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Panel On The Web | Promise Consulting [Conso Blog] - Page 24

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    [#CONSOLAB] [RETAIL] | #Carrefour en #pleine #transformation | @ECOMMERCEMAG

    DE DALILA BOUAZIZ | ECOMMERCE MAG | http://bit.ly/2KYZ26H

    #Carrefour en #pleine #transformation

    Suite au plan de transformation présenté en janvier, le groupe investit dans le digital et l'omnicanal en vue de devenir le numéro 1 de l'e-commerce alimentaire en France. Dernier investissement en date, l'ouverture d'une plateforme logistique en île-de-France pour alimenter les drives.

    En janvier dernier, Alexandre Bompard, p-dg du groupe Carrefour, dévoilait son plan ambitieux dans l'e-commerce alimentaire. Le distributeur se fixe pour objectif de devenir le numéro 1 du secteur d'ici à 2022, en ­réalisant un chiffre d'affaires de 5 milliards d'euros, soit une part de marché supérieure à 20% du marché de ­l'e-commerce alimentaire. "Gagner la bataille de ­l'e-commerce de centre-ville est un défi essentiel pour Carrefour", a souligné Alexandre Bompard.

    Pour cela, le distributeur muscle son offre logistique, maillon essentiel pour développer les trois axes stratégiques de son projet: le drive, la livraison à domicile et l'express. Le groupe investira 2,8 milliards d'euros d'ici cinq ans dans le digital, 560 millions d'euros par an, soit six fois plus que les investissements actuellement consentis pour changer de dimension sur le numérique et l'omnicanal. Carrefour a ainsi inauguré en avril sa nouvelle plateforme logistique implantée à Aulnay-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis.


    Une plateforme unique et un nouvel entrepôt

    Construit par la société Segro sur l'ancien site de PSA, le nouvel entrepôt logistique de 26000m2, avec une extension possible de 6000m2 additionnels, est destiné à alimenter les drives et drives piétons de l'enseigne à Paris et en région parisienne, soit une cinquantaine de magasins d'ici la fin de l'année. Ces points de retrait sont en effet un axe stratégique pour Carrefour, très en retard par rapport à ses concurrents, notamment Leclerc qui rafle 50% du marché versus 8% pour le distributeur, selon la dernière étude Nielsen. "Nous devons avoir un système logistique de pointe pour garantir à nos clients qu'ils seront livrés à temps et que leurs commandes arriveront de manière complète, a souligné le p-dg lors de l'inauguration. Nous sommes convaincus que l'e-commerce est le futur de notre groupe et que la qualité de services que nous offrons est essentielle pour développer la confiance de nos clients."

    Carrefour a confié à la société Stef, l'un des spécialistes européens de la logistique du froid, la prestation de sa plateforme logistique. Ce bâtiment multi- températures sera mécanisé en 2019 afin de multiplier par deux le nombre de commandes traitées (actuellement 600 commandes par jour, ­l'objectif étant de passer à 3500 d'ici fin 2018, et à 8000 commandes par jour en 2019). Le nombre de références produits passera quant à lui de 13000 à 20000 lors de la mécanisation de l'entrepôt.
     
    Pour renforcer son identité digitale, le groupe, qui compte 14 applications et huit sites d'e-commerce non reliés entre eux, lancera cette année un site unique, Carrefour.fr. Le portail regroupera l'ensemble des offres marchandes alimentaires et non alimentaires généralistes. Le cybermarchand Ooshop vient aussi de changer de nom en avril dernier rebaptisé "Carrefour Livré chez vous". Le but? Débuter le processus d'uniformisation de tous les services et sites du distributeur autour de la marque leader, Carrefour.

