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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 22

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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | #États-#Unis : Les #soins de la peau de #haut de #gamme stimulent la #croissance du marché de la #beauté | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2NncY89

    #États-#Unis : Les #soins de la peau de #haut de #gamme stimulent la #croissance du marché de la #beauté

    Les soins de la peau continuent de tirer la croissance de l’industrie de la beauté aux États-Unis. Selon une nouvelle étude de The NPD Group, la plupart des femmes américaines (90%) utilisent du maquillage revendiquant également une action bénéfique sur la peau, sans pour autant oublier leurs produits de soins favoris.

    Selon les dernières données issues du Makeup In-Depth Consumer Report 2018 de The NPD Group, presque toutes les femmes américaines (90%) qui utilisent du maquillage affirment utiliser des produits offrant une action de soin sur la peau. Toutefois, l’utilisation de ces produits ne semble ni remplacer, ni cannibaliser, les routines de soins des consommatrices. En effet, selon le cabinet d’études de marché, les deux tiers des femmes ont déclaré utiliser ces produits de maquillage en plus de produits de soins pour la peau.

    « Le maquillage continue de bien se porter. Notre étude montre que davantage de femmes en utilisent et qu’elles utilisent aussi davantage de produits, en moyenne, au cours d’une journée type par rapport à la situation il y a deux ans. Dans le même temps, les consommatrices mettent aujourd’hui davantage l’accent sur le soin de la peau afin d’éviter les imperfections, plutôt que de les masquer lorsqu’elles qu’elles apparaissent », explique Larissa Jensen, directrice exécutive du groupe NPD. « Les attentes des consommatrices de produits de maquillage en matière de format et d’efficacité ont progressé sous l’influence des produits pour la peau. »

    Dans la continuité de la tendance amorcée en 2017, depuis le début de l’année, le segment des soins de prestige stimule la croissance de l’industrie de la beauté aux États-Unis. Sur les douze mois courant jusqu’en mai 2018, les ventes de soins pour la peau ont augmenté de 13%, les segments de l’hydratation pour le visage, des soins anti-âge et des traitements pour les yeux contribuant le plus à la progression en valeur. Les ventes de maquillage, qui est toujours la première catégorie du secteur beauté aux États-Unis, ont progressé de 1% au cours de cette période, notamment sous l’impulsion des anticernes, du mascara et des fonds de teint. [1]

    « Le skincare a créé un discours gagnant autour des ingrédients, de l’innovation, du bien-être et de la beauté de la peau à tout âge. Les marques et les fabricants de maquillage profitent de cette partition en utilisant un positionnement soin pour leurs propres produits. C’est un pas dans la bonne direction, car je pense que l’interaction et l’apprentissage croisé entre ces deux catégories se révéleront mutuellement bénéfiques », conclut Larissa Jensen.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Le #vendeur #connecté, #arme ultime d'un #commerce #omnicanal ? | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2usMMC4

    Le #vendeur #connecté, #arme ultime d'un #commerce #omnicanal ?

    Développement d'offres omnicanales, importance croissante de l’expérience de marque, consommateurs de plus en plus informés sur les produits… La dernière décennie a fait trembler sur ses bases le métier de vendeur, non sans le ramener au passage à des pratiques commerçantes qui ont été parfois délaissées. Marques et enseignes doivent désormais séduire une nouvelle génération de vendeurs bien décidée à ne pas postuler dans n’importe quel commerce.

    Un constat lié aux aspirations de la génération des millennials, qui est sensiblement le même dressé par l'industrie textile et qu’a progressivement fait à son tour Nicolas Coze, manager de la division Mode & Luxe de l’agence Lynks Partner. « Les candidats deviennent de plus en plus sélectifs, au point que, désormais, si vous ne précisez pas le nom de l’entreprise, personne ne prendra la peine de se déplacer en entretien, explique le responsable. La pénurie de postulants s’accentue donc sur certains profils, notamment concernant les vendeurs sinophones. Beaucoup de candidats ne sont pas intéressés par des marques et enseignes moins connues. Notre rôle d’agence est passé de celui d’acheteur à vendeur d’une certaine manière. Nous devons rendre le poste séduisant, car ils veulent des entreprises correspondant à leurs valeurs ».

