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    [#CONSOLAB] [MAGASIN] | Comment #Fnac-Darty veut vous #fidéliser... et contrer #Amazon | @CHALLENGES

    DE CLAIRE BOULEAU | CHALLENGES | http://bit.ly/2yJzp4g

    Comment #Fnac-Darty veut vous #fidéliser... et contrer #Amazon

    Darty lance ce lundi son nouveau service Darty+ qui, pour 49 euros par an, offre la livraison illimitée dans les enseignes Fnac et Darty, ainsi qu'une assistance technique au quotidien. Une nouvelle arme dégainée pour fidéliser le consommateur et rivaliser avec Amazon.

    C'est un nouvel appel du pied, un clin d'oeil supplémentaire, une main tendue de plus au consommateur français. 44 ans après avoir inventé le contrat de confiance, ce lundi 9 octobre, le spécialiste du service après vente Darty dévoile une nouvelle arme pour séduire ses clients: Darty+. Pour 49 euros par an, ce programme offre la livraison illimitée, ainsi que le bouton Darty, cet objet connecté qui permet de bénéficier par téléphone d'une assistance technique immédiate et illimitée et d'un service après vente pour tous les produits, achetés chez Darty ou non.

    Fnac-Darty, fidéliser, Amazon

    Lancé un an après Fnac+, Darty+ coûte le même prix et propose une offre similaire (à l'exception du bouton Darty qui n'existe pas dans Fnac+). Il incarne une étape supplémentaire dans l'intégration entre Fnac et Darty, suite au rachat du deuxième par le premier à l'été 2016: désormais, les abonnés à Darty+ comme ceux à Fnac+ bénéficient de la livraison illimitée dans les deux enseignes. Dès lors, pourquoi pas un unique programme Fnac-Darty+? "Nos deux bases de clients se recoupent peu", justifie Simon Ilardi, directeur fidélisation et animation client de Fnac-Darty. "De plus, nos clients Darty et Fnac ont des attentes et besoins différents. Les premiers, autour du foyer, du service, de la réparation après l'achat. Les deuxièmes, davantage autour du plaisir, de la découverte, du conseil avant l'achat."

    L'enjeu derrière ces deux abonnements se révèle en tout cas identique. "Aujourd'hui, la bataille qui se joue, c'est la bataille de la fidélité et de la satisfaction client", martèle Alexandre Viros, directeur e-commerce, marketing et marque de Fnac-Darty. Et cette bataille se joue avant tout pour faire face à l'enseigne préférée des Français: Amazon. La menace du géant américain sur la survie des commerçants français, martelée chaque semaine dans la presse, peut sembler exagérée. A tort. Tous les dirigeants du secteur reconnaissent qu'ils surveillent avec un mélange d'admiration et d'appréhension la progression tentaculaire de l'Américain dans l'Hexagone.

    Reste que ces champions locaux ne se battent pas à armes égales. Quand le groupe de Jeff Bezos peut dépenser plus de 7 milliards de dollars en frais d'expédition chaque année, soit l'équivalent du chiffre d'affaires de Fnac-Darty, ce dernier a-t-il, lui, les moyens d'offrir la livraison illimitée pour seulement 49 euros par an? "Il faut arrêter de voir le service comme un coût, c'est un investissement dans le client", rétorque Alexandre Viros. "De plus, nous avons la chance d'avoir des magasins, qui sont au service de la promesse de livraison rapide. Nous offrons le click and collect en magasin en 1h donc nous sommes mieux disant qu'Amazon!"

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    [CONSO LAB] [E-COMMERCE] | #Amazon va ouvrir un #bar #éphémère à #Tokyo | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2ygjokS

    #Amazon va ouvrir un #bar #éphémère à #Tokyo

    L’e-commerçant poursuit ses tests dans le brick and mortar et va ouvrir pendant une courte période de 10 jours, un pop-up bar dans la ville de Tokyo au Japon. Il y servira des vins, de la bière, du saké ou encore du whisky.

    C’est une courte période même pour un concept éphémère. Pendant 10 jours à partir du 20 octobre prochain, le centre commercial de Chuo-ku situé dans le quartier huppé de Ginza à Tokyo - où se trouvent également des enseignes Louis Vuitton et Apple - , accueillera un bar aux couleurs d’Amazon. L’e-commerçant, qui a commencé à commercialiser de l’alcool sur sa plateforme japonaise en 2014, a prévu pour son pop-up bar, d’y vendre du vin, de la bière, des cocktails, du whisky ou encore du saké. Le bar ne devrait pas avoir de menu, mais des serveurs seront présents pour orienter les clients vers un choix de boisson, et selon le site dédié à la présentation du concept, les prix au verre seront compris entre environ 4 euros et 11 euros.