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    [#CONSOLAB] [DIGITAL] | Comment adapter le #retail aux "#omnishoppers" | @LSA

    DE LA TRIBUNE D'EXPERTS | LSA | http://bit.ly/2u3KcSK

    Comment adapter le #retail aux "#omnishoppers"

    En quelques années, le secteur de la distribution a muté. Sous l’impulsion du e-commerce, les boutiques se sont adaptées pour répondre aux nouveaux comportements des clients. Loin d’être mort, le retail s’est renouvelé : nouvelles expériences, nouveaux services, nouveaux espaces, tout (ou presque) a été repensé pour continuer de séduire, conseiller et fidéliser les clients. Géraldine Planche, directrice planning stratégique chez Mediapost Publicité, fait le point sur quelques bonnes pratiques à mettre en place, exemples à l’appui.

    Aujourd’hui, l’opposition entre le online et le offline n’est plus un sujet, la dichotomie entre ces deux mondes n’existe pas pour le consommateur qui passe de l’un à l’autre. À l’image de ces derniers, les marques ont accru les synergies entre leur site et leur boutique physique, en capitalisant sur les points forts de chaque canal. Loin de cannibaliser le point de vente, l’e-commerce l’a finalement ravivé.

    Des parcours d'achat où le point de vente reste central

    Le point de vente reste un point de contact névralgique dans les parcours d’achat. Il est utilisé comme point d’information et contribue fortement à véhiculer les valeurs et l’image des marques. D’ailleurs, tous les composants du point de vente sont plébiscités : les vendeurs en tête (sur le secteur de l’optique il est le 1er point de contact en phase d’information, deuxième pour donner une bonne image et inciter à l’achat) mais également, la vitrine, les catalogues distribués en point de vente, les animations magasins.

     
    La créativité des marques pour inciter à la visite en magasin

    Toutes les étapes du parcours d’achat sont repensées pour toujours plus donner envie aux consommateurs de se rendre en magasin, d’y entrer, de rester et faciliter l’acte d’achat.

    - Allier publicité & shopping bag Pour préparer et inciter à l’achat, Campaillette a distribué un sachet de pain en boite aux lettres, dans les foyers autour de ses boulangeries. Une façon originale de faire de la publicité et en même temps d’inciter le destinataire à se rendre en magasin pour profiter de la promotion présente sur le sachet de pain.

    - Adapter les parcours d’ achat vraiment sur-mesure La notion de temps passé est crucial dans le retail et les points de vente font face à des comportements consommateurs très différents : entre ceux qui font leur achat de façon chronométrée et ceux qui aiment prendre le temps de tout regarder avant d’acheter, une équation difficile à résoudre pour répondre à ces besoins divergents. A titre d’exemple, Target ( deuxième enseigne de grande distribution aux USA) semble avoir trouver la solution : en adaptant son magasin au rythme des clients. L’enseigne propose deux entrées : l’une pour un shopping rapide (speed entrance), l’autre pour flâner. La speed entrance conduit directement les clients vers les rayons alimentaires, propose un service de retrait des commandes en lignes et des places de parking dédiées !

    - Vivre l’expérience produit pour de vrai ! Les boutiques se transforment de plus en plus en appartement pour coller toujours plus à la réalité et projeter le consommateur dans la vraie vie. Au-delà de la mise en scène, certaines enseignes vont un cran plus loin en proposant un vrai usage des produits, ce qui donne des expériences étonnantes : Boulanger n’hésite pas à pousser loin l’expérience client pour augmenter son pouvoir d’attraction. En effet, l’enseigne permet de venir avec son linge sale pour tester une machine à laver ou avec ses légumes pour essayer un robot cuiseur ! .

    - Proposer une approche affinitaire de l’offre Pour proposer toujours plus de praticité (et favoriser les transactions), de nouveaux concepts de magasins « One stop shop » émergent. Ces nouveaux concept stores visent à regrouper au même endroit tous les produits ou services dont les consommateurs ont besoin sur un thème particulier. Bonton regroupe sur trois étages tout l’univers enfant : vêtements, jouets, mobilier, déco, salon de lecture, comptoir gourmand et même un coiffeur.