    A l’occasion d’une campagne visant à sensibiliser les 15-25 ans aux différents métiers du secteur de la mode, dont ceux opérant en magasins, l’Alliance du commerce s’est penchée sur la perception des métiers de la vente par cette génération. Il en ressort que le domaine est jugé attractif, mais les métiers en boutiques n’arrivent qu’en quatrième position des métiers cités (38 % des répondants intéressés par le domaine), derrière les emplois liés aux fonctions support, au siège ou au digital. La conséquence d’une vision "alimentaire" du métier de vendeur tel que pensé par les grandes enseignes internationales dont ces jeunes sont eux-mêmes clients ?

    Pour Yohann Petiot, directeur général de l’Alliance du commerce, la réponse est non : « Ce ne sont pas ce que les chiffres montrent, explique le responsable. Le commerce est effectivement un métier de jeunes, avec une moyenne d’âge d’environ 34 ans, mais avec 61 % des équipes qui ont moins de 35 ans, et une personne sur quatre qui a moins de 26 ans. Donc c’est vraiment un métier dynamique. Mais pour autant, on voit que ces gens restent puisque l’ancienneté moyenne est supérieure à sept ans. Ce qui, avec la moyenne d’âge, montre que les jeunes s’installent dans ce métier, contrairement à l’image que l’on peut avoir de l’extérieur ».

    Néanmoins, la décennie en cours n’a pas été sans conséquence sur l’image du vendeur, selon Eric Pestel de la l'agence Lookadok. Ce dernier, qui a conçu la formation "Top Vendeur" mise en place en début d’année par l’Alliance du commerce, voit dans ce virage l’annonce d’un retour aux sources : « Autour des années 2010, le retail s’est développé autour de la standardisation, explique-t-il en pointant du doigt une ‘course à la performance’. Dans un contexte hyper-standardisé, l’humain n’apparaît plus comme nécessaire. Or, c’est bien un retour à l’humain qu’imposent les nouvelles attentes des consommateurs. Ce qui s’oppose à un turnover rapide des équipes, qui n’apportera pas une relation stable et bénéfique dans le temps. »

    La fin du client mieux "informé" que le vendeur ?

    Ce que confirme Nicolas Coze de Lynks Partner, qui souligne que les marques sont de plus en plus disposées à passer l’éponge sur le manque d’expérience ou de formation des candidats, du moment qu'ils témoignent d’un savoir-être, d’une capacité à se faire ambassadeur de la marque et à fidéliser la clientèle par des échanges adaptés. « Vendre ne suffit plus à l’ère du marketing sensoriel et de l’omnicanal », résume le recruteur pour qui le manque de connaissances techniques liées aux nouvelles technologies n'est pas un frein à l'embauche.

    Il faut dire que le vendeur se voit désormais armé d’un arsenal d’innovations. Les magasins se sont massivement et rapidement garnis d’écrans, de miroirs connectés, voire d’accessoires en réalité augmenté, tandis que se profilent progressivement les contours d’un magasin sans caisse, éliminant pour un client plus que jamais impatient l'angoisse de la file d’attente. Mais cela reste au final l’une des premières innovations arrivées en boutique, la tablette, qui pourrait avant faire toute la différence, notamment grâce aux simplifications incessantes apportées aux logiciels associés.

    « Face au turnover que connaît un magasin, s’il faut trois jours pour maîtriser l’équipement de vente, c’est mauvais », explique Nathalie Echinard, directrice retail de la société Cegid qui équipe un millier d’enseignes, soit quelque 30 000 magasins dans 75 pays. « Un gros accent est mis sur la simplification des systèmes. Avec l’e-réservation, les magasins sont devenus de mini-centres logistiques, il faut donc éviter les ratés. Et aussi personnaliser les interfaces car, le client voyant désormais ce qui s’affiche, il faut que cela corresponde à l’image de marque. »

    Pour Nathalie Echinard comme pour Eric Pestel, la capacité à connaître les précédents achats et les pièces consultées par un client est sans doute le nouveau pivot du métier. Une étape faisant se rencontrer la connaissance approfondie permise par le online et les compétences relationnelles d’un commerçant physique. « Le vendeur agit comme un community manager, relève Eric Pestel. Contrairement à ce que l'on peut entendre ici et là, le client n’est pas mieux informé que le vendeur sur tout, et c’est à ce dernier d’emmener son client vers ce à quoi il n’aurait pas pensé ».

