes de fin d'année 2019 et avec quelques jours d'avance, nos Meilleurs Voeux pour l'année 2019.
2020, UNE ANNÉE PLEINE DE PROMESSES
Chez Panel On The Web, nous sommes profondément convaincus que l'année 2020 est une année forte de transition, avec une double certitude :
Une année de consolidation pour l'économie de la donnée : les annonceurs sont aujourd'hui demandeurs de ROI L'investissement dans le digital et la data est aujourd'hui une réalité. Ce qui l'est moins, c'est la mesure de la contribution des approches Big Data, intelligence artificielle, et autres formes de data science à la construction d'un capital marque solide et pérenne du point de vue du consommateur. Cet enjeu est un des chantiers prioritaires pour 2020 : quelle répartition offline et online de mes ressources en communication, marketing et ventes optimise le développement de ma marque, et au final de mon business ? Nous venons fort à propos de développer une approche par le plan d'expérience pour répondre de manière scientifique à cette interrogation partagée par de nombreux secteurs d'activité.
Une année où le marketing doit retrouver un juste équilibre entre le HOW et le WHY : soyons clair, annonceurs et instituts ont privilégié un marketing des canaux et de la donnée, privilégiant l'efficacité, à un marketing de l'offre et de la réponse aux attentes, plus en phase avec l'efficience. Il ne s'agit pas d'opposer efficacitéetefficience, les deux sont nécessaires. Mais il n'y a pas de marques fortes sans une priorité donnée à l'offre et une réponse à la seule question qui importe : POURQUOI les clients achèteraient-ils ma marque ? Quelle valeur délivre-t-elle sur le marché ? En quoi contribue-t-elle à rendre "le monde meilleur" ? L'année 2020 signera le retour d'un marketing davantage orienté vers la détection des attentes, l'innovation utile, pour une approche plus éthique du consommateur-citoyen.