    Amazon, bar, éphémère, Tokyo

    Alors qu'Amazon a ouvert plusieurs librairies aux Etats-Unis, racheté Whole Foods pour près de 14 milliards de dollars, et teste un concept de marché alimentaire sans caisses ‘Amazon Go’ dans la ville de Seattle, c'est la première fois qu’il teste l’exploitation d’un bar. Un moyen, probablement, de promouvoir sa gamme de produits alcoolisés vendus sur son site marchand au Japon. Dans l'empire du soleil levant, l’e-commerce est dominé par le groupe Rakuten – propriétaire de PriceMinister en France. Le groupe est aussi à la tête de deux ‘Rakuten Café’ installés dans la capitale japonaise, au sein desquels il propose des boissons, des en-cas, tout en mettant en scène ses liseuses (Kobo).

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    [CONSO LAB] [E-COMMERCE] | Non, #Amazon ne va pas #racheter tout le monde | @LSA

    DE FRANCOIS DESCHAMPS | LSA | http://bit.ly/2yqShor

    Non, #Amazon ne va pas #racheter tout le monde

    Depuis le rachat de la chaîne de magasins bios Whole Foods par Amazon, de nombreuses rumeurs alimentent l'idée selon laquelle le géant américain aurait des velléités de rachats sur un distributeur français. De Carrefour, en passant par Monoprix, jusqu'Intermarché, tous ou presque auraient été à un moment ou un autre dans le viseur d'Amazon.

    Affolement général ? A en croire de nombreux médias qui multiplient les articles en ce sens ces derniers temps, Amazon aurait l’intention de mettre la main sur un distributeur français dans un avenir plus ou moins proche. Depuis l’acquisition des magasins bios Whole Foods, et l’impact inattendu qu’a eu cette opération sur les valeurs boursières des retailers européens, les rumeurs de salle de marché enflent autour de l’hypothèse selon laquelle Amazon pourrait assouvir une sorte de gloutonnerie soudaine pour le retail physique français. En s’offrant pourquoi pas Carrefour, Intermarché, Système U et, allez, Monoprix !

    Experts et analystes de tous bords ont des positions contradictoires sur la question. Certains pensent que cela va arriver quand d’autres estiment qu’Amazon va d’abord devoir absorber Whole Foods avant de sortir de nouveau son carnet de chèque. Y a-t-il eu des discussions entre Amazon et des distributeurs français ? Assurément, car cela fait partie de leur travail… de discuter et de regarder d’autres business model potentiellement compatibles avec le leur. Amazon a-t-il réussi à en convaincre un (ou deux, ou trois) ? Visiblement pas. « Ils ont démarché tout le monde mais n’ont pas reçu de retours positifs », a ainsi déclaré un distributeur (anonyme) au journal Le Monde.

    Amazon, racheter

    Dernière rumeur en date, aussi relayée par le quotidien, la volonté du géant de l'e-commerce d'ouvrir une quinzaine de points de vente à Paris sur le modèle d'Amazon Go à Seattle. Avant de reprendre des emplacements dans les centres villes du monde entier, encore faut-il sans doute que ce concept de supermarché sans caisse fonctionne dans sa ville natale, puisque le concept est toujours en train d'être rodé auprès des salariés. Et les Londoniens qui, en février, avaient lus dans la presse une rumeur similaire... attendent toujours. Autrement dit, beaucoup de bruit pour, in fine, peu d’actions concrètes. On ne prête qu'aux riches ? Une chose est certaine, ces rumeurs servent encore et surtout Amazon qui profite ainsi d'une omniprésence médiatique. Et ce n’est pas ce dernier qui s’en plaindra.

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    [CONSO LAB] [DIGITAL] | #Facebook et #Amazon se lancent dans le #prospectus augmenté | @LSA

    FROM JULIE DELVALEE | LSA | http://bit.ly/2wYtRkW

    #Facebook et #Amazon se lancent dans le #prospectus augmenté

    Facebook vient de lancer un « lifestyle templates » sorte de catalogue en ligne. Amazon, de son côté, propose depuis cet été à ses abonnés Amazon Prime un réseau social sur lequel les internautes se mettent en scène avec des produits achetés sur le site. A chaque fois, l'achat est facilité en partant du visuel. Le début d’une nouvelle ère pour le prospectus ? 