    - Se faire livrer, tester le produit et / ou le renvoyer Les pure players développent, avec succès, de plus en plus de boutiques In Real Life (IRL) comme Spartoo, Sézane etc. Mais pour ceux qui n’ont pas franchi le pas, ils trouvent des astuces pour contourner les limites du tout digital. Afin de lutter contre le coût des retours devenus exorbitants, Asos, a eu l’idée de proposer un service de click & collect avec cabine d’essayage. Une fois le produit retiré, le client peut l’essayer et le déposer dans un casier s’il souhaite le retourner. Ce service permet aux clients de gagner du temps et de simplifier la démarche.

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    [#CONSOLAB] [PARTENARIAT] | #Carrefour et #Tesco nouent un #partenariat #stratégique | @FASHIONNETWORK

    DE FASHION NETWORK | http://bit.ly/2MRNO1g

    #Carrefour et #Tesco nouent un #partenariat #stratégique

    Carrefour et Tesco ont annoncé lundi prévoir de nouer un accord stratégique de long terme portant sur des services apportés à leurs fournisseurs et l’achat en commun de produits de marque propre et de biens non marchands. L'accord couvrira les relations stratégiques des deux enseignes avec leurs fournisseurs, comme la vente de services marketing ou de données de ventes sur des produits.

    Par ailleurs, leur alliance à l'achat - qui ne couvre par les produits frais - permettra aussi aux deux groupes d’ abaisser leurs prix d'achats, augmentant ainsi leur compétitivité. Parallèlement, chaque société continuera à travailler de son côté avec ses producteurs locaux et nationaux.

    L'accord, qui devrait être finalisé dans un délai de deux mois, sera régi par des cycles opérationnels de trois ans.

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    [#CONSOLAB] [MARCHE] | Le #marché #européen des #cosmétiques a #progressé de 1,3% en 2017 | @PREMIUMBEAUTYNEWS

    DE PREMIUM BEAUTY NEWS | http://bit.ly/2MQr8yl

    Le #marché #européen des #cosmétiques a #progressé de 1,3% en 2017

    À l’occasion de sa conférence annuelle, qui s’est tenue à Bruxelles les 13 et 14 juin 2018, Cosmetics Europe a dévoilé ses dernières statistiques du marché des cosmétiques et des soins personnels. En 2017, le marché européen a progressé de 1,3% par rapport à 2016 pour atteindre 77,6 milliards d’euros.
    En 2017, le marché européen des cosmétiques représentait 77,6 milliards d’euros, faisant de l’Europe le plus grand marché mondial.

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    Selon Cosmetics Europe, la chaîne de valeur de l’industrie des cosmétiques contribue à plus de 2 millions d’emplois en Europe.

    Malgré le retour à une croissance plus dynamique, le marché européen reste impacté par la faible performance de certains marchés clés, notamment : le Royaume-Uni (-6,8%), les Pays-Bas (-1,9%) et la France (-0,5%).

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    En ce qui concerne les produits, toutes les catégories sont en hausse par rapport à 2016, à l’exception des parfums (-0,4%) et du maquillage (-0,1%).

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    Les soins pour la peau et les produits de toilette restent les principales catégories en Europe, suivies par les produits capillaires et les parfums.

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    Dans ce contexte de croissance modérée, le commerce international reste un moteur essentiel pour l’industrie européenne. Plus de 20,2 milliards d’euros de produits cosmétiques ont été exportés par les pays européens en 2017 (contre 18,2 milliards en 2016). Le total des importations n’atteint que 5,935 millions d’euros, principalement en provenance des États-Unis, de Chine et du Japon (contre 5,633 millions d’euros en 2016). Plus que jamais, l’exportation apparaît comme le véritable moteur de l’industrie européenne des cosmétiques.

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    [#CONSOLAB] [DISTRIBUTION] | Un second #Amazon #Go ouvrira cet #automne à #Seattle | @LSA

    DE FLORE FAUCONNIER | LSA | http://bit.ly/2MTev5J

    Un second  #Amazon #Go ouvrira cet #automne à #Seattle

    Amazon a confirmé son intention d'ouvrir une deuxième supérette sans caisse dans sa ville de Seattle. Elle sera située à 1,5km au sud du premier et devrait être significativement plus grande.