    De nombreux défis restent néanmoins à relever avant de trouver l’équilibre dans ces nouvelles relations entre vendeurs et clients. Une récente étude montre que si 57 % de ces derniers sont d’accord pour qu’on leur fasse des offres personnalisées, seuls 9 % sont favorables à ce qu’un vendeur dispose de leur profil détaillé et 57 % se méfient de l’encaissement mobile via smartphone ou tablette. En revanche, une autre enquête réalisée pour les fêtes de fin d'année en 2017 montre que 36 % des clients se disent sensibles à l’amabilité et à la disponibilité du vendeur (36 %) et à un accueil chaleureux (33 %), tandis que 73 % des interrogés indiquent leur intention de demander conseils et informations aux équipes de vente. De fait, le terme de conseiller de vente retrouve donc, avec l'entrée des nouvelles technologies en boutiques, son sens premier.

     

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | 20 #magasins sans #personnel #Ximiti ouvriront en #France d'ici fin #2019 | @LSA

    DE MIRABELLE BELLOIR | LSA | http://bit.ly/2NOH5q9

    20 #magasins sans #personnel #Ximiti ouvriront en #France d'ici fin #2019

    La société Neovendis propose en franchise ce concept de magasin automatique. Le premier de ces points de vente a ouvert fin 2017 dans la périphérie de Grenoble. Un nouveau Ximiti ouvrira début août à Aubervilliers.

    D'ici la fin 2019, 20 magasins de proximité sans personnel Ximiti devraient être actifs en France, indique au Figaro la société Neovendis, qui a créé ce concept lancé en 2017. Un nouveau point de vente automatique ouvert 24 heures sur 24 et sept jours sur sept sera lancé début août à Aubervilliers. De nouveaux distributeurs géants ouvriront ensuit à Aulnay-sous-Bois, Limoges, Paris et La Roche-sur-Yon.

    En novembre 2017, dans la périphérie de Grenoble, a été installé le premier point de vente Ximiti. Un concept proposé en licence de marque par Neovendis, un spin-off du logisticien B+ créé en 2014 quand celui-ci a été racheté par l’américain Sealed Air. Ximiti est un magasin de proximité entièrement automatisé. "Il y a déjà eu des essais avec Casino ou Tout partout qui n’ont pas forcément rencontré le succès, concède Lionel Hirsch, directeur général de Neovendis. Notre concept se distingue par l’agilité, la fiabilité et la robustesse de notre robot et par le fait qu’il soit connecté."

    Une gestion simple...

    Au cœur de Ximiti, en effet, le robot 24RoboMart. Fabriqué par Neovendis, à Aubagne, il peut gérer des produits aux formats très différents, du briquet au pack de six bouteilles de lait. Le point de vente installé près de Grenoble est le plus petit format proposé. Il n’a besoin que de 18 m2 d’espace au sol et peut gérer quelque 200 références. "Il peut facilement être installé sur un parking, dans un camping… Mais nous pouvons aussi transformer un point de vente physique en magasin Ximiti. C’est ce que nous avons fait en février dernier à Lyon, où Ximiti a remplacé la boutique traditionnelle d’une station-service. L’espace est ici plus important et ce magasin offre 450 références", explique Lionel Hirsch.

    À l’intérieur, les produits sont conservés à 3° C, ce qui permet de proposer des produits frais comme une plaquette de beurre. À Grenoble, les clients de Ximiti peuvent aussi bien acheter un sandwich qu’un gel douche ou une boisson non alcoolisée, des aliments pour chiens et chats ou des piles, un chargeur de téléphone… "Nous disposons d’une petite centrale d’achats, mais nous encourageons nos licenciés à développer leur offre avec des produits locaux pour se distinguer de la concurrence et pour que Ximiti soit vraiment un magasin de proximité ancré dans son quartier. Par exemple, pourquoi ne pas faire un partenariat avec le fleuriste du coin pour proposer des bouquets aux clients quand la boutique de ce dernier est fermée ?", suggère Lionel Hirsch.

    … Et un approvisionnement aisé

    Car l’intérêt d’un magasin automatique, c’est qu’il est accessible vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Pour acheter, le client peut soit utiliser l’écran tactile du magasin, soit passer commande à distance via une application mobile et payer en ligne. Il a ensuite douze heures pour retirer sa commande au magasin en entrant un code sur son interface tactile. "Cette application nous différencie vraiment de ce qui a pu être fait précédemment", insiste Lionel Hirsch. L’offre y est organisée par rayons (épicerie sucrée et salée, produits frais, boissons, hygiène et bazar). Par ce biais, les clients ont aussi accès à des promotions. L’appli est par ailleurs animée avec "Le produit du jour", qui bénéficie d’un onglet dédié.