    Quand le digital copie et adapte les bonnes recettes marketing des magasins physiques. Deux mastodontes des GAFA se lancent dans l’aventure du prospectus digital, chacun à leur façon. Dernier en date, Facebook a annoncé cette semaine dans la presse américaine l’arrivée d’un nouvel outil à la disposition de ses millions de membres, baptisé « Lifestyle templates »(Traduire : des modèles de style de vie). Le format s’inspire très largement de l'apparence d'un catalogue papier, relate Business Insider. Avec un avantage supplémentaire non négligeable : les internautes clients peuvent acheter directement à partir de ce prospectus en cliquant sur l’objet convoité. "Il y a des éléments que nous apportons à l'expérience qui est vraiment spécifique au mobile et à Facebook", rapporte Graham Mudd, directeur du marketing de monétisation chez Facebook, à Business Insider.

    Si cet outil a été très remarqué, le site de Zuckerberg n’est pourtant pas le premier à adapter le catalogue au numérique. Cet été, Amazon a lancé Amazon Spark, sorte d’Instagram où les membres d’Amazon Prime peuvent se prendre en photo avec des produits achetés sur le site. Les autres abonnés peuvent liker, commenter le produit et même cliquer dessus…. Pour se rendre sur la fiche produit. Une nouvelle façon de susciter l’achat en ligne, en partant là aussi d'un visuel mis en scène.

    Amazon, Facebook, prospectus

    En France, Bonial s’essaie déjà sur ce créneau. La filiale du groupe Axel Springer, leader en France, propose des prospectus digitaux et poussent les promotions les plus pertinentes selon les habitudes d’achat de ses abonnés. Dans une étude récemment menée pour mesurer la performance de son service, Bonial a assuré que les grandes surfaces alimentaires bénéficient de + 60 % de trafic supplémentaire grâce aux lecteurs de catalogues digitaux ; le discount alimentaire recueille quant à lui un passage en magasins supérieur de 53 %. Mais pourquoi copier le modèle du prospectus ?

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    [CONSO LAB][E-DISTRIBUTION] | #Amazon perd l'exclusivité de son #innovation la plus importante | @BFMTV

    FROM FREDERIC BIANCHI | BFM BUSINESS | http://bit.ly/2vRrqgq

    #Amazon perd l'exclusivité de son #innovation la plus importante : l'achat en un clic

    Déposé en 1997, le brevet d'achat en un clic d'Amazon n'a l'air de rien mais il pourrait expliquer une bonne partie du succès de la société ces vingt dernières années. À compter de ce mardi, tous les sites pourront l'utiliser gratuitement.

    Quelle est la plus grande innovation d'Amazon ? La liseuse Kindle ? La place de marché? L'abonnement Prime ? La livraison le jour même ? Les entrepôts ultra-modernes ? Rien de tout cela vous répondront la plupart des spécialistes du secteur du e-commerce. Son innovation la plus majeure est l'achat en un clic.

    En 1997, Amazon n'est qu'une toute petite librairie en ligne qui n'a que deux ans d'existence mais les ambitions de son patron n'en sont pas moins colossales. Il veut devenir le plus gros commerçant de la planète, rien que ça. Jeff Bezos comprend très vite que pour y parvenir, il devra jouer sur les trois leviers que sont le choix, le prix et surtout les services. Et pour Amazon ce sont ces derniers qui feront la différence avec les concurrents. Tout faire pour simplifier la vie du client, voilà le credo d'Amazon. D'ailleurs Jeff Bezos le résumait en 2013 dans une interview à la Harvard Business Review: "Nous ne gagnons pas d’argent lorsque nous vendons des livres. Nous gagnons de l’argent lorsque nous aidons nos clients à prendre des décisions d’achat".

    Dès 1997, le patron d'Amazon pressent qu'il doit permettre aux clients d'acheter plus simplement et rapidement leurs produits. A l'époque, le processus d'achat sur le web était long. Il fallait s'enregistrer à chaque commande, entrer son nom, adresse, son numéro de carte bancaire voire envoyer un chèque. Amazon a l'idée simple de permettre à ses clients d'enregistrer toutes ces informations une fois pour toute et d'acheter sur Amazon en un clic. C'est à ce moment-là donc qu'apparaît le bouton "acheter en 1-Click" sur le site marchand.