    Amazon ouvrira cet automne un second Amazon Go à Seattle. Comme dans le premier, il sera possible de saisir des articles et de sortir sans passer par la caisse : les nombreux capteurs et caméras disposés dans le magasin auront identifié les produits, ensuite facturés directement sur le compte Amazon du client (voir comment fonctionne cette techno). En revanche, ce deuxième Go, situé à 1,5km au sud du premier, sera beaucoup plus grand : il couvrira 280 mètres carrés au lieu de 170. Une façon de poursuivre les tests avec davantage de références...

    En mai, Amazon avait également confirmé chercher des espaces où implanter ses supérettes sans caisses à Chicago et à San Francisco. Selon diverses sources, la firme de Seattle désire compter sept Amazon Go aux Etats-Unis à la fin 2018. En juin, Reuters a révélé que Microsoft développait actuellement une technologie de magasin sans checkout similaire à Amazon Go et qu’il discutait avec Walmart d’un partenariat.

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    [#CONSOLAB] [ECOMMERCE] | L’#e-#commerce pèse désormais #13 % des #ventes d’#habillement | @FASHIONNETWORK

    DE MATTHIEU GUINEBAULT | FASHION NETWORK | http://bit.ly/2KfPmoM

    L’#e-#commerce pèse désormais #13 % des #ventes d’#habillement

    Après avoir publié des chiffres en hausse de 14,3 % pour l’année 2017, la Fédération de la vente en ligne (Fevad) dévoile sa traditionnelle cartographie de référence du secteur. Des chiffres qui montrent une nouvelle fois l’importance de l’habillement pour le secteur de la vente en ligne. Internet pèse en effet désormais 13 % des ventes en ligne d’habillement, avec 3,7 milliards d’euros, bien plus que la part de marché sur l’ensemble du retail, établie à 8,5 %.

    Interrogés par CSA, les cyberacheteurs tricolores sont 66 % à indiquer commander des articles de mode. Il s'agit de la première catégorie de produits commandée en ligne, devant les biens culturels, les voyages et les jouets. La chaussure arrivant en 5e position (45 %), la beauté en 7e (40 %) et les articles de sport en 10e (29 %).

    Au-delà des volumes, ces chiffres sont aussi l’occasion de tirer le portrait du cyberacheteur tricolore. Ainsi, chez les internautes, 87,1 % des hommes et 83,8 % des femmes achètent en ligne. Par tranches d'âge, la proportion d'acheteurs en ligne est sans surprise plus forte chez les jeunes - 92,3 % de cyberacheteurs chez les 18-24 ans, 93,8 % chez les 25-34 ans, 92,1 % chez les 35-49 ans, 88,4 % chez les 50-64 ans et 80 % chez les plus de 65 ans - bien qu’une certaine homogénéité s’installe dans ce domaine.

    L’écart est plus fort entre les catégories socio-professionnelles. Les CSP+ sont ainsi 96,1 % à acheter sur Internet, contre 87,6 % chez les CSP- et 82,1 % chez les retraités. En revanche, l’écart entre la région parisienne et la province reste réduit, avec respectivement 87,4 % et 85 % d’internautes convertis à l’achat en ligne.

    E-commerce, 13, ventes, habillement

    Côté entreprise, la rentabilité fait son chemin, avec désormais 68 % de sites rentables chez les leaders, contre 9 % à l’équilibre et 23 % de déficitaires. Du côté des TPE et PME, quelque 65 % des portails seraient à l’équilibre, contre 35 % de déficitaires. La lutte reste cependant âpre, avec 5 % des sites cumulant à eux seuls 87 % du chiffre d’affaires de la vente en ligne.

    L’enquête souligne par ailleurs une nouvelle fois l’importance du click & collect en magasin, qui occasionnerait dans 33 % des cas l’achat d’un ou plusieurs produits supplémentaires. Quant au mobile, qui pèse 20 % des ventes en ligne, il est utilisé par 61 % des cyberacheteurs pour suivre les achats en ligne, mais aussi pour rechercher un produit avant achat online ou offline (57 %) et pour chercher ou localiser un magasin (52 %).