    Côté chiffres, "avec un budget de 100 000 € environ, on peut monter un magasin Ximiti. Le droit d’entrée est de 10 000 € ; nous demandons ensuite une redevance de 3 % du chiffre d’affaires, confie le directeur général. Il est prévu un contrat de maintenance et nous accompagnons bien sûr nos licenciés".

    La gestion de Ximiti se veut simple, l’approvisionnement aisé. "Nous l’avons conçu pour qu’un licencié n’ait pas besoin d’y consacrer plus d’une heure par jour. Comme Ximiti est connecté, le licencié reçoit un message sur son smartphone s’il y a une rupture de stock ou un problème technique", assure Lionel Hirsch.

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | Ce qui va #sauver les #supermarchés ? Les #consommateurs aiment #flâner | @LADN

    DE ALICE HUOT | L'ADN | http://bit.ly/2upXNUs

    Ce qui va #sauver les #supermarchés ? Les #consommateurs aiment #flâner

    Elle est loin la grande époque des hypermarchés. Aujourd’hui, les rois de la distribution s’appellent Amazon ou Alibaba, et plus Leclerc ou Auchan. Mais la grande distribution n’a pas encore perdu la guerre. Fatigués de l’infinite scroll, les consommateurs reviennent à la flânerie et les supermarchés peuvent encore tirer leur épingle du jeu.

    La grande distribution doit aujourd’hui faire face à un marché complètement bousculé par le e-commerce et des consommateurs dont les habitudes ont totalement changé. Aux Etats-Unis, les grandes enseignes de supermarché affichent un chiffre d’affaires en baisse de 31% par rapport à 2015 pendant que celui de la vente en ligne augmente de 24%, d’après une étude Kantar Media. Pour continuer à engager et fidéliser des consommateurs toujours plus volatiles et exigeants, la grande distribution doit faire sa révolution.

    Habitués à se faire livrer tout, tout le temps et partout par Amazon et Alibaba, l’étude révèle que faire ses courses au supermarché est une corvée pour près de deux consommateurs sur cinq. Plus fans du shopping dans leur canapé que sous la lumière des néons sur supermarché, 52% des sondés indiquent passer le moins de temps possible à faire leurs courses. 

    Mais tout n’est pas perdu pour la grande distribution ! Selon l’étude, la moitié des consommateurs se disent perdus devant le choix immense et (quasiment) infini qu’offre le e-commerce. Pour 46% des personnes interrogées, ce sont les produits et les marques proposées qui déterminent le choix de leur lieu d’achat. La grande distribution doit donc s’adapter aux nouveaux modes d’alimentation des consommateurs en quête de qualité et de bien manger. Ils sont 62% à dépenser plus pour des produits alimentaires de qualité, une augmentation de 14 points par rapport à 2010.

    Symbole de la société de consommation et l’automatisation dans les années 60, la grande distribution mais aujourd’hui figure de rempart contre la déshumanisation du commerce digital. Certains annoncent déjà le grand retour du magasin physique et 38% des sondés professent leur amour pour le lèche-vitrine en magasin. Plus étonnant, l’étude révèle que près d’un quart des consommateurs déclarent aimer fréquenter les grandes surfaces même sans nécessité d’achat - une croissance de 3,2% par rapport à 2010. Un tiers d’entre eux apprécient de pouvoir faire de plus en plus de choses dans les centres commerciaux. Pour faire face au e-commerce, la grande distribution doit se réinventer en lieu de vie et créer une relation émotionnelle avec les consommateurs.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | #Ocado envisage de s’#étendre à la #mode et à l'#équipement de la #maison | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2uClGYq

    #Ocado envisage de s’#étendre à la #mode et à l'#équipement de la #maison

    Pour rentabiliser ses lourds investissements logistiques et IT, le cybermarché britannique a annoncé au marché qu'il envisageait de développer son e-commerce non-alimentaire.

    Le supermarché en ligne britannique Ocado est connu en France pour avoir développé une technologie et un savoir-faire logistique et IT si poussés qu’il a convaincu Monoprix de lui sous-traiter les opérations de son e-commerce alimentaire, puis le retailer américain Kroger. Après des années passées à prospecter les distributeurs physiques qui le percevaient comme un concurrent potentiel, il a de quoi se réjouir que son activité BtoB décolle bientôt : son cours de bourse, qui n’en pouvait plus d’attendre ces signatures, a bondi de 250% en un an grâce à ces partenariats. Avec une capitalisation dépassant 7,4 milliards de livres, Ocado vaut actuellement plus que Morrisons ou Marks&Spencer.