     

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    Un service qui paraît banal aujourd'hui tant il est répandu, mais qui ne l'était pas à l'époque. A tel point point qu'Amazon se met en tête de le breveter. Et le plus surprenant c'est que l'office américain des brevets (lUSPTO) ne rejette pas son dépôt. Il lui accorde sans broncher le précieux brevet. Cette protection légale, Amazon en usera chaque fois que ses concurrents tenteront de l'imiter. En 1999, par exemple, le libraire Barnes&Nobles lance un système similaire d'achat en un clic. Amazon l'attaque illico et l'enseigne fait machine arrière. Un an plus tard, Apple qui veut introduire ce type de service sur son site de vente en ligne ainsi que sur iTunes, ne biaise pas. Il se résout à payer une redevance à Amazon.

    En revanche, l'office des brevets en Europe (OEB) a toujours refusé d'accorder à Amazon un quelconque droit de propriété sur cette idée. "Le Conseil ne considère pas que l'idée de réduire le nombre de mesures nécessaires pour passer une commande constitue une invention", assurait l'OEB dans une décision de 2001 réitérée en 2011. 

    Cette querelle juridique prend donc fin ce mardi 12 septembre. Car le brevet du "1-Click" d'Amazon tombe ce jour dans le domaine public. N'importe quel site de vente pourra désormais laisser ses clients enregistrer leurs coordonnées personnelles et bancaires et payer ensuite tous ses achats en un clic. Evidemment, cette possibilité ne va pas rabattre les cartes dans le e-commerce. Amazon a une telle avance qu'il paraît pour l'heure irrattrapable. 

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    #Amazon Go: un point de vente connecté sans caisse et sans file d'attente | @adetem #distribution

    SIECLE DIGITAL | VALENTIN BLANCHOT | 05/12/2016

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    Amazon vient de dévoiler un concept de point de vente en rupture totale avec la conception de ceux que l’on connait pour la grande distribution alimentaire : Amazon Go.

    Derrière le Go, l’idée c’est « just grab and go! » Vous rentrez, prenez les produits qui vous intéressent et repartez. Il n’y a pas de caisses, tout se passe avec votre smartphone. Le comble de la technologie derrière Amazon Go, c’est qu’elle s’attaque à un secteur des plus rigides à l’intégration d’innovations : la grande distribution alimentaire. Si on a pu dire qu’Uber avait uberisé les taxis en créant ainsi une expression qui fera trembler bien des entreprises par la suite, on peut aujourd’hui remplacer uberisation pour amazonation pour la distribution alimentaire.

    Amazon avait déjà commencé à travailler un passage au points de vente physiques avec une librairie. À présent, Amazon Go vient compléter ces initiatives. C’est une nouvelle génération de magasin où les caisses n’existent plus. Il n’y a pas non plus besoin de scanner un produit. Le géant du ecommerce a équipé son magasin de capteurs, caméras, et intelligences artificielles pour détecter lorsqu’un produit est pris d’un rayon ou reposé. Ainsi il pourra remplir votre panier virtuel et lorsque vous quitterez le magasin facturer votre compte Amazon.

    La conception et l’assortiment d’Amazon Go sont entièrement dévoués à l’optimisation du temps passé dans le point de vente. Il y aura des produits prêt à manger (sandwichs, boissons, snacks), mais aussi des produits courants comme du lait, du chocolat, ou du fromage. Mieux encore, des Amazon Meal Kits seront proposés. Ils contiennent tous les ingrédients nécessaires pour cuisiner un repas pour deux en 30 minutes.

    Aucune information n’a été donnée sur la date précise d’ouverture du point de vente, à part un ‘début 2017′. Néanmoins, on sait qu’il fera un peu moins de 170 mètres carrés et est basé à Seattle.

    La raison d’être d’une telle innovation ? Le géant nous livRe sa réponse dans la page présentant sa technologie. « Il y a quatre ans nous nous sommes demandés : et si nous pouvions créer une expérience shopping sans files ni caisses ? Pourrions-nous repousser les limites de la vision par ordinateur et du machine learning pour créer un magasin où les clients pourraient simplement prendre ce qui les intéressent et ensuite partir ? Notre réponse à ces question c’est Amazon Go.