    Sauf que ses investissements, en particulier dans ses centres de distribution britanniques et dans sa plateforme logicielle, vont passer de 160 millions de livres en 2017 à 210 millions en 2018 et dégrader d’autant ses profits. Lors de la présentation de ses résultats trimestriels aux analystes financiers, son fondateur Tim Steiner a indiqué que l’entrepôt ultra-automatisé qu’Ocado vient de mettre en service à Erith, dans le sud de Londres, est capable d’absorber pour 200 millions de livres par an de ventes de produits non alimentaires, en plus de son activité alimentaire. Et d’ajouter, comme le rapporte le Guardian : « Nous devons non seulement nous focaliser sur ce que nous devons faire aujourd’hui mais aussi nous assurer que nous innovons pour le futur. Le marché alimentaire est important, mais nous explorons également d’autres domaines où nos compétences sont tout aussi utiles. »

    Ocado opère déjà trois autres sites marchands que son cybermarché éponyme : le site de petfood Fetch, le site d’arts de la table et de cuisine Sizzle, ainsi que l’e-boutique de produits de beauté Fabled en partenariat avec Marie-Claire.

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    [#CONSOLAB] [VENTES] | Nouveaux #formats et #e-commerce stimulent les #ventes de #parfums d’#intérieur aux #États-Unis | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2mlhlFn

    Nouveaux #formats et #e-commerce stimulent les #ventes de #parfums d’#intérieur aux #États-Uni

    Le marché américain des parfums d’ambiance a encore accéléré en 2017 par rapport à l’année précédente, les ventes sur Internet jouant un rôle important dans la dynamique du marché, selon l’étude Home Fragrances : U.S. Market Analysis and Opportunities de Kline. Les bougies vendues en grande distribution dominent largement le marché, mais les petites marques des segments de haut de gamme connaissent une croissance à deux chiffres.

    « Ce marché, en particulier la catégorie des bougies, continue de bien performer, car les consommateurs restent attirés par ces produits pour leurs designs élégants, leur esthétique et l’expérience sensorielle qu’ils procurent », explique Dana Kreutzer, analyste principale chez Kline. « Le commerce électronique et la technologie transforment ce segment en proposant de nouvelles expériences aux consommateurs, et les marques de luxe comme les petites start-up profitent du e-commerce pour renforcer leur présence ».

    Concurrence accrue

    Côté distribution, les cartes continuent à être rapidement rebattues entre les marques. Tout au long de l’année, Yankee Candle a renforcé sa présence en grande distribution en entrant chez Walmart durant le printemps. Newell Brands, la maison mère de la marque, a ouvert son premier magasin pop-up store expérientiel pendant la période des fêtes de fin d’année.

    La concurrence entre les principaux acteurs du marché et les marques émergentes a continué de se renforcer en 2017. Newell Brands s’est affirmé comme le géant du marché, avec l’ajout des marques WoodWick et Chesapeake Bay Candle à son portefeuille de parfums d’ambiance en 2017. Toutefois, Bath & Body Works, l’une des marques les plus prestigieuses, enregistre toujours d’excellentes performances. Par ailleurs, les acteurs émergents du segment haut de gamme tirent le marché : Voluspa, Nest, Illume et Paddywax figurent parmi les marques les plus performantes avec des progressions à deux chiffres en 2017.

    Le canal de la vente directe a progressé de 10% en 2017, tandis que les ventes de bougies dans ce canal ont crû encore plus vite.

    Les bougies dominent

    Les bougies sont toujours la principale catégorie du marché en 2017, contribuant pour plus de 41% aux ventes. Elles forment également la catégorie la plus dynamique du marché, tirées par les ventes de bougies de luxe qui enregistrent une croissance deux fois plus rapide que celle de la catégorie. Plusieurs nouveaux acteurs sont entrés sur le segment du luxe en 2017, tels que Gibson & Dehn et HomeWorx by Harry Slatkin, qui vend ses produits à travers sur la chaine commerciale QVC. Mais en dépit de ces nouveaux arrivants et de la forte croissance de plusieurs marques de prestige, Yankee Candle reste le leader du marché.

    Autre catégorie bénéficiant des faveurs des consommateurs : les diffuseurs. Cette catégorie est particulièrement innovante ; parfum et technologie s’y combinent et de nouveaux diffuseurs intelligents de marques comme Moodo et Aera offrent aux consommateurs la possibilité de contrôler et de personnaliser leurs parfums d’intérieur. De nouveaux formats, tels que les diffuseurs sans liquide de Nest et Diptyque, augmentent l’attractivité de ce segment.